Big & Old StoneS

Suivez-nous sur nos réseaux !

Cette chronologie et les textes sont basés sur le colloque de 2002 au Musée des Tumulus de Bougon « Origine et développement du mégalithisme de l’ouest de l’Europe / Origin and development of the megalithic monuments of western Europe », dont des extraits seront également répartis dans « CULTURES MÉGALITHIQUES » et « DOSSIERS THÉMATIQUES ».

Pour le monde entier, je vais intégrer les informations de la Conférences de l’ “International Meeting : Megaliths of the World”.

MÉGALITHES PAR CHRONOLOGIE

Histoire de donner un cadre à la Préhistoire (jusqu’à la pierre polie), la Protohistoire (âges des métaux) et l’Histoire (depuis le début de l’ère commune … Jésus pour simplifier), j’ai découpé de grandes chronologies que vous retrouverez appliquées à tous les éléments du site et aux albums Facebook pour s’y retrouver !

!!! C’est une chronologisation dans les grandes lignes, basée sur la périodisation européenne, sachant que toutes les cultures et zones mégalithiques n’en étaient bien évidemment pas au même stade de développement sur tous les continents puisqu’il n’y a rien d’uniforme dans ces phénomènes régionaux … qui font – à tort – penser à certains à un concept mondial !!!

 

Faute de fouilles ou trop anciennes dont nous ne savons plus grand chose aujourd’hui, certains mégalithes sont difficilement datables et ont donc leur rubriques/albums Facebook propres, celle des Mégalithes non datés, d’autres sont des Mégalithes dépaganisés, quand d’autres enfin sont carrément des Mégalithes tout bouleversifiés 🙁

 
 

*** Concernant les cultures mégalithiques, elles sont également organisées par chronologie, et pour mieux comprendre leurs modes de vie voyez les dossiers thématiques structurés par activités (repas quotidiens, techniques mégalithiques, ateliers poteries / fonderies, etc.), thèmes sociétaux (femmes, violences, arts mégalithiques, etc.), angles de découvertes (circuits touristiques, musées, sites/pages Facebook dédiés, etc.) ***

 

  1. Avant le -IXè millénaire : Paléolithique supérieur jusqu’au Pré-Poterie Néolithique

  1. Entre le -IXè et le début du -Vè millénaire : Pré-Poterie Néolithique jusqu’à la fin du Néolithique ancien

  1. Entre -5 000 et -4 500 : Néolithique Moyen I

  1. Entre -4 500 et -3 500 : Néolithique Moyen II

  1. Entre -3 500 et -3 000 : Néolithique Récent

  1. Entre -3 000 et -2 500 : Néolithique Final (ex Chalcolithique)

  1. Entre -2 500 et -2 000 : Campaniforme

  1. Entre -2 000 et -1 000 : Âges du Bronze

  1. Entre -1 000 et le début de l’ère commune : Âges du Fer

  1. Entre le début de l’ère commune et l’an 1 000 : du temps des Romains à celui des Vikings

  1. Entre l’an 1 000 et aujourd’hui : des Amérindiens au subcontemporain africain/indonésien/polynésien

Monuments avec une fonction funéraire

Monuments avec une fonction non-funéraire

avant - 9 000

Monuments avec une fonction funéraire

Monuments avec une fonction non-funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Mutlu Yıllar Hayati Çakmak et ce soir c'est un combo magique ultra-antique dans la préhistoire du mégalithisme car lui a posté des photos de Göbeklitepe et un autre anniversaire a posté des photos de Karahantepe (https://www.facebook.com/photo/?fbid=133457222850354&set=a.113756704820406) … son jumeau dizygote car ils se ressemblent mais sont pas pareils ;-) Désolé si vous ne pouvez accéder à ses photos dans https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid02NTQA7KksoDipqA95P2c2DmBhNFpFkA72fmaEYMgAkwZxiGDz93ZXha9gGpm8fj1al&id=100009459847650, sinon y en a partout en demandant à Mystère Gogole et pour les infos voyez https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%B6bekli_Tepe
Happy birthday to Alistair Coombs et comme je le disais précédemment, ce soir c'est un combo magique ultra-antique dans la préhistoire du mégalithisme car lui a posté des photos de Karahantepe et un autre anniversaire a posté des photos de Göbeklitepe (https://www.facebook.com/photo?fbid=133444109518332&set=a.103404539182670) … son jumeau dizygote car ils se ressemblent mais sont pas pareils ;-) : https://www.facebook.com/alistair.coombs.7/posts/pfbid032b1mHYtrDEZQ4zMCgsnFfdHAqVYzGAbzAXU7Rezao8uBu9rcPTnwy9zrEnD8tsPfl
Voici ce qu'il en dit : « L'endroit est un peu à l'écart et j'ai dû faire une bonne journée de voyage à pied depuis les bâtiments de Gobekli. Le site est plus branlant que Gobekli mais ils avaient leur propre truc. En fait, un aspect MAJEUR de l'innovation néolithique, où je pense que le pilier/bâtiment de Karahan souligne fortement, était la création d'environnements rituels construits contrairement à l'appropriation paléolithique antérieure des intérieurs souterrains naturels (cavernes et grottes). Par exemple : alors que les artistes rupestres paléolithiques manipulaient les rochers et les fissures avec de la peinture pour produire des masques et des animaux spirituels sautant hors des parois, à Karahan, les gardiens du monde souterrain étaient taillés dans la roche. Ce n'est probablement pas une coïncidence si les piliers amorphes en forme de "phallus" ressemblent à des stalagmites effilées. Cependant, ce qui précède a peu d'incidence sur les habitations domestiques qui existaient auparavant, mais uniquement sur des espaces spéciaux, sacrés et souterrains ». 
Karahantepe est un site archéologique sur 10 hectares de la province de Şanlıurfa en Turquie, près de Yağmurlu, à environ 48 kilomètres à l'est de Göbekli Tepe. Les archéologues y ont également découvert des piliers (ou obélisques) en forme de T. Selon le DAILY SABAH, " »es fouilles ont mis au jour 250 obélisques avec des représentations d'animaux à ce jour ». Necmi Karul, archéologue à l'İstanbul Üniversitesi, a déclaré à Anadolu Ajansı en 2019, « L'année dernière, les travaux d'excavation ont repris à Karahantepe [Kectepe] – à environ 60 km de l'endroit où se trouve Gobeklitepe – et nous avons rencontré des traces de structures spéciales, d'obélisques, de sculptures d'animaux, et des descriptions ainsi qu'un symbolisme similaire ». Sur le flanc ouest de la colline, utilisé à l'époque comme carrière, on trouve un pilier inachevé de 5,5m, qui pourra sans doute nous renseigner sur les techniques utilisées. Contrairement à Göbekli Tepe, le site utilise une colline naturelle et des bancs sont creusés à même la roche calcaire; aussi, les piliers sont arrangés en allée (alors qu'à Göbekli Tepe, ils sont en cercle) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Karahan_Tepe
Mutlu Yıllar ProfDr Abdurrahim Dusak de Harran Üniversitesi avec ses photos de Karahantepe : https://www.facebook.com/abdurrahim.dusak/posts/pfbid02xYygEwR8ETiSfs5QQieT4nKJpNYr2jxHSbi849fnJMsEkqgJM4jJVWdufiC9ubGLl <3 Voir aussi hier avec son jumeau dizygote Göbeklitepe dans https://www.facebook.com/photo/?fbid=133457222850354&set=pb.100085582290808.-2207520000. (y)
En tant que membres du groupe de travail Göbeklitepe de l'Université Harran, le Dr. Öğretim, directeur du musée d'archéologie de Şanlıurfa (Şanlıurfa Arkeoloji Müzesi Müdürü Celal Uludağ oldu, cf. https://www.arkeolojikhaber.com/haber-sanliurfa-muze-muduru-celal-uludag-zagrebde-gobeklitepeyi-anlatacak-21187 de ArkeolojikHaber) et le chef de l'association de protection du patrimoine culturel, l'architecte Ugur Beyazgül, les ont accompagnés avec le membre académique Kasım Team à Karahantepe, l'un des sites de fouilles archéologiques du projet "Stone Tepeler" de la période néolithique, que le ministère de la Culture et du Tourisme a lancé en 12 endroits à Şanlıurfa. Ils ont été fascinés lorsqu'ils ont vu les figures rituelles et symboliques déterrées dans le site de fouilles du professeur Necmi Karul. Cette "Colline de pierres", datant -Xè millénaire, réécrira l'histoire de l'archéologie mondiale, et Şanlıurfa restera dans les mémoires comme le principal centre de l'âge néolithique.
Mutlu Yıllar Ismet Yalçındağ avec cette illustration de Göbeklitepe (où je serai pour le 10th Megalithic Routes anniversary : General Assembly with Göbeklitepe and Karahantepe <3) est connue, mais le site officiel moins alors que c'est une mine d'infos : https://tepetelegrams.wordpress.com (y) :-) <3
Voir aussi le site de l'UNESCO / Unesco en français : https://whc.unesco.org/fr/list/1572

entre - 9 000 et - 5 000

Monuments avec une fonction funéraire

entre -5 000 et -4 500

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Feliz cumpleaños a Lucas Navareño avec sa très belle photo d'une partie du Cromlech des Almendres à Ebora Megalithica : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cromlech_des_Almendres
Bon anniversaire à Jacques Lefebvre (photographe qui peut Partager ses photos méga avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) ) qui me permet de poster la seule statue-menhir de La Drôme Tourisme en Auvergne-Rhône-Alpes Tourisme (découverte fortuitement en 1992 dans la Ville de Die, en Pays Diois Tourisme de la Communauté des Communes du Diois), haute de 4 mètres et avec la face principale gravée :-o Une copie est visible à la Grotte de Choranche : https://www.masdubarret.com/?p=2614
En 1992, lors de travaux d'agrandissement de la cave coopérative de la Clairette de Die et Vins du Diois, un ensemble de six dalles couchées à une profondeur de 0,60 m fut mis au jour. Les dalles étaient disposées les unes contre les autres. Serge Durand et Daniel Orand y ayant reconnu des gravures sur la plus grande d'entre elles, la statue-menhir et deux stèles furent transférées au Musée de Die et du Diois, montrant sans la présenter :-( (heureusement que le Musée de la Préhistoire du Vercors, lui aussi en Région Auvergne-Rhône-Alpes, est là avec https://facebook.com/MuseePrehistoireVercors/photos/la-statue-menhir-de-dieun-ensemble-de-st%C3%A8les-n%C3%A9olithiques-dont-la-statue-menhir-/946813029069740 (y) :-) <3 ) cette statue-menhir néolithique monumentale unique pour tout le quart sud-est de la France dans https://www.museededie.org/les-collections :-o / :-(
Le lieu de la découverte correspond à une terrasse alluviale de la Drôme. Le menhir est constitué d'une dalle de calcaire gréseux dont les affleurements les plus proches se situent à 20 km. Il est désormais brisé en quatre parties, à l'origine il devait mesurer environ 4 m de hauteur pour un poids total d'environ 2 tonnes. La dalle a été soigneusement bouchardée sur une face et les côtés. L'autre face comporte plusieurs cupules d'origine naturelle. La face bouchardée comporte plusieurs gravures. Dans la partie supérieure, quatre arcs de cercle dessinent un collier ou un pectoral. Plus bas, on peut voir deux autres arceaux associés à un motif quadrangulaire. Un dernier signe non identifié orne la base du menhir. 
Les deux stèles mesurent 1 m de hauteur. Elles sont constituées du même matériau que le menhir. Ce sont des blocs quadrangulaires d'une quarantaine de centimètres d’épaisseur aux angles légèrement arrondis et au sommet pratiquement plat. Elles ne comportent aucune gravure. 
Le style des gravures a été daté du Néolithique moyen à final, soit entre -5 000 et -3 000 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Statue-menhir_de_Die
Les quatre fragments de la stèle ont été mis au jour à Chandillon accompagnés de deux petites stèles aniconiques (en calcaire du Vercors et d’environ un mètre de hauteur chacune). L’ensemble était regroupé à 60 cm de profondeur, dans un périmètre vaguement circulaire. En 1997, alors que les fragments se voyaient remployés comme bac à fleur et dans l’aménagement d’une piscine, ils furent identifiés par Serge Durand et Daniel Orand. En 2013, à la suite d’un premier diagnostic de l’Inrap de La Drôme, le Département (sous la direction de Frédérique Thiercelin-Ferber), une fouille préventive (Paléotime, dirigée par Julia Patouret) a été menée sur la parcelle voisine de celle de la découverte de 1992. Elle a conduit à la mise en évidence d’une occupation presque continue du Néolithique moyen au Néolithique final. La grande stèle et les deux petites stèles aniconiques pourraient être rattachées à un alignement de structures à pierres chauffées et de possibles fosses d’implantation mis en place lors d’un Néolithique moyen indéterminé (Saint-Uze ?), au milieu du -Vème millénaire (dates radiocarbones autour de -4 600) : MERCI à Jules Masson Mourey de l'Université Toulouse - Jean Jaurès dans https://www.academia.edu/72487753/MASSON_MOUREY_J_2021_Images_du_corps_en_M%C3%A9diterran%C3%A9e_occidentale_Les_st%C3%A8les_anthropomorphes_n%C3%A9olithiques_du_sud_est_de_la_France_V%C3%A8me_III%C3%A8me_mill%C3%A9naire_avant_J_C_Th%C3%A8se_de_Doctorat_Aix_Marseille_Universit%C3%A9_748_p (y) :-) <3 )
L’opération de fouille préventive du site « Chandillon et Cocause » à Die (Drôme) a été réalisée du 7 octobre au 15 novembre 2013 par Paléotime. Une première tranche d’environ 2010 m² a été traitée sur l’emprise de la future extension d’unité de production de clairette de l’entreprise Jaillance. Lors de la construction du bâtiment précédent, un menhir monumental gravé et quatre stèles avaient été mis au jour, attribués à la fin du Néolithique en l’absence de contexte archéologique plus précis. 
Le décapage mécanique a permis de mettre en évidence la présence d’un milieu géologique complexe, constitué par la terrasse pléniglaciaire de la Drôme qui est incisée par plusieurs paléoreliefs (paléovallon, paléothalweg et ruissellements de moindre ampleur). Au Néolithique moyen 1, les vestiges d’occupations sont localisés dans la moitié nord du terrain et comprennent des aménagements en creux, un alignement de six à huit structures de combustion, ainsi qu’un niveau de mobilier associé à ces dernières. La phase la plus ancienne (alignement et niveau de mobilier) est rattachée à un Néolithique moyen indéterminé, compris entre les -48ème et -45ème siècles d’après les restes charbonneux provenant de trois structures et le type de mobilier lithique associé. Quelques éléments anachroniques sont recensés au sein de ce dernier (nucléus de type mésolithique). La présence humaine se rattache lors de cette phase à des activités artisanales et/ou sociales en lien avec les dispositifs particuliers que constituent les alignements de structures de combustion.
Une seconde période d’occupation au Néolithique moyen est perceptible à travers la présence de fosses, d’empierrements et de deux structures de combustion isolées. Les rares éléments céramiques déterminables se raccordent à une phase récente du Chasséen (D1-D2), les vestiges lithiques indiquant une chronologie légèrement antérieure (Chasséen ancien à moyen). Les datations au radiocarbone donnent des résultats compris entre le -41ème et le -37ème siècles. L’occupation de l’espace est attestée lors de cette phase d’activités artisanales, ou peut-être domestiques, par des fosses à caractère détritique et des structures de combustion dont l’architecture interne diffère de celles de l’alignement antérieur.
Le Néolithique récent-final est représenté sur le site par le biais de deux structures empierrées et d’un niveau de mobilier conservé au sein du paléovallon. Les datations au radiocarbone et les éléments siliceux permettent de situer cette phase entre le -27ème et le -23ème siècles. Le type des occupations renvoie à des restes d’activités artisanales et/ou domestiques, dont la plus grande densité pourrait être localisée au voisinage de l’emprise fouillée.
Quelques indices dénotent une présence ponctuelle au début de l’Age du Bronze et à la période protohistorique au sens large (céramique principalement), sans que des aménagements y soient clairement rattachables : http://www.paleotime.fr/chandillon-et-cocause-die-drome (y) :-) <3
Feliz cumpleaños a Itziar Merino Matas mais comme il n'y a rien de mégalithique en Visit Dubai, j'en profite pour traiter d'une découverte en breaking news grâce à Pete Missingham qui m'a transmis l'info (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Visit Saudi : l'excavation d'un énigmatique monument de pierre à AIUIa, en Arabie saoudite, offre un nouvel aperçu des rituels et de la culture des peuples de l'ère néolithique. Appelée "mustatil", cette structure est l'un des quelque 1 600 monuments rectangulaires de ce type recensés dans le nord de l'Arabie. Dans le cadre d'un projet quinquennal de The University of Western Australia et de la The Royal Commission for AlUla, les chercheurs étudient un mustatil particulier, datant de -5 000, avec de grandes dalles de grès encerclant une longue cour intérieure.
Dans ce complexe de 140 mètres de long, les archéologues ont identifié 260 fragments de restes d'animaux, à savoir des crânes, des cornes et des dents de bovins domestiques tels que des chèvres et des gazelles. Ces dépôts d'os crâniens supérieurs ont été trouvés groupés autour d'une pierre centrale verticale, appelée "bétyle" (ou "maison du dieu"), ce qui a conduit les chercheurs à penser que la structure avait des fonctions rituelles ou cultuelles. 
« Il semble que des bovins, des chèvres et des gazelles aient été amenés sur le site, éventuellement abattus sur place, puis présentés à ce qui est probablement une représentation en pierre d'une divinité inconnue », a déclaré Melissa Kennedy, archéologue en chef de l'Université d'Australie occidentale, à Archaeology & Arts. 
Selon une étude publiée par l'équipe de recherche, les restes découverts dans le mustatil excavé ne représentent pas seulement la première preuve de la domestication d'animaux dans le nord-ouest de l'Arabie, mais aussi les premiers exemples connus de sacrifices d'animaux dans la région, précédant de près de 900 ans les preuves publiées précédemment.
Bien que toutes les mustatils ne contiennent pas de bétyles, l'équipe a noté que la religion de l'Arabie préislamique a été caractérisée comme un "culte des bétyles", ces pierres représentant un médiateur entre les vivants et le divin. Outre les sacrifices de sang, la tradition comprenait également des chasses et des festins ritualisés.
Une étude au sol de 80 autres mustatils a également révélé des restes d'animaux à peu près contemporains, ce qui suggère que cette même croyance était partagée par les populations néolithiques de toute la région. Les mustatils qui parsèment la zone située entre le nord de l'Arabie et le Rub' al-Khali dénotent donc ce que l'équipe a appelé « l'un des plus anciens et des plus vastes paysages rituels du monde ».
« L'ensemble de ces monuments suggère qu'une grande partie de l'Arabie septentrionale était marquée par des croyances cultuelles et des constructions rituelles similaires, ainsi que par des activités de pèlerinage - un paysage plus connecté qu'à l'accoutumée pour cette période », a déclaré Kennedy. « Cela suggère que notre compréhension de la période néolithique dans la péninsule arabique doit encore être révisée », a-t-elle ajouté : https://news.artnet.com/art-world/mustatil-excavation-alula-saudi-arabia-2271897 de artnet
Bon anniversaire à Yves Billaud du Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines (https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9partement_des_recherches_arch%C3%A9ologiques_subaquatiques_et_sous-marines ; cf. https://www.culture.gouv.fr/Thematiques/Archeologie/Acteurs-formations/Les-services-de-l-archeologie-au-ministere-de-la-Culture/Le-departement-des-recherches-archeologiques-subaquatiques-et-sous-marines du Ministère de la Culture). N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, et vos infos pros avec l'International MegalithicFriend's Association (y)
Sur la presqu’île de la Baie de Quiberon Tourisme, l’alignement de Saint-Pierre-Quiberon compte une quinzaine de menhirs. Sous l’eau, les chercheurs ont montré qu’une cinquantaine de menhirs (d’un mètre cinquante de haut maximum) prolongent l’alignement sur 900 m ! Ils ont été érigés il y vers -4 700. Agnès Baltzer, professeure à l’Institut de géographie et d’aménagement régional de l’Nantes Université, a publié ses recherches dans la revue scientifique Quaternaire : « Variations du niveau marin Holocène en Baie de Quiberon (Bretagne sud) : marqueurs archéologiques et sédimentologiques », https://journals.openedition.org/quaternaire/7201 chez OpenEdition
Les techniques de sédimentologie sous-marine (carottage, sonar et boomer depuis un navire, plongées) ont complété l’approche archéologique : Serge Cassen, directeur de recherche CNRS au Creaah, cosigne l’article. Cette histoire a passionné le public. Imaginez : au pied de certains menhirs, découverts à marée basse, apparaissaient parfois des haches en jadéite verte (pierre polie) :  https://www.espace-sciences.org/sciences-ouest/339/actualite/les-menhirs-engloutis-du-morbihan du Sciences Ouest chez l' Espace des sciences
Plus de 230menhirs ont été retrouvés ces dernières années, sous la mer, entre la Commune de Saint Pierre Quiberon et le CARNAC TOURISME (Golfe du Morbihan). Un grand pas pour les scientifiques qui tentent de percer le secret des mégalithes du Morbihan Tourisme.
En 2007, lors d'une marée à très fort coefficient, un couple de touristes qui pêchait à pied avait découvert quatre haches du néolithique près de la plage de Petit-Rohu, à Saint-Pierre-Quiberon (Département du Morbihan). Dans les mois qui avaient suivi, des prospections menées par Serge Cassen, responsable du laboratoire de Préhistoire de l'Université de Nantes, avaient établi la présence de 45 menhirs d'1,50 m de long, dans le secteur. Poursuivant ses investigations, l'équipe scientifique avait, en 2009, localisé 150 monolithes à Kerbougnec et vingt autres au Petit-Rohu, dans une zone envahie par la mer qui, il y a des millénaires, se trouvait à plus de 500m du rivage. Ces repérages, effectués au sonar, en collaboration avec l'Ifremer et des géologues, avaient été complétés par des plongées sur les sites. Dans des conditions assez difficiles, dues à une visibilité souvent médiocre. 
« Nous sommes persuadés qu'il s'agit du prolongement sous-marin du grand site néolithique du Moulin, à Saint-Pierre-Quiberon », explique Serge Cassen. Selon le scientifique, il ne fait aucun doute que ces pierres monumentales, « très ordonnées et disposées dans des endroits stratégiques », ne présentent pas de similitudes avec le substrat minéral sur lequel elles reposent. Autres indices prouvant qu'elles ont été déplacée s: des vasques d'érosion ont été détectées. Marques indiscutables prouvant qu'elles étaient autrefois au contact de l'air et des précipitations. 
Sous l'eau, ces éléments ne forment pas une haie monumentale de pierres érigées. Car elles se sont couchées sous l'action du sable et des sédiments. « Seul un menhir est encore debout », poursuit l'archéologue du CNRS. Ces menhirs submergés devraient permettre, dans les années à venir, d'établir plus finement l'interprétation des sites mégalithiques qui gardent encore jalousement nombre de leurs secrets. Mais, d'ores et déjà, Serge Cassen avance l'hypothèse que les alignements sur lesquels il a travaillé formaient des barres de stèles. « Pas des files de menhirs entre lesquelles on déambule mais un écran minéral qui barre, qui empêche ou qui filtre le mouvement. Cette mobilité est celle du déplacement des Hommes, des esprits de la Surnature ou des objets virtuels », écrit-il dans une publication, parue il y a deux ans. 
« Dans le secteur de Kerpenhir, nous avons retrouvé une soixantaine de menhirs. Nous sommes persuadés qu'il en existe beaucoup plus. En tout cas, si on se limite aux Alignements de Carnac et autres dolmens, on fait abstraction de 80% des Mégalithes de Carnac et des Rives du Morbihan. Le phénomène est extrêmement étendu. De la ria d'Étel à la presqu'île de Rhuys en GMVagglomeration, une vingtaine de sites ont été inventoriés à terre et en mer ». C'est en les analysant dans leur globalité que l'on trouvera la clé du secret des alignements. Serge Cassen mise aussi beaucoup sur la technique du laser3D, qu'il a utilisée sur le grand cairn de Gavrinis. Elle permettrait de numériser l'image des mégalithes et de mettre en lumière des informations invisibles, jusqu'alors, à l’œil nu : https://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/morbihan-une-foret-de-menhirs-submerges-19-07-2012-1779264.php de Le Télégramme Vannes / Le Télégramme

