Big & Old StoneS

Suivez-nous sur nos réseaux !

9. Entre -1 000 et le début de l'ère commune : Âges du Fer

Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
туған күні құтты болсын Ainash Childebayeva :-) Le complexe Eleke Sazy est une découverte récente dans le monde de l'archéologie au Kazakhstan. Il est situé dans les montagnes de Tarbagatai à 1 500 m d'altitude. Caché des regards indiscrets, protégé par la nature elle-même, le site est longtemps resté hors de vue des scientifiques, bien que des rumeurs selon lesquelles des personnes royales aient été enterrées ici aient circulé parmi la population locale. Les Saka ont placé des cercueils en bois à l'intérieur de cabanes en rondins, autour desquelles ils ont construit des chambres en pierre, avant de les recouvrir soigneusement d'un monticule de terre battue et de gazon surmonté de pierres. Certains monticules atteignaient 10 mètres de hauteur. Dans Kurgan 4, les archéologues ont trouvé des bijoux étonnamment préservés, des parures de vêtements, des ornements de harnais de cheval et d'autres objets décoratifs avec les restes d'un archer adolescent, pas plus de 18 ans quand il est mort. À proximité, l'équipe a identifié la tombe lourdement pillée d'une jeune fille de 13 à 14 ans, très probablement sa sœur. C'est l'un des sites présentés dans l'exposition « Gold of the Great Steppe » au The Fitzwilliam Museum, Cambridge : https://steppe-gold.fitzmuseum.cam.ac.uk <3
Les Perses  ont sculptés les Saka-Scythes comme des captifs vaincus et des sujets, les Grecs les ont embauchés comme mercenaires et les ont décrits comme des barbares nomades. Des tribus de toutes les directions ont envahi leurs terres, suivies des siècles plus tard par Gengis Khan, Pierre le Grand et l'Union soviétique. Et à chaque bouleversement, leurs sépultures étaient impitoyablement pillées, les ossements éparpillés. Il y a cinq ans, le Kazakhstan oriental a lancé un programme de recherche archéologique étonnamment réussi qui a conduit à la fouille de dizaines de tumulus et de colonies construits par les peuples Saka-Scythes de la Grande Steppe entre -900 et -200. Photo et d'autres infos de University of Cambridge dans https://www.cam.ac.uk/stories/gold-of-the-great-steppe-exhibition (y) 
ENGLISH documentaries on QAZAQ TV : https://qazaqtv.com/en/programms/beyond-time/3000-beyond-time-6-ang and https://qazaqtv.com/en/programms/enigma-of-the-great-steppe/6216-the-secret-of-eleke-sazy-the-greatest-discovery-of-kazakh-archaeologists
{Infos via The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=55901}
Честит рожден ден на Christina Stefanova avec la magnifique photo (voire quasi peinture comme dit Chasseur de Dolmens, sachant que j'ai lutté pour pas trop saturer l'image question tons/contraste/couleurs, etc.) par Maya Nikolova du Gaidarov Dolap dolmen, une grande tombe avec deux pierres d'entrée trouées et des orthostates massives avec une partie de son tumulus restant (y) :-) <3 Autres photos dans https://vici.org/vici/38896 (y)
{nfos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=37722}
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Rajyapal Sharma avec la photo légendée « Pathi banda, kammagutta palli, Sundupalli, Rayachoty » de la très bonne page Dolmens & Megaliths in Rayala seema (y) malheureusement arrêtée :-( Do you know Subhashis Das where it is in Andhra Pradesh Tourism and have infos about it please ? :-)
Mulțumită Agulnikov Serghei de l'Academia de Stiinte a Moldovei | Academy of Sciences of Moldova pour sa photo de fouilles il y a dix ans au nord de la Moldova Tourism près de la Biblioteca Brinzenii Noi, non loin de l'Asociaţia Băştinaşilor din oraşul Teleneşti, avec une tombe tumulaire de l'Âge du Bronze final de la culture de Noua  (y)
Culture Noua : culture archéologique de l'Âge du Bronze du -XIIIe au -XIe siècle qui existait dans le sud-ouest de l'Ukraine, le nord de la Roumanie et le nord de la Moldavie. Les gens de cette culture vivaient dans des habitations de surface autour desquelles se trouvaient des dépôts de cendres et des dépendances. Ils se sont engagés dans l'agriculture, l'élevage et le travail du bronze. Les études de leurs sites ont révélé des poteries en terre cuite, des pointes de flèches en os, des fers de lance en bronze en forme de feuille, des miroirs et des épingles. Des cimetières avec jusqu'à 200 tombes dans lesquelles les défunts étaient placés dans une position fléchie ont également été découverts. Les sites culturels notables de Noua en Ukraine comprennent la colonie de Mahala et le site archéologique d'Ostrivets : http://www.encyclopediaofukraine.com/display.asp?linkpath=pages%5CN%5CO%5CNouaculture.htm de Canadian Institute of Ukrainian Studies
Честит рожден ден на Dimitar Tonin de ШАМБАЛА Издателство qui avec son expédition Thasos (VisitThassos.info est une île montagneuse de l'archipel grec, à 8 km de la Thrace continentale et à l'ouest de l'île de Samothrace) a exploré, photographié et marqué deux nécropoles antiques (Kastri et Tsiganadika) avec près d'une centaine de structures funéraires en pierre (y) Do you have more informations about this sites and this culture please ? :-)