entre -4 500 et -3 500

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Bon anniversaire à Sylvain Gailloud avec sa photo de l'un des groupes de l'alignement sud dans la Ville d'Yverdon-les-Bains de MyVaud, qui donne envie de Visit Switzerland (y) N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Je laisse évidemment la parole à son très bon site <3 : L’ensemble de menhirs de Clendy est le plus important site mégalithique de Suisse. Le site se trouve actuellement dans une clairière, près du lac. Les 45 menhirs ont été découverts vers 1878, mais ils ne furent dégagés qu’en 1975 et restaurés en 1986.
La taille des menhirs est variée, le plus petit a 35 centimètres de haut est le plus grand a 4,5 mètres. Pour des raisons de conservation, les plus petits blocs ont été déplacés dans le Musée d'Yverdon et région (château d’Yverdon) et des copies en béton sont visibles sur place. La plupart des blocs ont été taillés pour leur donner une forme humaine ou géométrique. Les blocs les plus anciens ont été datés du néolithique moyen (4500-4000 ans avant notre ère) après comparaison avec les menhirs gravés de Bretagne. L’ensemble est composé de deux alignements de 50 mètres et de quatre groupes formant un arc de cercle : http://www.archeoplus.ch/fr/archeo/yverdon/yver-fr-index.htm (y) :-) <3
Commune de l'Etat de Vaud, chef-lieu du district du Jura-Nord vaudois en Suisse., à l’extrémité ouest du lac de Neuchâtel, à l'embouchure de la Thielle et au bout de la plaine de l'Orbe, la continuité de l'occupation du site d'Yverdon-les-Bains Region depuis la Préhistoire résulte de sa position remarquable au carrefour des voies terrestres et des voies navigables, sur le lac et sur la Thielle. Au travers de la plaine marécageuse, la voie conduisant du Moyen Pays aux contreforts du Jura pouvait emprunter les formations naturelles des cordons littoraux, lignes de rivage formées au gré des variations du niveau du lac.
Sur le cordon le plus ancien, daté de la fin du IXe millénaire av. J.-C., les populations néolithiques ont érigé, au IVe millénaire av. J.-C., le plus grand ensemble de mégalithes de Suisse (Promenade des Anglaises, 45 menhirs anthropomorphes), dont les alignements avaient probablement une fonction cultuelle. Aux alentours, plusieurs stations littorales ont été découvertes; les premières occupations remontent à 3860 av. J.-C. (Néolithique moyen) et les dernières au début du Ier millénaire av. J.-C. (Bronze final). L’ensemble des sites de la Baie de Clendy fait partie des 56 stations littorales de Suisse inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/002659/2019-04-03
Le vaste ensemble de sites littoraux de la Baie de Clendy se trouve proche de la ville d’Yverdon-les-Bains. Il s’agit de l’un des complexes palafittiques les plus importants de Suisse occidentale: pas moins de six villages furent occupés entre le Néolithique moyen et l’âge du Bronze ancien, avec des interruptions dues à la remontée du niveau des eaux. Les premières découvertes de vestiges d’habitats palafittiques n’intervinrent que dans les années 1960, soit près d’un siècle après la première correction des eaux du Jura (1868-1891). Ce retard est dû à l’enfouissement considérable des niveaux archéologiques et à l’absence de structures apparentes dans la zone lacustre immergée.
La première fouille eut lieu en 1962, à l’Avenue des Sports, sur une surface de 200 m², avant la construction d’un garage. A la suite de ces découvertes, des fouilles systématiques furent entreprises, qui se poursuivirent lors de plusieurs campagnes entre 1969 et 1975, réalisées en collaboration avec l'Archäologisches Museum Colombischlössle. Au total, neuf phases furent mises en évidence et révélèrent une stratigraphie exceptionnelle, du Néolithique moyen à la fin du Néolithique final, qui représente depuis lors une séquence de référence, basée sur la typologie de la céramique, pour le Néolithique du Jura & Trois-Lacs.
La stratigraphie globale du site témoigne de la superposition des occupations humaines, entre le Néolithique moyen tardif et le Bronze ancien. Plusieurs interruptions de l’habitat sont documentées et interprétées comme des transgressions du lac. Ainsi, à un premier habitat du Cortaillod tardif interrompu par une inondation violente succéda un établissement de la culture de Lüscherz, qui a livré un très riche outillage de bois de cerf. Le village se déplaça ensuite vers le lac, à la fin du Néolithique final, mais il fut à son tour abandonné à cause d'une forte inondation. Enfin, au Bronze ancien, un nouveau village s'implanta exactement à l’emplacement du site du Cortaillod tardif.
D’une part, plusieurs cordons littoraux, anciennes lignes de rivage qui s’échelonnent du lac vers la ville ancienne, jalonnent les différentes phases d’habitat et marquent une quasi continuité dans l’occupation du territoire. Le plus ancien cordon littoral, côté lac, est daté du 4e millénaire av. J.-C. C’est sur cette formation riveraine qu’a été érigé l’un des plus grands sites mégalithiques de Suisse occidentale. Ce lieu cultuel et symbolique, regroupant 45 mégalithes anthropomorphes à la Promenade des Anglaises, est apparemment en relation avec les premiers établissements littoraux, soit ceux du Néolithique moyen, vers 3860 av. J.-C. La Baie de Clendy connut des occupations palafittiques jusqu’à l’âge du Bronze final, soit vers 1000 av. J.-C.
D’autre part, la situation géographique de cet ensemble de sites, au carrefour de plusieurs domaines culturels, entre le bassin lémanique, la région des Trois-Lacs et le Jura qui donne accès à la plaine de la Saône, vit se diversifier de nombreux groupes de peuplements qui ont fait la richesse de l’ensemble de la Préhistoire du Plateau suisse, dont certains objets sont exposés/conservés au Musée cantonal d'archéologie et d'histoire/Lausanne : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/058023/2019-04-03
Bon anniversaire à Anouk Mathieu, ex de l'Université Paul Valéry - Montpellier, avec le seul mégalithe restant en Visit Luxembourg, ici le menhir de Beisenerbierg, de 3 mètres de haut au sommet d'une colline. Comme https://www.mersch.lu/sport-tourisme/mersch-et-ses-alentours de l'Administration communale de Mersch et https://www.visitguttland.lu/fr/fiche?entity=menhir de Visit Guttland sont courts en infos malgré l'importance de ce monument pour le grand duché, voici de quoi améliorer leur page ;-)
Le menhir de Reckingen (aussi dénommé menhir de Beisenerbierg) situé près de la localité de Reckange est le plus ancien monument et l'unique mégalithe authentifié au Luxembourg à ce jour. Pendant plusieurs siècles, le monolithe était enseveli en position couchée à 30 mètres au sud-ouest de sa position actuelle. La chute du monolithe peut s'expliquer par sa forme asymétrique et une structure de calage inadéquate. Il fut dégagé et dressé en 1978 sur son emplacement actuel. Des fouilles menées en 2001 et la découverte d'une structure de calage ont permis de démontrer qu'il était à l'origine dressé à l'endroit de sa découverte initiale. 
Composé de grès avec une haute teneur en oxyde de fer et provenant sans doute d'un gisement local, long d'environ 3 mètres et présentant une masse d'environ 3,5 tonnes, le menhir possède une forme anthropomorphe ou à silhouette humaine et est dépourvu d'inscription. Une copie du menhir est en exposition au Musée national d'histoire et d'art Luxembourg (MNHA) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Menhir_de_Reckingen
Cette pierre de 3 m de longueur est en grès de Luxembourg, roche exogène dont les affleurements les plus proches sont à près de 2,5 km. Sa forme évoque une silhouette humaine, suggérée par un rétrécissement à la taille et par deux épaulements dégageant une tête, morphologie obtenue par l’enlèvement intentionnel de gros éclats alternes. Des rapprochements morphologiques peuvent être tentés avec certaines pierres dressées anthropomorphes non gravées et à tête dégagée du Centre-Ouest français ou certaines statues-menhirs des alignements et hémicycles de Clendy dans la Ville d'Yverdon-les-Bains dans le canton de Vaud en Suisse. Dans le premier cas, il s’agit d’alignements courts datés, par le mobilier associé et des datations radiocarbone, du début du Néolithique récent (fin du -IVè millénaire). Pour le second site, une attribution chronologique au Néolithique moyen II (première moitié du -IVè millénaire) a été proposée. Dans un autre contexte, funéraire cette fois, d’autres rapprochements peuvent être établis avec des stèles anthropomorphes, présentes dans les monuments mégalithiques armoricains considérés comme les plus anciens (Guennoc, Kercado), constituées de blocs dont la silhouette est sommairement ébauchée par un épaulement séparant le corps de la tête. Ces dernières représentations sont attribuées à la première moitié du -Vè millénaire.
Si ce type de monument est connu dans les régions voisines (Lorraine, Rheinland-Pfalz, Sarre et Wallonie), il s’agit du premier menhir découvert sur le territoire luxembourgeois : infos de François Valotteau dans https://www.academia.edu/2454735/Origine_et_d%C3%A9veloppement_du_m%C3%A9galithisme_de_l_ouest_de_l_Europe_800p
Voir aussi les photos du Museumsfreak und Hobbyfotograf dans https://www.facebook.com/media/set/?set=a.1763163254024148&type=3
{Photos de Jean-Marie Ottelé dans https://www.industrie.lu/menhir.html chez industrie.lu - D'Industriegeschicht vu Lëtzebuerg}
Buon compleanno a Giulia Ricci avec sa photo de la table … du mont d'Accoddi, un site archéologique mégalithique situé en Sardaigne entre Sassari et Porto Torres. Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
La première phase de construction est sans doute contemporaine de la culture d'Ozieri, entre -4 300 et -3 700.
Le site est unique en son genre dans le bassin méditerranéen. Précédé par des traces de fréquentation se rapportant à l'époque néolithique, il faisait partie d'un ensemble d'époque pré nuragique qui a été développé sur le lieu à partir de la deuxième moitié du -IVe millénaire. 
La première phase a vu l'établissement de villages composés de cabanes quadrangulaires appartenant à la culture d'Ozieri, d'une nécropole constituée de tombes à hypogée à domus de janas, un probable sanctuaire avec menhir, des plaques en pierre pour les sacrifices ainsi que des sphères en pierre. 
Par la suite, des individus appartenant toujours à la culture d'Ozieri ont construit une ample plateforme surélevée à forme de tronc de pyramide de 27 × 27 m et d'une hauteur avoisinant 5,5 m accessible par une rampe. Sur la plateforme a été érigée une vaste pièce rectangulaire mesurant 12,5 × 7,2 m qui a été identifiée par les archéologues comme une structure templière, connue comme « Temple Rouge » pour la simple raison que la majeure partie de sa surface est de couleur rouge ocre. Néanmoins il y a aussi des traces de couleur jaune et noire. 
Au début du -IIIe millénaire le lieu a été probablement abandonné, des traces d'incendie ont été relevées. Vers l'an -2 800 la structure a été complètement recouverte de remblais constitués de couches alternées de terre, de pierres ainsi que de marne en poudre tassée. Le remblai est retenu par un revêtement extérieur réalisé à l'aide de grands blocs calcaires créant de fait une seconde plateforme pyramidale à gradins de 36 × 29 × 10 m accessible à l'aide d'une seconde rampe de 41,80 m de long, construite au-dessus de l'ancienne. Ce deuxième sanctuaire, connu sous le nom de « temple à Gradins » qui rappelle les ziggurats mésopotamiennes contemporaines est attribué à la culture d'Abealzu-Filigosa.
L'édifice a conservé sa fonction religieuse durant des siècles et a fini par être abandonné à l'âge du bronze antique. Vers l'an -1 800 en ruine, il a été utilisé accessoirement pour des inhumations : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_d%27Accoddi
Bon anniversaire à Loïc Androuin :-) N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) L'Alignement du Camp de la Justice à Vivre à Autun / Autun Morvan Tourisme est un ensemble de trente menhirs (plus important ensemble mégalithique connu en Bourgogne, aligné au Nord-Est sur 250 m à partir de ces 3 pierres visibles, cf. plan dans le pdf, p. 22) de 1 à 2,50 m de hauteur, dont il paraît très difficile de dire s’ils étaient alignés avant d’être relevés, puis réenfouis au XIXè siècle à la demande du propriétaire du terrain. Ces monolithes semblent avoir formé trois rangées sur une longueur de 200 mètres environ et 15 à 20 mètres de large. Les premiers affleurements de granite seraient distants de huit kilomètres et les blocs observés sur le site présenteraient des cupules. Le Néolithique moyen (-4 400 / -3 600) reste la période la plus souvent évoquée : https://www.persee.fr/doc/linly_1160-641x_1885_num_4_1_11720, https://shs.hal.science/halshs-00664686/file/TAP_Martineau_et_alii.pdf du CNRS, Université de Bourgogne, Université de Franche-Comté, http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=9135
Yannick Labaune précisait qu'un géologue allait sonder en juillet 2019 ces vestiges probablement miniers longtemps pris pour des tumulus néolithiques et situés à proximité des mégalithes du Champs de la Justice : https://journals.openedition.org/rae/5925
L’ensemble mériterait une réétude même si la stratigraphie a semble-t’il été bien bouleversée avec cette opération de relevage puis re enfouissement des pierres au XIXe s. (Merci M. Rigollot 😬) suite au coup de gueule du proprio du terrain à qui on avait rien demandé... Un coup de géophysique ne serait pas idiot si jamais une méthode permet la mise en évidence de la position des mégalithes re enfouis. Bref un super site avec un ensemble important d’outils lithiques. Et éloigné d’à peine 3 km d’une belle enceinte néolithique finale fouillée le même été ! Enceinte à côté de laquelle s’élevait aussi un menhir dit de Pierrefitte (récupéré au XIXe s. pour intégrer une maçonnerie dans une ferme du coin).
Bon anniversaire à Hervé Chauvin :-) N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y)
Les menhirs de Kernars sont deux menhirs situés à Saint-Barthélemy, en Baud Communauté. Sis sur une terrasse alluviale à environ 500 m au nord-est de la rivière du Blavet (encore elle, cf. https://www.facebook.com/photo/?fbid=179438198252256&set=a.115755531287190), ces menhirs sont distants d'environ 6 m. 
Le plus grand des deux menhirs mesure environ 4,20 m, pour une largeur maximale de 2,90 m et une épaisseur à la base de 0,75 m. Le deuxième mesure environ 3,20 m de hauteur, 2,30 m de largeur maximum et 0,70 m d'épaisseur. Ils sont orientés nord-ouest/sud-est mais légèrement désaxés l'un par rapport à l'autre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Menhirs_de_Kernars et https://valleedublavet.bzh/decouvrir/geants-de-pierres-menhirs-et-dolmens/291-menhirs-de-kernars-a-saint-barthelemy.html de la Vallée du Blavet, l'échappée verte
Une voie romaine menant à la Mairie de Pluméliau-Bieuzy / Castennec, l'ancienne Sulim, traverse la commune en passant par Talforêt, à Tylosquet et au Henven : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Barth%C3%A9lemy_(Morbihan)#Histoire

entre -3 500 et -3 000

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
MERCI (y) : plus de 100 fans en pile une semaine, la synthèse du Megalithic Parc qui marche bien sur https://www.academia.edu/86353206/_SYNTHESE_Megalithic_Parc_un_concept_innovant_alliant_vestiges_pr%C3%A9historiques_et_reconstitutions_historiques, de très bons contacts, glop glop <3
Je ne sais pas si le Musée Fenaille l'a prêtée pour l'expo « Statues-menhirs. Miroirs de pierre du Néolithique » (07/10/22-06/03/23 : https://museearcheo.montpellier3m.fr/evenements/7-octobre-2022-6-mars-2023-exposition-statues-menhirs-miroirs-de-pierre-du-neolithique) du Site archéologique Lattara - Musée Henri Prades, mais voici en cadeau la fameuse statue-menhir de la Dame de Saint-Sernin, restituée en 3D par IMA Solutions (https://sketchfab.com/3d-models/statue-menhir-dite-dame-de-saint-sernin-24d10dc42bc64fb1bd94ea88f3cdeba3) !
Честит рожден ден на Tosho Spiridonov avec une des rares statues-menhirs trouvées ces dernières années en Bulgaria Tourism : plus récente que celles chalcolithiques de Kemi Oba, elle date de l'Âge du Bronze (in which museum can we see it ???). Ses sculpteurs sont peut-être des proto-sardes errant dans la péninsule balkanique et les îles égéennes avant de rejoindre les autres en Sardaigne ou d'être absorbés par les tribus indo-européennes migrantes apparues à la fin du Bronze et au début de l'Âge du Fer ! If someone know more about this hypothesis …
{Photo et infos de Ivo Filipov : THANKS A LOT (y) }
Buon compleanno a Antonio Forria avec sa photo d'un duo de statues-menhirs du Menhir Museum - Museo della Statuaria Preistorica in Sardegna, dans la Comune di Laconi, OristanoTurismo, Sardegna Turismo (y) :-) <3
вітаю з днем ​​народження та МУЖНІСТЬ Ihor Starenkyi avec l'Idole de Kernossov exposée au Дніпропетровський національний історичний музей ім. Яворницького : https://en.wikipedia.org/wiki/Kernosivsky_idol
Je laisse la parole au grand gens Jean, Guilaine, dans son cours au Collège de France sur « Civilisations de l’Europe au Néolithique et à l’Âge du Bronze : Stèles anthropomorphes, statues et sociétés de la Préhistoire récente » <3 ! « Essentiellement réparti en Ukraine, mais présent accessoirement en Bulgarie, Grèce, Roumanie, le groupe dit « nord-pontique » comporte, en fait, deux productions distinctes. D’une part, de très nombreuses stèles rectangulaires ou trapézoïdales, très peu décorées (« seins », ceinture, « pieds »). Attribuées à la culture de Kemi-Oba, elles ont été pour beaucoup réutilisées par les populations de la culture indo-européenne de Yamnaya, plus pastorales, qui les ont intégrées à leurs tombes sous tertre (kourganes). 
D’autre part, un groupe restreint de statues-menhirs, parmi lequel on a cherché à établir une typologie centrée sur les monuments de Crimée : type de Natalevka (tête peu proéminente, bras plaqués sur la poitrine, mains ouvertes, doigts écartés, présence d’armes, « clavicules » et « semelles » dans le dos) ; type de Kazanki (tête plus dégagée, arrondie, bras croisés sur l’estomac, instruments d’autorité ou armes, « semelles ») ; type de Tiritaki (tête peu dégagée, bras convergents vers le ventre, mains très grandes, présence, contrairement aux types précédents, de stèles féminines). Cette classification n’est qu’assez peu satisfaisante en raison de la mixité de certains caractères, propres à divers types. D’autre part, plusieurs stèles du Bas-Danube (Ezero, Varna, Contea di Tulcea) présentent de nettes affinités avec les stèles de Crimée ou s’en détachent par d’autres aspects (cf. ceinture « à boucle »). Certains monuments plus méridionaux (Soufli-Magula, Troie) sont à déconnecter des monuments précédents.
On ne perdra pas de vue que la typologie élaborée pour le groupe pontique est en grande partie conditionnée par la problématique indo-européenne : chaque variété de stèle correspondrait, selon D. Telegin, à une « fonction » précise. On reconnaîtrait ainsi des sujets à fonction religieuse (comme la célèbre statue de Kernosovo, surchargée d’attributs étranges et supposée représenter un sorcier ou un chaman), des personnages dont les armes traduiraient la souveraineté ou la fonction guerrière, enfin des stèles de producteurs, à l’iconographie limitée. En fait la difficulté à faire entrer les diverses statues répertoriées dans un type précis enlève beaucoup de fiabilité à l’argumentation. D’autre part rien ne dit qu’au -IVè millénaire, l’évolution sociale permette de distinguer de façon nette, en Europe, des paysans, des prêtres et des guerriers « à plein temps ». Toutefois un tel découpage peut déjà exister sous l’angle idéologique. Le manque de contextes archéologiques sérieux (la plupart des stèles ont été trouvées en position secondaire) ne permet guère d’historiciser à partir de la documentation disponible. On peine aussi à déchiffrer le sens de certaines figurations (par exemple les animaux de la stèle de Kornosovo et encore les « semelles », assez fréquentes, et qui pourraient se retrouver jusqu’en Grèce sur la statue de Soufli-Magula) : https://www.college-de-france.fr/media/jean-guilaine/UPL1010858150626175453_res._2002_2003.pdf
Bon anniversaire à Florence de Martino de La Dépêche du Midi / La Dépêche du Tarn, Le Progrès, Le Tarn libre, avec la Statue-Menhir du Laouzeto / Lauzeta / Rouiregros (la « lauze » signifiant la pierre : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=34526), statue masculine en granit local trouvée à quelques mètres de son emplacement en 2005 à Nages dans la Communauté de Communes Monts de Lacaune et Montagne du Haut Languedoc / Tourisme Monts & Lacs en Haut-Languedoc du Parc naturel régional du Haut-Languedoc, qui porte des traces très érodées d’objet et de ceinture. Insolite : elle profite à présent d’une vue remarquable sur le Lac du Laouzas et son barrage (y) Je ne sais pas et malheureusement je n'ai pas le temps là de vérifier, mais j'imagine qu'elle doit être intégrée dans la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie, sachant qu'on a aussi retrouvé "dernièrement" une autre statue-menhir non loin (http://archeologietarn.fr/wp-content/uploads/2016/02/3-at4-statue-nages.pdf, presque du Conseil Départemental d'Archéologie du Tarn), preuve que Nages était un lieu important vu le nombre de ces œuvres du Néolithique dans les environs immédiats : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSiteProche.aspx?NumSite=34526&Page=Proche
{Photo et infos de Vos vacances dans le Tarn dans https://www.tourisme-tarn.com/patrimoine-culturel/statue-menhir-du-laouzeto}
Bon anniversaire à Thorulf Alrikson avec ses photos de statues-menhirs (https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid028Y7ewKe2aHCGWkgitiEFchfdrsns2AchqdZ6JrAZhe5n6HsivbrBafdvzzTX552ol&id=100014603955735) tout à fait raccord avec l'expo actuelle qui leur est consacrée au Site archéologique Lattara - Musée Henri Prades : https://www.facebook.com/photo/?fbid=115882684607808&set=a.105318368991287
En plus, dimanche 4 décembre, y a visite guidée gratuite « tout ce que vous auriez aimé savoir sur les statues-menhirs sans jamais oser le demander » avec Jean-Philippe Savignoni au Musée Fenaille à 14h30 (y)
En fait, pour un projet de reconstitution d'un personnage du Chalcolithique possiblement représenté sur les menhirs anthropomorphes de la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie (notamment du Tourisme Monts & Lacs en Haut-Languedoc), il recherchait des informations sur les périodes fin Néolithique/Chalcolithique : qu'est-ce que ça a donné au final ? T'as trouvé ton bonheur ?? On peut en voir quelque chose ??? :-)
Bon anniversaire à Jean-philippe Savignoni du Musée Fenaille, qui propose dimanche 4 décembre, comme tous les 1er dimanche du mois, la visite guidée gratuite « tout ce que vous auriez aimé savoir sur les statues-menhirs sans jamais oser le demander » à 14h30 (y) Là ils font la dernière mise en place en rapatriant au chaud la Peyro-Lebado, appelée aussi statue-menhir de Lacaune, ou statue-menhir de la Pierre plantée ou encore statue-menhir de Thioys, une statue-menhir appartenant au groupe rouergat située près de la Ville de Lacaune les Bains, dans le Tourisme Monts & Lacs en Haut-Languedoc et faisant partie de la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie <3
Vers 1821, un officier du génie pratique une fouille infructueuse à son pied, ce qui entraîne une inclinaison de la pierre. En 1822, une seconde pierre est découverte lors de labours à l'est-sud-est de la Pierre plantée, près du Trou de l'Avent (Avenc). Cette seconde statue-menhir, parfois confondue avec la Pierre plantée, fut brisée en deux parties et réutilisée au moulin de Leucate à Lacaune, elle est désormais connue désormais sous le nom menhir de Laucate. En 1825, la Pierre plantée menace de s'effondrer et il est proposé de la redresser et le Préfet du Tarn autorise sa consolidation en 1826 mais, en 1862, dans le bulletin de la société littéraire et scientifique de Castres elle est toujours mentionnée comme très inclinée et en 1865, elle est signalée comme renversée ! Elle est classée au titre des monuments historiques par arrêté du 17 septembre 1883 et redressée par la commission archéologique du Tarn fin 1883/début 1884. L'abbé Hermet l'identifie comme une statue-menhir en 1898 !
C'est la deuxième plus grande des statues-menhirs d'Europe (la statue-menhir del Pla de les Pruneres découverte en Catalogne mesure 4,90 m de hauteur : https://www.facebook.com/photo/?fbid=117014147827995&set=a.114277124768364). Elle est constituée d'une grande dalle en granite mesurant 4,50 m de hauteur (3,44 m hors sol), 1,84 m de largeur et 0,67 m d'épaisseur. Son poids est estimé à 9,3 tonnes. L'érection de cette pierre a nécessité des travaux importants : la roche locale étant du schiste, la pierre a été déplacée de plus de 3 km depuis le plus proche site d'extraction de granite, sur un terrain accidenté. 
Les deux faces sont plates et la pierre pourrait avoir été choisie pour cette raison mais la face principale étant très plane la pierre a peut-être été retravaillée. Deux encoches visibles à environ 0,20 m au-dessus de la ceinture pourraient correspondent à des traces laissés par les travaux de son redressement. C'est une statue-menhir masculine. Son décor gravé est pratiquement complètement effacé par l'érosion naturelle mais on peut encore y distinguer des caractères anthropomorphes (visage, bras, mains, jambes et pieds) et des attributs (ceinture avec boucle décorée de chevrons, baudrier, vêtement, l'anneau de « l'objet ») : https://fr.wikipedia.org/wiki/Peyro-Lebado
Voir aussi https://www.tourisme-tarn.com/patrimoine-culturel/statue-menhir-la-pierre-plantee-peyro-levado de Vos vacances dans le Tarn
J'ai gardé le/la meilleur(e), la plus belle, pour la fin/faim :-p BON ANNIVERSAIRE donc à Planplan Cosset 😘 , AMIE de piercing fait à mon tiers,333 de siècle le jour de ma fête (pas celle du saint avec 2 t, l'apôtre MaTThieu du 21 septembre, même si j'ai bien une chaîne au tété du sein gauche ;-) ), celle de la zik (cf. https://www.facebook.com/media/set/?set=a.105626612291819&type=3 <3 qui se remplit petit à petit) (y) :-) <3 Il en pousse de sacrés trucs dans son potager, même la statue-menhir de Serre-Grand (hauteur : 0,8 m ; largeur : 0,38 m ; profondeur : 0,13 m) :-o … sachant qu'elle aurait donc du être exposée au Musée Fenaille (qui fait demain visite gratuite à ce sujet, cf. https://www.facebook.com/photo/?fbid=132076859655057&set=a.127746213421455) plutôt qu'au Musée d'Archéologie nationale et Domaine national de Saint-Germain-en-Laye :-( , mais au moins on peut en voir une réplique sur site près du Comité des fêtes de Rebourguil sur la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=34853
Cette stèle gravée sur ses deux faces, datée de la seconde moitié du -IIIe millénaire, a été retrouvée à Serre-Grand, sur le territoire de la commune de Rebourguil, Communauté de Communes Monts, Rance et Rougier du Tourisme Rougier Aveyron Sud dans le Parc naturel régional des Grands Causses en Tourisme Aveyron. Cette région de Voyage Occitanie a livré de nombreuses stèles du même type. Leur découverte remonte à la fin du XIXe siècle, lorsque l'abbé Hermet (1856-1939) commence à s'intéresser à un bloc sculpté trouvé en 1888 sur le chemin vers la Mairie de Saint Sernin Sur Rance, bientôt baptisé La Dame de Saint-Sernin (https://www.facebook.com/photo/?fbid=106514022205055&set=a.106514135538377). D'autres sculptures du même type seront identifiées par la suite, notamment dans la Communauté de Communes du Minervois au Caroux, Tourisme du Minervois au Caroux des Plaisirs d'Hérault exposées au Musée de Préhistoire Régionale et dans la Communauté de Communes Monts de Lacaune et Montagne du Haut Languedoc, Tourisme Monts & Lacs en Haut-Languedoc de quoi égayer Vos vacances dans le Tarn, cf. l'expo dédiée au Site archéologique Lattara - Musée Henri Prades : https://www.facebook.com/photo/?fbid=115882684607808&set=a.105318368991287. Ce premier ensemble, constitué de 120 pièces, est désormais connu sous le nom de « groupe rouergat » (c'est-à-dire provenant du Rouergue, du pays des Bastides et Gorges de l'Aveyron). Malgré les études de l'abbé, une datation précise est difficile à établir car toutes ces stèles ont été découvertes hors contexte archéologique.
D'autres recherches menées sur des sites archéologiques français, européens, voire sur d'autres continents, révèlent l'existence de statues aux formes similaires. Elles sont réparties principalement en Europe occidentale, sur le pourtour méditerranéen et en Asie centrale [que l'Agence Photo RMN Grand Palais nous montre avec une œuvre de Syrie, ce qui va bien faire marrer le Musée du Louvre où elle est exposée, sauf que la photo n'est ni légendée ni créditée 🧐 , pas comme chez moi 😎 : https://www.facebook.com/photo/?fbid=124080263788050&set=a.106514135538377 🤣]. Les plus anciennes, taillées un peu plus grossièrement, datent du -IVe millénaire : avant que je les rapatrie ici par époque, voyez https://www.facebook.com/media/set/?set=a.876750972380816&type=3
Dès les premières études qu'il leur consacre, l'abbé Hermet désigne ces pierres sous le nom de « statue-menhir ». Ce terme est en effet utilisé pour la première fois en 1898, dans un article que l'abbé publie dans le Bulletin archéologique. Toutes ces stèles sont anthropomorphes. Elles sont soit gravées, soit sculptées sur leurs deux faces. Même s'il est parfois très schématique, le visage est représenté, indiqué par les yeux et le nez la bouche, elle, est rarement figurée. Quelques accessoires permettent d'identifier le sexe du personnage représenté : une arme de type poignard ou un arc et une flèche accompagnent souvent la représentation schématique d'un personnage masculin, tandis qu'un personnage féminin peut être identifié à la représentation sommaire de son anatomie (cercles gravés pour les seins, longue chevelure soulignant la silhouette) ou au port d'un collier. Néanmoins, qu'il s'agisse d'un personnage masculin ou féminin, le torse est généralement souligné d'une ceinture.
Dans le cas de la statue-menhir de Serre-Grand, le personnage représenté est sans doute à l'origine un homme, jambes droites et bras repliés sur le torse, les doigts de chaque main parfaitement indiqués, modifié par la suite en figure féminine : le baudrier qui accompagnait peut-être l'homme aurait été « effacé » et remplacé par des seins. Le visage porte en outre des traces de striures, correspondant vraisemblablement à des scarifications.
Malgré leur grande répartition géographique, les stèles anthropomorphes gravées ou sculptées montrent une véritable parenté stylistique. Elles ont été créées au Néolithique (vers -3500/-2200), période de profonds changements dans les activités humaines. Le développement de l'agriculture et, bientôt, les débuts de la métallurgie transforment les modes de vie. Dans le Département de l'Aveyron, ces statues-menhirs ne semblent pas érigées près d'habitations ou de sépultures, mais plutôt au cœur d'épaisses forêts. Il faut également souligner que le grès dans lequel la statue-menhir de Serre-Grand a été réalisée est une roche allogène, c'est-à-dire qu'elle ne provient pas de là où la sculpture a été érigée. Il y a donc une recherche et une volonté d'utiliser des pierres particulières, y compris au prix de grandes difficultés (car ces menhirs peuvent peser très lourd, 90 kg pour les plus légers…). La fonction de ces stèles anthropomorphes ne peut être précisément déterminée. S'agissait-il de représentations de divinités, d'ancêtres tutélaires ? Voyez sa restitution 3D et la vidéo dédiée à ces beautés dans https://panoramadelart.com/analyse/statue-menhir du Grand Palais - RMN (Officiel) (y) :-) <3
को जन्मदिन की शुभकामनाएं பாரதி avec sa magnifique et exceptionnelle photo d'une statue-stèle masculine portant un baudrier et un poignard, figurine de l'Arabie préislamique (ils l'appellent « Jahiliyyah ») du -IVè millénaire <3, trouvée à Qaryat al-Kaafa, près de Ha’il (Arabie saoudite) et là exposée au 국립중앙박물관 (Séoul) :-o et le reste du temps à Riyad au Musée national.
Cette stèle en grès est dite anthropomorphique, c’est-à-dire qu’elle a l’apparence d’un être humain. Ici, il s’agit d’un homme debout, qui mesure environ un mètre. La stèle est sculptée des deux côtés mais l’accent est mis sur la face antérieure, notamment sur le visage, le buste et les hanches. Le visage, très schématique, montre des yeux rapprochés et un nez droit conférant au personnage une expression énigmatique. La tête, de forme trapézoïdale, repose directement sur les épaules. Sur le torse, on remarque un collier, ainsi que deux cordelettes en travers du corps. Les hanches, elles, sont soulignées par une ceinture sur laquelle est accroché un poignard à double lame. Tous ces éléments permettent d’affirmer qu’il s’agit d’une représentation de guerrier.
Cette stèle date du -IV millénaire, et fait partie des premières œuvres réalisées dans la péninsule Arabique. C’est l’une des plus anciennes représentations humaines. On a retrouvé un grand nombre de ces stèles à travers toute la péninsule. Elles semblent avoir eu un rapport avec les premiers sanctuaires de cette période. Certaines étaient exposées à la vue de tous, tandis que d’autres étaient enterrées avec les défunts. Compte tenu des lieux où elles ont été découvertes (sanctuaire en plein air ou dépôt funéraire), les scientifiques supposent que les stèles anthropomorphes étaient probablement associées à des pratiques religieuses et funéraires.
L’installation des premiers Hommes en Arabie s’est faite dès le Paléolithique inférieur, il y a plus d’un million d’années. Venu d’Afrique, l’Homo erectus a probablement emprunté des voies terrestres mais a aussi pu traverser la mer Rouge. On connaît peu de sites datant de cette période, en revanche, leur nombre augmente au -VIIè millénaire (Holocène), témoignant d’un regain d’activité à cette période. Il y a 10 000 ans au Moyen-Orient, les sociétés préhistoriques connaissent des transformation majeures du fait de l’élevage. Néanmoins, le modèle des chasseurs-cueilleurs qui prédominait dans la région jusque-là continue de perdurer en Arabie, ce n’est que plus tard que le mode de vie sédentaire est adopté complètement. À cette période, la culture matérielle est dominée par l’industrie lithique. La découverte d’outils taillés dans la pierre souligne l’importance de la chasse sur toute la péninsule.
Au -IVè millénaire, l’entrée de la péninsule Arabique dans l’Âge du Bronze transforme profondément les sociétés grâce à l’utilisation du métal. Les paysages sont ponctués par une architecture de pierre brute, des milliers de tombes s’élevant à plus de deux mètres au-dessus du sol. En parallèle de ces tombes, se créent des sanctuaires où l’on a retrouvé de nombreuses statues-menhirs et stèles anthropomorphes.
Lire aussi https://www.connaissancedesarts.com/monuments-patrimoine/archeologie/les-routes-darabie-devoilees-au-louvre-1114465 de Connaissance des Arts et https://www.lexpress.fr/culture/art/3-choses-a-savoir-sur-routes-d-arabie_917395.html de L'Express lors de son passage au Musée du Louvre <3 or read http://www.alaintruong.com/archives/2018/11/10/36855796.html from Alain Truong and https://www.voanews.com/a/roads-of-arabia/1554106/p1.html from Voice of America during its passage in the Smithsonian National Museum of Asian Art (y)
{Infos du Louvre Abu Dhabi dans https://www.louvreabudhabi.ae/-/media/learn/learning-resources/roads-of-arabia/louvre-abu-dhabi_roads-of-arabia_educators-guide_fr.pdf}
Bon anniversaire à Omar Nusseyr avec la statue-menhir des Vidals, appartenant au groupe rouergat, découverte près de la Ville de Lacaune les Bains, dans la Communauté de Communes Monts de Lacaune et Montagne du Haut Languedoc … pas la peine de la chercher sur la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie lors de Vos vacances dans le Tarn, elle est visible au Zoo de Montpellier - officiel : https://www.facebook.com/zoomontpellier/posts/la-statue-menhir-des-vidals-au-parc-de-lunaretbien-que-le-site-du-parc-de-lunare/1178864325601534 
J'en aurais bien profité pour vous signaler l'expo sur les statues-menhirs actuellement au Site archéologique Lattara - Musée Henri Prades dans Montpellier Méditerranée Tourisme, mais comme c'est des handicapés du like malgré toute la pub que je leur fait :-( … à l'époque de LP qui est parti au Musée cantonal d'archéologie et d'histoire/Lausanne c'était autrement plus pro (y), donc voilà en son souvenir [avec les Musées de Lausanne et Pully ça vient juste de liker une info de ma part en lien avec son expo « Sur les bords de la Mer Noire » (https://www.facebook.com/photo/?fbid=776217550457137&set=a.718591479553078), sachant que j'avais posté sur mon profil un magnifique tableau d'une tombe royale scythe dans le coin (https://www.facebook.com/photo/?fbid=138368119017668&set=a.106684165519397) : j' <3 quand les grands esprits se rencontrent (y) ] le post avec tous les liens qui vont bien : https://www.facebook.com/photo/?fbid=115882684607808&set=a.105318368991287
Elle a été découverte en 1896 par l'abbé Hermet près du hameau des Vidals sur une pente du Puech de la Malo. Elle a été gravée sur une dalle de granite qui mesure 2,55 m de hauteur sur 1,30 m de largeur et 0,30 m d'épaisseur. Elle fait partie du sous-groupe des Monts de Lacaune, daté pour être large entre -3 300 et -2 600 (soit du début du Néolithique final des Ferrières au début du Chalcolithique des Fontbouisses) : https://www.persee.fr/doc/galip_0016-4127_2011_num_53_1_2490
La statue est complète mais usée. Sur la face postérieure, une tentative de débitage d'une meule est très nettement visible. C'est une statue masculine. Le visage, délimité par un bourrelet, est pratiquement complet (un œil, nez, tatouages) ; les bras, les mains, les jambes jointes et les pieds sont visibles. Le personnage porte un baudrier, « l'objet » avec un décor de chevrons, une hache, une ceinture à boucle avec un décor de chevrons dirigés vers la droite côté verso et sans aucun décor côté verso : https://fr.wikipedia.org/wiki/Statue-menhir_des_Vidals
Elle provient du même endroit que la Pierre Levée (http://www.t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=9367). Elle a été offerte à la Ville de Montpellier (qui ne s'occupe pas vraiment de valoriser ce monument comme il le mérite :-( ) il y a une centaine d'années par un prêtre du Tourisme Monts & Lacs en Haut-Languedoc. Cette statue-menhir est décidément bien voyageuse. Après une petite centaine d'années passées à l'entrée du zoo du Lunaret de Montpellier Méditerranée Métropole, elle a été nettoyée et transférée près de la tour de guet.
On aperçoit bien les jambes, les pieds et la ceinture striée de chevrons, son arme, et ses bras, on devine le visage. Son arme, un poignard, nous indique son sexe : c'est une statue masculine. Au verso, une entaille circulaire témoigne que l'on a essayé de découper une meule dans cette pierre en granit mais ce travail, trop dur, a heureusement été abandonné avant terme (en fait, la découpe de la meule semble avoir été arrêtée car une fissure compromettante était en train de se former et non pas forcément à cause de la dureté de la roche)
Bon anniversaire à Marie-Pierre Monard qui doit être bien triste que la statue-menhir de Lacoste ait quitté le Tourisme Aveyron du Musée Fenaille du Rodez Tourisme pour aller au Préhistomuseum en Wallonie Tourisme à l'occasion de l'exposition « La Terre en héritage, du Néolithique à nous » du 3 décembre au 31 août 2023. La statue-menhir de Lacoste y est présentée à côté de pièces provenant de l'Israel Museum, Jerusalem pour évoquer la question de la représentation humaine dans les sociétés du Néolithique : https://www.facebook.com/photo/?fbid=129475993248477&set=a.105318368991287
En grès, haute de 100 cm pour une largeur de 46 cm et une épaisseur de 23 cm, cette statue-menhir masculine du -IIIè millénaire fut trouvée non loin du Comité des fêtes de Broquiès en Tourisme Muse et Raspes (sachant qu'on a trouvé à Broquies aveyron un menhir couché à Peyrelevade et qu'on a collecté des objets en pierre taillée, terre cuite, céramiques, découverts lors de prospections sur les berges du lac de Pareloup lors de la vidange de 1993 : c’était l’époque des premières sociétés agro-pastorales et il est donc vraisemblable que des agriculteurs-pasteurs vivaient sur les plateaux et les coteaux entourant Broquiès : https://www.broquies.fr/historique-commune-de-broquies_fr.html). Elle a pour caractères anatomiques le visage, les bras et jambes, et en attributs une ceinture à chevrons, un objet-poignard, un arc et des flèches : https://musee-fenaille.rodezagglo.fr/chefs-doeuvres/statue-menhir-de-lacoste
On peut voir une réplique sur la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie : http://www.t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHCOS5-2
вітаю з днем ​​народження Ярослав Погоральський de Львівський національний університет імені Івана Франка, mais comme y a rien de mégalithique dans ce coin là, autant faire un point sur les statues-menhirs d'Ukraine, un ensemble de stèles et de statues-menhirs découvertes entre les cours inférieurs du Don et du Danube, au sud de l'Ukraine et en Crimée (y). Qui de mieux que la star « idole de Kernosivsky (Керносівський ідол) datée du milieu du -IIIè millénaire et attribuée à la Culture Yamna (https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_Yamna), exposée au Дніпропетровський національний історичний музей ім. Яворницького, avec tout un article sur ses consœurs alors GoTransnistria avec https://novostipmr.com/en/news/19-03-12/sign-secret-order-or-worlds-tree-what-encrypted-ancient-sculpture :-)
Elles sont parfois classifiées sous l’appellation de stèles kourganes quand elles ont été découvertes dressées sur des kourganes ou retrouvées enfouies dans des tumulus mais on ne peut exclure qu'elles ont été réemployées dans ces tumulus ou sculptées plus tardivement puis dressées sur ceux-ci. Leur édification couvre une très longue période depuis la fin du -IVe millénaire et correspond à l'évolution des peuples indo-européens successifs dans la steppe et suit leur expansion vers l'Asie, jusqu'à l'époque des Scythes. 
Le groupe comprend plus de trois cents stèles et statues-menhirs, la plupart étant conservée à Kertsch et au Дніпровський Художній Музей. Les stèles anthropomorphes datent du -IVe millénaire. et sont attribuées à la culture Kemi Oba et ont été pour beaucoup réutilisées par les populations de la culture Yamna. La culture Kemi Oba (-3 700/-2 200), est une culture archéologique sur la face nord-ouest de la mer d'Azov, les fleuves inférieurs Bug et Dniepr et la Crimée. Selon Mallory, il s'agissait d'une composante de l'horizon Yamnaya plus large, tandis qu'Anthony la considère comme une culture distincte, qui a été remplacée par une variante tardive de Yamnaya après -2 800. L'économie reposait à la fois sur l'élevage et sur l'agriculture. Elle avait sa propre poterie distinctive, qui serait plus raffinée que celle de ses voisins. La pratique d'inhumation consistait à déposer la dépouille sur le côté, les genoux fléchis, dans des fosses, des cistes bordés de pierre ou des tombes à pans de bois surmontées d'un kourgane. Les stèles ou les menhirs en pierre sculptée sont particulièrement intéressants et sont également utilisés secondairement dans les sépultures de la culture Yamnaya. Les objets métalliques ont été importés de la culture mégalitheuse de Maykop (https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_de_Ma%C3%AFkop). Des liens étroits ont été suggérés avec le groupe adjacent / chevauchant de la Basse Mikhaylovka (https://en.wikipedia.org/wiki/Mikhaylovka_culture) : https://en.wikipedia.org/wiki/Kemi_Oba_culture
Ce sont des stèles schématiques, rectangulaires ou trapézoïdales, ou des menhirs anthropomorphes, d'une hauteur de 1,10 à 1,50 m, très peu décorés, où la tête est légèrement dégagée du cou, sans épaules (Kapustino, Belozerka). 
Les statues-menhirs proprement dites comprennent une vingtaine de spécimens plus complexes. Comme toutes les statues-menhirs, elles comportent à la fois des caractères anthropomorphes (tête, épaules, bras, mains, seins) et des attributs (armes). La position des bras et la plus ou moins grande richesse en attributs conduisent à distinguer plusieurs types : 
*** le type de Natalevka avec une tête peu proéminente, les bras sont repliés vers le haut du corps avec les mains dirigées vers le visage ouvertes doigts écartés; 
*** le type Kazanki avec une tête plus dégagée et arrondie, les bras croisés sur le ventre; 
*** le type Tiritaki avec une tête peu dégagée et les bras convergents vers le ventre, les mains sont très grandes et placées près de la ceinture ; c'est le seul groupe à comprendre des statues féminines.
Comme pour toutes les statues-menhirs, il est admis que la représentation des seins correspond à des statues féminines et celle des armes à des statues masculines. 
En accord avec la problématique indo-européenne, selon D. Telegin, la variété des stèles pourrait être liée à une diversité des fonctions sociales : « on reconnaîtrait ainsi des sujets à fonction religieuse (comme la célèbre statue de Kernosovo [...], des personnages dont les armes traduiraient la souveraineté ou la fonction guerrière, enfin des stèles de producteurs, à l'iconographie limitée ». Toutefois, l'absence de découvertes dans un contexte archéologique fiable, la plupart des stèles ayant été découvertes en réemploi, limite la validité de cette hypothèse : https://fr.wikipedia.org/wiki/Statues-menhirs_d%27Ukraine
Bon anniversaire à Marion Charlet avec la stèle anthropomorphe du Rocher des Doms, qui appartient au groupe des stèles à cupules du Comtat Venaissin, daté de -3 000 à -2 500. Le Rocher des Doms, petit massif de calcaire crétacé, domine la rive gauche du Rhône, en limite nord de la Ville d'Avignon / avignon tourisme. La bordure nord du rocher a livré les vestiges remaniés d'une occupation de la fin du Néolithique. C'est à l'occasion de ces travaux que fut découverte la petite stèle dans la partie nord du site, dans des terres remaniées sur une zone en faible pente. Quelques objets en silex et des tessons de poterie ont été également recueillis dans ce secteur. A quelques dizaines de mètres, la bordure nord du rocher a livré les vestiges remaniés d'une occupation de la fin du Néolithique : cf. https://www.musee-lapidaire.org/oeuvres-antiques/fr/oeuvre/stele-du-rocher-des-doms de la Fondation Calvet
Pour l’autre groupe provençal, celui des stèles venaissines (Avignon/La Balance et Rocher des Doms, l’Isle-sur-Sorgues/la Bastide), les comparaisons avec les stèles languedociennes sont de plus en plus évidentes (Viols-le-Fort/Truc de Marti), ce qui confirme l’extension à l’est du Rhône du domaine languedocien : http://dam.revues.org/307 
Lire aussi https://www.persee.fr/doc/galip_0016-4127_1963_num_6_1_1221
Bon anniversaire à Aspaa Archéologie qui a posté sur la statue-menhir du Rech (https://www.ladepeche.fr/2022/02/26/la-statue-menhir-du-rech-attire-les-regards-10135674.php de La Dépêche du Midi), appartenant au groupe rouergat, découverte non loin de la Mairie de la Salvetat-Peyralès et visible à la médiathèque de la commune, dans le Département de l'Aveyron !
Destination Ségala Aveyron près du Centre-Culturel Aveyron Ségala Viaur : elle a été découverte en 1993 par Charles Chambert lors d'un labour, au lieu-dit la Vaysse près de la ferme du Rech. La statue a été sculptée sur une dalle de micaschiste en forme d'amande mesurant 1,63 m de hauteur sur 0,60 m de largeur et 0,30 m d'épaisseur. La statue est pratiquement complète, il en manque la partie supérieure cassée anciennement, mais les sculptures sont érodées. Le visage est totalement manquant. Les doigts des mains sont effacés (uniquement trois doigts visibles sur la main gauche). Les membres inférieurs sont mieux visibles (jambes et pieds). C'est une statue masculine. Le personnage porte une ceinture, un baudrier et « l'objet ». Au dos, elle se caractérise par une série de traits verticaux placés au sommet de la statue qui pourraient correspondre à une représentation des cheveux, ce serait alors l'unique représentation connue de la chevelure sous cette forme : https://fr.wikipedia.org/wiki/Statue-menhir_du_Rech
Écoutez https://www.oreillesenbalade.eu/sons-adulte/Statue-menhir/La-statue-menhir-du-Rech.html des Oreilles en Balade de Sophie Pillods et Danielle Brient (y) et voyez https://musees-occitanie.fr/articles-decouverte/les-statues-menhirs de Occitanie Musées
{Photo de Tourisme Aveyron dans https://www.tourisme-aveyron.com/fr/diffusio/patrimoine-culturel-visites/statue-menhir-du-rech-la-salvetat-peyrales_TFO444491263532 et dessin de https://www.la-salvetat-peyrales.fr/uploads/2019/08/statue-menhir-site.pdf}
Bon anniversaire à Marc Beaumin avec sa photo de … bah tout est écrit ;-) Ah beh non car :-p : la statue-menhir de la Verrière est une statue-menhir appartenant au groupe rouergat découverte à Montagnol dans le Parc naturel régional des Grands Causses du Tourisme Rougier Aveyron Sud, en Tourisme Aveyron ! 
Elle a été découverte en 1925 par M. Arnal près de la ferme de la Verrière sur un plateau. Elle a été sculptée dans une dalle de grès du Trias dont le site d'extraction le plus proche est situé à environ 3 km. Elle mesure 0,99 m de hauteur sur 0,47 m de largeur et 0,15 m d'épaisseur. 
La statue est complète mais elle comporte une grosse cassure dans sa partie supérieure. C'est une statue masculine, extrêmement stylisée, appartenant au groupe des « hérétiques » car elle ne correspond pas au canon traditionnel du groupe rouergat. La partie haute de la statue a été piquetée et le visage a disparu. Elle ne comporte aucun caractère anthropomorphe exceptés des traits verticaux placés sous l'objet qui pourraient être interprétés comme des pieds. Le personnage porte un vêtement à plis et « l'objet » représenté à l'horizontale. Une boucle de ceinture a été sculptée en profondeur au centre, mais sans ceinture correspondante. 
La statue est conservée au Musée Fenaille de Rodez Tourisme (https://musee-fenaille.rodezagglo.fr/chefs-doeuvres/statue-menhir-de-la-verriere), une copie a été dressée près du lieu de sa découverte afin de pouvoir la voir sur la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Statue-menhir_de_la_Verri%C3%A8re
Buon compleanno a Paola A.E. Bianchi avec sa photo d'une des stèles du site mégalithique de Saint-Martin-de-Corléans : voyez https://www.regione.vda.it/cultura/patrimonio/siti_archeologici/st_martin/archeologia/default_f.asp de Valle D'Aosta et https://www.valledaosta-guidaturistica.it/blog/destinazione/gite-scolastiche-aosta/area-megalitica-aosta de Guida della Valle d'Aosta  www.valledaosta-guidaturistica.it (y) :-) <3
Le site mégalithique de Saint-Martin-de-Corléans est un site archéologique situé dans le quartier homonyme de la Comune di Aosta. Le site, découvert en 1969, lors des travaux de construction de certaines copropriétés, à une profondeur d'environ 6 mètres par rapport au plan d'urbanisme actuel, couvre une superficie de 10 000 mètres carrés. Les plus de 6 000 ans d'occupation de la zone sont attestés par des labours cultuels, des puits rituels, des alignements orientés de poteaux en bois (dont il ne reste que les trous) et des sépultures anthropomorphes, des dolmens et des cistes. Le musée a été inauguré le 24 juin 2016 : https://www.regione.vda.it/cultura/patrimonio/siti_archeologici/st_martin/default_f.asp
Le terme "zone mégalithique" a été utilisé pour la première fois par Franco Mezzena, découvreur de la zone archéologique, pour définir synthétiquement la découverte à Aoste, qui a des parallèles directs avec le site de Visitsion, Petit-Chasseur, en Suisse. Par "zone mégalithique", nous entendons une portion de terrain, plus ou moins grande, dans laquelle se trouvent de multiples témoignages monumentaux mégalithiques de différents types. Le site de Saint-Martin-de-Corléans se configure initialement comme un espace sacré, caractérisé par différentes phases de fréquentation, qui débutent au Néolithique récent et se poursuivent à l'Enéolithique (Age du Cuivre) et traversent les époques successives du Bronze, du Fer et de l'Empire romain, pour atteindre le Moyen Âge et l'âge contemporain. 
La zone est initialement configurée comme un sanctuaire à ciel ouvert, destiné à des pratiques rituelles réitérées dans le temps et liées aux cultes agricoles et vivants, compte tenu de la découverte de sillons de labour réguliers au sol, de puits cylindriques, de trous de poteaux en alignement orienté et de stèles anthropomorphes. Le site n'assume que dans les derniers siècles du -IIIè millénaire une fonction funéraire, devenant une nécropole privilégiée avec des tombes monumentales de divers types, dont certaines ont été construites en réutilisant les stèles. A l'aube de l'âge du bronze, vers -2 200, et pour des raisons encore à préciser, le site perd progressivement sa fonction cultuelle, conservant sa destination funéraire ; plus tard, à l'âge du bronze final, il a été utilisé à des fins agricoles pendant plus d'un millénaire. Enfin, la fonction sacrée et funéraire de la zone mégalithique au cours de l'histoire suggère la présence, à proximité immédiate, d'un important centre habité, probablement situé au nord-ouest de la zone elle-même, mais qui n'a pas encore été possible identifier.
Selon une légende de la tradition savante valdôtaine, la zone aurait été utilisée pour les sépultures rituelles de la ville de Cordela, fondée par Cordelo (ou Cordelus), ancêtre légendaire des Salassi, qui devait être située vers le site de Saint-Martin. A ce jour, ces données ne sont pas vérifiables faute de sources. Le site archéologique de Saint-Martin-de-Corléans, situé dans la partie ouest de la ville d'Aoste, se dresse à proximité d'une église médiévale, dédiée à San Martino di Tours et vue pour la première fois en 1176. En juin 1969, la zone adjacente à l'abside fait l'objet d'interventions constructives pour la construction de quelques immeubles d'habitation. Lors de la phase de fouille, les bulldozers interceptent la partie supérieure d'une stèle ornée. La reconnaissance et l'identification de cet élément lithique par les archéologues de la Surintendance régionale, Franco Mezzena et Rosanna Mollo Mezzena, entraînent la suspension immédiate des travaux. L'administration régionale de la Vallée d'Aoste procède à l'acquisition de la zone. En peu de temps, des recherches systématiques ont commencé, avec des campagnes de fouilles annuelles poursuivies pendant plus de vingt ans, reprises pour de nouvelles investigations en 2001 et entre 2006 et 2008, jusqu'aux sondages de micro-fouilles menés à l'heure actuelle : https://it.wikipedia.org/wiki/Area_megalitica_di_Saint-Martin-de-Corl%C3%A9ans
Voir plus