Au nord-est de la ville côtière de Potos sur l'île de Thasos, au nord de la Grèce, l'Acropole de Kastri, découverte sur un plateau rocheux imposant, a été examinée et décrite dans les années 1969 à 1978 et en 1992 par l'Ephoria Kavala avec la participation d'experts internationaux. Il s'agit des vestiges d'un habitat préhistorique avec ses nécropoles de Kentria, Tsiganadika et Vrysoudes, la nécropole de Larnaki au nord et les nécropoles de Mantaloudi près de Theologos. Le peuplement initial peut remonter à la période du Néolithique moyen à tardif. Les deux principales périodes de peuplement attestées se situent à la fin de l'Âge du Bronze et à la fin de l'Âge du Fer (-XIIIe / -VIIe siècles). Au cours de chacune des deux grandes périodes, la population a migré vers l'intérieur de l'île. Aux -XIe et -Xe siècles, des maisons ovales et à abside ont été construites en poteau et des maisons rectangulaires avec des fondations en pierre : c'était inhabituel, construction basée sur les modèles égéens. La culture des îles a été déterminée par la culture du nord du continent. Des relations commerciales animées avec la Macédoine centrale et orientale et la Thrace égéenne se sont développées via les vallées fluviales de Strymon, Nestos et Evros. Surtout dans la première phase de peuplement, une influence mycénienne dominante est reconnaissable en raison de la poterie excavée. La poterie typique incisée fabriquée localement prévaut, certaines avec des ornements en spirale et des imitations de marchandises helladiques tardives par les potiers locaux. À la fin de l'Âge du Fer, la relation avec Mycènes a presque complètement disparu avant que la colonie de Kastri ne soit finalement abandonnée : https://de.wikipedia.org/wiki/Kastri_(Thasos)
Résultats des fouilles de l'École Française d'Athènes : https://www.persee.fr/doc/bch_0007-4217_1981_num_105_2_18166 et https://www.persee.fr/doc/bch_0007-4217_1984_num_108_2_17683
« Kastri. — La même année (1975) on a poursuivi l'exploration de l'habitat préhistorique et de la nécropole de Tsiganadika. Sur l'acropole un petit sondage stratigraphique a permis de préciser la séquence de l'occupation mais non de résoudre le problème de l'hiatus chronologique entre les deux phases principales, Chalcolithique et Bronze Récent. Dans la nécropole on a fouillé une douzaine de tombes, isolées ou groupées, qui ont livré, comme les années précédentes, des poignards en bronze ou en fer, des bijoux en métal, en pierre ou en os, des fusaïoles en terre cuite et des vases non tournés dont les plus récents, qui datent du début de l'âge du Fer, sont ornés de cannelures (fig. 139), tandis que les plus anciens, associés à des imitations locales de vases mycéniens, en sont dépourvus » (y) :-) <3
Lire aussi https://www.academia.edu/5313410/Reflections_of_the_Human_Condition_in_Prehistoric_Thasos_Aspects_of_the_Anthropological_and_Palaeopathological_Record_from_the_Settlement_of_Kastri_1999 de Anagnostis Pan Agelarakis de Adelphi University et https://books.google.fr/books?id=S9sKEAAAQBAJ&pg=PA109&lpg=PA109&dq=Tsiganadika+kastri&source=bl&ots=tJFAt3dT8a&sig=ACfU3U0vJ7J6DPsYm019kzqTqi3lvwhCYQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwj-kaWHhbv7AhVzcaQEHXyNDJ0Q6AF6BAgSEAM#v=onepage&q=Tsiganadika%20kastri&f=false de Pia Guldager Bilde de Iarpothp International Association for Research on Hellenistic Pottery et Aarhus University, et de Jane Hjarl Petersen de Syddansk Universitet – University of Southern Denmark
Честит рожден ден на Kremena Todorova avec sa photo du dolmen de … ??? Who is it please ? :-) Le Strandja (en Bulgaria Tourism : Странджа ; en grec ancien : Σκυρμιάδος όρος / Skurmiádos óros ; en turc : Istranca dağları, plus récemment Yıldız dağları) est un massif montagneux du Sud-Est de la péninsule balkanique et de l'Europe. Il est situé à cheval sur le Sud-Est de la Bulgarie et le Nord de la partie européenne de la Turquie. La plus haute montagne est le Mahiada (bulgare : Махиада, grec ancien : Μαχιάδα, turc : Mahya dağı), en Turquie, avec une altitude de 1 031 mètres. De la Préhistoire au Moyen Âge, la région est connue pour ses mines de cuivre et d'or. L'occupation humaine est révélée par les artefacts : dolmens, mégalithes pélasgiques, sanctuaires thraces du royaume des Odryses, autels, basiliques romano-byzantines, nécropoles slavo-bulgares : https://fr.wikipedia.org/wiki/Strandja_(massif)
Buon compleanno a Claudia Procentese :-) Dans la Comune di Calascibetta, la Necropoli di Realmese (VIDÉO dans https://www.youtube.com/watch?v=9RSkKbV1Svw de Mirco Mannino - In Viaggio con Te) se caractérise par une forme Pantalicano (du même style que la nécropole de Pantalica), avec 288 tombes rupestres de deux époques différentes : une première époque protohistorique (-IXè siècle) puis des réutilisations à l'époque archaïque (-VIè siècle) : https://books.google.fr/books?id=NMw7AwAAQBAJ&pg=PT27
Une première campagne de fouilles a été menée dans les années 1949-1950 avec l'archéologue Luigi Bernabò Brea qui a trouvé diverses trouvailles : céramiques, petits couteaux, bagues, boucles d'oreilles et broches, aujourd'hui exposées au Musée Régional Paolo Orsi de Syracuse (https://aditusculture.com/biglietti/sicilia/siracusa/museo-archeologico-regionale-paolo-orsi de Aditus Culture) : https://it.wikipedia.org/wiki/Necropoli_di_Realmese
Autrefois, la zone était traversée par de petits ruisseaux dont les eaux, autrefois abondantes, ont laissé des traces dans la végétation luxuriante qui affecte actuellement la zone. Sur le côté sud du relief, il y a un grand groupe de tombes rupestres artificielles qui forment le noyau central de la nécropole, qui s'étend également sur les autres côtés de la colline, bien qu'avec un plus petit nombre de sépultures. Dans l'état actuel des recherches, la position exacte de la ville par rapport à la nécropole n'est pas connue, celle-ci semble avoir été recherchée au sommet du Cozzo S. Giuseppe voisin, en position dominante. Cependant, les rares traces d'occupation recensées dans cette zone laissent encore ouverte la question de l'emplacement probable d'un village qui - à en juger par l'importance de la nécropole qu'il utilisait - devait certainement être très étendu. 