entre -3 000 et -2 500

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Happy birthday to Ant Allan avec ses belles photos du cercle de Brodgar, un cromlech qui se trouve sur Mainland, île principale des Orcades, entre les lochs Harray et Stenness, en Écosse, dans https://www.facebook.com/ant.allan/posts/pfbid0J1oP5oFqRPt7uxTSmfDYfL8JihfzJoPCB3WKDhJzfND7KDQ9rMJtjpwFC6S8iHTil (y)
Les silhouettes de 27 mégalithes se détachent sur un paysage de landes, sur une bande de terre étroite entre les deux lochs. Cet anneau de 103 mètres de diamètre comportait à l'origine 60 pierres levées. Ceinturé d'un profond fossé creusé dans le rocher et d'un talus aujourd'hui disparu, il comporte deux entrées, l'une au nord-ouest et l'autre au sud-est face à Stenness. Il fut conçu par les Hommes de la fin du Néolithique (-2 700/-2 500). À la suite de ses relevés, Alexander Thom a pu établir que le cercle constitué par ces pierres est quasiment parfait : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cercle_de_Brodgar 
Voir aussi https://www.historicenvironment.scot/visit-a-place/places/ring-of-brodgar-stone-circle-and-henge de Historic Environment Scotland, https://www.orkney.com/listings/ring-of-brodgar de orkney.com, https://www.orkneyjar.com/history/brodgar de Sigurd Towrie (voyez aussi ses photos de Colin Richards dans https://www.facebook.com/UHIArchaeology/posts/pfbid02zZXgvppVVqShDGyT77YKTNzTnfTA8DR12FxomTgv8kVxsYXKgrfTqAP8ukmojQXWl de UHI Archaeology Institute et dans https://www.facebook.com/FriendsNessBrodgar/posts/pfbid02grQh5yBE2EtTmUVV9nhW1ugKerk7QE31f8DnnVdehDspgWg5w5r7f1ZyMjUiuL3dl des Friends of the Ness of Brodgar (y) ) et https://www.visitscotland.com/info/see-do/ring-of-brodgar-p669061 de VisitScotland – Office du tourisme d’Ecosse <3
Bon anniversaire à Gilles Hamm du CNRS avec, dans la Commune De Brion de la Communauté de communes du Jovinien / Tourisme Joigny Jovinien, le Menhir dit la Pierre de la Grande Corvée / de Chevannes / de la Montagne de l'Ormée dont je veux bien svp une photo à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, menhir couché long de 2,30 m et large de 1,80 m qui semble avoir été en partie débité : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHGRAL+1
Happy birthday to Nigel J. Hetherington de Egyptian Cultural Heritage Organization (ECHO), UCL Institute of Archaeology et Past Preservers avec une de ses photos (l'autre a été Partagé avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths : https://www.facebook.com/photo/?fbid=147890531407023&set=gm.532523188970761&idorvanity=492561796300234) du cromlech de Castlerigg situé sur le territoire de la commune britannique de Keswick. Il est le cromlech le plus touristique de VisitCumbria (https://www.visitcumbria.com/kes/castlerigg-stone-circle) et fait partie des propriétés de l’English Heritage (https://www.english-heritage.org.uk/visit/places/castlerigg-stone-circle). 
Le cromlech est situé sur le plateau dégagé de Castlerigg, au sommet de la colline de Chestnut. On peut voir depuis le site les plus hauts pics de Cumbria : Helvellyn, Skiddaw, Grasmoor et Blencathra. Le cercle, aplati, mesure 32,6 mètres à son plus grand diamètre et 29,5 mètres à son plus court ; il est formé de 40 pierres exactement selon le National Trust. Cependant, certaines petites pierres étaient peut-être enterrées en soutien des grosses, apparaissant avec l’érosion ; ainsi, selon la méthode de calcul, on obtient entre 38 et 42 pierres. À l’est, 10 pierres supplémentaires forment un enclos rectangulaire, à l’intérieur du cercle, utilisant trois pierres de ce dernier comme petit côté ; ce lieu est appelé « le sanctuaire ». Le plus grand espacement entre deux pierres est orienté nord-est, mais l’English Heritage présente un trou de 3,3 mètres du côté nord comme étant l’entrée. Les pierres sont d’ardoise, une roche métamorphique, présente dans la région. La plus lourde pierre est estimée à 16 tonnes, et la plus haute mesure environ 2,3 mètres. Un agriculteur a, au début du XXe siècle, déterré à 90 mètres au sud-ouest du site une pierre massive (voyez cette illustration), dont on ne sait si elle faisait partie du cercle. 
Déterminer l’âge des cromlechs est difficile, et peu d’études ont été menées sur celui de Castlerigg. Il semble cependant que ce soit l’un des plus anciens de Grande-Bretagne, daté selon certains de -3 200 et selon d’autres, dont l’English Heritage1, de -3 000, pendant le Néolithique. 
Les raisons de la construction de Castlerigg, ainsi que ses différents usages dans le temps, ne sont pas connus. Au XVIIIe siècle, deux haches de pierre et un bâton du même matériau ont été trouvées. Cela laisse penser qu’il a peut-être été associé à la production de haches de Great Langdale : en raison de l’utilisation rituelle des haches dans toute la Grande-Bretagne, on suppose que leur échange ou leur vente devait s’associer à un rituel ; une telle cérémonie aurait pu être associée à un tel cromlech, dans lequel se passeraient les échanges ou ventes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cromlech_de_Castlerigg 
Voir aussi https://www.keswick.org/explore/not-to-miss/castlerigg-stone-circle de Visit Keswick the Lake District, https://www.lakedistrict.gov.uk/visiting/things-to-do/historical-places-to-visit/stone-circles de Lake District National Park, https://www.theguardian.com/culture/2022/jun/25/solitude-and-awful-wildness-why-you-should-visit-castlerigg-stone-circle de The Guardian, https://thirdeyetraveller.com/castlerigg-stone-circle de Third Eye Traveller
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Md Isfak Khan avec les mégalithes de Chatra, vieux de -3 300 :-o Le village d'Obra dans le district de Chatra a des preuves solides indiquant que la civilisation existait ici depuis la période chalcolithique correspondant à une période de -3 300/-1 200 ( pour l'Inde). La découverte a été révélée à la suite de fouilles en cours pour la construction d'une route de village et les villageois sont tombés sur un énorme morceau de pierre, techniquement identifié comme un menhir par les archéologues. À l'exception de Site Punkri Burwadih de Hazaribag, dont il a été scientifiquement prouvé qu'il remonte à plus de -3 000, la plupart des sites mégalithiques du Jharkhand étaient auparavant considérés comme appartenant à l'âge du fer. Subhashis Das, un expert en mégalithes qui a écrit deux livres, a déclaré n'avoir pas obtenu le soutien d'experts archéologiques locaux, il a obtenu les microlithes obtenus de Punkri Burwadih datés du smac - Staatliches Museum für Archäologie Chemnitz, où l'âge des microlithes a été établi comme étant au-delà de -3 000. « Une de mes amies, Lydia Eckeshwalfe, alors directrice de la section anthropologique du musée de Dresde, a visité unkri Burwadih et a proposé de prendre les microlithes ». Das a déclaré en soulignant que l'âge du microlithe ne reflétait pas essentiellement l'âge des mégalithes à moins que le site n'ait été fouillé scientifiquement par l'Archaeological Survey of India ou le gouvernement de l'État / de l'Heritage Jharkhand pour les conserver ou les développer. « J'ai essayé de sensibiliser les villageois à l'importance de ces sites pour les préserver et d'entrer en contact avec des professionnels et des chercheurs pour mener une étude approfondie », a-t-il dit, ajoutant que le site était un site commémoratif tribal primitif ayant de grands menhirs. Le site déjà détruit par les villageois avec de nombreux grands menhirs emportés par eux, la construction de la route a porté un coup au patrimoine tribal. « Cependant, si la construction de la route a détruit quelques menhirs, elle a également mis à nu quelques urnes funéraires dont l'une comprenait des restes chalcolithiques sous forme de scories de cuivre, un anneau et une petite cloche ». Das a dit ce qui implique que les mégalithes du Jharkhand ont une continuité et indiquent la continuité de la civilisation ici. Le surintendant archéologique du cercle de Ranchi de l'ASI, N G Nikoshey a déclaré que le Jharkhand regorgeait de sites mégalithiques mais qu'ils n'avaient obtenu aucune licence pour fouiller ces sites. L'ASI Ranchi circle a récemment reçu une licence pour creuser le site d'Itkhori à Chatra et effectuer des travaux d'exploration dans la région de Karbra Kala à Palamu. Au total, 12 monuments de l'État sont pris en charge par l'ASI. Admettant que les mégalithes pourraient être une source d'informations historiques, Nikoshey a déclaré qu'en l'absence de fouilles scientifiques, la date officiellement acceptable pour leur âge était d'environ 7 siècles avant notre ère : https://timesofindia.indiatimes.com/city/ranchi/Megalithic-site-at-Chatra-dates-back-to-3300-BC/articleshow/10996525.cms de The Times of India
{Photo de Nitish Priyadarshi dans https://nitishpriyadarshi.blogspot.com/2011/05/megaliths-site-in-jharkhand-state-of.html}
Bon anniversaire à Pascal Route avec le Menhir dit la Pierre à Mousseaux / Grosse Pierre / Gros Caillou / Grosse Bourne, monolithe de grès stampien, situé à proximité de la Seine, à la limite de Vigneux-sur-Seine (page officielle) et de la Ville de Draveil, dans l'ancien parc du château des Mousseaux, dans la Communauté d'Agglomération Val d'Yerres Val de Seine de l'Essonne Tourisme (n'hésitez pas à Partager vos photos/infos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y) ). Il pèse 4 tonnes et mesure h = 235 ; la = 150 ; pr = 60 cm : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHMOUS+3
Bon anniversaire à Roland Martin avec le Mendir dit La Pierre au Jô / Pierre-au-Coq (que je veux bien svp en photos à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y) ), non loin de la Mairie Pont À Mousson … dont je ne sais si le site en parle car Réseau des Communes (avec ses même pas 200 followers, en sommeil depuis août 2022 et dont le logo rogne le rubriquage, bref de vrais pros du web comme en a besoin l'Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité :-p ) n'a pas eu la présence d'esprit du b.a-ba de mettre un moteur de recherche :-o / :-( , et alors qu'il est l'un des rares de la région Lorraine [qui sont par ailleurs peu nombreux dans l'Est (je suis Alsaco donc je sais de quoi je parle : les mégalitheurs n'ont pas eu l'Alsace et la Lorraine ;-) ] il n'est pas mis en avant dans « La Ville », même s'il est classé au titre des monuments historiques par journal officiel du 18 avril 1914, cf. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00106348 du Ministère de la Culture !!!
Voyez la source de la photo quand les institutionnels font pas leur boulot, ce sont les connauds qui le font !!! Comme d'hab, je vais faire le boulot des institutionnels qui communiquent comme des pieds concernant leur propre patrimoine alors que le simple internaute que je suis vous pond cet article en quelques clics !!! Donc, déjà MERCI Wikipedia : Le menhir se trouve dans un coin de forêt au nord-ouest de Pont-à-Mousson, à la limite de la commune de la Mairie de Norroy les Pont à Mousson, dans la Communauté de Communes du Bassin de Pont-à-Mousson [dont les resp comm' ne sont pas allés à l'école car on lit « Les premières traces de son existence remontent au Néolithique, environ 2500 ans avant Jésus-Christ : sur le plateau se trouve un monument DRUIDIQUE classé monument historique, un menhir GAULOIS de plus de 2 m de hauteur, fort bien conservé et connu sous le nom de la Pierre au Jô » dans https://www.bassin-pont-a-mousson.fr/commune/norroy_les_pont_a_mousson.htm : quand je râlais sur les dégâts d'Astérix et Obélix (https://www.facebook.com/photo/?fbid=120612487459898&set=a.119788344208979), voilà le résultat car bien sûr ce menhir est néolithique donc n'a rien à voir avec un lec'h gaulois !!!] Chez l'Office de Tourisme du Bassin de Pont à Mousson il n'y a pas non plus de moteur de recherche, il n'y a pas de carte GoogleMaps embedded mais faut cliquer sur son lien à rallonge, le site est d'une platitude affligeante … Non mais allô quoi, vous êtes sérieux là ?!?!?! (à prononcer comme Léa Salamé Page :-p) Il y a quelque chose de pourri au royaume du Département de Meurthe-et-Moselle … qui bien sûr n'y est pour rien, c'est juste pour la formule ;-)
DONC, je reprends avec des Citoyens sérieux de Wikipédia : Le menhir cubique fait environ 2,5 m de haut, il date du Néolithique. Sa section transversale est d'environ 50 × 40 cm. Les côtés sont alignés avec les points cardinaux. Il est constitué de calcaire, provenant probablement d'un banc affleurant situé à 800 mètres de distance : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_au_J%C3%B4
L'Est Républicain nous demande « Savez-vous où se trouve le seul menhir de Meurthe & Moselle, l'esprit Lorraine ? » : beh je viens de dire que non vu que les premiers concernés communiquent comme des pieds sur NOTRE Patrimoine national néolithique !!! « Son nom n’évoque pas un lointain ancêtre, mais plutôt un animal. « Jau » ou « jo » en patois lorrain signifie en effet « coq ». Il se situe près du champ de bataille de la Première Guerre mondiale du Bois-le-Prêtre (pareil de la part de la Région Grand Est : aucune info dans https://www.tourisme-lorraine.fr/memoire-militaire/centenaire-14-18/sites-et-monuments/1284000410-site-historique-et-militaire-du-bois-le-pretre-montauville, mais l'Agence Régionale du Tourisme Grand Est et Explore Grand Est ont déserté depuis longtemps :-o ), sur la commune de Norroy-lès-Pont-à-Mousson. « C’est un fragment détaché sans l’aide d’outils », comme le précisait en 1905 Louis Robert, membre de la Société préhistorique française, dans un article consacré à l’endroit, que voici grâce à Persée : https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1905_num_2_3_11346. L’historien émettait l’idée que le monument avait pu servir ensuite comme autel à Jupiter à l’époque romaine. Sa hauteur est de 2,50 m et son épaisseur maximum est de 60 cm. Elle est constituée d’une pierre blanche au grain fin et dur » : MERCI à https://www.estrepublicain.fr/culture-loisirs/2021/03/28/savez-vous-ou-se-trouve-le-seul-menhir-du-departement
La bible mégalithique qui pallie elle aussi aux carences institutionnelles rappelle dans http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHMEND-3 que « Une énorme dalle était présente à peu de distance, dans un ravin, nommée Table du Diable, mais fut brisée et enlevée à la fin du XIXème ».
Jérôme Prod'homme de France Bleu nous narre « La Lorraine c'est beau comme... Nos pierres levées » dans https://www.francebleu.fr/emissions/c-est-beau-c-est-bon-c-est-en-lorraine/sud-lorraine/la-lorraine-c-est-beau-comme-118
Lisez aussi https://www.blelorraine.fr/2020/07/pierres-et-menhirs-de-lorraine de Groupe BLE Lorraine
{Photo du bio-éso-hystérico-connaud Dominique Emery dans https://www.facebook.com/ondesethabitat/posts/616899268483539 de Formations Ondes et Habitat Geobiologie Radiesthésie Thérapies}
Buon compleanno a Marco Malorgio avec sa photo de Swinside, également connu sous les noms de Sunkenkirk et Swineshead, un cercle de pierres situé à côté de Swinside Fell, qui fait partie de Black Combe, dans le sud de la VisitCumbria (https://www.visitcumbria.com/sl/swinside-stone-circle), au nord-ouest de l'Angleterre. Do not hesitate to Share with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Il fait partie des quelque 1 300 cercles de pierres recensés dans les îles britanniques et en Bretagne, et a été construit dans le cadre d'une tradition mégalithique qui a duré de -3 300 à -900, au cours de ce que les archéologues appellent le Néolithique tardif et le début de l'âge du bronze.
Au cours de cette période, le Lake District - une région montagneuse dans laquelle se trouve Swinside (cf. https://deeptime.uk/landmark/swinside-stone-circle de Deep Time - Commissions for the Lake District Coast) - a connu des niveaux particulièrement élevés de construction de cercles de pierres, avec d'autres exemples notables comme le cercle de pierres de Castlerigg (https://www.facebook.com/photo/?fbid=147889608073782&set=a.145427818319961) et Long Meg and Her Daughters (Meg la longue et ses filles : https://www.facebook.com/photo/?fbid=132946119568131&set=a.113756704820406). L'objectif initial de ces cercles fait encore l'objet de débats, bien que la plupart des archéologues s'accordent à dire qu'ils ont été construits pour des raisons rituelles ou cérémonielles. Construit en ardoise locale, le cercle a un diamètre d'environ 26,8 m et contient actuellement 55 pierres, bien qu'à l'origine il y en ait probablement eu une soixantaine. Une entrée-sortie a été aménagée sur le côté sud-est du monument, qui a été définie par l'inclusion de deux pierres de portail extérieures.
Au début de l'époque moderne, le folklore local affirmait que les pierres avaient été utilisées pour la construction d'une église, mais que le diable avait continuellement contrecarré ces plans, créant ainsi le cercle de pierres. 
Le spécialiste des mégalithes Aubrey Burl a qualifié Swinside de « plus beau de tous les cercles » du nord-ouest de l'Europe. Dans son étude sur les cercles de pierres de Cumbria, l'archéologue John Waterhouse a déclaré que Swinside « ne peut être comparé qu'à Castlerigg et Long Meg et ses filles pour ce qui est de l'impact visuel ; mais son charme - car il est indéniable qu'il a un grand charme - est encore plus grand que les leurs ».
Après plus d'un millier d'années d'agriculture précoce, un mode de vie fondé sur les tombes ancestrales, le défrichement des forêts et l'expansion des colonies ont pris fin. Cette période a été marquée par d'importants changements sociaux.
Au cours du Néolithique récent, la société britannique a connu une série de changements majeurs. Entre -3 500 et -3 300, les Britanniques préhistoriques ont cessé de s'étendre et de cultiver les terres sauvages pour se concentrer sur la colonisation et l'exploitation des régions les plus productives de l'île sur le plan agricole : Orkney, l'est de l'Écosse, Anglesey, la partie supérieure de la Tamise, le Wessex, l'Essex, le Yorkshire et les vallées fluviales du Wash.
Cette période a également été marquée par ce que les archéologues ont interprété comme un changement dans les croyances religieuses en Grande-Bretagne. Les communautés ont cessé de construire de grandes tombes à chambres pour les morts et ont commencé à construire de grands cercles de bois et de pierre. L'éminent archéologue et spécialiste des mégalithes Aubrey Burl (2000) a soutenu que le passage de la construction de tombes à la construction de cercles en plein air a marqué un changement dans les croyances religieuses des peuples du nord-ouest de l'Europe. Comme il l'a noté, « on est passé de la chambre exiguë et lugubre ou de la tombe à l'anneau large et sans toit, de l'obscurité à la lumière, des morts aux vivants, de la tombe au ciel ».
La question de savoir exactement dans quel but les Britanniques préhistoriques ont construit des cercles de pierre est une question qui continue d'échapper aux archéologues. Malgré cela, de nombreuses suggestions ont été avancées, la plupart d'entre elles soutenant qu'il s'agissait d'une forme d'église. Sur la base de son étude des exemples trouvés aux Orcades, dans le nord de l'Écosse, l'archéologue Colin Richards a suggéré que les cercles de pierre et de bois construits à la fin du Néolithique britannique pourraient avoir représenté le centre du monde, ou axis mundi, pour ceux qui les ont construits, une idée reprise par son collègue archéologue Aaron Watson comme une possibilité dans sa discussion sur les raisons pour lesquelles les peuples du Néolithique tardif ont construit le grand anneau d'Avebury, dans le sud de l'Angleterre.
Les pierres utilisées pour la construction de Swinside étaient des ardoises porphyriques provenant des montagnes adjacentes, du type de celles que l'on appelait localement "galets gris" au XXe siècle. 
Les bâtisseurs de Swinside ont prévu une entrée "bien définie", de 2,1 m de large, du côté sud-est, qui était signalée par la pose de deux grandes pierres de portail à l'extérieur de la circonférence du cercle. De telles ouvertures se retrouvent également dans d'autres cercles de pierres du Lake District (cf. https://www.visitlakedistrict.com/things-to-do/swinside-stone-circle-p1213211 de The Lake District, Cumbria), comme Long Meg and Her Daughters. On retrouve également ces caractéristiques dans les cercles de pierres du Dumfriesshire. Swinside a notamment un certain nombre de points communs avec les Girdle Stanes.
Selon le folklore local, le diable aurait abattu la nuit les pierres d'une église en construction pendant la journée, créant ainsi le cercle de pierres ; c'est pour cette raison que le site a également été appelé Sunkenkirk. Dans les années 1930, il a été rapporté que la population locale pensait qu'il était impossible de compter toutes les pierres : https://en.wikipedia.org/wiki/Swinside 
Voir aussi https://bitaboutbritain.com/swinside-stone-circle de A Bit About Britain
Bon anniversaire à Camille Kermelin avec son repartage de la photo de James Carson via History Hit (y) N'hésite pas à Partager tes photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Arbor Low est un henge néolithique bien préservé qui donne envie de Visit Peak District & Derbyshire, en Angleterre, sur un plateau de calcaire carbonifère connu sous le nom de White Peak : https://www.visitpeakdistrict.com/business-directory/arbor-low-stone-circle-gib-hill-barrrow. Le monument consiste en un cercle de pierres entouré de terrassements et d'un fossé.
Le monument comprend environ 50 gros blocs de calcaire, extraits d'un site local, qui forment un cercle ovoïde. Il y avait probablement 41-43 pierres à l'origine, mais certaines sont aujourd'hui en fragments. Leur taille varie de 1,6 à 2,1 mètres, avec des monolithes de 2,6 à 2,9 mètres. Une pierre est partiellement debout, les autres sont couchées. Bien qu'il soit souvent dit que les pierres n'ont jamais été debout, il est possible qu'elles aient été à l'origine placées debout dans des trous de pierre peu profonds. Au centre du cercle se trouvent au moins six blocs plus petits, connus sous le nom d'anse, dont on pensait à l'origine qu'ils étaient disposés en rectangle.
Les pierres sont entourées d'un talus de terre d'environ 90 mètres sur 85 mètres sur les bords extérieurs et de 2 mètres de haut, avec un fossé intérieur d'environ 2 mètres de profondeur et de 7 à 10 mètres de large. Deux entrées de chaussée traversent la berge et le fossé : une entrée nord-ouest de 9 mètres de large et une entrée sud-est de 6 mètres de large. Le talus intérieur entoure une zone de 52 mètres sur 40 mètres.
Des restes de squelettes humains ont été découverts près de l'anse lors de fouilles menées entre 1901 et 1902. D'autres découvertes comprennent des grattoirs en silex, des pointes de flèches et des outils en os et en bois de cervidés.
Un grand cairn rond ou tumulus de l'âge du bronze a été construit plus tard, à l'est du henge, en utilisant des matériaux provenant du talus de terre. Fouillé en 1845, il contenait une sépulture à incinération, des artefacts en silex et en os, ainsi que deux pots similaires à la céramique de Peterborough du Néolithique tardif, aujourd'hui conservés au Weston Park Museum des Sheffield Museums.
Arbor Low fait partie d'un complexe plus vaste, et est relié par une crête de terre au tumulus ovale néolithique antérieur de Gib Hill, situé à 320 m de là : https://en.wikipedia.org/wiki/Gib_Hill.
Le talus et le fossé de la henge, ainsi que ses deux entrées, ont probablement été construits à la fin du Néolithique, les pierres ayant été ajoutées plus tard, quelque part avant -2 000. Le site semble avoir été utilisé jusqu'à l'âge du bronze, lorsque le talus extérieur a été reconstruit pour permettre l'édification du tumulus rond. Les travaux de terrassement et de maçonnerie sont probablement postérieurs à la colline voisine de Gib Hill : https://en.wikipedia.org/wiki/Arbor_Low 
Voir aussi https://www.english-heritage.org.uk/visit/places/arbor-low-stone-circle-and-gib-hill-barrow de English Heritage, https://facebook.com/StonehengeEH/photos/a.684348064923355/5876978432326933 de Stonehenge, https://historicengland.org.uk/listing/the-list/list-entry/1011087 de Historic England, https://letsgopeakdistrict.co.uk/arbor-low-3 de Let's Go Peak District, https://www.yha.org.uk/experience/arbor-low-stone-circle de YHA England and Wales, https://www.peakdistrictonline.co.uk/arbor-low-stone-circle de Peak District Online, https://www.greatbritishlife.co.uk/things-to-do/23203898.arbor-low-stone-circle-stonehenge-peak-district de Great British Life, https://www.britainexpress.com/counties/derbyshire/ancient/arbor-low.htm de Britain Express, http://www.stone-circles.org.uk/stone/arborlow.htm, https://www.isleofalbion.co.uk/sites/12/arbor_low.php de The Isle of Albion

entre -2 500 et -2 000

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Bon anniversaire à Myriam Chamand et je ressors ma connerie d'hier (https://www.facebook.com/photo/?fbid=150455441150532&set=pb.100085582290808.-2207520000.) car j'en suis fier comme un vaquère :-p « Ah attention, hein, attention ! Vous allez pas me refoutre Stonehenge sur le tapis à toutes les sauces, hein, parce que pfuit... » // « Le tapis à toutes les sauces ? » // « Le tapis, oui, Stonehenge, vous allez pas me le refoutre à toutes les sauces sur le tapis. Parce que pfuit... » // « Les sauces sur le tapis ? » // « Vous allez… Stonehenge, vous allez pas me le remettre à toutes les sauces, parce que fff… Voilà, j’arrive même pas à siffler ! » // « De quoi ? » // « Vous allez pas me remettre toutes les sauces sur le tapis !!! » // « De quoi ??? » // « Moi aussi ça m’a.... ça m’a gêné. C’est pas parce qu'un monument est en pierres et cercle qu'on doit parler de Stonehenge de ceci cela, si toutefois c’est ça la question, c’est ça que j’veux dire ! » // « Mais j’ai pas posé de question, c’est vous qui vous emballez avec vos tapis... » Private joke about Kaamelott / Kaamelott Universe / Kaamelott : Résistance / Kaamelott memes :-p Depuis le temps que je voulais la placer, voilà c'est fait 😊, parce qu'on en a gros des journaleux qui scribouillent tout et n'importe quoi avec ce monument certes emblématique mais Cointreau n'en faut car tant vont les cruches à l'eau qu'à la fin elles/ils se cassent 😜