Il a été possible de mettre en évidence la nette prédominance des sépultures avec inhumation collective, de tradition indigène. La plupart des tombes, généralement petites et de forme circulaire, ont la voûte convexe typique des tombes à four, mais des plafonds plats sont également documentés. Des traces de fréquentation du site aux époques byzantine et romaine ont été identifiées, respectivement, à l'intérieur d'une tombe à chambre de l'âge du bronze final, réutilisée comme habitation, et dans deux silos à denrées alimentaires creusés dans la berge rocheuse et identifiés dans le Cozzo S voisin Giuseppe. Ces témoignages témoignent une fois de plus de l'extraordinaire continuité de peuplement de cette région, dont les premières traces d'occupation humaine pourraient remonter au Néolithique, compte tenu du site préhistorique découvert au fond de la vallée lors des campagnes. Les fouilles ont restitué de nombreux fragments céramiques de l'horizon culturel de Serraferlicchio, et d'autres plus anciens qui semblent appartenir au faciès de Stentinelliana : https://fondoambiente.it/luoghi/necropoli-di-realmese de FAI - Fondo per l'Ambiente Italiano
Voir aussi https://www.attrazionicalascibetta.it/fr/que-voir/1-necropoli-di-realmese.html de Associazione culturale giovanile Pandora, https://www.lonelyplanet.com/italy/sicily/calascibetta/attractions/necropoli-di-realmese/a/poi-sig/1372399/1337539 de Lonely Planet, https://www.infocalascibetta.it/10-monumenti/9-necropoli-di-realmese.html, https://www.turismoenna.it/necropoli-di-realmese
{Photo de Loquis dans https://www.loquis.com/fr/loquis/553556/La+Necropoli+di+Realmese}
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Navin K. Mhatre avec cette photo de dolmen de … ??? Does Vidarbha Darshan have any infos about it in its beautiful indian megalithic's album https://www.facebook.com/media/set/?set=a.596828439114167&type=3&mibextid=Nif5oz ? (y) :-) <3
THANKS A LOTS @GaneshGB11 for the link, you ruled (y)
Buon compleanno a Ivano D'aleo avec sa photo de nécropole rupestre dans la Città di Caltagirone :-) Depuis l'Antiquité, la localité a été choisie pour sa position privilégiée, qui étant sur la ligne de partage des eaux qui divise les deux plus grandes plaines de Visit Sicily / Visit Sicily / Visit Sicily, la Piana di Gela et la Piana di Catania, lui a permis de contrôler et de défendre un vaste territoire. Les premiers établissements stables sur le territoire de l'actuel Caltagirone remontent à la Préhistoire. Le plus ancien établissement connu de la région est le Riparo Cafici, dans la vallée de Terrana (entre le bois de Santo Pietro et la forêt de chênes-lièges de Niscemi), datant du Paléolithique supérieur ou du Mésolithique ancien. Les fouilles archéologiques menées dans le quartier de Sant'Ippolito – à la source de la rivière Caltagirone – ont mis au jour les vestiges d'un village néolithique habité sans interruption jusqu'à l'arrivée des Grecs. Non loin de là, dans le quartier de Montagna, se dresse une vaste nécropole datant de la fin de l'âge du bronze. Il y a des tombes à tholos. Sur les collines surplombant la vallée de la rivière Maroglio se trouve le grand centre d'abord indigène puis grec de Monte San Mauro avec les vestiges de bâtiments dont un anaktoron. D'autres établissements préhistoriques se trouvent dans les quartiers de Moschitta, Paradiso, Piano dell'Angelo et à Caltagirone même. 
Des fouilles archéologiques dans toute la ville ont démontré une certaine présence des Grecs sur le territoire de Caltagirone, même si cette présence n'a pas été en continuité avec l'histoire de la ville. Avant la présence grecque, il est très probable que les Sicans et plus tard les Sicels se sont d'abord installés sur le territoire. Compte tenu de la position centrale, il est possible que, pendant la domination grecque de la Sicile, sur le territoire actuel de Caltagirone, il y ait eu à la fois des colonies Calcidesi et Geloi. Toujours en tenant compte de la position de la région de Caltagirone, il est attesté que les colonies qui s'y trouvaient avaient des contacts commerciaux avec divers póleis siciliens, y compris les prochains Gela, Selinunte et Syracuse. La zone archéologique la plus documentée est celle de Monte San Mauro, où des colons d'origines mixtes se sont probablement installés sous la loi Chalcis, qui se seraient installés dans des villages siciliens préexistants (peut-être cohabitant avec eux) ou auraient établi une colonie à partir de rien : celle-ci serait identifiable à Euboïa, une sous-colonie de Leontinoi. San Mauro lui-même pourrait alternativement être identifié comme une colonie sous le règne de Gela, bien qu'en contact étroit avec le monde calcidien. Très probablement, le centre a pris fin en raison d'une destruction malveillante : l'une des hypothèses possibles fait référence à l'avancée d'Hippocrate vers la côte ionienne, c'est-à-dire celle qui l'a conduit à la conquête des villes importantes de Naxos, Callipoli , Leontinoi, Zancle et Katanas : https://it.wikipedia.org/wiki/Caltagirone#Preistoria
को जन्मदिवस की शुभकामना Arvin Raj Mathur avec cette photo de dolmen de … ??? Does Vidarbha Darshan and/or the photographer Bandu Dhotre have any infos about it in its beautiful indian megalithic's album https://www.facebook.com/media/set/?set=a.596828439114167 (y) :-) <3
Buon compleanno a Cipriano Frazzetta :-) La nécropole de la Pantalica est une nécropole de l'Âge du bronze récent située dans l'arrière-pays de la Comune di Siracusa. Elle pourrait correspondre à la localisation de la cité d'Hybla Gereatis, en LiveSicilia : https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9cropole_de_Pantalica
Elle compte plus de 5 000 tombes taillées dans la roche près de carrières à ciel ouvert et datant pour l’essentiel de la période comprise entre les -XIIIè et -VIIè siècles : http://whc.unesco.org/fr/list/1200. Par leur forme, leur dimensions et leur regroupement les sépultures rupestres tunisiennes présentent les plus fortes analogies avec les petits hypogées de Sicile orientale :-o , en particulier ceux de Pantalica et de Cassibile mais, alors que ceux-ci appartiennent à l’Âge du bronze, aucun mobilier funéraire ne permet, dans le cas des haouanet, d’avancer une date aussi ancienne : http://encyclopedieberbere.revues.org/1697
Namastey et bon anniv' à Christine Antoine de OECD et India in France (Embassy of India, Paris) avec une des photos de Merike Joosep dans https://www.facebook.com/merike.joosep/posts/pfbid0WJ5uhmaszNSyTzpTWyWHqfpvbGpFp7dyvCs7PVs4DU5HNSrSfpfWy6d66wBLk2Hml (y) :-) <3 Do not hesitate to Share with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Hire Benakal est un site mégalithique de l'État du Karnataka, en Inde. Il peut être daté de -800 à -200. Ce cimetière de l'âge du fer comptait autrefois plus de 1 000 petits abris sous roche ressemblant à des mausolées construits de dalles verticales surmontées de pierres de couronnement sur ce qui en reste environ 400. Hire Benakal serait la plus grande nécropole mégalithique du sud de l'Inde. Parmi les structures funéraires, il y a des chambres à trois côtés avec des pierres de couverture formant le toit. Les petits dolmens mesurent 50 à 100 centimètres tandis que les plus grands mesurent jusqu'à 3 mètres de hauteur. Les dolmens enterrés et semi-enterrés sont classés en cistes et cistes dolménoïdes et sont disposés selon des dispositions circulaires. La plupart d'entre eux se sont maintenant effondrés. Les dolmens aux hublots ronds donnent l'apparence d'habitations avec des fenêtres, mais ce sont en fait des structures funéraires. Ces dolmens flanquent les deux côtés de ce qui était autrefois la rue principale. Des cercles de fosses et des chambres oblongues couvertes de toits en pierre à pignon ont également été trouvés. Les cistes dolménoïdes existent sous plusieurs formes et tailles. Certains des rochers et des abris sous roche sont décorés de peintures rupestres ocre rouge représentant des personnes, des animaux domestiques, des oiseaux et des animaux sauvages.
को जन्मदिवस की शुभकामना Ajay Singh and Arne Roden avec le dolmen de … ??? Who/where is it please Vidarbha Darshan ? from your very interesting album https://www.facebook.com/media/set/?set=a.596828439114167&type=3&mibextid=Nif5oz (y) :-) <3
Feliz cumpleaños a Rogan Jenkinson avec la Necrópolis Protohistòrica Del Coll del Moro (https://drac.cultura.gencat.cat/handle/20.500.12368/10541#page=1 de la Generalitat de Catalunya et https://repositori.udl.cat/items/505342a4-4e4d-49b2-b84d-33d726a70113 de l'Universitat de Lleida (UdL)), la plus orientale des nécropoles funéraires du Bas-Aragon datant des -IXe/-IVe siècles et construite par de petits groupes nomades de la Culture des champs d'urnes (https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_des_champs_d%27urnes) de la fin de l'âge du bronze et du fer. Il existe quatre types de tumulus. Le site est situé au sommet d'une colline surplombant la vallée de l'Ajuntament Gandesa/Gandesa Turisme en Turisme Terra Alta : https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=58147 de The Megalithic Portal
Les tumulus sont des structures de pierre circulaires et carrées qui, recouvertes de terre et identifiées par une stèle funéraire, contenaient les urnes en céramique à l'intérieur desquelles se trouvaient les restes et les biens de la personne enterrée. Dans le sens est-ouest, les différentes zones sont disposées dans l'ordre suivant : Calars, Camp Teuler et les Maries. Le secteur de Calars, où se trouve actuellement un monolithe commémorant la bataille de l'Èbre, occupe un espace d'environ 48 m de long et 16 m de large, avec une superficie de 786 m² et 20 structures funéraires. Le secteur du Camp Teuler se trouve à environ 14 m, avec une longueur de 80 m et une largeur de 24 m, une superficie de 1920 m² et 60 structures funéraires. Les Maries est à 500 m, mais l'extension exacte de ce secteur n'est pas encore connue, bien qu'elle puisse dépasser 3500 m². Jusqu'à présent, 49 structures ont été localisées : https://www.dipta.cat/marc/web/diputacio-de-tarragona/gandesa/necropolis-del-coll-del-moro de la Diputació de Tarragona
A proximité se trouve un établissement ibérique fortifié d'environ 3 350 mètres appartenant à la tribu des Ilercavon, qui a duré du -Ve siècle au Ier siècle. Cette enceinte est dominée par une grande tour située au point le plus élevé de la colonie. A l'intérieur de l'établissement, un atelier de transformation de l'argile et de fabrication de tissus a été découvert. 