entre -2 000 et -1 000

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
عيد ميلاد سعيد ل
Youssef Kanjou de l'Universitätsstadt Tübingen :-)
Il y a aussi des dolmens en Syrie (vers Damas, Alep et Homs notamment : voir https://www.megalithic.co.uk/search.php?query=&country=61&category=0&county=&sitetype=&days=0&type=stories de The Megalithic Portal), mais je voulais vous montrer ça, œuvre autrement moins connue de l'Observatoire Patrimoine d'Orient ! Éventuellement occupée dès la période de Samarra ou d’Hassuna (-6 500/-6 000), plus certainement à la suivante, celle d’Halaf (-6 000/-5 000), Tell Brak est l’une des premières villes du monde, qui a atteint l’échelle et la complexité urbaines au début du -IVe millénaire et a conservé son importance politique et son pouvoir économique pendant la majeure partie du -IIIè millénaire. Ce monticule de 30 hectares sur la rivière Khabour au nord-est de la Syrie, a livré des artefacts des périodes Halaf et Ubaid, mais le site est surtout connu pour sa séquence de riches temples de la fin des périodes Uruk et Jemdet Nasr, où il s'agissait clairement d'un centre important.
Cette statue-menhir en basalte date du Bronze Moyen (-2 000 / -1 600) et est conservée au Musée du Louvre. La période amorrite (ou paléo-babylonienne, -2004/-1595) correspond du point de vue archéologique à l’expansion de la « céramique du Khabur » (céramique peinte de bandes ou motifs rouges) dans la région de Tell Brak. La population est alors de plus en plus hourrite. La divinité tutélaire de la ville, la Dame de Nagar (« Bēlet Nagar »), est très importante, et sa statue effectue de nombreux voyages dans la région du Khabur, signe de la dévotion qu’elle y suscite. Son importance est encore attestée dans les archives de Tell Leilan pour la seconde moitié du -XVIIIe siècle. Ce même corpus documentaire indique que la région du Khabur est passée sous la suzeraineté des rois du Yamkhad (Alep) après la chute de Mari en -1762 sous l’offensive de Hammurabi de Babylone.
{Photo de https://collections.louvre.fr/ark:/53355/cl010137912 ; infos de Archaeology in Syria - Tell Brak Project مشروع تل براك dans http://www.tellbrak.mcdonald.cam.ac.uk du McDonald Institute for Archaeological Research de l'University of Cambridge et https://fr.wikipedia.org/wiki/Tell_Brak}
Bon anniversaire à Guillaumet Giovannini (qui devrait apprécier https://www.youtube.com/playlist?list=PLJWGe9XopG3l3cHrOhHSc1fJcqfZh3Miq :-p ) avec sa photo de stèle-menhirs exposées chez les branleurs du Museo de Prehistoria y Arqueología de Cantabria  MUPAC dont la page est en siesta activa depuis 2014 :-o Could l'Asociación de Amigos del Museo de Prehistoria y Arqueología de Cantabria, qui elle est bien active (y) , tell us from which epoch and culture are this pieces and maybe do you have a link with futher informations please ? :-) C'est quand vous voulez les Museos de Cantabria et Cantabria Infinita pour vous bouger à valoriser ces musées et leur tourisme 😔 !!!
Feliz cumpleaños a Amparo Aldecoa Quintana avec l'Ídolo de Hernán Pérez VI exposée au Museo Arqueológico Nacional de España et présentée dans http://www.man.es/dam/jcr:68c35b40-5add-426b-8296-108e11955c74/man-pieza-mes-1999-03-estela-hernanperez.pdf :-) C'est une stèle-galet diadémé réalisée sur un bloc de granit allongé en forme de parallélogramme, datée de l'Âge du Bronze ancien, première moitié du -IIe millénaire et découverte non loin de l'Ayuntamiento de Cáceres en Extremadura Turismo. Elle représente le visage et les bras repliés sur le ventre d'un personnage anthropomorphe avec un bandeau en maille réticulée. De la ligne horizontale qui délimite le visage dans sa partie inférieure, émergent deux demi-cercles parallèles qui symbolisent un collier et, en-dessous, une ceinture gravée au moyen de deux lignes parallèles qui enserrent une rangée de douze points bien marqués. En représentant ces simples dessins, il semble que le graveur ait toujours été clair sur les éléments symboliques qu'il devait véhiculer : diadème, collier et ceinture. Les figures anthropomorphes présentes sur les stèles de galets du sud-ouest de la péninsule ibérique semblent correspondre à des représentations de femmes d'un niveau social présumé élevé, à en juger par les colliers, ceintures et diadèmes qui les ornent. Le rôle joué par les femmes à cette époque devait être extraordinaire si l'on tient compte du nombre de représentations. Le fait que les seins du personnage ne soient pas indiqués sur les stèles de galets peut mettre en évidence l'exclusivité de ces représentations, il ne serait donc pas nécessaire de mettre en avant les aspects sexuels pour démontrer la condition féminine des gravures. Le renforcement du pouvoir guerrier des hommes ne semble pas diminuer les acquis sociaux des femmes, qui maintiennent le diadème comme son attribut principal, symbole d'une importance marquée au sein de la communauté. Les stèles à diadème ne semblent répondre à aucune idéologie religieuse dominante en Europe occidentale à cette époque, mais plutôt à une expression très nette de l'indigénisme. L'arrivée d'éléments de prestige ou de parure personnelle en provenance du monde atlantique n'a fait que renforcer la valeur sociale des personnages représentés sur ces stèles par la possession de biens très limités au reste de la société ; ces objets, soumis au goût indigène, deviendraient l'attribut social d'une classe féminine éminente, peut-être assimilée au caractère masculin du guerrier. L'importante découverte d'Hernán Pérez, dont les stèles à diadème semblaient associées à des cistes et à une stèle de base d'un guerrier, est une preuve à l'appui de l'hypothèse de la coétanéité des stèles de galets et des stèles de base d'un guerrier, qui n'ont pas encore été influencé par le contact par la Méditerranée, avant la colonisation orientale. Ainsi, malgré les sérieuses difficultés rencontrées pour identifier les objets gravés, il est plus possible de penser à l'origine atlantique de certains des ornements personnels représentés sur les stèles de galets et sur celles des guerriers : http://ceres.mcu.es/pages/ResultSearch?Museo=MAN&txtSimpleSearch=%CDdolo%20de%20Hern%E1n%20P%E9rez%20VI&simpleSearch=0&hipertextSearch=1&search=advancedUnion&MuseumsSearch=MAN%7C&MuseumsRolSearch=9&listaMuseos=[Museo%20Arqueol%F3gico%20Nacional]
Bon anniversaire à Mireille Turquois avec sa photo de Pierres à Cerfs / Stèles gravées de Haute Asie de la mission du Musée d'Anthropologie Préhistorique Monaco à Tsatsiin Ereg, chippée à http://archeo-steppe.com :-) Voir aussi http://xn--mission-archologique-franaise-en-mongolie-ltd6e.fr/ et http://aprab.org/arcab/breuil.html de l'APRAB - Association pour la promotion des recherches sur l'âge du Bronze alors Visit Mongolia <3
Aux alentours de -1 000, Tsatsiin Ereg était une nécropole avec quatre grandes tombes aristocratiques. Le site de Tsatsiin Ereg, qui est situé au centre de la Mongolie, regroupe plus de 60 pierres à cerfs et plusieurs centaines de pétroglyphes. Ces iconographies sont associées à un contexte rituel et funéraire, près de sépultures des premières tribus nomades. La civilisation des pierres à cerfs était capable de mobiliser un grand nombre de personnes pour accomplir le travail titanesque d'acheminement de pierres : http://polepatrimoine.org/membres/44:sitearcheotsatingereg du Pôle international francophone des sites patrimoniaux
Bon anniversaire à Patrice Bonnel avec la Statue-menhir de Nuvallela : retrouvée en 1995 à la suite de travaux agricoles, cette statue en schiste de 1;98 m est la seule connue dans la dépression de Corté, au centre de la Corse. Elle fut découverte isolée, dans une plaine, en bordure de la rivière Tavignanu et du ruisseau affluent de Santa Lucia. Elle comporte un long nez en relief et des oreilles nettement dégagées : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHNUVA%204
Elle provient de Santa-Lucia-di-Mercurio, dans le Centru di Corsica du Parc naturel régional de Corse - Parcu di Corsica et de la Communauté de Communes Pasquale-Paoli Francardu, en majeure partie dans la dépression centrale de la Corse, axée sur un réseau de fractures et s’étendant de L'Île-Rousse à Solenzara en passant par Corte, à l'est de la Corse alpine (ou orientale) limitée au tiers NE de l'île. Son territoire, entre deux fronts de chevauchement, est ceint à l'est et à l'ouest par des lignes de crête qui délimitent la commune en se rejoignant au nord, à la Punta di l'Ernella (1 473 m), sommet « à cheval » sur Rusio, Tralonca et Santa-Lucia-di-Mercurio. C'est au nord-nord-est que se situent, sur un chaînon secondaire s'articulant à la Punta di Caldane (1 724 m) sur la dorsale du massif du Monte San Petrone, les plus hauts sommets de la ceinture avec, à l'est de l'Ernella, la Punta Puzzola (1 543 m), le Monte Piano Maggiore (1 581 m) culmen communal, et la Cima di Santa Lucia (1 550 m environ). C'est sur un éperon rocheux de la ligne de crête occidentale qu'est construit le village, à une altitude moyenne de 800 m. 
Ce relief montagneux inclut le bassin versant entier du ruisseau de Santa Lucia auquel il faut ajouter la partie haute du bassin versant du ruisseau de Campettine, affluent du ruisseau de Zincajo. Ces ruisseaux alimentés par de nombreux cours d'eau coulent dans autant de petits vallons encaissés. Le principal cours d'eau est le Tavignano, second fleuve de Corse après le Golo. Il longe sur près de 1,8 km les limites méridionales de la commune, à la hauteur de l'aérodrome de Corte sur l'autre rive, là où la statue-menhir a été trouvée. Sur ce parcours, il reçoit les eaux du ruisseau de Santa Lucia long de 8 km qui naît sous le nom de ruisseau de Lore3, sur la commune à 1 210 m d'altitude, sur le flanc méridional de la Punta di Milleli (1 327 m), sommet « à cheval » sur Tralonca et Santa-Lucia. La majeure partie du territoire communal est représentée par le bassin versant du ruisseau de Santa Lucia dont le cours est orienté dans un axe nord-sud et qui a pour principaux affluents les ruisseaux de Felce (rg), de San Martino (rg), de Pedimaio (rd), de Piniforci (rg) et de Vinchinacce (rd). Le reste du territoire, soit la partie sud-est, est le haut bassin versant du ruisseau de Campettine qui conflue sur Poggio-di-Venaco avec le ruisseau de Zincajo autre affluent du Tavignano. Tous ces cours d'eau, au faible débit estival, sont de véritables torrents en certaines périodes de l'année : fortes précipitations, fonte des neiges, etc. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Santa-Lucia-di-Mercurio
{Photo de Diego Meozzi dans https://www.stonepages.com/corsica/nuvallela.html}
Bon anniversaire à Jean-Luc Ottenio avec sa photo d'une des stèles-menhirs de Filitosa - Le site préhistorique de la Corse, rare site mégalithique français (avec les Alignements de Carnac) à être membre des Megalithic Routes - European Route of Megalithic Culture (y) Est-ce que je me coucherai moins bête ce soir ??? : « Filitosa, vient de "Fileta" qui en Corse veut dire "fougère", plante employée dans certaines expressions corses pour évoquer les racines des Hommes » 🧐
Buon compleanno a Paolo Campidori de la Gallerie degli Uffizi avec sa photo de stèles de Corse de … ??? MERCI Chalcophore (y) : c'est l'alignement de statues-menhirs de Cauria près de la Ville de Sartène - Cità di Sartè, La Corse des Origines, cf. https://www.isula.corsica/patrimoine/Les-sites-archeologiques-du-pianu-de-Cauria_a11.html de Cullettività di Corsica - Collectivité de Corse :-)
Il écrit : « Des stèles avec des représentations en relief d'armes ont jusqu'à présent été trouvées dans le sud de l'Espagne et en Algarve. Celles-ci rappellent les stèles corses, datant du -IIe millénaire et seraient attribuables à l'un des "Peuples de la mer" de sources égyptiennes, peut-être aux Shardana (selon Grosjean) ou peut-être aux T'r'sh/Turranoi qui avait déjà occupé une partie de la Sardaigne et passeront ensuite en Italie. Curieusement, les casques sont cornus comme dans les représentations corses et chez les égyptiens de Médinet Habou, et aussi les boucliers sont toujours ronds (comme dans la stèle de Kaminia). Dans les stèles postérieures, cependant, apparaissent des cavaliers qui rappellent les Étrusques de la vallée du Pô, à cheval et les guerriers celtes à pied. Les stèles écrites sont datées du -VIè siècle comme la stèle en bois. Les signes sont largement dérivés de l'alphabet phénicien et tous sauf quelques-uns sont gauchers. Les Phéniciens ont atteint les côtes ibériques dès le -IXe siècle »
Feliz aniversário para João Ribeiro de Archeo3D - Serviços de Arqueologia et ISCE DOURO avec ces deux statues-menhirs de l'Âge du Bronze exposées au Museu da Região Flaviense (y) Does anybody, maybe the Município de Chaves, have infos about them please ? :-)
{Photo et infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=51586}
Feliz aniversário para Nina Aggy avec sa photo d'une stèle gravée exposée au Museu Nacional Soares dos Reis, via Vitor Manuel Oliveira Jorge du Ministério da Educação - MEC et de l'Universidade do Porto (y) Does anybody have infos about it please ? , epoch/culture ??? :-)
Herzlichen Glückwunsch zum Geburtstag Siegrun Maas avec une de ses très belles photos de mégalithes, ici des Stèles gravées de Haute Asie, en Mongolie (y) Do you please have more infos about this site ?:-) Comme traveleuse mégalithique elle est welcome pour Partager ses pépites avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-p
Bon anniversaire à Albane Burens du CNRS avec sa photo de statue-menhirs corses de … ??? Qui qui sait où c'est ? :-)
Bon anniversaire à Sylvie Artôt avec sa photo des statues-menhirs corses de … ??? Qui qui sait qui c'est ? :-) Je crois savoir mais j'ai un affreux doute donc à vous de confirmer/infirmer mes pensées ;-)
Boldog szülinapot Horváth Veronika avec sa photo (do not hesitate to Share with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) ) d'une stèle Okuniev (y) :-) <3 Le Centre Culturel Russe et le Musée d'Anthropologie Préhistorique Monaco ont été très heureux d’accueillir leurs membres pour l’inauguration de l’exposition « Mystérieuse Civilisation Okuniev, Art de Sibérie au IIIè millénaire avant notre ère »
Dans le cadre de l’Année de la Russie à Monaco, le musée et l’Institut de Recherche sur les Langues, l’Histoire et la Littérature de la République de Khakassie (https://www.facebook.com/search/top/?q=Institut%20de%20Recherche%20sur%20les%20Langues%2C%20l%E2%80%99Histoire%20et%20la%20Litt%C3%A9rature%20de%20la%20R%C3%A9publique%20de%20Khakassie du CNRS avec Yury  Esin) ont réalisé cette exposition sur la civilisation Okuniev qui occupait les steppes de Sibérie il y a plus de 4000 ans.
Jamais présentée au public européen, la culture Okuniev est étonnante par la singularité de ses productions antiques. De grandes stèles sculptées de visages mystérieux, des parois gravées d’animaux étranges, tels sont les vestiges parvenus jusqu’à aujourd’hui.
Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
عيد ميلاد سعيد ل
د.عبد الحكيم شايف,ex de الهيئة العامة للأثار والمتاحف - الجمهورية اليمنية :-) (do you have further infos about this very interesting site for Yemen Tourism Promotion Board please ?)
La plaine de Tihamah serpente tout le long de la côte ouest du Yémen, en passant par l'ancien port de café de Mocha et jusqu'à Aden. Entourée par la mer Rouge d'un côté et une chaîne de montagnes de l'autre, cette longue et étroite bande de terre semi-désertique a la capacité impressionnante d'être à la fois diablement chaude et insupportablement humide. En 1982, Ed Keall a été le premier archéologue à y travailler. Il était là, en tant que directeur de la mission canadienne au Yémen, pour fouiller la ville médiévale Tihami autrefois prospère de Zabid et explorer son paysage environnant. Les travaux d'Ed dans cette terra incognita archéologique ont rapidement révélé les riches profondeurs de la Tihamah, comme il l'a découvert lorsqu'il s'est retrouvé face à face avec un site étonnant au milieu du désert : des monolithes de granit géants. Voici son récit : « C'était en mars 1997. Nous étions en train de fouiller Fazah, un site censé être le premier port d'entrée de Zabid pour les navires de l'océan Indien. Cependant, les vents de mousson commençaient à prendre une force énorme. Nous avions établi un camp de fortune composé de huttes de roseaux et certains membres de l'équipe canadienne ont commencé à montrer des signes de traumatisme dû au vent, un phénomène bien connu des personnes vivant dans des conditions terriblement sans abri. Nos yeux étaient rongés par le sable soufflant sans relâche du désert. Après trois nuits, j'ai décidé que je n'étais pas tout à fait prêt à devenir aveugle pour la cause de l'archéologie… J'ai choisi d'abandonner la mission et de retourner à notre camp de base à Zabid. En ramenant l'équipe et l'équipement de Fazah à notre base, j'ai décidé de modifier l'itinéraire du retour. Le sable soufflé avait obscurci certaines des pistes, et la morosité répétitive de grandes étendues de cette zone semi-désertique est telle qu'il a fallu un certain temps avant que je remarque que je me dirigeais dans la mauvaise direction. Cependant, comme les instruments GPS étaient devenus de rigueur pour les archéologues au Yémen (les relevés satellites nécessaires n'étaient plus brouillés par l'armée américaine), je me suis dûment garé sur le côté d'une plantation de dattiers pour essayer mon nouveau gadget. En regardant autour de moi, j'ai soudain réalisé que j'étais déjà venu ici, environ 15 ans plus tôt, pour enregistrer la poterie. Nous étions juste à côté du village d'al-Midamman. À ce moment-là, un fermier local a émergé des palmiers et nous avons commencé à parler. [je coupe]
« Alors, dit-il, tu veux voir les pierres ? Lorsque Salem Hassan m'a conduit à travers les dunes de sable et a souligné "les pierres" au loin, scintillant dans la brume du désert, je me souviens avoir pensé "Mon Dieu, c'est un Stonehenge yéménite". Devant nous se tenaient trois mégalithes de granit géants, chacun autour 3 m de haut et pesant environ quatre tonnes chacun. Deux autres de proportions similaires étaient tombés. Un autre mégalithe plus monstrueux, mesurant environ 8 m de haut, gisait toujours incliné par rapport au sol. A distance, de nombreux autres mégalithes plus élancés, ressemblant davantage à des piliers, jonchaient la surface du sol. De telles caractéristiques sont tout à fait inattendues dans cette région.[...] Je ne dis jamais que je les ai découverts car, pour certains locaux, ces pierres ont toujours fait partie de leur vie. Ils les appelaient « al-Manasib », littéralement « droits ». Ils croyaient que les pierres y étaient transportées par les djinns - ces entités folkloriques traditionnelles rusées imprégnées de propriétés magiques. J'ai préféré voir leur origine dans un site à environ 300 m des pierres, où, en plus d'autres montants tombés, il y avait une zone notable de pierre écaillée, connue localement sous le nom de 'al-Minjarah', ou la zone de 'coupe' . J'ai évalué qu'il s'agissait du site de taille de pierre ou de la carrière. En fait, j'ai depuis découvert que rien sur la Tihamah n'est si simple. Les éclats de pierre étaient en fait le résultat d'un "écaillage" - la désintégration d'anciens montants dans les dures conditions salines du désert. Comment expliquer ce Stonehenge yéménite ? Depuis, nous avons découvert qu'il y avait autrefois des dizaines, voire des centaines, de colonnes dressées à travers le paysage d'al-Midamman. C'était une culture ancienne qui se livrait à la pose de menhirs géants. En effet, une fois familiarisé avec la culture, on commence même à en reconnaître des traces dans les cimetières musulmans - y compris l'utilisation de piliers recyclés provenant de sites mégalithiques de l'Âge du Bronze pour marquer les tombes d'hommes saints. Leur utilisation abondante est d'autant plus frappante que (malgré mes pensées initiales selon lesquelles les pierres pourraient provenir d'al-Minjarah à proximité), nous savons maintenant qu'il n'y a pas de source immédiate et cohérente de pierre dans cette zone côtière. Les rochers du cours d'inondation existent, mais les mégalithes angulaires ne le font certainement pas, et il n'y a aucun signe que les mégalithes aient été taillés dans des rochers locaux. Alors d'où viennent-ils ? »
{Photo et infos de Current World Archaeology dans https://www.world-archaeology.com/features/yemen-arabias-stonehenge-3}
Buon compleanno a Luigi Pellini avec sa photo du Piloton au soleil levant (y) parfaitement raccord avec ma photo de l'Hermes Kriophoros du -Vè siècle exposé au Museo Barracco : https://www.facebook.com/photo/?fbid=130682619786218&set=a.122029783984835 <3 
Avis aux symbolistes et mythologues sérieux // Notice to serious symbolists and mythologists !!! Dans la région de www.montorioveronese.it, il y avait de nombreux menhirs, comme sur le mont Biron à San Giovanni Ilarione où il y avait 3 menhirs enlevés par le propriétaire du domaine en 1975. Également dans un petit lac près du mont Baldo, il y avait un grand bétyle qui émergeait de l'eau : il a été retiré à moitié émietté puis cuit pour faire de la chaux. Même dans la région de l'Alliance Française Vicenza et précisément à Sovizzo (Alte Ceccato) il y avait un site mégalithique : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=126434646885945&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3. 
Pierres enfoncées dans le sol qui, pour les anciens Vénitiens, représentaient les dieux et leurs forces liées au rayonnement solaire. Antoine Meillet, linguiste français et érudit grec démontre que le sanskrit devah, le lituanien devas, le vieux prussien deiwis, le latin deus, l'irlandais dia, le gaulois devon sont des mots qui dérivent de la racine indo-européenne, de/o, qui signifie lumière. Ainsi chez les Indo-Européens, l'être divin est conçu comme un être lumineux, à assimiler à la même lumière du soleil levant qui surgit des ténèbres. Ici la pierre au-dessus de Montorio est liée à la première lumière qui apparaît le jour du rayonnement solaire maximal (le solstice), pour les Anciens manifestation tangible de dieu. Festugière dans son « La religion grecque » écrit : « Remonter aux origines de la pensée grecque et dans le sillage de Pausanias, on constate la présence, dans la Grèce antique, de nombreuses pierres sacrées : hieroi-lithoi. Ces pierres sont dépositaires d'une force extraordinaire. Appelées Ergatoi, « Effectives », elles seront plus tard assimilées à des divinités bienfaisantes qui, fichées dans la terre, font le lien entre les énergies du ciel et des enfers, dites cosmotelluriques. A l'Âge d'Or, l'Homme adorait dans chaque étoile, dans chaque fleur, dans chaque frère, à chaque aube, un dieu propice dont le Soleil semblait le symbole le plus parfait. Frans Hemsterhuis, écrit dans sa lettre sur l'Homme : « Le soleil n'est plus, même pour Rome, une idole locale, mais un grand dieu avec les statues d'Hélio et de Ba'al, le premier étant le nom donné en Occident et le second au dieu Soleil de l'Est. Elagabalus a construit un grand temple du Soleil sur le mont Palatin pour abriter la pierre noire apportée de Syrie en 219. Ce Betylus représente le dieu et ainsi cette pierre sacrée était ointe dans l'antiquité comme la pierre de Delphes était ointe (Pausanias, x, 24, 6) tous les jours. À l'époque classique, la ganosis était l'onction des statues avec un mélange de cire et d'huile. Les statues sont couvertes afin que la force qui y est présente ne s'éloigne pas ! https://luigi-pellini.blogspot.com/2013/06/aspettando-il-sole-nascente-al-piloton.html 
Lire aussi https://www.heraldo.it/2021/01/31/il-piloton-e-il-grande-anello-della-storia-di-montorio de Heraldo
Bon anniversaire à Morgane Le Saint et c'est marrant car y a quelques jours à peine je souhaitais un bon anniv' à Thony Bourdeil avec sa superbe illustration sous le feu de la rampe de la comète de la si bien nommée C/2020 F3 Neowise (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=132106632985413&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3), une des comètes les plus visibles à l’œil nu depuis quelques années … qui début juillet 2020 est passée au plus près du Soleil (cf. https://www.meteo-centre.fr/blog/une-comete-visible-a-loeil-nu-pour-ce-mois-de-juillet de Météo Centre - Région Centre - Val de Loire) du menhir de … eh bien voilà la solution sachant qu'il n'est pas tout seul et est en altitude près d'un lac pas loin de la frontière entre les Hautes Pyrénées et la Haute-Garonne Tourisme) :-) Il s'agit donc du Cromlech du Port de Pierrefite à Bourg d'Oueil Officiel, au col du même nom à 1 855 m dans le massif pyrénéen de la Barousse et reliant ici Bourg-d'Oueil (Communauté de Communes Pyrénées Haut Garonnaises / Pyrénées 31 Tourisme du Conseil départemental de la Haute-Garonne) et Bareilles (Pyrenees2vallees dans le Département des Hautes-Pyrénées) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_cols_des_Hautes-Pyr%C3%A9n%C3%A9es
A la fin du XIXème siècle, Sacaze signale « à l'intérieur d'un cromlech de 4 mètres de diamètre est circonscrit un second de 2 m de diamètre entourant le menhir ». On ne voit aujourd'hui qu'un seul cromlech entourant le menhir. Le menhir, blanc, est un bloc de calcaire marbreux saccharoïde qui, si on en juge sa nature géologique, provient des environs de Saint-Béat. Ceux qui l'ont édifié l'ont donc transporté sur une distance de 20 km. Sa silhouette se distingue depuis la vallée. Vaguement anthropomorphique, il a pu évoquer une femme revêtue de la capuche traditionnelle, une bergère (ou un berger) pétrifié avec son chien et ses moutons. Les fées (les hadas) et leurs enfants (les hadeths) venaient la nuit, dit-on, depuis leur grotte proche danser autour de lui.
Encore vers 1950, les filles en quête d'un amoureux ou les femmes en mal d'enfant allaient l'embrasser et chantaient une chanson que rapporte Isaure Gratacos : « Peira Hita, bailha me 'ra pica hita » (« Pierre dressée, donne-moi une ... dressée ») ou de manière moins crue « Peira hita, peira bendita, balha me un peiro aireter » (« Pierre dressée, pierre bénie, donne-moi un bel héritier »).
Ce menhir a été victime d'une pelleteuse de la DDE en 1982 pendant l'aménagement d'une plateforme pour garer les voitures. Il est resté couché sur la pente herbeuse jusqu'à ce que les villageois de Bourg d'Oueil, désolés de ne plus l'apercevoir en haut du col, décident de le remettre en place. 
{Infos de http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=11435}
Happy birthday to Geo Ali de GIA Education et Learning Geology avec le cercle d'Asota (Kalula), un très beau cromlech avec 16 pierres encore debout, d'environ 3 m de haut, à Kalula, près du village d'Asoda Sharif, district de Swabi, Khyber Pashtunkwa, nord du Pakistan Tourism / Pakistan tour & tourism / Tourism Pakistan / Pakistan Tourism / Pakistan Tourism / Pakistan Tourism (if you have pictures about megaliths of your beautiful country, please feel free to share them here with the Community :-) ). Apparemment, il y en a d'autres dans la région de Peshawar (y) 16 pierres sont encore debout, plus une à moitié enterrée et une n'a qu'une base, donc au total 18 peuvent être tracées. De plus, deux autres petites pierres jouxtent deux des plus grandes encore debout, peut-être comme support. Les pierres forment un cercle presque parfait, à l'exception d'une qui se trouve légèrement à l'extérieur de celui-ci. Cependant, comme la plupart des pierres (13) se tiennent d'un côté, formant un demi-cercle, seule une fouille archéologique pourrait confirmer le cercle en tant que tel. Les pierres en demi-cercle sont à peu près orientées vers le sud-ouest, celle hors ligne se trouve de l'autre côté, où deux autres pierres debout et une pierre couchée peuvent être trouvées sur la ligne du cercle imaginaire. Les pierres ne sont généralement pas taillées, bien que certaines semblent avoir été façonnées en forme rectangulaire avec des coins définis. Elles sont en granit, que l'on peut trouver dans les montagnes voisines bien qu'un guide ait soutenu que ce type de granit vient d'environ 20 km. Les pierres les plus hautes mesurent environ 3 m de haut. Selon l'archéologue-directeur du musée de Peshawar, il y a au moins deux autres cercles dans les environs de Peshawar. Selon les habitants, les pierres étaient autrefois 30 et érigées par Ashoka (Bouddha) pour pouvoir méditer à chacune, un jour du mois. Cependant, il semble tout à fait probable que le cercle de pierre soit d'une date beaucoup plus ancienne, Néolithique / Âge du bronze ancien, en lien avec des cercles similaires ailleurs : photo et infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=30824
Bon anniversaire à Joël Castéran de AE Médias et ACUMPANYAT, Bureau Montagne à Cauterets avec le Cromlech de Pe Det Malh (A : à priori restes d'un harrespil, nom basque pouvant être traduit par « cercle de pierres », donné aux petits cromlechs qui abondent sur les reliefs pyrénéens, notamment au Pays basque ; on les appelle également baratz, mot signifiant "jardin" et traditionnellement appliqué aux nécropoles préhistoriques : https://fr.wikipedia.org/wiki/Harrespil), non loin du Lac d'Estaing, situé dans le Val d'Azun (vallée d'Estaing) à 1163 m d'altitude des Pyrénées Béarnaises ! Les Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths veulent bien aussi des photos du Menhir du Soulor, à Arrens-Marsous également dans la Communauté de Communes Pyrénées Vallées des Gaves où aura lieu le Pyrénées Vallées des Gaves Trail : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHSOUL%204
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le gave de Cauterets, le gave d'Estaing, Gave de Cambasque et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (les « gaves de Pau et de Cauterets (et gorge de Cauterets) », le « moun Né de Cauterets, pic de Cabaliros » et « Péguère, Barbat, Cambalès ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=LHPEDE+4
շնորհավոր ծնունդդ Անահիտ Խուդավերդյան de ՀՀ ԳԱԱ ՀԱԻ / Institute of Archaeology & Ethnography :-) J'aurai pu poster Zorats Karer (en arménien Զորաց Քարեր), aussi appelé Karahunj (Քարահունջ, « voix des pierres ») mais comme il a déjà sa page https://fr.wikipedia.org/wiki/Zorats_Karer, autant vous faire découvrir K'anaker, une ancienne forteresse de l'âge du bronze et village avec cercle de pierres sur la côte du lac Sevan (y) Do you have maybe please infos or a link to know more (other infos pros welcome in the International MegalithicFriend's Association ;-) ), and photos to share with the Community of Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths ? :-)
{Photos et infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=25209}
L'autre jour je mettais en avant la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie (https://www.facebook.com/photo/?fbid=145872128275530&set=pb.100085582290808.-2207520000.), aujourd'hui et à venir je promeus un des autres coups de <3 mis à l'honneur du SIT Rennes à savoir le Voyage Occitanie du Comité Régional du Tourisme et des Loisirs d'Occitanie : https://www.sit-rennes.com/pays-a-l-honneur (y)
En altitude près d'un lac pas loin de la frontière entre les Hautes Pyrénées et la Haute-Garonne Tourisme se trouve le Cromlech du Port de Pierrefite à Bourg d'Oueil Officiel, au col du même nom à 1 855 m dans le massif pyrénéen de la Barousse et reliant ici Bourg-d'Oueil (Communauté de Communes Pyrénées Haut Garonnaises / Pyrénées 31 Tourisme du Conseil départemental de la Haute-Garonne) et Bareilles (Pyrenees2vallees dans le Département des Hautes-Pyrénées) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_cols_des_Hautes-Pyr%C3%A9n%C3%A9es
A la fin du XIXème siècle, Sacaze signale « à l'intérieur d'un cromlech de 4 mètres de diamètre est circonscrit un second de 2 m de diamètre entourant le menhir ». On ne voit aujourd'hui qu'un seul cromlech entourant le menhir. Le menhir, blanc, est un bloc de calcaire marbreux saccharoïde qui, si on en juge sa nature géologique, provient des environs de Saint-Béat. Ceux qui l'ont édifié l'ont donc transporté sur une distance de 20 km. Sa silhouette se distingue depuis la vallée. Vaguement anthropomorphique, il a pu évoquer une femme revêtue de la capuche traditionnelle, une bergère (ou un berger) pétrifié avec son chien et ses moutons. Les fées (les hadas) et leurs enfants (les hadeths) venaient la nuit, dit-on, depuis leur grotte proche danser autour de lui.
Encore vers 1950, les filles en quête d'un amoureux ou les femmes en mal d'enfant allaient l'embrasser et chantaient une chanson que rapporte Isaure Gratacos : « Peira Hita, bailha me 'ra pica hita » (« Pierre dressée, donne-moi une ... dressée ») ou de manière moins crue « Peira hita, peira bendita, balha me un peiro aireter » (« Pierre dressée, pierre bénie, donne-moi un bel héritier »).
Ce menhir a été victime d'une pelleteuse de la DDE en 1982 pendant l'aménagement d'une plateforme pour garer les voitures. Il est resté couché sur la pente herbeuse jusqu'à ce que les villageois de Bourg d'Oueil, désolés de ne plus l'apercevoir en haut du col, décident de le remettre en place. 
{Photo de https://lagrolenpyrenees.blogspot.com/2012/11/mont-ne-pic-du-lion-sommet-du-tech.html ; infos de http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=11435}
Bon anniversaire à Candice Leroy qui a fouillé dans la Ville de Maubeuge et aussi à HistoKeo HistoKeo qui a étudié à l'Université de Lille :-) Comme j'avais pas plus d'infos et rien de mégalithique dans leurs photos, voici le Menhir dit la Pierre de Dessus-Bise (dont je veux bien svp une photo à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y) ) à Sars-Poteries, non loin du MusVerre - un musée du Département du Nord, dans la Communauté de communes du Coeur de l'Avesnois ! Bien qu'il se situe sur la place publique, qu'il ait des gravures rupestres et soit classé MH depuis 1862, le site communal n'en parle même pas dans sa rubrique « Patrimoine » alors qu'il est sa propriété :-o / :-( Ça ferait pourtant un attrait intéressant pour l'Avesnois Tourisme et le Parc naturel Régional de l'Avesnois car rares sont les mégalithes dans le Département du Nord [qui a une comm' num' catastrophique concernant Nord Tourisme ou La Tangente, agence d'innovation touristique du Nord … bref on sait pas qui taguer pour le Tourisme dans le Nord, faut galérer à trouver des pages en sommeil, donc on repassera (ou pas) pour l'OT du futur car avec des logos de réseaux sociaux chez https://evasion.lenord.fr c'est bien, mais avec des liens actifs c'est mieux !!!] Viendez dans les Hauts-de-France Tourisme qu'ils disaient … mouais, je vais rester à Groland :-p
{Photo du Ministère de la Culture dans https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00107808}
Happy birthday to Angie Fogarty Wickenden avec ses photos de Scorhill Stone Circle / Gidleigh Stone Circle / Steep Hill Stone Circle et Shovel Down : https://www.facebook.com/angie.wickenden/posts/pfbid0eeysQG5vprPM16HWbtW95kPGBrqKYwva91RsjR9BqVU56iFy1kfob2Va5AoeZ5axl (y) :-) <3
Scorhill Stone Circle est l'un des cercles de pierres les plus grands et les plus intacts du Devon, près du Gidleigh Park, au nord-est du Dartmoor National Park du National Trust Dartmoor, au Royaume-Uni. C'est un monument classé par l'English Heritage et il a été décrit comme le plus beau cercle de pierres du Devon. Le cercle a été construit à l'âge du bronze. Il a un diamètre d'environ 27 mètres et la hauteur des pierres varie de 0,85 mètre à une hauteur impressionnante de 2,25 mètres au-dessus du sol. Les espaces entre les pierres varient en largeur de 0,6 à 0,9 mètre. Il y a actuellement 23 pierres debout et 11 pierres couchées. Caractéristique des autres pierres du cercle, la plus grande a une pointe dentelée distinctive. Il a été noté que, vu du centre du cercle, le soleil se couche sur la pointe de la pierre la veille de la Saint-Jean, ce qui indique une certaine utilité en archéoastronomie. Les estimations du nombre original de pierres ont varié entre 51 et environ 70, ce qui en fait l'un des cercles de pierres les plus larges du Devon avec le plus haut monolithe restant. Des objets en silex provenant des environs du site de Gidleigh Moor remontent à -8 500, pendant la période mésolithique, et sont maintenant conservés au Torquay Museum.
Scorhill est situé dans un paysage de monuments mégalithiques et figure dans les histoires locales de chevaux qui ne veulent pas passer par le cercle. Certains folklores le relient au Tolmen, une pierre percée d'un grand trou en forme de beignet, surplombant un ruisseau voisin. Une histoire des "épouses infidèles et des jeunes filles volages" raconte que les femmes infidèles étaient obligées de se laver dans un bassin voisin, de faire trois fois le tour de Scorhill, puis de passer par le Tolmen et de prier devant les pierres pour obtenir l'absolution. Les femmes infidèles étaient écrasées par une pierre, ce qui donne une idée étrange de la raison pour laquelle tant de pierres sont tombées : https://en.wikipedia.org/wiki/Scorhill 
Voir aussi https://visitdartmoor.co.uk/get-active/the-best-dartmoor-walks/scorhill-and-teignhead-walk de Visit Dartmoor, https://holidayindartmoor.co.uk/chagford/scorhill-stone-circle-35872.html, http://www.stone-circles.org.uk/stone/scorhill.htm, https://www.britainexpress.com/counties/devon/ancient/scorhill-stone-circle.htm de Britain Express, https://www.alltrails.com/fr/randonnee/england/devon/kestor-rocks-scorhill-stone-circle-and-gidleigh de AllTrails, https://www.devonperspectives.co.uk/scorhill_stone_circle.html 
Shovel Down est une zone de Dartmoor, dans le discoverdevon, couverte de mégalithes, dont les vestiges de plusieurs rangées de pierres, le Fourfold Stone Circle et plusieurs pierres debout.
Le complexe de rangées de pierres de Shovel Down occupe les pentes nord et sud d'une large crête est-ouest de lande non fermée. Il date probablement de l'âge du bronze. On peut voir environ cinq rangées de pierres doubles et une rangée de pierres simples. D'autres monuments probables de l'âge du bronze se trouvent dans les environs immédiats, notamment le Fourfold Circle, la Long Stone, la Three Boy's Stone et plusieurs cairns.
Le Fourfold Circle (référence de grille SX65958601) est une configuration de quatre cercles de pierres concentriques. Le cercle extérieur a un diamètre de 9 m, les autres ont des diamètres de 6,4 m, 4,7 m et 2,4 m respectivement. Le Fourfold Circle est l'emplacement d'un cairn couvert de gazon avec une ciste centrale qui a été pillée.
La pierre longue (référence de quadrillage SX66028567) se dresse au milieu de deux rangées de pierres. Elle est appelée " Langstone " dans une source documentaire de 1240. Elle marque aujourd'hui la limite de trois paroisses.
La Three Boys standing stone (référence SX66028549) est une pierre marquant l'extrémité sud de l'une des rangées de pierres. C'est la seule survivante des trois pierres de ce type connues sous le nom de Three Boys : https://en.wikipedia.org/wiki/Shovel_Down 
Voir aussi http://www.stone-circles.org.uk/stone/shoveldown.htm, https://www.britainexpress.com/counties/devon/ancient/shovel-down.htm, http://www.dartmoorwalks.org.uk/site/shovel.php, https://www.isleofalbion.co.uk/sites/39/shovel_down.php de The Isle of Albion, https://southwestcoastphotos.com/photo_16409910.html, https://holidayindartmoor.co.uk/chagford/shovel-down-stone-rows-35863.html, http://www.saintsandstones.net/stones-shoveldown-journey.htm, https://www.chagfordlocalhistorysociety.org.uk/shovel-down, https://www.mediastorehouse.com/heritage-images/stone-alignment-shovel-down-3rd-2nd-millenium-bc-14860066.html de Media Storehouse, https://www.heritagegateway.org.uk/gateway/Results_Single.aspx?uid=MDV29944&resourceID=104, http://prehistoricmonumentsofdartmoor.weebly.com/shovel-down.html, https://www.waymarking.com/waymarks/WM3P59_Shovel_Down_Stone_Row_2_Dartmoor_Devon_UK
Happy birthday to Mike King, ex de Newry, Mourne and Down District Council, avec ses photos (pour ceux qui ont la chance d'être son ami ;-) : https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid0Arby7JpSDWnrekSkLuuvKvTU2nDdFo6s4nRoJMiDLUb14FWfbqPfRa826bgnRLoNl&id=100006442144392) du Beltany Stone Circle (y) :-) <3
Beltany est un cercle de pierres de l'âge du bronze situé juste au sud de la ville de Raphoe Town dans le County Donegal, en Tourism Ireland/Discover Ireland. Il date d'environ -2 100 à -700. Il existe des preuves qu'il a pu également être le site sacré de monuments néolithiques, peut-être des tombes à couloir. Il surplombe le complexe de tombes à couloir de Kilmonaster, aujourd'hui détruit, et Beltany est dominé par Croghan Hill à l'est, au sommet de laquelle se trouve un monticule néolithique, probablement une tombe à couloir (bien qu'elle n'ait jamais été fouillée).
Aujourd'hui, Beltany compte 64 pierres de hauteur et de largeur variables entourant une plate-forme en terre. Le centre est très perturbé et a probablement été creusé par les habitants dans les années 1700 à la recherche de pierres détachées pour construire les fermes et les limites des champs. Cette preuve a été donnée oralement aux agents de terrain de l'Ordnance Survey dans les années 1830 et est inscrite dans les archives de l'OS. Il indique que les habitants se souviennent de l'enlèvement de vastes tas de pierres et de tombes de type sépulcral avec des ossements. Le mur de pierres près du cercle peut confirmer cette preuve et la mention sur les premières cartes de l'OS du "Tops Village" au pied de la colline. L'énigmatique cercle de pierres est situé au sommet de Tops Hill, mot gaélique anglicisé qui signifie « l'allumage d'une torche cérémoniale ». Plusieurs pierres sont marquées de cupules. L'une d'elles en particulier, la pierre triangulaire sur NE, est décorée d'incisions circulaires ou de marques de coupe visibles à l'œil nu. D'autres pierres ont ce qui semble être des constellations d'étoiles reproduites. Les lourdes pierres du nord-ouest penchent vers l'extérieur, peut-être sous la pression des débris et des rochers enlevés dans les années 1700 ou en raison de l'épuisement du banc de terre.
Il s'agissait d'un site rituel associé au marquage de l'année agricole celtique - les solstices et équinoxes d'été et d'hiver. L'année rituelle celtique était divisée en 4 parties - Beltaine (mai), Samhain (novembre) les parties principales et Imbolg (février) et Lughnasa (août). La Beltaine peut être liée au marquage du lever et du coucher du soleil lors de ces événements rituels et cérémoniels importants de l'année. Elle peut aussi avoir une orientation lunaire, qui reste à calculer.
Une seule pierre "aberrante" d'environ 2 mètres de haut se dresse au sud-est du cercle. Elle avait probablement une fonction liée aux rituels ou aux cérémonies du cercle. Il peut aussi s'agir de l'une des nombreuses pierres dressées en ligne trouvées dans les champs autour des pentes de la colline et de la vallée de Tops.
Une tête en pierre sculptée (plate vers l'arrière) proviendrait des terres autour de Beltany et aurait servi de masque ou de moule à partir duquel les masques cérémoniels étaient façonnés en bronze ou même en or. Il se trouve sous les voûtes du National Museum of Ireland de Dublin (do you have a picture of it please ? No result in https://www.museum.ie/en-ie/search/searchindex?searchtext=Beltany :-o / :-( ) . Ces mégalithes indiquent que ce paysage a été délimité et utilisé comme un site sacré et rituel pendant plusieurs millénaires.
Il a été suggéré que le nom du site est lié à la fête celtique de la fertilité connue sous le nom de "Beltane", le nom anglicisé de la fête gaélique du May Day, qui se tient généralement le 1er mai et qui, historiquement, est largement observée en Irlande, en Écosse et sur l'île de Man. En irlandais, le nom du jour de la fête est Lá Bealtaine, en gaélique écossais Là Bealltainn et en gaélique manx Laa Boaltinn/Boaldyn : https://en.wikipedia.org/wiki/Beltany_stone_circle 
Voir aussi https://www.askaboutireland.ie/reading-room/history-heritage/heritage-towns/the-heritage-towns-of-don/raphoe/beltony-stone-circle du Department of the Environment, Climate and Communications, https://www.guide-irlande.com/sites-touristiques/beltany-stone-circle de Guide Irlande.com, https://voicesfromthedawn.com/beltany-stone-circle de Voices from the Dawn, http://www.ancientireland.org/beltany, https://www.tuatha.ie/beltany-stone-circle de Tuatha, https://www.ancient-origins.net/ancient-places-europe/beltany-stone-circle-0010809 de Ancient Origins, https://www.inishview.com/activity/beltany-stone-circle de Inish View, http://www.carrowkeel.com/sites/donegal/beltany.html de Cliffoney remembers Fr Michael O'Flanagan, https://www.facebook.com/879413398741200/posts/ring-of-fire-beltany-stone-circle-co-donegal-irelandthank-you-monumental-ireland/1812376978778166 de Silent Earth, https://garethwray.com/product/beltany-stone-circle-donegal de Gareth Wray Photography, https://wanderyourway.com/my-15-favorite-amazing-historical-sites-in-ireland/beltany-stone-circle-county-donegal-ireland-6 de Wander Your Way
Feliz cumpleaños a David Barreiro, ex de l'Instituto de Ciencias del Patrimonio - Incipit, avec sa photo du Castlerigg Stone Circle, déjà posté donc voyez les infos dans https://www.facebook.com/profile/100085582290808/search/?q=Castlerigg (y) :-) <3
Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)
Feliz cumpleaños a Miguel Mendez-Cabeza avec ses photos (https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid02zuLNwmDRTQQfBGArLSjMuEWgc2AswPnzMYdp3WtLEhnD87NauhbKpn6xvJ9dJktbl&id=100010806519333) du Menhir de la Laguna del Conejo à Velada dans Ayuntamiento Talavera de la Reina du Turismo Castilla-La Mancha, qu'il décrit en détail dans http://lamejortierradecastilla.com/patrimonio-comarcal-en-peligro-1-el-menhir-de-la-laguna-del-conejo (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Ce menhir, qui fait partie de ce que l'on appelle le mégalithisme d'Extremadure, comme un autre qui a disparu près du barrage de Guadyerbas, le menhir dit de Parrillas, est également situé près des anciennes pistes de transhumance.
Il s'agit d'un bloc de granit à la forme pointue typique des menhirs, avec de nombreux creux hémisphériques sur sa face sud, les "cazoletas", dont la signification rituelle pour le peuple qui l'a érigé il y a quatre mille cinq cents ans est inconnue. Certaines de ces cazoletas sont reliées par de petits canaux dont le symbolisme est également inconnu et que l'on peut voir sur l'image marquée d'une flèche.
Dans les environs, il a trouvé des éclats de silex travaillés dans les tons blancs.
Depuis la Préhistoire, la vallée du Tage a favorisé l'installation continue de diverses cultures. Des vestiges paléolithiques, néolithiques et chalcolithiques ont été conservés dans différentes parties de la région - dolmen de Navalcán, dolmen d'Azután, dolmen de La Estrella. Le versant nord de la vallée du Tage, connu sous le nom de Tajonar, avec son relief caractéristique en gradins de terrasses alluviales quaternaires sur des matériaux granitiques paléozoïques, a probablement abrité les premières populations préhistoriques : https://es.wikipedia.org/wiki/Talavera_de_la_Reina#Prehistoria_y_protohistoria
Voir aussi https://terraeantiqvae.com/group/petroglifos/forum/topics/abundantes-cazoletas-en-el-menhir-de-la-laguna-del-conejo-cerca
Feliz cumpleaños a Jesus Argudo avec une de ses photos d'un harrespil (https://fr.wikipedia.org/wiki/Harrespil), cercle de pierres pyrénéen de l'Âge du bronze tardif (à partir de -1 200 environ)  (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)
Voici ce qu'il écrit dans https://www.facebook.com/jesus.argudo.779/posts/pfbid02VCscnXB744QV6XREbcFQbfnKtmPhJJxZJaucjkzbjyHv9b7tsjXzrDAKBUXru5QWl (réservé à ses amis) : « En 2005, l'Instituto de Estudios Altoaragoneses a publié le numéro 22 de sa revue Bolskan, un numéro spécial consacré aux cercles de pierre pyrénéens ou cromlechs pyrénéens. 
Cette étude décrit plus d'un millier de cercles dans les Pyrénées et seuls deux d'entre eux sont situés dans la vallée de Chistau / Gistain du Turismo de Sobrarbe, au nord de la province du Turismo Huesca : voyez https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_de_Chistau, https://www.lacsdespyrenees.com/vallee-Gistain.html des Lacs des Pyrénées, https://www.pyrenees2vallees.com/bal-de-chistau-et-parc-naturel-posets-maladeta de Pyrenees2vallees, http://www.pyrenees-passion.info/les-lacs-des-pyrenees/lacs-pyrenees-espagnoles/ibon-del-sen 
Ce fait m'a fait penser qu'il devait y en avoir beaucoup plus à découvrir et j'ai commencé une étude en commençant par le col de Sahún (https://www.casasordesa.com/fr/contenidos/rutas/de-san-juan-de-plan-au-col-de-sahun-port-de-sahun de Casas Rurales Ordesa), où se trouvaient les deux cromlechs attribués à cette Valle de Benasque.
Actuellement, il y a plus de 30 cercles de pierres pyrénéens dans la vallée et seulement dans le col de Sahún il y en a entre sept et neuf, car certains d'entre eux, avec les vicissitudes de la guerre civile et la construction et l'asphaltage d'un tronçon de piste ont été détruits, par exemple la table en bois existante, à côté du petit parking du col, se trouve dans ce qui reste de l'un d'entre eux.
Tous sont orientés vers l'est, vers le lever du soleil. Le cercle lui-même est un symbole du soleil.
Il existe deux types fondamentaux de cercles de pierres : le type pyrénéen, fait de petites pierres, et dans la zone du col de Sahún, nous avons des cercles d'un mètre et demi de diamètre, jusqu'à un cercle d'environ 10 mètres de diamètre, il y en a sept bien conservés et deux possibles ; et il y a un deuxième type, appelé type breton, qui se caractérise par le fait d'être fait de pierres beaucoup plus grandes, très rares dans les Pyrénées aragonaises, et ici nous en avons peut-être un, dans la zone de La Turmosa.
Tous ces cercles, éventuellement et en l'absence de datation (lorsqu'une subvention est accordée à cette fin) auraient une origine néolithique et auraient été réalisés par un ou plusieurs clans qui, comme cela a été démontré dans la grotte des Trocs dans la Valle De Benasque, montaient pour garder le bétail au printemps et en été dans ces pâturages, contribuant ainsi à créer ce merveilleux paysage humanisé....
Si un groupe de personnes est intéressé à les voir ou s'il veut les voir avec moi, nous pouvons nous rencontrer un des jours où je monte au refuge de Marradetas et faire une petite excursion de quelques heures pour les voir ».
Bon anniversaire à Tregan Jean-François avec sa photo du Menhir dit Pla del Bac / Del Bosc / Bassouse / Del Port vers la Mairie Eyne en Pyrénées Catalanes du Tourisme en Pyrénées Catalanes (y) N'hésite pas à Partager tes clichés avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Pierre dressée pointue en granite de 2m80 environ, de section carrée, à côté d'un village d'été de la fin de l'âge du bronze à 1 565 m d'altitude, elle a été extraite à proximité. Relevée par les archéologues à l'occasion de l'étude du site, on note son érection très phallique quand elle est vue avec la vallée d'Eyne en arrière-plan : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=11322
L'histoire du village d'Eyne remonte au Néolithique. Des traces d'un premier foyer aménagé au Pla Del Bach vers -3 300 ont été trouvées à proximité du village. Les dolmens et menhirs encore présents sur le territoires sont vieux d'environ 4000 ans. Depuis cette époque, les cultures de blé, de seigle, d'avoine se développent autour du village, ainsi que l'élevage bovin et ovin jusque dans la vallée, avec la pratique de l'estivage : https://fr.wikipedia.org/wiki/Eyne#Histoire 
Voir aussi https://www.tourisme-pyreneesorientales.com/balade-archeologique-deyne et https://cdt66.media.tourinsoft.eu/upload/balade-archeologique.pdf de Pyrénées-Orientales Tourisme, https://www.les-pyrenees-orientales.com/Patrimoine/MenhirDuPlaDelBosc.php de Les Pyrénées Catalanes

-1 000 et -500

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Feliz cumpleaños a Pedro Alpuin avec la Réserve Archéologique Los Menhires près de Tafí del Valle (voir aussi https://www.facebook.com/photo/?fbid=120257377503672&set=a.113756704820406) . Plusieurs de ses sculptures mystérieuses y sont rassemblées : parmi les quelques 50 pièces de granit exposées dans ce parc, certaines font plus de trois mètres de haut pour un poids de 4 tonnes. Elles seraient issues de la culture dite « Tafi 1 », du nom des habitants qui peuplaient la région entre -820 et le VIIIe siècle ! La belle vallée de Tafí sépare les hautes cordillères du Nevado del Aconquija au sud et les Cumbres Calchaquíes au nord ; c'est aussi l'important passage qui relie les Vallées Calchaquies à l'ouest, et la grande plaine chaco-pampéenne à l'est !
De nombreux érudits affirment que les menhirs sont une représentation magique de la culture Tafi 1 (l'une des premières tribus potières du nord-ouest de l'Argentine) et qu'ils symbolisent la fertilité et la fécondité en raison de leur disposition phallique. Leurs motifs comprennent des gravures de grands visages humains, des animaux, ainsi que des figures amorphes et géométriques. Les plus populaires sont ceux appelés "Ambrosetti" (l'archéologue et naturaliste italien Juan Ambrosetti les a étudiées en 1897), "Sabaleta Pueyrredón" (quelqu'un peut traduire svp ?), "La Vieja" (« La Vielle Femme »), "La Lapida" (« La Pierre »).
{Photo de Welcome Argentina danshttps://www.welcomeargentina.com/tafidelvalle/reserve_los_menhires.html ; infos de Voyages Excepción dans https://www.argentina-excepcion.com/regions-argentine/region-nord-ouest/tucuman}
Feliz cumpleaños a Natalia Figueiras de l'Universidad Complutense de Madrid et de la Fundación Moreiras San Pedro de Rocas avec ses photos (https://www.facebook.com/natalia.figueiras.5/posts/pfbid02nCX2xSczQGW9AMQ3XygwUNDpyaAmKAUs2fsCvYStxMYPuH9diAiDx8CsSZA24U8Zl) de Menorca Menorcatour / Turismo de Menorca
« La récente candidature de "Menorca Talayótica" (https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_talayotique) rejoint le "Paysage de lumière" (Paisaje de la Luz) de Visita Madrid et la Ribeira Sacra Consorcio de Turismo sur la voie des désignations de l'UNESCO ». Le site d'España Global (et leur page aussi : quelle bande de branquignoles à Ministerio de Asuntos Exteriores, Unión Europea y Cooperación de España :-( ; eux ils en sont au Passage de la Loose 🤪 !!!) est kaputt/en sommeil mais voici l'article : https://web.archive.org/web/20201129114818/https://www.thisistherealspain.com/es/actualidad/las-candidaturas-de-espana-a-patrimonio-de-la-humanidad ;-)
Feliz cumpleaños a Paco Pérez avec ses photos : https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid0ebeFq5h6ErytrvQYFbZtEvwUNqWRKrf3WmnLpB9K1cMZVeYNWLDU88iG8z3RkYuvl&id=100009543415680
Au Museo Arqueológico de Badajoz (à qui le Concejalía de Cultura. Ayuntamiento de Badajoz pourrait tout de même créer une page en fb, c'est fait en 5 mn !!!) se trouve l'une des plus importantes collections de stèles de guerriers, des dalles de pierre de forme irrégulière décorées sur l'une de leurs faces de gravures qui représentent généralement des guerriers et leurs accoutrements, datées de la fin de l'Âge du Bronze, entre les -VIIIè et -VIè siècles : http://museoarqueologicobadajoz.juntaex.es/web/view/portal/index/standardPage.php?id=54
Il existe de nombreuses théories sur leur signification, de la délimitation des territoires, des stèles funéraires ou des représentations de batailles, de victoires ou de grandes réalisations qui se sont déroulées dans le lieu.
Feliz cumpleaños a Daniel Merino du Museo Nacional de Sican et de l'Universidad Nacional Pedro Ruiz Gallo avec sa photo du Portada de las Falcónidas ou Portada Negra y Blanca, une structure mégalithique à plusieurs composants où se détachent deux colonnes sculptées circulaires et une dalle en porte-à-faux, également sculptée. Le portique est situé au centre du frontis situé sur le côté est du nouveau temple ou bâtiment A du centre cérémoniel de Chavín de Huántar, au Pérou (https://fr.wikipedia.org/wiki/Chav%C3%ADn_de_Hu%C3%A1ntar). Les images sculptées en bas-relief sur les colonnes et la frise sont complexes et il est théorisé qu'elles pourraient transmettre un message complexe. 
A droite du portique et au sud, la façade est constituée de blocs de granit « blanc ». A gauche et au nord, la façade est constituée de blocs de calcaire « noir ». En face de la porte se trouve une place carrée en contrebas, appelée Plaza Menor (elle a actuellement une forme rectangulaire). Après la Plaza Menor et avant la Plaza Cuadrada, sur le l'Escalier Noir et Blanc, il y avait un Portique des Jaguars.
La structure mégalithique du portail des Falconides comporte plusieurs éléments :
*** 2 jambages sur les côtés, composés chacun de trois pièces lithiques 
*** 2 colonnes circulaires sculptées en bas-relief, chacune avec un être anthropomorphe 
*** 1 frise en saillie avec huit êtres zoomorphes fauconniers en bas-relief, actuellement divisés en deux 
*** 1 linteau, composé de trois pièces, ne faisant actuellement pas partie de la reconstruction 
*** 1 échelle d'accès 
Les deux colonnes mesurent 2,30 m de haut, 61 cm de diamètre et 1,91 m de circonférence. Chacune contient une représentation d'un être anthropomorphe. L'archéologue péruvien Luis Guillermo Lumbreras décrit ces représentations comme « des êtres draconiens, ailés, avec des crocs et une tête de faucon ». L'anthropologue américain John Rowe a qualifié ces créatures d'« anges gardiens ». L'être hybride de droite est masculin car il contient l'attribut de « pénis aculéatus » (épineux) tandis que celui de gauche est féminin en contenant l'attribut du « vagin denté ».
John Rowe a argumenté en 1972 sur le rôle des êtres draconiens dans les colonnes, postulant que ces êtres servaient le Dieu des Bâtons - représenté dans la Stèle Raimondi - et que dans le nouveau temple le culte était dirigé vers cette divinité. D'autre part, il a mentionné que le principal objet de culte dans l'ancien temple était la Grande Image ou Dieu Souriant, populairement connu sous le nom de Lanzón monolithique (https://www.facebook.com/photo/?fbid=118905437638866&set=a.113036488219475). 
Au lieu de cela, l'anthropologue américain Richard Burger a soutenu en 1992 que l'architecture de la Portada incarne le principe andin cosmique des dualités opposées et complémentaires infinies. Par conséquent, le centre cérémoniel de Chavín de Huántar, en montrant les êtres draconiens féminins et masculins sur les colonnes d'une façade divisée en pierre de granit « blanc » et calcaire « noir », transmet ce message de dualité complémentaire - en quechua « yanantin » - à travers l'architecture et en même temps montre la longévité dans les Andes du concept. 
L'archéologue John W. Rick a fait valoir que « dans les multiples médias créés ou utilisés - paysage, architecture, décoration, lumière, son, plantes psychoactives - il a trouvé des preuves d'une manipulation finement réglée par les planificateurs de site, les exécutants et les dirigeants ». Dans cette hypothèse, d'une part, les représentations sur les sculptures en pierre de Chavín témoignent de la manipulation effectuée par les membres du culte et, d'autre part, le temple de Chavín était un lieu d'exploration et d'expérimentation psychologique pour vérifier les réactions des personnes à différents stimuli. Sur la base de ce raisonnement, Rick et d'autres auteurs voient Chavín comme un lieu construit pour impressionner et manipuler les gens dans le but de les intégrer à un système de croyances religieuses qui sert à renforcer l'autorité et le pouvoir des membres de la secte. 
Contrairement à l'hypothèse de Rick, des anthropologues tels que George F. Lau et Richard Burger interprètent le temple non pas comme un centre destiné à manipuler, mais plaident plutôt en faveur d'une plus grande complexité concernant les raisons de la construction du lieu, proposant Chavín comme un pan important, centre andin d'un réseau d'échange de produits — matériels et immatériels — et de pèlerinage au cours de la formation tardive : https://es.wikipedia.org/wiki/Portada_de_las_Falc%C3%B3nidas
Feliz cumpleaños a Sylvette Maurin de LE MAG Tenerife et Ayose Himar Gonzalez Padilla :-) Avant l'arrivée des aborigènes, les Îles Canaries étaient habitées par des animaux endémiques, disparus depuis, tels que lézards géants, rats géants et tortues géantes. Les sources gréco-romaines y situent les limites du monde connu (l' « Écoumène »). L'imagination des classiques y place les Champs Élysées, le jardin des Hespérides et l'Atlantide de Platon. Les îles Canaries sont connues depuis l'Antiquité sous le nom d' « îles Fortunées » ou « îles des Bienheureux ». Selon plusieurs études génétiques menées dans les années 2000 sur des restes de momies guanches, cette population préhispanique était d'origine berbère d'Afrique du Nord-Ouest, arrivée vers -1 000 voire avant.
Au sommet du mont Garajonay, sur l'île de La Gomera, on peut observer la reconstitution d'un sanctuaire guanche (anciens habitants des îles Canaries) et le volcan Teide en arrière-plan, sur l'île de Ténérife. Does the Parque Nacional de Garajonay, Turismo de Islas Canarias, Gran Canaria or Tibicena. Arqueología y Patrimonio have informations about this stones ? :-) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_de_Garajonay
عيد ميلاد سعيد ل
أبو مهند الحاج avec ses photos d'Al-Muhandad, l'un des sites les plus importants de l'Âge du Bronze
dans le مركز معلومات محافظة تعز, 
district de Mawza, qui remonte à environ -2 500. Ce site de l'Archaeology in Yemen (do you please have further informations about the culture which build this ? :-) ) contient les ruines des temples les plus anciens qui remontent au début du premier millénaire, dont la surface apparente atteint 90 x 35 m. Les colonnes rocheuses apparaissent également debout, dont les diamètres varient de 1,80 m à 1,30 m (y)
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Mattam Vinodkumar avec un des dolmens du superbes albums de mégalithes indiens chez Vidarbha Darshan : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.596828439114167&type=3&mibextid=Nif5oz (y) :-) <3
Tillykke med fødselsdagen til Jan Eskildsen alors Go VisitDenmark et Destination Bornholm avec Stammershalle, un cimetière et un sanctuaire de l'âge du fer composé de trois pierres (do not hesitate to Share photos/infos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) ). La pierre centrale a un "visage" - peut-être une ancienne statue d'un dieu, par exemple Njord (le dieu de la mer) ? Le "visage" tourne à gauche avec la bouche et les yeux en haut au milieu.
{Photo et infos de Jeanne Cordua issue de https://festsange-cordua.dk/?page_id=306, présentées dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=15218 de The Megalithic Portal}
Buon compleanno a Mirko Andreoli d'IL NUOVO MALE avec i menhir a Briaglia :-) En 1970, l'archéologue Janigro d'Aquino a commencé une série de fouilles dans la Comune di Briaglia de la Provincia di Cuneo du Limone Piemonte où, selon ses théories, il devait y avoir des traces de peuplements remontant aux Celto-Ligures, populations existant dans nos vallées plusieurs milliers d'années. avant l'avènement des Romains.
Les efforts de l'archéologue furent couronnés de succès lors de sa Visit Cuneese en VisitPiemonte : dans les collines de Briaglia-S.Croce, il découvrit de nombreux mégalithes grossièrement taillés en forme d'humain stylisé (statue-stèle), en forme d'animaux (dont ce beau sanglier en photo) ou obélisques (menhirs).
Ils continuent de faire l'objet d'études approfondies. Un hypogée, dans la localité de Casnea, est particulièrement intéressant : composé d'une entrée avec une architrave , d'un couloir de plus de quinze mètres de long avec deux salles latérales qui présentent des traces de peinture ocre rouge et jaune, cf. https://www.facebook.com/IatVicoforte/photos/a.825625047508283/6496649310405800 de Sentiero Landandé via l'Ufficio Turistico Vicoforte (y)
À l'heure actuelle, seuls certains des mégalithes sont visibles, tandis que l'hypogée n'est pas utilisable. Un projet de valorisation de l'ensemble du site mégalithique est en cours de définition par l'administration communale.
{Photo et infos de Love Langhe dans https://langhe.net/sight/i-menhir-a-briaglia}
Bon anniversaire à / deiz-ha-bloaz laouen Dañserien Ar Vro … ça me fait toujours rire ces Breizhois qui jouent du bignou avec leur femme sous bigouden, à fond catho avec un prénom pas dans le calendrier des saints homologués par la fédé du Vatican et qui n'ont pas un seul mégalithe pseudo celtique dans leurs photos ;-) Faut dire que dans la Ville de Daoulas ils ont tout transformé en gravier :-( , il ne reste pas loin, vers l'Office de tourisme du Pays de Landerneau-Daoulas dans la Ville de Dirinon, elle aussi dans la Communauté d'agglomération du Pays de Landerneau Daoulas de Brest terres océanes, que la Stèle de Kervern Mindu, de forme ovoïde comportant des rainures, de l'âge du Fer donc possiblement et plus vraisemblablement historiquement taillé par le gros (enveloppé à ossature lourde, pardon ;-) ) d'Astérix et Obélix, un lec'h gaulois quoi :-p : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=31044
N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Alles Gute zum Geburtstag Peter Böhnlein avec une de ses photos des mégalithes de Ale (en suédois : Ales stenar ou Ale stenar : https://www.facebook.com/photo/?fbid=147045228158220&set=a.115755531287190)  : https://www.facebook.com/peter.bohnlein.5/posts/pfbid0QTScUGEejxquNh8Rqf7jjxBBH2hFAsMMBsN7Qv1xHVSeftxSJLNgqiWyPoznz3e8l (y) :-) <3
Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Buon compleanno a Federica Galiffa avec Lu Termine (vous vous rappelez du dieu romain Terminus ? : https://www.facebook.com/photo/?fbid=136403122555764&set=a.114889701367487) dans la Comune Di Rocca Di Mezzo du Ente Parco Nazionale del Gran Sasso e Monti della Laga : c'est l'un des rares monuments mégalithiques de la Regione Abruzzo :-o
Has The Megalithic Portal says in https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=424 : « Have you visited this site ? Please contribute a description or any thoughts by adding a comment and/or Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with thte International MegalithicFriend's Association :-)
Le mégalithe se situe à environ deux kilomètres au sud-sud-ouest de Rocca di Mezzo ; il se dresse à proximité d'une route de campagne reliant Rocca di Mezzo à Secinaro. 
La pierre mesure 1,70 m de hauteur ; elle a probablement été utilisée dans l'Antiquité pour marquer la frontière entre le territoire des Marses et celui des Vestins dans le Visit Abruzzo. Les Marses sont un peuple italique de l'Italie antique, vivant dans les Apennins, entre la Sabine et le Samnium. Ils sont décrits comme de rudes montagnards, qui occupent les sommets autour du lac Fucin. Leurs centres principaux sont Marruvium (San Benedetto dei Marsi), Milionia (près de Pescina) et le Lucus Angitiæ (Luco dei Marsi). Ils vénèrent la déesse Angitia. Le temple principal de la déesse se situe au coin sud-ouest du lac Fucin, près du village de Luco dei Marsi. Elle, ou elles, est largement vénérée dans les hautes terres centrales comme une déesse de la guérison, en particulier qualifiée pour guérir les morsures de serpent par les charmes et les herbes de la forêt marse. Ils sont réputés comme charmeurs de serpents et pour leur connaissance de la sorcellerie. Vaincus par les Romains à la fin du -IVe siècle, ils se latinisent ensuite : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marses_(Italie)
Les Vestins (en latin, Vestini) sont un peuple italique d'Italie centrale, qui occupait la vallée de l'Aterno et la portion de littoral comprise entre l'embouchure du Pescara et le Tronto. Leur nom, lié à celui de la déesse romaine du foyer Vesta, doit signifier « ceux qui occupent leur propre territoire ». Après une guerre contre Rome en -325, les Vestins demandent un traité (fœdus) et demeurent des alliés fidèles, jusqu'à leur révolte finale durant la guerre sociale (-90-88) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vestins
Les Vestins ont également construit la nécropole à pierres de Fossa Bene Comune : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=171648875697855&set=pb.100085582290808.-2207520000
Le nom « Abruzzes » (Abruzzo en italien, anciennement Abruzzi) vient du peuple des Praetutii, dont le nom déformé en Aprutini s'est transmis à la région. Peuple du groupe osco-ombrien, le peuple prétutien occupait le secteur septentrional des Abruzzes. Leur territoire, qui confinait avec celui des Picentins, Sabins et Vestins, a été conquis par les Romains en -289. À la fin du XXe siècle, une nécropole a été mise au jour au lieu-dit Campovalano, près de Teramo. Cette nécropole comporte plus de 600 tombes appartenant à une période comprise entre la fin de l'Âge du bronze (-XIIIe) et la conquête romaine (-IIe siècle) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9tutiens
Feliz cumpleaños a Pau Ibn Sureda de l'Instituto de Ciencias del Patrimonio - Incipit avec une de ses photos (sorry, que pour ses amis : https://www.facebook.com/pau.ibnsureda/posts/pfbid02RrbYcD1rbPnMcKh1oBB7Ty2E7W5R7hMmZFbxgfRDdAhGLRSHstaX1LuaahSSBZvdl) près du Talaiot de Torelló (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
En archéologie, une taula (mot catalan signifiant « table ») est un mégalithe en forme de « T » que l'on trouve sur l'ile de Minorque, dans les îles Baléares, en Espagne. Les taulas peuvent mesurer jusqu'à 3,7 m de haut et sont constituées d'un pilier vertical (un orthostate ou plusieurs pierres placées l'une au-dessus de l'autre) et d'une pierre horizontale qui le chapeaute. Souvent, un mur en forme de « U » entoure la structure. Les taulas furent construites par la culture talayotique entre -1 000 et -300 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Taula
Le site de Torelló était l'un des plus étendus du territoire municipal de l'Ajuntament de Maó. Il est particulièrement réputé pour son talaiot spectaculaire (appelé talaiot de Torellonet Vell), sa partie supérieure se distinguant par le fait de conserver un portail surmonté d'un linteau, dont la construction remonte à la période talayotique (-1 000/-700). Parmi toutes les structures identifiées sur le site, il convient de souligner la présence d'un autre talaiot (de dimensions plus petites), les fondations de quelques maisons, deux grottes artificielles et un système de collecte des eaux composé de citernes et de canalisations : https://www.menorca.es/fr/Talaiot_de_Torello/8456 de Turismo de Menorca
Un Talayot est une construction de l'Âge du bronze rencontrée sur les iles de Majorque et de Minorque, dans les îles Baléares, et ayant servi de forteresse ou de tour de guet de la fin du second millénaire au début du -Ier millénaire. Le talayot est un édifice construit en pierres, généralement de forme ronde ou tronconique, semblable au nuraghe de Sardaigne, à la « torre » de Corse, ainsi qu'aux « sesi » de Pantelleria. Leur forme est majoritairement circulaire mais il en existe aussi de forme quadrangulaire. La technique de construction est basée sur de grandes pierres assemblées en pierre sèche, sans ciment ni mortier. Elle rappelle l'aspect « cyclopéen » des constructions de la civilisation mycénienne de Grèce antique. 
Le nom talayot provient du terme catalan « talaiot », désignant des petites tours de guet. En effet, bien que leur fonction ne soit pas clairement définie, les archéologues pensent qu'au vu de leur forme et de leur situation les talayots étaient utilisés en tant que forteresses militaires ou tours de surveillance. Néanmoins, leur structure comporte une petite chambre dont la fonction reste encore à déterminer : https://fr.wikipedia.org/wiki/Talayot
Feliz cumpleaños a Albert Painaud Guillaume avec ses photos et son commentaire : https://www.facebook.com/albert.painaudguillaume/posts/pfbid032M7Dh9Xg9VPHd9KgyPgAvNDak72m1XTUWHdLY6UgLZamBXuypHiCNphFpATRcTAKl (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
« Pierres à serpents : la stèle de Vishap en Arménie, symbole de l'art rupestre et d'un riche patrimoine
Une stèle vishap (également appelée vishapakar ou pierre vishap) est un type de monument en pierre que l'on trouve en Arménie. Ces stèles sont reconnaissables à leurs gravures, qui représentent généralement des poissons ou des serpents. C'est pourquoi les stèles vishap sont également appelées "pierres à serpents" et "pierres à dragons". Les stèles de vishap sont considérées comme faisant partie de la tradition de l'art rupestre arménien et sont donc précieuses en tant qu'élément du riche patrimoine du pays.
On dit que vishap est le mot arménien pour dragon. Selon les légendes arméniennes, les vishaps étaient des créatures puissantes qui vivaient dans les hautes montagnes, dans les grands lacs ou dans les nuages. Les représentations de ces créatures mythiques ne se limitent pas aux stèles de vishap, mais on pense qu'elles figurent également sur d'autres gravures rupestres découvertes dans le pays.
Bien qu'il soit extrêmement difficile de dater de tels pétroglyphes aujourd'hui, ces images de vishaps pourraient avoir été réalisées dès la préhistoire, peut-être à l'ère néolithique. Selon une source, les vishaps de ces pétroglyphes sont les archétypes des dragons et ont été adoptés par la suite par d'autres civilisations en Arménie occidentale.
Les stèles de vishap semblent être une découverte/redécouverte relativement récente. La première de ces stèles a été découverte lors d'une fouille archéologique en 1909 par N. Marr et J. Smirnov. Depuis leur découverte, ces monuments ont soulevé des questions auxquelles les spécialistes n'ont pas encore trouvé de réponses satisfaisantes. Ainsi, les stèles vishap sont entourées d'un certain mystère. Par exemple, on ne sait pas quand les stèles vishap ont été installées. On ne sait pas non plus si ces stèles ont été érigées en une seule fois ou sur une période plus longue, peut-être des années, des décennies ou même des siècles.
Autres symboles et marques
D'après les inscriptions arméniennes et croisées trouvées sur certaines des stèles vishap, certains de ces monuments de pierre peuvent être datés du 13e siècle après J.-C. Cependant, il est tout à fait possible que les stèles aient été érigées à une époque antérieure et que ces sculptures aient été ajoutées plus tard, peut-être pour convertir ces images païennes en symboles de la foi chrétienne.
Il a également été noté que d'anciennes écritures cunéiformes urartiennes ont été trouvées inscrites sur une stèle vishap mise au jour dans un village arménien appelé Garni. L'Urartu, également connu sous le nom de Royaume de Van, était un royaume de l'âge du fer centré sur le lac de Van (situé dans l'actuelle Turquie) dans les hautes terres arméniennes. Comme ce royaume existait au 1er millénaire av. J.-C., les stèles vishap pourraient appartenir à cette période, voire à une période antérieure.
Comme les stèles vishap ne peuvent pas, à l'heure actuelle, être placées précisément sur une ligne de temps, l'identité de leurs créateurs ne peut pas non plus être établie. Sans savoir quand et par qui ces monuments ont été produits, il est difficile de placer les stèles vishap dans un contexte culturel. La raison d'être des stèles vishap est donc une autre grande énigme à laquelle sont confrontés les chercheurs qui s'intéressent à ce sujet.
Cela n'a toutefois pas empêché les spéculations sur la fonction des stèles. Par exemple, les stèles vishap ont pu servir de gardiens magiques pour éloigner les mauvais esprits ou les bêtes sauvages de la campagne. Certaines stèles vishap ont également été trouvées près de sources d'eau, ce qui pourrait indiquer qu'il existait un lien entre les deux.
Il est indéniable que nous ignorons encore beaucoup de choses sur les stèles vishap et que des recherches plus approfondies pourraient peut-être faire la lumière sur ces monuments énigmatiques. Cependant, il semble que les Arméniens soient conscients de l'importance de ces objets anciens.
Par exemple, il existe un parc dans le quartier de Nor Nork à Erevan qui contient huit stèles vishap. En 2010, ce parc était menacé par un projet de construction et les habitants ont protesté contre ce projet. Selon certaines informations, les habitants ont réussi à suspendre les travaux, mais l'auteur n'a pas trouvé d'autres informations sur le sort du parc et de ses stèles vishap.
Image de couverture : Pierres debout dans les ruines du site de Metsamor »