L'existence de l'établissement remonte aux -Vie siècle et après la deuxième guerre punique, à partir du quatrième quart du -IIIe siècle, le Coll del Moro est passé du statut d'enceinte défendue par une tour de guet à celui d'établissement entièrement fortifié. La nécropole à trois aires d'inhumation a été découverte et partiellement fouillée en 1953. Elle semble pouvoir être datée entre -800 et -450. La découverte, autour des tumulus, de différents matériaux archéologiques remontant au -IVe siècle suggère la présence d'un habitat lié à la colonie voisine, et une coexistence entre la phase ultérieure de la nécropole et la phase plus primitive de la colonie : https://ca.wikipedia.org/wiki/Poblat_ib%C3%A8ric_del_Coll_del_Moro 
Voir aussi http://www.rutadelsibers.cat/Jaciments/Coll-del-Moro-Gandesa de MAC Empúries, https://canal-te.cat/actualitat/cultura-actualitat/la-necropolis-del-coll-del-moro-ja-te-senyalitzacio-interpretativa de Canal Terres de l'Ebre, https://www.festacatalunya.cat/articles-mostra-3180-cat-necrpolis_del_coll_del_moro.htm de Festacatalunya.cat, https://www.diarimes.com/noticies/terres_l_ebre/2023/02/04/la_necropolis_del_coll_del_moro_gandesa_estrena_una_nova_senyalitzacio_interpretativa_133418_3024.html de Diari Més, https://www.escapadarural.pt/a-fazer/gandesa_es/coll-del-moro de EscapadaRural.pt
जन्मदिन की शुभकामनाएँ Ambily Ananova de Archaeological Survey of India avec sa photo de … ??? Bah justement je sais pas, mais y a de la pierre inside <3 What/where is it please, and from which epoch/culture :-) ? Do not hesitate to Share photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)
Happy birthday to D Ann Butler (and pro one to Melik Şah Ünsal ;-) ) avec "sa" photo d'un balbal scythe (https://fr.wikipedia.org/wiki/Balbal) provenant d'un kurgan de Khortytsia, île fluviale ukrainienne (plus longue, 12 kilomètres, et plus étendue, 27 km², des îles du Dniepr) sur le territoire de Zaporijia, terre sacrée pour les Cosaques ukrainiens : https://fr.wikipedia.org/wiki/Khortytsia (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Load more
Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Feliz cumpleaños a Pedro Alpuin avec la Réserve Archéologique Los Menhires près de Tafí del Valle (voir aussi https://www.facebook.com/photo/?fbid=120257377503672&set=a.113756704820406) . Plusieurs de ses sculptures mystérieuses y sont rassemblées : parmi les quelques 50 pièces de granit exposées dans ce parc, certaines font plus de trois mètres de haut pour un poids de 4 tonnes. Elles seraient issues de la culture dite « Tafi 1 », du nom des habitants qui peuplaient la région entre -820 et le VIIIe siècle ! La belle vallée de Tafí sépare les hautes cordillères du Nevado del Aconquija au sud et les Cumbres Calchaquíes au nord ; c'est aussi l'important passage qui relie les Vallées Calchaquies à l'ouest, et la grande plaine chaco-pampéenne à l'est !
De nombreux érudits affirment que les menhirs sont une représentation magique de la culture Tafi 1 (l'une des premières tribus potières du nord-ouest de l'Argentine) et qu'ils symbolisent la fertilité et la fécondité en raison de leur disposition phallique. Leurs motifs comprennent des gravures de grands visages humains, des animaux, ainsi que des figures amorphes et géométriques. Les plus populaires sont ceux appelés "Ambrosetti" (l'archéologue et naturaliste italien Juan Ambrosetti les a étudiées en 1897), "Sabaleta Pueyrredón" (quelqu'un peut traduire svp ?), "La Vieja" (« La Vielle Femme »), "La Lapida" (« La Pierre »).
{Photo de Welcome Argentina danshttps://www.welcomeargentina.com/tafidelvalle/reserve_los_menhires.html ; infos de Voyages Excepción dans https://www.argentina-excepcion.com/regions-argentine/region-nord-ouest/tucuman}
Feliz cumpleaños a Natalia Figueiras de l'Universidad Complutense de Madrid et de la Fundación Moreiras San Pedro de Rocas avec ses photos (https://www.facebook.com/natalia.figueiras.5/posts/pfbid02nCX2xSczQGW9AMQ3XygwUNDpyaAmKAUs2fsCvYStxMYPuH9diAiDx8CsSZA24U8Zl) de Menorca Menorcatour / Turismo de Menorca
« La récente candidature de "Menorca Talayótica" (https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_talayotique) rejoint le "Paysage de lumière" (Paisaje de la Luz) de Visita Madrid et la Ribeira Sacra Consorcio de Turismo sur la voie des désignations de l'UNESCO ». Le site d'España Global (et leur page aussi : quelle bande de branquignoles à Ministerio de Asuntos Exteriores, Unión Europea y Cooperación de España :-( ; eux ils en sont au Passage de la Loose 🤪 !!!) est kaputt/en sommeil mais voici l'article : https://web.archive.org/web/20201129114818/https://www.thisistherealspain.com/es/actualidad/las-candidaturas-de-espana-a-patrimonio-de-la-humanidad ;-)
Feliz cumpleaños a Paco Pérez avec ses photos : https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid0ebeFq5h6ErytrvQYFbZtEvwUNqWRKrf3WmnLpB9K1cMZVeYNWLDU88iG8z3RkYuvl&id=100009543415680
Au Museo Arqueológico de Badajoz (à qui le Concejalía de Cultura. Ayuntamiento de Badajoz pourrait tout de même créer une page en fb, c'est fait en 5 mn !!!) se trouve l'une des plus importantes collections de stèles de guerriers, des dalles de pierre de forme irrégulière décorées sur l'une de leurs faces de gravures qui représentent généralement des guerriers et leurs accoutrements, datées de la fin de l'Âge du Bronze, entre les -VIIIè et -VIè siècles : http://museoarqueologicobadajoz.juntaex.es/web/view/portal/index/standardPage.php?id=54
Il existe de nombreuses théories sur leur signification, de la délimitation des territoires, des stèles funéraires ou des représentations de batailles, de victoires ou de grandes réalisations qui se sont déroulées dans le lieu.