entre -500 et le début de notre ère

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Ja, schoeni Geburstag tu Jean-marie Misslen (onoch an Elsasser, Sie sind uberall ;-) ) avec la « Pierre aux quatre dieux » de Kervadol / Kernuz, une des stèles du Musée Départemental Breton, non loin de l'Office de Tourisme de Quimper Cornouaille : https://musee-breton.finistere.fr/fr/search-notice/detail/d-1951-1-pierre-3c2c4
La stèle de la Ville de Plobannalec-Lesconil dans le Pays Bigouden Sud / Destination Pays Bigouden (Tout commence en Finistère) a été trouvée en 1878 à 100 mètres au sud du lieu-dit éponyme : il s'agit d'une stèle osisme du second Âge du Fer (La Tène, -Vè siècle à -52). Elle est de forme tronconique, haute de 2,85m et a été sculptée dans le granite local. Sa particularité est d'avoir fait l'objet d'une gallo-romanisation sous le Haut-Empire. On y a sculpté 4 panneaux en bas-relief accueillant les niches de six divinités représentées selon des canons classiques romains. La stèle gauloise a ainsi été transformée en piédestal à '4 dieux' . Ce type de monument était consacré au culte jovien et était habituellement surmonté d'une colonne accueillant à son sommet une statue de Jupiter. Une cavité sur la partie sommitale de la stèle pourrait être l'indice d'un élément de fixation pour une statue. On a pensé à un groupe de Jupiter cavalier triomphant d'un géant anguipède, d'autres exemplaires se rencontrant en Armorique (Immerzeel 1988; Eveillard et Malicorne 1996; Eveillard 2000). Peu probable d'après l'exiguïté du socle l'accueillant. Il a pu s'agir d'un Jupiter debout ou trônant qui peuvent être placés sur ce type d'édifice.
Les figures divines sont particulièrement érodées en plus de la frustrerie de leur exécution, ce qui rend leur identification difficile pour certaines. Les personnages masculins sont représentés nus.
*** Panneau 1 : Mercure avec caducée et bourse. Un enfant à sa gauche le tien par le bras. On a pensé à un amour ou un défunt suivant Mercure psychopompe. Les socles à 4 dieux l'accueillant que des dieux, on oubliera l'hypothèse du mort. Le plus plausible est qu'il s'agisse d'un Bacchus enfant, le couple d'Hermès et de Dionysos étant classique et diffusé en Gaule.
*** Panneau 2 : Hercule combattant avec massue levée dans sa main droite et peau de lion tombant le long de son bras gauche.
*** Panneau 3 : Mars avec casque à cimier, appuyé sur son bouclier et tenant sa lance.
*** Panneau 4 : un couple divin. À droite un dieu habituellement identifié à Apollon avec un carquois derrière l'épaule droite avec un animal à sa gauche pris pour un griffon. Le dieu me semble plutôt un Jupiter levant son foudre dans une position de fulgurator. Auquel cas l'animal pourrait être un aigle, boire un petit être anguipède placé contre la jambe du dieu, comme on en connaît une statue à Burdigalia et une statuette en terre cuite blanche. À gauche une déesse avec un manteau couvrant sa tête et dont le plissé est bien visible sur le corps. On a envisagé Vénus, Minerve, Hygie ou Junon. Le gros bâton avec un serpent enroulé à sa droite vu par certains est en fait un bandeau décoratif en dents de scie que l'on retrouve aussi pour séparer les autres panneaux lorsqu'il n'est pas totalement effacé. Ce qui exclut Hygie/Sirona. Junon semble le plus plausible, la tête recouverte du manteau apparaissant régulièrement dans son iconographie, et elle serait la compagne idéale aux côtés d'un Jupiter.
{Photos et infos de Valéry Raydon}
Všechno nejlepší k narozeninám Tres Plus de Ostravská univerzita avec la Králův Stůl / The King's Table :-o , probablement le monument mégalithique le plus célèbre de la Zlínský kraj - oficiální stránka, ici dans Modrá, près de Staré Město pod Sněžníkem de Šumperk. Immense bloc de grès dur dont la partie inférieure se transforme en mélange de roches, la formation rocheuse est d'origine locale. Cet objet en pierre est bien connu depuis le début du Moyen Âge. Le premier enregistrement date de 1228, lorsque la pierre a été nommée pour la première fois sous le nom de Králův Stůl (simplement la table du roi) dans le document royal. Un autre enregistrement de 1694 décrit l'objet en détail et parle de symboles énigmatiques à la surface. Le site a fait l'objet d'enquêtes archéologiques à plusieurs reprises, la première en 1903 et la dernière en 1997. Ce qui est sûr, c'est que la pierre a été travaillée par la main de l'Homme à l'époque préhistorique, mais il est impossible d'en déterminer l'âge ou le but avec certitude. Il existe plusieurs légendes locales associées à la table du roi, principalement sur les élections des anciens rois. Dans le plan au sol, la pierre a été travaillée dans la forme de la tête de l'animal sacré, le taureau très probablement. La pierre était autrefois entourée d'un cercle de pierres plus petites et de gravier avec des pierres brutes orientées vers les côtés du monde. On suppose que la plupart des symboles proviennent du -IVème siècle : https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=50079 de The Megalithic Portal
вітаю з днем ​​народження Pavel Goldin de Gram Lergrav - Palæontologi, Museum Sønderjylland et Institute of Zoology NAS of Ukraine avec ces dessins de stèles scythes venant d'en haut à gauche à en bas à droite de : 1. Stanshino (? Russie), 2. Mederovo (Kirovohrad Oblast, Ukraine), 3. Pervomaysk (? Ukraine), 4. Erdelevka (? Ukraine), 5. Dnipropetrovsk (Ukraine), 6. Kiev (Ukraine), 7. Ternovka (? Ternivka, Dnipropetrovsk Oblast, Ukraine), 8. Kalinovka (? Kalinivka, Ukraine), 9. Grushevka (? Dnipropetrovsk Oblast, Ukraine), 10. Yasinovatoye (Zaporozhsk or Kharkovsk oblast ?, Ukraine), 11. Stupino (? Russie), 12. Sibioara (Constanța, Roumanie), 13. Dobruja (Bulgarie/Roumanie) <3
Les sculptures scythes (tribus indo-européennes iranophones apparues dans les steppes ukrainiennes au milieu du -Ier millénaire) remontent aux -VIe/-IIIe siècles. L'étendue de leur distribution est assez importante — de la Roumanie au Caucase . La plupart des images de Scythes montrent des hommes barbus. En termes de composition et d'art, ils sont exécutés de manière primitive. C'est assez surprenant pour le peuple, porteur du "style animalier" scythe hautement artistique, élevé au contact de l'art classique grec ancien. Sur les corps en forme de stèle des statues scythes, trois ou quatre objets sont généralement représentés : une corne, un carquois, un poignard et une épée. La corne est placée dans la main droite au niveau de la poitrine, le carquois est du côté gauche, le poignard ou l'épée est dans la main gauche au niveau de la ceinture. Les attributs sont généralement observés dans les analogies turques de la Sibérie, où les statues de pierre tiennent une coupe dans leur main droite et un poignard dans leur gauche. L'absence de barbe et, au contraire, l'image d'une moustache révèlent également la similitude des statues scythes avec les anciennes statues turques. Dans l'art de la sculpture sur pierre de la région du nord de la mer Noire, les Scythes ont conservé les éléments communs des statues du sud de la Sibérie. Cependant, on ne sait pas pourquoi les Scythes qui ont migré vers la région nord de la mer Noire via la Transcaucasie, l'Asie de l'Est, où la technique du traitement de la pierre est connue depuis l'Antiquité, n'a pas apporté avec elle de nouvelles tendances artistiques tangibles, comme cela s'est produit avec le "style animal".
Un autre problème lié à la sculpture scythe n'a pas été résolu : jusqu'à présent, des milliers de sépultures scythes ont été découvertes et pour la plupart bien étudiées. Cependant, étant donné la nature commémorative-culte des statues, il est encore impossible d'expliquer pourquoi il n'y a pas de traces convaincantes de leur installation au-dessus des sépultures scythes : https://uk.wikipedia.org/wiki/%D0%9A%D0%B0%D0%BC%27%D1%8F%D0%BD%D1%96_%D0%B1%D0%B0%D0%B1%D0%B8
Feliz cumpleaños a Virginia de la Cruz de Juan Villa / Prometeo Escultura, qui œuvrait à la Catedral de Santa María, siège de l'Archidiócesis de Toledo ... avec des "Vieilles" Grosses Pierres païennes/celtes :-p de la Necropolis de Las Ruedas (VIDÉO dans https://www.youtube.com/watch?v=z6FOCrnU3Vo du Centro de Estudios Vacceos Federico Wattenberg) à Pintia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Pintia), cité antique vaccéenne (https://fr.wikipedia.org/wiki/Vacc%C3%A9ens) du -IVè siècle localisée dans le village de Padilla de Duero situé dans l'Ayuntamiento de Peñafiel, emblème de la Cultura y Turismo Valladolid :: Agenda e información et CASTILLA Y LEÓN ES VIDA … euh non, là c'est la muerte ;-) Voir le site dédié https://pintiavaccea.es/seccion/the-necropolis-of-las-ruedas, avec le soutien de TEMPOS Vega Sicilia, Diputación Provincial de Valladolid, Junta de Castilla y León, Ribera del Duero, Asociación Cultural Pintia (y)
Les Vacceos ont été les premiers colons à s'installer au centre de la vallée du Duero et dans le cours inférieur de la Pisuerga, dans une zone qui comprendrait l'actuelle province de Valladolid et des parties de celles de León, Palencia, Burgos  Segovia, Ávila, Salamanque et Zamora. Les Vacceos étaient un peuple celtique du nord de l'Europe qui est arrivé en plusieurs vagues dans cette région. Ils ont fondé plusieurs villes (Pallantia, Pintia) qui avaient un gouvernement autonome jusqu'à ce qu'elles soient presque des cités-États, mais sans perdre les relations avec les villes sœurs environnantes. Le jumelage des villes a été tel que les Vacceos ont aidé les Arevaci de Numancia pendant le siège auquel ils ont été soumis par les Romains. Précisément à cause de cette aide, les envahisseurs romains ont attaqué les villes de Vaccean après avoir soumis Numancia. Au fil des ans, Pintia finira par être romanisée. 
La zone archéologique se compose de trois parties différenciées : la ville dans le domaine "Las Quintanas", le lieu de sépulture / la nécropole de "Las Ruedas" et le quartier de la poterie de "Carralaceña". Le Gabinete de Comunicación de la Universidad de Valladolid est actuellement en charge de la restauration de la ville et de son étude.
*** Dans "Las Quintanas", on a découvert que la ville avait été détruite par un incendie. Par la suite, les Wisigoths de la région installèrent leur nécropole sur l'ancienne cité vaccéo-romaine. 
*** Dans la nécropole de "Las Ruedas" de riches trousseaux de guerriers, femmes, enfants... ont été retrouvés. 
*** D'autre part, déjà dans le terme de la ville voisine de Pesquera de Duero se trouve le quartier artisanal de "Carralaceña", situé de l'autre côté de la rivière Duero, pour éviter un incendie en raison d'un accident survenu lors du processus de cuisson de la céramique car le feu pourrait se propager au principal centre de population. Ce quartier de la poterie, relié à Pintia par un gué sur le fleuve Duero, possédait également sa propre nécropole. Les fours trouvés ici sont uniques en Europe, en raison de leurs dimensions et de leur chronologie. 
Alors qu'elle travaillait sur sa thèse de recherche dans le centre de l'Espagne, Sandra Gammon, spécialiste des études anciennes et de l'anthropologie culturelle de l'UMBC, a mis au jour une ancienne nécropole. Gammon travaillait au sein d'une équipe d'archéologues espagnols et d'étudiants internationaux par le biais d'ARCHAEOSPAIN, une organisation à but non lucratif basée dans le Connecticut et à Madrid. ArchaeoSpain a été fondée en 2000 dans le but d'amener des personnes du monde entier à travailler aux côtés de spécialistes qualifiés. 
Bien que les travaux d'excavation soient souvent lents et fastidieux, Gammon a trouvé de l'or lorsqu'elle a mis au jour une nécropole de l'âge du fer/celtique du -Ve siècle à Pintia, dans le centre de l'Espagne. Gammon a découvert trois tombes. Une partie du matériel exhumé peut être vue au Museo De Valladolid : https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=24424 de The Megalithic Portal
Voir aussi https://www.premios.hispanianostra.org/premio-hispania/la-necropolis-de-las-ruedas-de-pintia de Hispania Nostra, https://comunicacion.uva.es/es_ES/detalle/La-necropolis-de-Las-Ruedas-del-proyecto-arqueologico-Pintia-de-la-UVa-galardonada-en-los-Premios-Hispania-Nostra du Gabinete de Comunicación de la Universidad de Valladolid, https://www.researchgate.net/publication/328538618_LA_TUMBA_144_DE_LA_NECROPOLIS_DE_LAS_RUEDAS de Universidad de Granada, https://dialnet.unirioja.es/servlet/articulo?codigo=6582970 de Universidad de La Rioja, https://www.elrincondesele.com/una-visita-a-la-necropolis-vaccea-de-pintia de El Rincón de Sele, https://www.dicyt.com/noticias/la-campana-de-excavaciones-en-la-ciudad-vacceo-romana-de-pintia-se-iniciara-en-julio-en-la-necropolis-de-las-ruedas de Agencia Dicyt, https://www.elmundo.es/elmundo/2009/01/12/castillayleon/1231763810.html de El Mundo, https://www.revistaadios.es/noticia/2781/Hispania-Nostra-premia-la-intervencion-en-la-necropolis-de-Las-Ruedas-de-Pintia-de-Valladolid.html de Funespaña, https://latunicadeneso.wordpress.com/tag/necropolis-de-las-ruedas de Domingo Vallejo, https://www.verkami.com/projects/16807-pintia-2017-excavacion-en-la-necropolis-de-las-ruedas, http://mimundo-amaia.com/necropolis-de-las-ruedas 
{Photo de Cadena SER dans https://cadenaser.com/castillayleon/2022/12/09/avanza-valladolid-nueva-imagen-de-sodeva-radio-penafiel}
Buon compleanno a Luigi Giovanelli de Nausicaa Spa avec sa photo de pierres funéraires exposées au Chiostro di Sant'Agostino dans la Comune Di Pietrasanta en Visit Tuscany It : décidément, avec les menhirs déifiés en Terminus/Terme (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=136403122555764&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3), les Romains ont tout repompé sur les Néos/Protos : https://www.facebook.com/photo/?fbid=5613339672083611&set=pcb.5613340362083542
À l'époque romaine, la Versilia était connue comme faisant partie de la Fosse Papiriane qui constituait un grand marécage entre Pise et Massa et entre la mer méditerranée et les Alpes Apuanes, desservie par la Via Emilia Scauri et ensuite traversée par la Via Aurelia : https://it.wikipedia.org/wiki/Versilia
Bon anniversaire à Iwan Le Clec'h :-) Ils me feront toujours rire ces Breizhois qui se proclament haut et fort différents (je suis Alsaco donc pas français non plus ;-) ), pas pareils car pétris de culture celtique (en mettant en avant des mégalithes néolithiques voire du Bronze mais rarement protohistoriques des indo-européens arrivés des dizaines de siècles plus tard :-o / :-p ) jusque dans leur nom/prénom et … beh rien en fait, à part manger des crêpes et picoler du chouchen ça s'arrête là quoi !!! 
N'hésite pas pour autant à Partager tes photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y)
Donc, comme il vient de Tous à Plouha, je rappelle à la mairie que pour Plouha Infos il faut revoir sa page http://www.plouha.fr/chapelle-de-la-trinite : pour le côté catho prout-prout y a du monde (cf. https://www.facebook.com/photo?fbid=176704995192243&set=a.126663670196376), par contre pour le patrimoine protohistorique y a plus personne !!! « Située au point le plus haut de Plouha, la chapelle de la Trinité est mentionnée dans une charte de 1354. Elle est ornée de statues du XVIe siècle, le tableau de la Sainte-Trinité de 1678 et la table de communion en bois ciré du XVIIIe siècle. Sur le placître s’élève un calvaire érigé par Guillaume de Trogoff en 1460 et 1496, taillé en pierre de Kersanton » ! Certes, mais aussi, n'est-il pas Les amis de la Trinité de Plouha ?!, on note une stèle de l'âge de Fer (vers -500), devant la chapelle de la Trinité, comportant une cupule à son sommet (http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=28256) et la découverte de haches à douille (datant de -750) : http://www.infobretagne.com/plouha.htm
De la pointe du Bec de Vir en Treveneuc jusqu'à la Pointe de la Tour enfermant l'anse de Brehec par l'Est vous découvrirez une succession de petites plages enserrées par de hautes Falaises D'Armor. 14 kilomètres de côtes dont la falaise la plus haute culmine à 104 mètres font de Plouha l'une des communes les plus attachantes du nord de la Bretagne ! C'est à partir du Vème siècle que ce village construit dans les terres a vu l'établissement d'une nouvelle population qui construira quelques hameaux le long d'une côte faite de falaises abruptes, mais aussi de vallons aboutissant à la mer, où pêche et agriculture faisaient bon ménage.
Plouha serait, selon la tradition, la première terre d'accueil des immigrés venus des îles d'Outre-Manche. L'un de ceux-ci, Aza ou Adda serait un moine à l'origine de son nom, remontant au VIème ou VIIème siècle de l'ère dite chrétienne. Cette contrée fut toutefois occupée 1000 à 1500 ans plus tôt par quelques-uns de leurs lointains ancêtres. Ils ont laissé derrière eux de rares traces de leur passage telle une stèle datant de l'âge du fer et des haches à douilles : http://docarmor.free.fr/valarmor/valouest/plouha1.htm
{Photo de https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/presentation-de-la-commune-de-plouha/77bf313f-0b7d-455f-a357-4a7ddd4382b8}
Happy birthday to Caroline Vile de Withlocals avec mon combo de ses photos du fogou/fougou ou vau de 17 m de long, avec un passage latéral de 7,3 m, de Lower Boscaswell près de Pendeen (Penn Din signifiant « fort du promontoire », anciennement connu sous le nom de Boskaswal Wartha, signifiant « la haute demeure de Caswal ») en Cornwall AONB. Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Un fogou ou fougou (prononcé "foo-goo") est une structure souterraine en pierres sèches que l'on trouve sur les sites de l'âge du fer ou des colonies romano-britanniques défendues en Cornouailles. La fonction initiale d'un fogou est aujourd'hui incertaine. Appelés familièrement vugs, vows, foggos, giant holts ou fuggy holes dans divers dialectes, les fogous présentent des similitudes avec les souterrains ou maisons de terre d'Europe du Nord et en particulier d'Écosse, y compris des Orcades : https://en.wikipedia.org/wiki/Fogou

entre le début de notre ère et 1 000

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Bon anniversaire à Akognon Dolo du Muséum national d'Histoire naturelle avec un mégalithe sculpté provenant du site de Tondidarou, exposé au Musée du quai Branly - Jacques Chirac (y) Tondidarou est situé dans le cercle de Niafunké, région de Tombouctou, à environ 150 km au sud-ouest de Tombouctou et à une quinzaine de km au nord-ouest de Niafunké, sur les bords du lac Takidji. La région de Tondidarou abrite un site mégalithique. Ce site comprend trois groupes de mégalithes phalliformes. La plupart des pierres sont couchées sur le sol, certaines sont gravées. Le site est daté d'entre 670 et 790 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tondidarou
Voyez aussi https://www.etudesheraultaises.fr/wp-content/uploads/ael-art-1998-22-03-megalithes-graves-tondidarou-mali.pdf
Bon anniversaire à Michel Boubis avec sa photo d'un tiki d'un marae de Tahiti Tourisme (qui a peut-être des infos pour nous ?! :-) ) (y) Un marae (en maori de Nouvelle-Zélande, des îles Cook et en tahitien), malaʻe (en tongien), malae (en samoan et en hawaïen), est un lieu sacré qui servait aux activités sociales, religieuses et politiques dans les cultures polynésiennes précédant la colonisation. Voir https://www.facebook.com/FanPageIMMW2019/photos/pb.100072679320717.-2207520000./326682064953936/?type=3
Dans toutes les langues polynésiennes, le mot désigne également un espace nu et dégagé. Dans son acception sociale, il désigne spécifiquement un espace dégagé consacré aux réunions, à l'intronisation des chefs, aux repas cérémoniels, aux rituels religieux, etc. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marae
вітаю з днем ​​народження Alex Nikosh mais comme y a rien de mégalithique à l'Ouest de l'Ukraine, voilà des balbals, dont j'ai un inventaire envoyable sur demande (illustration de droite) :-) On appelle balbal, orthographié aussi bal-bal, une pierre tombale d'Asie centrale et de Mongolie érigée en mémoire de membres importants de la communauté. Le terme de Balbal vient du mot turc "baba" signifiant "ancêtre". La plupart des stèles représentent un homme au visage stylisé (yeux et sourcils prononcés, nez et moustache..) avec dans la main droite un glaive (homme de guerre ou de pouvoir, devant être armé dans l'eau delà pour se défendre) et dans la main gauche un bol ( pour s'assurer que le défunt ne souffrira pas de la faim dans son voyage céleste, ou encore selon une autre hypothèse ,coupe contenant un breuvage sacré que le défunt offrira a Tengri, dieu du ciel, une fois arrivé dans l'eau delà...On connaît le rituel des mongols Gengiskhanides qui jetaient vers le ciel le reste de leur breuvage (le plus souvent du koumiss ou le lait de jument fermenté) pour honorer le dieu Tengri.
La plupart de ces stèles datent de l'époque turque du VI au IXème siècle. Les familles pensaient que l'esprit du défunt continuait à vivre dans le balbal pendant la première année (on gardait la pierre dans la yourte) avant qu'elle ne soit déposée sur la tombe (contenant la dépouille ou les cendres du mort). Les balbals doivent être orienté vers l'est selon les croyances chamanique ( renaissance et jour nouveau rythmé par le lever du soleil).
Ces stèles anthropomorphes sont très semblables à celles érigées antérieurement pendant plusieurs millénaires dans les steppes d'Asie centrale par différents peuples indo-européens, jusqu'à l'époque des Scythes, avant qu'ils ne soient remplacés par des peuples turcs et mongols plus tardifs qui ont partiellement repris cette tradition : https://fr.wikipedia.org/wiki/Balbal
Les statues en pierre d'ancêtres sont un trait caractéristique de la culture des Polovets. Les statues étaient en grès gris, leur hauteur atteignait 4 mètres. Les sculptures étaient également appelées stèles de Kurgan ou stèles de Polovets. Les Polovets (cumans) sont un peuple turc nomade qui avait son propre état Desht-i Qipchaq (Cumania) (un autre nom est la steppe des Polovets). Il était situé entre le Danube et l'Irtych. Dans la culture des Polovets, les statues symbolisaient les ancêtres - elles étaient placées sur les parties les plus élevées de la steppe, les bassins versants, ainsi que sur les tumulus. Pour les personnages, des sanctuaires carrés ou rectangulaires ont été spécialement construits. Ils étaient clôturés avec des pierres et leur taille dépendait du nombre d'ancêtres qui y étaient vénérés. Les statues étaient placées au centre du temple, le visage devait regarder vers l'Est. Le plus souvent, une ou plusieurs statues étaient placées dans le sanctuaire, moins souvent - 12-15. Dans de tels endroits, le culte funéraire des ancêtres était pratiqué, ce qui n'était pas directement associé aux enterrements. Au fil du temps, ce rite s'est transformé en culte des chefs-patrons de la horde. Selon les canons, l'ancêtre était représenté en position debout ou assise. Dans les mains de la statue, il y avait toujours des bols pour sacrifier ou "traiter". Les visages masculins se distinguaient par des moustaches et des barbes. Les figures féminines étaient dodues et arrondies, généralement avec de petites lèvres lâches. On leur a présenté les seins nus pour mettre l'accent sur le but principal de cet organe : nourrir les enfants. Les statues féminines étaient appelées « stèles » - le mot vient du turc « balbal », qui signifie « ancêtre », « grand-père-père ». Ils symbolisaient l'invincibilité et l'immortalité des guerriers. Les mécènes sous la forme d'une femme donnaient de la force, nourrissaient et protégeaient les nomades. Pour cela, ils leur ont apporté des sacrifices - au pied des statues, les chercheurs ont trouvé des os de béliers. Le 12ème siècle est l'âge d'or de la sculpture de Polovets. À cette époque, des milliers de statues étaient fabriquées dans les ateliers Polovets. En raison du grand nombre de commandes, de la croissance de la production, le nombre de tailleurs de pierre et de sculpteurs dans l'État a augmenté. Étant donné que les statues ont survécu jusqu'à ce jour, les chercheurs ont décrit avec précision les costumes, les bijoux, les armes, le matériel et même la vie spirituelle des Polovets : https://ar.culture.ru/en/subject/statuya-poloveckaya
Le nom officiel du parc est Parc-musée des statues d'anthropomorphes et des statues de pierre de Polovets, sur le territoire de ЛНУ імені Тараса Шевченка. La collection se compose des statues anthropomorphiques de la culture des catacombes du -XXV/-XX siècle et les monuments de l'art sacré des Polovets du XI-ХІІІ siècle. « Nous y passions assez souvent du temps avec les membres du STAN, écoutions de la poésie, buvions quelque chose », se souvient l'artiste Anastasiya Medyanyk. «L'histoire de ce parc est assez triste. Ces monuments ont dû rester sur les collines de la steppe, sur des tumulus […] Malheureusement, dans les années 70 du XXe siècle, l'administration de l'université a décidé de déplacer les statues ici. Compte tenu du fait que ces statues sont des constructions funéraires, il n'est pas bon que toutes ces idoles de pierre soient rassemblées près de l'université […] Mieux vaut que ces statues restent dans les steppes», - raconte l'archéologue et militant civique Oleksiy Brytiuk dans une vidéo pour le projet « Ukraine Speaking » : https://www.artluhansk.com/en/polovets-stone-statues-park de Luhansk's Аrt & Facts
Feliz cumpleaños a Darío Oscar García Pérez avec sa photo d'un panneau de la CONAF montrant le Hoa Hakananai'a (l'« ami dérobé » en rapanui, maori de l'île de Pâques), un moaï (statue de l'île de Pâques) de 2,42 mètres de hauteur, conservé au British Museum de Londres. C'est un moaï particulier : son dos est sculpté de pétroglyphes représentant le Tangata manu (« homme-oiseau »), et surtout, alors que le culte des ancêtres avait cessé et qu'un tapu avait été jeté sur les plateformes cérémonielles (ahus) et les autres moaïs, celui-ci était encore vénéré au XIXe siècle au lieu de cérémonie d'Orongo, près du volcan Rano Kau, sur la côte sud de Rapa Nui ! Peut-être a-t-il fait pour cette raison et sur la suggestion du missionnaire catholique Eugène Eyraud partie des quatre moaïs emmenés hors de l'île de Pâques :-( .
Hoa Hakananai'a fut enlevé le 7 novembre 1868 par l'équipage britannique du navire HMS Topaze et amené à Portsmouth le 25 août 1869. Les habitants de l'île de Pâques, considérant que la statue leur a été volée, demandent sa restitution. Après la restitution du moaï Tau qui avait été emporté en 1870 pour être exposé au Museo Nacional de Historia Natural de Chile de Santiago et accordé par l'état chilien en février 2022, les habitants de l'Île de Pâques (Rapa nui) ont de nouveau réclamé au British Museum de Londres la restitution de ce moaï, leurs demandes précédentes étant restées sans succès. En 2018, le ministre chilien du Patrimoine national, Felipe Ward, accompagnée par une délégation de Rapa Nui avait déjà rencontré des responsables du musée londonien. À l'occasion de ce déplacement en Angleterre, la gouverneure provinciale de l'île de Pâques, Tarita Alarcón Rapu avait déclaré à la presse : « Je pense que mes enfants et leurs enfants méritent d'avoir la chance de le ressentir, de le voir [...] Nous sommes venus jusqu'ici mais nous ne sommes qu'un corps. Vous les Anglais, vous avez notre âme ».
Cette statue se présente sous la forme d'un monolithe sculpté d'une hauteur de 2,42 mètres et d'un poids estimé à 4 tonnes. Sur la partie arrière (dos de la statue), des inscriptions gravées décrivent le culte de l'homme-oiseau et d'autres aspects rituels liés aux passé et aux pratiques religieuses des habitants de l'Île. La façade est assez commune et évoque les autres œuvres statuaires locales mais son dos présente des particularités originale. Celui-ci est rainuré et grêlé de multiples représentations d'hommes-oiseaux correspondant à la période où les autochtones avaient abandonné le culte des statues pour se tourner vers le culte de l'homme-oiseau. la scène du dos représente un poussin mâle quittant le nid et observé par ses parents mi-oiseaux, mi-humains. Un des personnages est représenté par la femelle Komari sur l'oreille droite de la statue, tandis que l'autre situé sur la gauche est représenté par une pagaie, un symbole de l'autorité masculine. Selon le chercheur Mike Pitts, la statue devait, à l'origine reposer sans un trou creusé dans la roche afin de la faire tenir debout, ce qui expliquerai sa position légèrement incliné sur la gauche sur son site d'exposition au British Museum : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hoa_Hakananai%27a
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Suhas Varale avec sa photo d'une stèle très menhiresque dans la forme :-o Where and when/which culture is it come from please ? :-)
Buon compleanno a Daniele Petrella de l'International Research Institute for Archaeology and Ethnology (Italiano) avec sa photo d'une Stèle à épée de Tiya dans le Soddo, site classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO / Unesco en français <3
Sur quelque 160 sites archéologiques découverts jusqu'à présent dans la région du Soddo, au sud d'Addis-Abeba, celui de Tiya est l'un des plus importants et le plus méridional de ce type. Les stèles présentant une figuration sculptée faite d'épées et de symboles demeurés énigmatiques témoignent d'une culture proto-historique d'Éthiopie, le site ayant été occupé depuis fort longtemps car il correspond à une zone de plateau constituant un lieu de passage obligatoire entre les rivières encaissées Aleltu et Dedeba : https://whc.unesco.org/fr/list/12
Le site archéologique de Tiya est un site mégalithique constitué d'un groupe de 46 stèles et de tombes associées, situé près de la ville de Tiya, dans la région des nations, nationalités et peuples du Sud, en Éthiopie. Il est daté du XIIe ou du XIIIe siècle. 
Le site comporte 46 stèles dont 38 avec un décor sculpté. Les stèles sont réparties en trois groupes distincts. Le premier groupe comprend une quarantaine de stèles formant un alignement sur près de 50 m de longueur selon un axe sud-est / nord-ouest. La plupart des stèles ont leur face décorée orientée vers l'est. Le second groupe est situé à environ 25 m au nord-est du premier groupe. Il comprend quatre stèles dont la plus la haute de tout le site (5 m de hauteur) ornée de 19 épées réparties sur deux registres superposés. La partie sommitale de cette stèle est manquante ; elle a été déplacée et dressée dans le parc de l'Institut des Études Éthiopiennes, à Addis-Abeba. Le troisième groupe est situé à environ 25 m à l'ouest du premier groupe. Il comprend quatre stèles, dont la plus grande mesure 2,80 m de hauteur. 
Les stèles sont constituées de dalles en pierre régularisées avec des outils métalliques du type herminette. Elles comportent à la base une à trois perforations d'environ 15 cm de diamètre qui sont enterrées sous le niveau du sol lorsque la dalle est redressée. Les stèles comportent un décor sculpté en relief, sur une seule face, sur un à deux niveaux. Au niveau inférieur, figure un décor dit de la « triade symbolique » comprenant un signe non identifié de type ramifié, lui-même surmonté d'un motif en « X » ou en « W » renversé, parfois double, et de deux cercles. Le niveau supérieur, quand il existe, est celui où sont représentées des épées, disposées pointe vers le haut s'il s'agit d'un unique exemplaire, ou tête-bêche s'il existe plusieurs rangées d'épées. Selon Roger Joussaume, les perforations situées à la base des stèles pourraient correspondre à la symbolisation du point de passage entre le monde des morts et celui des vivants. Le symbole ramifié est commun à toutes les stèles de la région. Il rappelle les motifs de scarifications pratiquées au-dessus du nombril par les Dinka. Le motif en « X » ou en « W » demeure énigmatique. Certaines stèles comportent des restes de peinture. 
Chaque stèle est disposée près d'une sépulture, aménagée du côté de sa face non décorée. Les tombes sont constituées de fosses circulaires creusées dans le sol, parfois sur plus de 2 m de profondeur, elles comportent éventuellement un coffrage en bois et sont recouvertes d'une dalle de pierre ou de branchages. En surface, les tombes sont délimitées par des dalles dressées sur chant formant un espace polygonal, dont l'un des côtés peut comporter une dalle décorée. A partir d'une première tombe, l'accrétion de nouvelles tombes peut conduire à former un ensemble alvéolaire. Les tombes sont individuelles ou collectives (jusqu'à trois inhumations distinctes), les différentes dépouilles étant superposées avec éventuellement une séparation constituée par un plancher. 
Les 45 tombes fouillées correspondent à l'inhumation de 54 individus, dont sept tombes doubles et une triple. Les squelettes ont été découverts en très mauvais état. Dans les tombes doubles où le sexe des défunts a pu être établi, il y avait une homme et une femme. La tombe triple renfermait les dépouilles d'un homme et d'une femme d'une trentaine d'années et celle d'un adolescent de 12 à 15 ans. D'une manière générale, aucun squelette d'enfant n'a été trouvé. La plupart des défunts étaient âgés de 20 à 30 ans et mesuraient en moyenne 1,70 m pour les hommes et 1,62 m pour les femmes. 
Le mobilier funéraire associé aux défunts comprend quelques éléments de parure (perles en verre multicolores, bracelet et épingle à cheveux en fer). Les nombreux tessons de poterie et éclats d'obsidienne trouvés l'ont été au-dessus des tombes et doivent correspondre à des offrandes. Une fosse, mesurant 5,80 m de long sur 4,20 m de large et 1,10 m de profondeur, a été découverte à l'extrémité nord du premier groupe de stèles. Elle renfermait au centre un ensemble de blocs de pierre mélangés avec de nombreux tessons de poterie, des ossements d'animaux (bovins principalement), quelques perles en verre multicolores, des éclats d'obsidienne parfois retouchés en grattoir et une tige en fer. Les tessons de poterie, du même type que ceux trouvés sur les tombes, correspondent à une céramique noire, bien lissée, avec un décor varié (cannelures, petits boutons, divers estampages, cordons, frises géométriques à traits incisés). Cette fosse pourrait correspondre à un site d'habitat contemporain du cimetière : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tiya_(site_arch%C3%A9ologique)
Les stèles à épées sont faites d’une dalle de ryolite allongée peu épaisse, aplanie sur chaque face à l’herminette métallique. La plus haute, à Tiya, mesure 5 m de longueur. À Tiya, les stèles aux épées sont dressées en bordure d’une surface polygonale limitée par des pierres sur chant qui marquent l’emplacement de la tombe en puits au fond duquel se trouve le squelette replié en position fléchie sur le côté. Aucun objet ne l’accompagne dans la tombe.
*** Les stèles à orant sont constituées de dalles de pierre supportant un personnage aux bras dressés, à tête cloisonnée et seins pendants. 
*** Les stèles à bandeau peuvent être morphologiquement très proches des précédentes et souvent confondues. Cependant, l’arceau qui part d’une épaule pour rejoindre l’autre est à courbure unique et porte une incision en son milieu qui le partage en deux parties. Il n’y a pas de mains. 
Toutes les stèles à orant associé à des épées portent le signe ramifié et seraient donc masculines, alors que toutes les stèles à orant simple et celles à bandeau, présentant des seins tombants, seraient des stèles féminines.
*** Les pierres hémisphériques et pierres coniques sont dites stèles tambours. La partie pointue ou hémisphérique était fichée dans le sol, alors que la surface plane ou légèrement bombée était tournée vers le ciel. Ces pierres hémisphériques marquent généralement l’emplacement d’un tumulus qu’elles entourent en partie. Il arrive que des pierres coniques portent le signe ramifié. 
*** Les stèles historiées sont de larges dalles plates à bords parallèles. Ces stèles anthropomorphes, parmi les plus belles stèles du mégalithisme éthiopien, possèdent des épaules pointues et une tête dégagée. Généralement, la face antérieure, sur laquelle apparaissent les bras, les seins et les pieds, est couverte de dessins (arcs, lances, flacons, chevaux montés, personnages aux bras levés…) alors qu’une draperie géométrique se développe à l’arrière associée à un épais bourrelet qui évoque un carquois.
Ces stèles, peu nombreuses sur l’ensemble du territoire, devaient probablement marquer la tombe d’un personnage important. 
*** Les stèles à « collier » sont des stèles anthropomorphes qui présentent une sorte de grand peigne sur la poitrine, d’où des courroies de suspension, passant sur les épaules, retiendraient ce qui pourrait être une épée accrochée dans le dos du personnage. Sur la face antérieure se distinguent aussi deux disques à l’emplacement des seins, qu’accompagnent parfois un W versé et un signe ramifié, placé bas sur la stèle : https://books.openedition.org/irdeditions/1784
Lire aussi https://www.persee.fr/doc/ethio_0066-2127_1985_num_13_1_921 et https://www.persee.fr/doc/ethio_0066-2127_2000_num_16_1_958
Voir les restitutions de Tiya (groupe A) dans https://sketchfab.com/3d-models/tiya-a-ethiopia-a63e1616496746b39fb1dced40623597 et Tiya (groupe B) dans https://sketchfab.com/3d-models/tiya-b-ethiopia-fc02471a16104062b5488aaaaacff0e5 de Antoine Laurent
Bon anniversaire à Marc Tanzi avec sa photo très … de stèles phalliques de … :-o ??? Qui qui sait qui c'est et d'où c'est :-) ?? Ça sent l'Arménie ou le Caucase non ? 🤔
Buon compleanno a Massimo D'Alessandro de l'ASSO - Archeologia Subacquea Speleologia Organizzazione avec sa photo des tikis de … ??? Who/where is it please ? :-) On dirait bien le Tiki représentant le chef Taka'i'i, sur le site archéologique du Mea'e Te I'Ipona, près du village de Puama'u, ile de Hiva Oa, îles Marquises : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tiki
Grattis på födelsedagen Patrik Gustafsson Gillbrand de Sörmlands Arkeologi AB avec sa photo d'une stèle runique de … ??? Do you have more infos please (also its epoch/culture ?) because I don't see it in the bible of The Megalithic Portal by searching with « Blacksta » or « Södermanland » :-o
Alles Gute zum Geburtstag Mikael Ansger d'ABC News avec sa photo de la Skardesten / Pierre runique de Skarthi Stone / Hedeby 3 ou DR 3, qui a été trouvée en 1857 dans le Danevirke (système de fortification danois situé dans le Schleswig-Holstein-Urlaub, cette importante ligne défensive d'une trentaine de kilomètres de long, construite pendant l'âge des Vikings danois, barre la péninsule du Jutland à sa base : https://fr.wikipedia.org/wiki/Danevirke) et a été élevée vers 982. Cette pierre runique de granit est actuellement exposée au Wikinger Museum Haithabu. On pense que l'inscription du roi Sveinn fait référence à Sweyn Forkbeard (vieux norrois Sveinn Tjúguskegg) et "l'ouest" à une campagne en Angleterre. Le roi a commandé la pierre en l'honneur de Skarði, qui avait le titre heimþega ou heimþegi (signifiant « récepteur de maison », c'est-à-dire celui à qui un autre donne une maison). Au total, six pierres runiques au Danemark font référence à une personne portant ce titre, les autres étant DR 1, DR 154, DR 155, DR 296 et DR 297. L'utilisation du terme dans les inscriptions suggère une forte similitude entre heimþegar et le vieux terme norrois húskarl (littéralement, "homme de maison"), ou housecarl. Comme les housecarls, les heimþegar sont au service d'un roi ou d'un seigneur, dont ils reçoivent des cadeaux (ici, des maisons) pour leur service. Certains, comme Johannes Brøndsted, ont interprété heimþegi comme n'étant rien de plus qu'une variante danoise locale de húskarl. 
Traduction en français : « Le roi Sveinn a placé la pierre à la mémoire de Skarði, son serviteur, qui a voyagé vers l'ouest, mais qui a ensuite est mort à Hedeby » : https://en.wikipedia.org/wiki/Hedeby_stones
Des fouilles archéologiques à Busdorf, dans le Kreis Schleswig-Flensburg, ont montré une habitation au Néolithique et à l'âge du bronze. On a trouvé aussi les restes d'un Hedeby et la pierre de Skarthi, une pierre runique datant du XIe siècle. Entre le IXe et le XIe siècle, la colonie d'Haddeby est l'un des plus importants centres économiques, politiques et sociales en Scandinavie. Après la destruction de la colonie en 1066, les habitants fondent Schleswig. Il reste une grande partie de l'enceinte du Danevirke. La pierre de Skarthi, découverte en 1857, fait référence au roi Sven à la Barbe fourchue et aux Jomsvikings. Skarthi est un combattant à la bataille du détroit de Hjörung. Il pourrait avoir sauvé son roi prisonnier et été libéré en même temps que lui après la grâce de Håkon Sigurdsson : https://fr.wikipedia.org/wiki/Busdorf#Histoire 
Voir aussi https://graenseforeningen.dk/om-graenselandet/leksikon/skardestenen de Grænseforeningen - for en åben danskhed, https://www.busdorf.de/verzeichnis/visitenkarte.php?mandat=139590 et http://www.suehnekreuz.de/holstein/busdorf.htm
Bon anniversaire à Leonor Hammer avec ses photos de San Agustin (désolé en accès restreint) : https://www.facebook.com/leonor.hammer.5/posts/pfbid02Lb8aYzdDYpMocTwDV4iWHbNuTWftRJDf6djrjeFGN2rYRfRzfZs8ds9n58ohZ1jal (y) :-) <3
N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Colombia.travel : https://colombia.travel/en/search?keys=agustin 
Le parc archéologique de San Agustín (en VIDEO dans https://www.youtube.com/watch?v=4Fp-Avhsvzw&list=PLMT5eegD7CvFlUiHHj6lNw5hGEq4DGcfb&index=45 de Faut Pas Rêver) est un ensemble de monuments religieux et de sculptures mégalithiques au cœur des Andes, à San Agustín dans le département de Huila en Colombie. 300 sculptures monumentales stylisées parsèment ce parc, témoignant de l’art d’une civilisation, la culture San Agustín, qui atteignit son apogée durant les huit premiers siècles de notre ère. Le parc est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1995 et constitue la plus grande nécropole au monde en termes de surface : https://whc.unesco.org/fr/list/744
La première description de ce site archéologique a été faite par le frère capucin Juan de Santa Gertrudis dans son ouvrage en quatre volumes Maravillas de la naturaleza (Merveilles de la nature)1, après qu'il a visité la région en 1756.
L'étude scientifique des vestiges débuta en 1914 avec le professeur allemand Konrad Theodor Preuss. D'autres missions suivirent avec José Pérez de Barradas et Gregorio Hernández de Alba (1936-1937), Luis Duque Gómez (1943, 1944, 1960) ou encore Gerardo Reichel-Dolmatoff (1966).
Les études archéologiques les plus récentes les datent de la période située entre le Ier et le Ve siècle, et donc bien avant la conquête espagnole. L'origine des sculpteurs demeure mystérieuse car la plus grande partie du site n'a toujours pas été fouillée et aucune trace d'écriture n'a été trouvée à ce jour. Ces statues représentent en majorité des personnages sexués, on trouve aussi des représentations d'animaux, et des formes abstraites. Les statues ont des hauteurs différentes, la plus grande faisant 7 m de haut, située à 4 km du parc, dans un site appelé Alto de los Ídolos. Elles ont été sculptées dans le tuf et l’andésite volcanique. On suppose qu'elles avaient une fonction funéraire et votive.
Le parc s'étend sur 35 km, et est divisé en trois parties (mesitas), plus trois sites complémentaires et un jardin de statues. Deux autres sites sont à l'extérieur du parc, Alto de los Ídolos et Alto de las Piedras. L'entrée principale se fait via un pont-portique en bambou qui enjambe un torrent. Le visiteur débouche face à une falaise dans laquelle est sculpté un mélange de tête humaine, de serpents et de lézards, appelé Fuente de Lavapatas, surplombant trois piscines creusées dans le sol, étagées et remplies par l'eau de la source et on suppose qu'elles servaient à des bains rituels.
Certaines statues retrouvées dans les champs environnants par des paysans ont été regroupées sur diverses esplanades à l'intérieur du parc pour des raisons de conservation et de sécurité. 35 statues servirent à aménager le Bosque de la Estatuas grâce au concours de Reichel-Dolmatoff, qui a de son côté inventorié plus de 500 statues : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_arch%C3%A9ologique_de_San_Agust%C3%ADn 
Voir aussi https://www.maisonsduvoyage.com/amerique/colombie/san-agustin de Les Maisons du Voyage, https://magelia-colombie.fr/san-agustin-en-colombie-site-archeologique de Magelia Colombie, https://www.voyage-colombie.com/blog/terrain/san-augustin de Terra Group - Voyages sur mesure, https://monvoyageencolombie.com/visiter-parc-acheologiques-san-agustin de Mon Voyage en Colombie, https://faimdevoyages.com/nos-voyages/amerique-du-sud/colombie/san-agustin-archeologie-statues de Faim de Voyages, https://inspiracolombia-travel.com/san-agustin de Inspira Colombia
Feliz cumpleaños a José Miguel Noguera Celdrán de l'Universidad de Murcia et de la Cultura de Murcia, ex de l'Università degli Studi di Urbino Carlo Bo, avec une de ses photos de l'exposition « Gladiateurs. Héros du Colisée et Le Guerrier Atlantique » au MARQ. Museo Arqueológico de Alicante (https://www.facebook.com/josemiguel.nogueraceldran/posts/pfbid0rnkrJgqRpMvBWHNDJH2reY82Qom4B4BYoqsB4muYmMqQuJxTufDaWqm2toP6J6Zwl) (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Le Guerreiro do castro de Lesenho, statue de granit pesant 700 kilos, pièce la plus emblématique de la culture galicienne de l'âge du fer, est considérée comme l'une des œuvres de référence du Museu Nacional de Arqueologia de Portugal. Avec sa position hiératique, le guerrier tient le caetra, un petit bouclier circulaire caractéristique du peuple gaulois qui deviendra le premier symbole reconnaissable de ce peuple, atteignant le cœur de l'Empire romain après la conquête du territoire gaulois. La valeur archéologique de cette pièce, datée du premier siècle bien que d'origine pré-romaine, réside également dans son lien esthétique et fonctionnel avec la tradition sculpturale de l'âge du fer d'Europe centrale. Un autre aspect remarquable de la statue est qu'elle conserve le dessin de ses vêtements gravés dans la pierre : https://www.facebook.com/watch/?v=2501396426622187 de Cidade da Cultura de Galicia (y)
Le castro d'Outeiro Lesenho (Município de Boticas, : Turismo do Porto e Norte de Portugal, http://www.portoenorte.pt/pt/o-que-fazer/guerreiro-calaico-castro-do-outeiro-do-lesenho) est le seul établissement fortifié de l'âge du fer au nord-ouest de la péninsule où sont apparues quatre statues de guerriers galiciens en Terra Callaeci. Des doutes subsistent quant à leur provenance, car elles n'ont pas été trouvées dans un contexte archéologique et aussi parce que leur découverte s'est produite à des époques différentes. Voyez une approche biographique et une revue historiographique de ces statues, cherchant à clarifier certains des doutes existants, comme la confusion entre les guerriers de Lesenho et celui de São Paio de Meixedo (Câmara Municipal de Viana do Castelo, nord du Portugal), avec quelques considérations sur les contextes d'utilisation et de réutilisation de ce type de statuaire anthropomorphe dans les oppida du Nord-Ouest ibérique : https://nailos.org/index.php/nailos/article/view/9/9 de João Fonte de Instituto de Ciencias del Patrimonio - Incipit, CSIC et Archaeology, University of Exeter pour Nailos
Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Gratulerer med dagen til Sigmund Oehrl de l'Arkeologisk museum de Universitetet i Stavanger (which lost its fb page https://www.facebook.com/pages/Arkeologisk-museum-UiS/288922110140 but not its link in https://www.uis.no/nb/arkeologisk-museum :-o ) avec sa photo de … ??? What is it ?, from where ??, which culture/epoch please ??? :-)
Tillykke med fødselsdagen Kristoffer Buck Pedersen du Museum Sydøstdanmark - Museum Southeast Denmark avec sa photo des pierres de Jelling, deux pierres runiques situées à Jelling, au Danemark. Elles se composent de la petite pierre de Jelling et de la grosse pierre de Jelling. Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)
La petite et la grosse pierre de Jelling furent érigées au Xe siècle, respectivement par le roi Gorm l'Ancien et Harald à la dent bleue, son fils qui a donné son nom au Bluetooth :-o. Servant principalement à honorer les défunts, des pierres runiques furent érigées partout sur le territoire scandinave. La petite pierre de Jelling honore Thyra du Danemark, la femme du roi Gorm, alors que la grosse pierre, érigée beaucoup plus tard, souligne la vie des parents d’Harald à la dent bleue, sa conquête du Danemark et de la Norvège, ainsi que la conversion des Danois au christianisme. Ces monuments à caractère commémoratif se placent dans une période de changements sociaux et culturels, avec l’arrivée de la foi chrétienne et la conversion à cette nouvelle religion. 
Les pierres de Jelling sont des sources importantes dans l’étude de la Scandinavie médiévale, par leur style artistique, l’écriture utilisée, leur contenu, le contexte dans lesquels elles furent érigées, ainsi que leurs commanditaires respectifs : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierres_de_Jelling
تولدت مبارک بهm
Mansour Amini avec ses photos du Parque arqueológico de San Agustín, Colombia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_arch%C3%A9ologique_de_San_Agust%C3%ADn) : https://www.facebook.com/mansour.amini.54/posts/pfbid02bSN56B2L2iKa2hmQtGFA6jnAtL5w9Qtk5vyxxtxsMvbze3M9Fw81JvHyXsufDae7l (y) :-) <3 Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Re Tillykke med fødselsdagen til Jeppe Boel Jepsen du Museum Nordsjælland avec sa photo et son commentaire, Destination Bornholm : « Avant la construction du DanFeriecenteret, il y avait ici un hôtel balnéaire, construit en 1887. Et avant cela, l'endroit était le lieu d'exécution des condamnés à mort du tribunal de Hammershus (https://fr.wikipedia.org/wiki/Hammershus), dans la Bornholms Regionskommune. Oui, nous vivons sur les jambes des damnés ! » :-o . Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)

entre 1 000 et aujourd'hui

Monuments avec une fonction funéraire

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Feliz aniversário para Gonçalo Cruz de Sociedade Martins Sarmento avec sa photo de … pas sûr que ce soit un vrai menhir car il n'est pas indiqué (ni d'autres très proches) dans la bible de The Megalithic Portal vers Lamegal, Município de Pinhel 🤨
Bon anniversaire à Fabrice Riceputi avec « Le mégalithisme au Grassland (République Du Cameroun, occidental) : État des connaissances, nouvelles découvertes et perspectives » (https://journals.openedition.org/aaa/843) par Jean-Paul Notué [comme j'avais fait pour les Mégalithes de Djohong (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=127850380077705&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3), ce post me servira de multimédiathèque pour pas oublier des liens intéressant] !  Cet article présente les premiers résultats de travaux menés au Grassland (Visiter le Cameroun avec moi) dans le cadre d’un projet de recherche sur le mégalithisme, en partenariat entre l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et l’Université de Yaoundé I. Les résultats montrent que le mégalithisme de vastes secteurs du Grassland, du Cameroun, bien que mal connu, est encore vivant, que les pierres dressées sont partie prenante d’une intense vie sociale, spirituelle, religieuse et politique dans les royaumes, depuis des siècles. L’article met en lumière le contexte de réalisation et d’utilisation, les techniques de construction, les formes, l’histoire, les significations et les fonctions des mégalithes, montrant l’importance première des enquêtes de terrain dans une approche nouvelle du mégalithisme (y) :-) <3
Les recherches de terrain au Grassland camerounais ont permis de découvrir des centaines de nouveaux mégalithes (essentiellement des pierres dressées ou menhirs). Ils sont les éléments d’une intense vie culturelle, religieuse et politique depuis des siècles et sont de diverses formes et dimensions, sans doute aussi de tout âge. Ils proviennent de plus de 200 sites (jusque-là mal connus sinon totalement ignorés) localisés, au plateau bamiléké, au sud de Bamenda, en pays bamoum, sur les versants sud-ouest des massifs Bambouto, jusqu’aux confins de la Cross River, etc. Ces monuments et ouvrages font partie de structures architecturales complexes aux significations et fonctions variées et parfois multiples que ce texte a mis en évidence à partir de l’analyse de spécimens précis. Ils sont associés à un riche symbolisme dont cette étude a contribué à en déceler le sens. 
Dans cette région du Cameroun, on dresse encore des mégalithes à côté de spécimens du passé. C’est parce que, en dépit du progrès du christianisme et de l’islam, les traditions religieuses et la vie socioculturelle autochtones du Grassland restent encore dynamiques et vivantes, que le mégalithisme perdure et se renouvelle, mais, cependant, avec moins de vigueur de nos jours. Ceci offre une occasion inestimable pour des études comparatives (avec toutefois des précautions d’usage) entre les œuvres anciennes et celles du présent (ou d’un passé récent) des différentes régions. Cette étude montre que l’aire d’extension des mégalithes au Grassland et dans le pays est beaucoup plus large qu’on ne le pensait. Cette construction de mégalithes du Grassland s’appuie sans doute sur un fonds fort ancien, de date inconnue (mais antérieure au XIVe siècle), n’excluant pas la période préhistorique. La pratique du mégalithisme, associée à la religion locale, a sans doute été continue jusqu’à nos jours ; les fonctions, les significations, les usages des pierres et les techniques employées, ayant subi de multiples influences et ayant connu des variantes dans le temps et selon les différents secteurs de cette partie de l’Afrique.
Bon anniversaire à Romain Guédé et comme il a bossé pour Africaide (y), voici un cliché et dessin du monolithe rituel figurant Tagny, le père des jumeaux, associé à un poteau fourchu mega à décors circulaires, expression du pouvoir du conseil de sept notables, Mbatu (plateau de Bamenda) <3 trouvé via Semantic Scholar de The Allen Institutete for Artificial Intelligence dans « Le mégalithisme au Grassland (République Du Cameroun) : État des connaissances, nouvelles découvertes et perspectives » (https://journals.openedition.org/aaa/843) par Jean-Paul Notué (y) Cet article présente les premiers résultats de travaux menés au Grassland (Visiter le Cameroun avec moi) dans le cadre d’un projet de recherche sur le mégalithisme, en partenariat entre l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et l’Université de Yaoundé I. Les résultats montrent que le mégalithisme de vastes secteurs du Grassland, du Cameroun, bien que mal connu, est encore vivant, que les pierres dressées sont partie prenante d’une intense vie sociale, spirituelle, religieuse et politique dans les royaumes, depuis des siècles. L’article met en lumière le contexte de réalisation et d’utilisation, les techniques de construction, les formes, l’histoire, les significations et les fonctions des mégalithes, montrant l’importance première des enquêtes de terrain dans une approche nouvelle du mégalithisme (y)
Bon anniversaire à Claude Le Caignec :-) Comme il s'est "exilé" au soleil de Madagascar Tourisme, voici un exemple de pierre dressée en pays Bara en la mémoire de Retisitototra, militaire, date de naissance et décès illisibles (d’après un document de Jean Poirier, mais je veux bien svp des photos à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y) ) ! Les monuments mégalithiques existent dans bon nombre de régions de Madagascar. Les plus connus sont représentés essentiellement par les pierres dressées dont les appellations connaissent des variantes en fonction des aires géographiques. Dans la présente contribution, Barthélemy Manjakahery retient la place et la signification des mégalithes chez les populations Bara, et ce, dans une perspective ethnoarchéologique. Il étudiera principalement le cas des pierres érigées dites orimbato et des sépultures mégalithiques traditionnelles ou valavato, à travers des données ethnographiques sinon tirées de la tradition orale.
Les pierres dressées orimbato dans le pays Bara apparaissent comme étant des monuments funéraires à part entière, érigés en tant que mémoriaux pour différentes raisons. Il est une première signification que l’on retrouve pour ce type de mégalithes érigé pour une personne morte sans descendance. Les mémoriaux peuvent également être dressés pour des personnes décédées au loin et dont les corps n’ont pu être ramenés au tombeau familial. Cependant, dans l’évolution de ces monuments funéraires, la notion de fortune entre en ligne de compte, au point que, à l’heure actuelle, il en est en béton.
Les orimbato sont en général placés sur des endroits bien visibles des passants, hormis ceux qui se trouvent à proximité des tombeaux. Quant à la technique d’extraction, l’on se sert de dalles brutes qui sont débitées sans utilisation de feu. Outre les pierres commémoratives, les tombes traditionnelles des Bara antevondro, pour ne retenir que cet exemple, constituent des constructions funéraires que l’on pourrait assimiler à du dolménisme, eu égard à la taille des matériaux lithiques utilisés. Par ailleurs, son séjour sur le terrain nous a permis de nous rendre compte que l’architecture funéraire traditionnelle est en train de disparaître progressivement dans la région : https://books.openedition.org/pupvd/4201
Lire aussi https://www.persee.fr/doc/bmsap_0301-8644_1893_num_4_1_5462 et https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1985_hos_82_10_8652 chez Persée
को जन्मदिवस की शुभकामना Avijit Pramanik avec les photos de Subhashis Das des mégalithes commémoratifs de la tribu Ho de Chaibasa, qui ne sont cependant pas anciens mais sont énormes (y)
जन्मदिन की शुभकामनाएँ Drpradhumn Bhatt avec la photo de Vidarbha Darshan d'anciens Virgali à Mahagao dans la forêt dense de Tadoba : https://www.facebook.com/VidarbhaDarshan/posts/pfbid02bE8Ax1Lf6pTHV9ivvM76jkmTRkVhL2FWrp7bX8B6W5YyC5fQqYWnvcDChyM36n1Pl (y) :-) <3 Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) 
Il en existe plus de 200 différents, des petits et des grands allant de 30 cm à 1,80 m de hauteur. Il y a de très belles sculptures sur ces pierres Virgali : cheval, éléphant, armée y sont sculptés. Virgal signifie qu'après la mort d'un brave guerrier dans une guerre, cette sculpture a été érigée à sa mémoire.
Happy birthday to David E Bybee avec "sa" photo de balbal ukrainien :-) Il commente sur l'invasion de l'ours d'ex URSS : « Illustration of two lovely, weathered memorial markers to the Ancestors. How old are they? No one really knows. But they are protected, loved, and cherished <3 »
What a redneck :-p : une simple recherche inversée indique « Statues of man and woman. Polovtsians. 11–13 century. Storage: Дніпропетровський національний історичний музей ім. Яворницького named after D.i. Yavornytsky ; Photo: Oleksandr Dirdovsky » : https://artukraine.com.ua/eng/a/kamennye-baby-aktualnyy-vzglyad/#.ZCAxL_bP3rc de ART Ukraine (y)
Je réponds grâce à Wiki : On appelle balbal une pierre tombale d'Asie centrale et de Mongolie érigée en mémoire de membres importants de la communauté. 
Le terme de Balbal vient du mot turc « baba » signifiant « ancêtre ». La plupart des stèles représentent un homme au visage stylisé (yeux et sourcils prononcés, nez et moustache..) avec dans la main droite un glaive (homme de guerre ou de pouvoir, devant être armé dans l'eau delà pour se défendre) et dans la main gauche un bol ( pour s'assurer que le défunt ne souffrira pas de la faim dans son voyage céleste, ou encore selon une autre hypothèse, coupe contenant un breuvage sacré que le défunt offrira à Tengri, dieu du ciel, une fois arrivé dans l'eau delà...On connaît le rituel des mongols Gengiskhanides qui jetaient vers le ciel le reste de leur breuvage -le plus souvent du koumiss ou le lait de jument fermenté - pour honorer le dieu Tengri).
En Mongolie on retrouve de nombreux balbals dans la vallée de l'Orkhon et au Kirghizistan on les retrouve près de la tour kharakanide de Burana et aussi au musée a ciel ouvert (Balbals & pétroglyphes) de Tcholpon Alta au nord du lac Issyk Koul. La plupart de ces stèles datent de l'époque turque du VI au IXème siècle. Les familles pensaient que l'esprit du défunt continuait à vivre dans le balbal pendant la première année (on gardait la pierre dans la yourte) avant qu'elle ne soit déposée sur la tombe (contenant la dépouille ou les cendres du mort). Les balbals doivent être orienté vers l'Est selon les croyances chamanique ( renaissance et jour nouveau rythmé par le lever du soleil).
Ces stèles anthropomorphes sont très semblables à celles érigées antérieurement pendant plusieurs millénaires dans les steppes d'Asie centrale par différents peuples indo-européens, jusqu'à l'époque des Scythes, avant qu'ils ne soient remplacés par des peuples turcs et mongols plus tardifs qui ont partiellement repris cette tradition : https://fr.wikipedia.org/wiki/Balbal
fr_FRFR