Feliz cumpleaños a Daniel Merino du Museo Nacional de Sican et de l'Universidad Nacional Pedro Ruiz Gallo avec sa photo du Portada de las Falcónidas ou Portada Negra y Blanca, une structure mégalithique à plusieurs composants où se détachent deux colonnes sculptées circulaires et une dalle en porte-à-faux, également sculptée. Le portique est situé au centre du frontis situé sur le côté est du nouveau temple ou bâtiment A du centre cérémoniel de Chavín de Huántar, au Pérou (https://fr.wikipedia.org/wiki/Chav%C3%ADn_de_Hu%C3%A1ntar). Les images sculptées en bas-relief sur les colonnes et la frise sont complexes et il est théorisé qu'elles pourraient transmettre un message complexe. 
A droite du portique et au sud, la façade est constituée de blocs de granit « blanc ». A gauche et au nord, la façade est constituée de blocs de calcaire « noir ». En face de la porte se trouve une place carrée en contrebas, appelée Plaza Menor (elle a actuellement une forme rectangulaire). Après la Plaza Menor et avant la Plaza Cuadrada, sur le l'Escalier Noir et Blanc, il y avait un Portique des Jaguars.
La structure mégalithique du portail des Falconides comporte plusieurs éléments :
*** 2 jambages sur les côtés, composés chacun de trois pièces lithiques 
*** 2 colonnes circulaires sculptées en bas-relief, chacune avec un être anthropomorphe 
*** 1 frise en saillie avec huit êtres zoomorphes fauconniers en bas-relief, actuellement divisés en deux 
*** 1 linteau, composé de trois pièces, ne faisant actuellement pas partie de la reconstruction 
*** 1 échelle d'accès 
Les deux colonnes mesurent 2,30 m de haut, 61 cm de diamètre et 1,91 m de circonférence. Chacune contient une représentation d'un être anthropomorphe. L'archéologue péruvien Luis Guillermo Lumbreras décrit ces représentations comme « des êtres draconiens, ailés, avec des crocs et une tête de faucon ». L'anthropologue américain John Rowe a qualifié ces créatures d'« anges gardiens ». L'être hybride de droite est masculin car il contient l'attribut de « pénis aculéatus » (épineux) tandis que celui de gauche est féminin en contenant l'attribut du « vagin denté ».
John Rowe a argumenté en 1972 sur le rôle des êtres draconiens dans les colonnes, postulant que ces êtres servaient le Dieu des Bâtons - représenté dans la Stèle Raimondi - et que dans le nouveau temple le culte était dirigé vers cette divinité. D'autre part, il a mentionné que le principal objet de culte dans l'ancien temple était la Grande Image ou Dieu Souriant, populairement connu sous le nom de Lanzón monolithique (https://www.facebook.com/photo/?fbid=118905437638866&set=a.113036488219475). 
Au lieu de cela, l'anthropologue américain Richard Burger a soutenu en 1992 que l'architecture de la Portada incarne le principe andin cosmique des dualités opposées et complémentaires infinies. Par conséquent, le centre cérémoniel de Chavín de Huántar, en montrant les êtres draconiens féminins et masculins sur les colonnes d'une façade divisée en pierre de granit « blanc » et calcaire « noir », transmet ce message de dualité complémentaire - en quechua « yanantin » - à travers l'architecture et en même temps montre la longévité dans les Andes du concept. 
L'archéologue John W. Rick a fait valoir que « dans les multiples médias créés ou utilisés - paysage, architecture, décoration, lumière, son, plantes psychoactives - il a trouvé des preuves d'une manipulation finement réglée par les planificateurs de site, les exécutants et les dirigeants ». Dans cette hypothèse, d'une part, les représentations sur les sculptures en pierre de Chavín témoignent de la manipulation effectuée par les membres du culte et, d'autre part, le temple de Chavín était un lieu d'exploration et d'expérimentation psychologique pour vérifier les réactions des personnes à différents stimuli. Sur la base de ce raisonnement, Rick et d'autres auteurs voient Chavín comme un lieu construit pour impressionner et manipuler les gens dans le but de les intégrer à un système de croyances religieuses qui sert à renforcer l'autorité et le pouvoir des membres de la secte. 
Contrairement à l'hypothèse de Rick, des anthropologues tels que George F. Lau et Richard Burger interprètent le temple non pas comme un centre destiné à manipuler, mais plaident plutôt en faveur d'une plus grande complexité concernant les raisons de la construction du lieu, proposant Chavín comme un pan important, centre andin d'un réseau d'échange de produits — matériels et immatériels — et de pèlerinage au cours de la formation tardive : https://es.wikipedia.org/wiki/Portada_de_las_Falc%C3%B3nidas
Feliz cumpleaños a Sylvette Maurin de LE MAG Tenerife et Ayose Himar Gonzalez Padilla :-) Avant l'arrivée des aborigènes, les Îles Canaries étaient habitées par des animaux endémiques, disparus depuis, tels que lézards géants, rats géants et tortues géantes. Les sources gréco-romaines y situent les limites du monde connu (l' « Écoumène »). L'imagination des classiques y place les Champs Élysées, le jardin des Hespérides et l'Atlantide de Platon. Les îles Canaries sont connues depuis l'Antiquité sous le nom d' « îles Fortunées » ou « îles des Bienheureux ». Selon plusieurs études génétiques menées dans les années 2000 sur des restes de momies guanches, cette population préhispanique était d'origine berbère d'Afrique du Nord-Ouest, arrivée vers -1 000 voire avant.
Au sommet du mont Garajonay, sur l'île de La Gomera, on peut observer la reconstitution d'un sanctuaire guanche (anciens habitants des îles Canaries) et le volcan Teide en arrière-plan, sur l'île de Ténérife. Does the Parque Nacional de Garajonay, Turismo de Islas Canarias, Gran Canaria or Tibicena. Arqueología y Patrimonio have informations about this stones ? :-) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_de_Garajonay
عيد ميلاد سعيد ل
أبو مهند الحاج avec ses photos d'Al-Muhandad, l'un des sites les plus importants de l'Âge du Bronze
dans le مركز معلومات محافظة تعز, 
district de Mawza, qui remonte à environ -2 500. Ce site de l'Archaeology in Yemen (do you please have further informations about the culture which build this ? :-) ) contient les ruines des temples les plus anciens qui remontent au début du premier millénaire, dont la surface apparente atteint 90 x 35 m. Les colonnes rocheuses apparaissent également debout, dont les diamètres varient de 1,80 m à 1,30 m (y)
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Mattam Vinodkumar avec un des dolmens du superbes albums de mégalithes indiens chez Vidarbha Darshan : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.596828439114167&type=3&mibextid=Nif5oz (y) :-) <3
Tillykke med fødselsdagen til Jan Eskildsen alors Go VisitDenmark et Destination Bornholm avec Stammershalle, un cimetière et un sanctuaire de l'âge du fer composé de trois pierres (do not hesitate to Share photos/infos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) ). La pierre centrale a un "visage" - peut-être une ancienne statue d'un dieu, par exemple Njord (le dieu de la mer) ? Le "visage" tourne à gauche avec la bouche et les yeux en haut au milieu.
{Photo et infos de Jeanne Cordua issue de https://festsange-cordua.dk/?page_id=306, présentées dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=15218 de The Megalithic Portal}
Buon compleanno a Mirko Andreoli d'IL NUOVO MALE avec i menhir a Briaglia :-) En 1970, l'archéologue Janigro d'Aquino a commencé une série de fouilles dans la Comune di Briaglia de la Provincia di Cuneo du Limone Piemonte où, selon ses théories, il devait y avoir des traces de peuplements remontant aux Celto-Ligures, populations existant dans nos vallées plusieurs milliers d'années. avant l'avènement des Romains.
Les efforts de l'archéologue furent couronnés de succès lors de sa Visit Cuneese en VisitPiemonte : dans les collines de Briaglia-S.Croce, il découvrit de nombreux mégalithes grossièrement taillés en forme d'humain stylisé (statue-stèle), en forme d'animaux (dont ce beau sanglier en photo) ou obélisques (menhirs).
Ils continuent de faire l'objet d'études approfondies. Un hypogée, dans la localité de Casnea, est particulièrement intéressant : composé d'une entrée avec une architrave , d'un couloir de plus de quinze mètres de long avec deux salles latérales qui présentent des traces de peinture ocre rouge et jaune, cf. https://www.facebook.com/IatVicoforte/photos/a.825625047508283/6496649310405800 de Sentiero Landandé via l'Ufficio Turistico Vicoforte (y)
À l'heure actuelle, seuls certains des mégalithes sont visibles, tandis que l'hypogée n'est pas utilisable. Un projet de valorisation de l'ensemble du site mégalithique est en cours de définition par l'administration communale.
{Photo et infos de Love Langhe dans https://langhe.net/sight/i-menhir-a-briaglia}
Bon anniversaire à / deiz-ha-bloaz laouen Dañserien Ar Vro … ça me fait toujours rire ces Breizhois qui jouent du bignou avec leur femme sous bigouden, à fond catho avec un prénom pas dans le calendrier des saints homologués par la fédé du Vatican et qui n'ont pas un seul mégalithe pseudo celtique dans leurs photos ;-) Faut dire que dans la Ville de Daoulas ils ont tout transformé en gravier :-( , il ne reste pas loin, vers l'Office de tourisme du Pays de Landerneau-Daoulas dans la Ville de Dirinon, elle aussi dans la Communauté d'agglomération du Pays de Landerneau Daoulas de Brest terres océanes, que la Stèle de Kervern Mindu, de forme ovoïde comportant des rainures, de l'âge du Fer donc possiblement et plus vraisemblablement historiquement taillé par le gros (enveloppé à ossature lourde, pardon ;-) ) d'Astérix et Obélix, un lec'h gaulois quoi :-p : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=31044
N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Alles Gute zum Geburtstag Peter Böhnlein avec une de ses photos des mégalithes de Ale (en suédois : Ales stenar ou Ale stenar : https://www.facebook.com/photo/?fbid=147045228158220&set=a.115755531287190)  : https://www.facebook.com/peter.bohnlein.5/posts/pfbid0QTScUGEejxquNh8Rqf7jjxBBH2hFAsMMBsN7Qv1xHVSeftxSJLNgqiWyPoznz3e8l (y) :-) <3
Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Buon compleanno a Federica Galiffa avec Lu Termine (vous vous rappelez du dieu romain Terminus ? : https://www.facebook.com/photo/?fbid=136403122555764&set=a.114889701367487) dans la Comune Di Rocca Di Mezzo du Ente Parco Nazionale del Gran Sasso e Monti della Laga : c'est l'un des rares monuments mégalithiques de la Regione Abruzzo :-o
Has The Megalithic Portal says in https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=424 : « Have you visited this site ? Please contribute a description or any thoughts by adding a comment and/or Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with thte International MegalithicFriend's Association :-)
Le mégalithe se situe à environ deux kilomètres au sud-sud-ouest de Rocca di Mezzo ; il se dresse à proximité d'une route de campagne reliant Rocca di Mezzo à Secinaro. 
La pierre mesure 1,70 m de hauteur ; elle a probablement été utilisée dans l'Antiquité pour marquer la frontière entre le territoire des Marses et celui des Vestins dans le Visit Abruzzo. Les Marses sont un peuple italique de l'Italie antique, vivant dans les Apennins, entre la Sabine et le Samnium. Ils sont décrits comme de rudes montagnards, qui occupent les sommets autour du lac Fucin. Leurs centres principaux sont Marruvium (San Benedetto dei Marsi), Milionia (près de Pescina) et le Lucus Angitiæ (Luco dei Marsi). Ils vénèrent la déesse Angitia. Le temple principal de la déesse se situe au coin sud-ouest du lac Fucin, près du village de Luco dei Marsi. Elle, ou elles, est largement vénérée dans les hautes terres centrales comme une déesse de la guérison, en particulier qualifiée pour guérir les morsures de serpent par les charmes et les herbes de la forêt marse. Ils sont réputés comme charmeurs de serpents et pour leur connaissance de la sorcellerie. Vaincus par les Romains à la fin du -IVe siècle, ils se latinisent ensuite : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marses_(Italie)
Les Vestins (en latin, Vestini) sont un peuple italique d'Italie centrale, qui occupait la vallée de l'Aterno et la portion de littoral comprise entre l'embouchure du Pescara et le Tronto. Leur nom, lié à celui de la déesse romaine du foyer Vesta, doit signifier « ceux qui occupent leur propre territoire ». Après une guerre contre Rome en -325, les Vestins demandent un traité (fœdus) et demeurent des alliés fidèles, jusqu'à leur révolte finale durant la guerre sociale (-90-88) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vestins
Les Vestins ont également construit la nécropole à pierres de Fossa Bene Comune : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=171648875697855&set=pb.100085582290808.-2207520000
Le nom « Abruzzes » (Abruzzo en italien, anciennement Abruzzi) vient du peuple des Praetutii, dont le nom déformé en Aprutini s'est transmis à la région. Peuple du groupe osco-ombrien, le peuple prétutien occupait le secteur septentrional des Abruzzes. Leur territoire, qui confinait avec celui des Picentins, Sabins et Vestins, a été conquis par les Romains en -289. À la fin du XXe siècle, une nécropole a été mise au jour au lieu-dit Campovalano, près de Teramo. Cette nécropole comporte plus de 600 tombes appartenant à une période comprise entre la fin de l'Âge du bronze (-XIIIe) et la conquête romaine (-IIe siècle) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9tutiens
Feliz cumpleaños a Pau Ibn Sureda de l'Instituto de Ciencias del Patrimonio - Incipit avec une de ses photos (sorry, que pour ses amis : https://www.facebook.com/pau.ibnsureda/posts/pfbid02RrbYcD1rbPnMcKh1oBB7Ty2E7W5R7hMmZFbxgfRDdAhGLRSHstaX1LuaahSSBZvdl) près du Talaiot de Torelló (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
En archéologie, une taula (mot catalan signifiant « table ») est un mégalithe en forme de « T » que l'on trouve sur l'ile de Minorque, dans les îles Baléares, en Espagne. Les taulas peuvent mesurer jusqu'à 3,7 m de haut et sont constituées d'un pilier vertical (un orthostate ou plusieurs pierres placées l'une au-dessus de l'autre) et d'une pierre horizontale qui le chapeaute. Souvent, un mur en forme de « U » entoure la structure. Les taulas furent construites par la culture talayotique entre -1 000 et -300 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Taula
Le site de Torelló était l'un des plus étendus du territoire municipal de l'Ajuntament de Maó. Il est particulièrement réputé pour son talaiot spectaculaire (appelé talaiot de Torellonet Vell), sa partie supérieure se distinguant par le fait de conserver un portail surmonté d'un linteau, dont la construction remonte à la période talayotique (-1 000/-700). Parmi toutes les structures identifiées sur le site, il convient de souligner la présence d'un autre talaiot (de dimensions plus petites), les fondations de quelques maisons, deux grottes artificielles et un système de collecte des eaux composé de citernes et de canalisations : https://www.menorca.es/fr/Talaiot_de_Torello/8456 de Turismo de Menorca
Un Talayot est une construction de l'Âge du bronze rencontrée sur les iles de Majorque et de Minorque, dans les îles Baléares, et ayant servi de forteresse ou de tour de guet de la fin du second millénaire au début du -Ier millénaire. Le talayot est un édifice construit en pierres, généralement de forme ronde ou tronconique, semblable au nuraghe de Sardaigne, à la « torre » de Corse, ainsi qu'aux « sesi » de Pantelleria. Leur forme est majoritairement circulaire mais il en existe aussi de forme quadrangulaire. La technique de construction est basée sur de grandes pierres assemblées en pierre sèche, sans ciment ni mortier. Elle rappelle l'aspect « cyclopéen » des constructions de la civilisation mycénienne de Grèce antique. 
Le nom talayot provient du terme catalan « talaiot », désignant des petites tours de guet. En effet, bien que leur fonction ne soit pas clairement définie, les archéologues pensent qu'au vu de leur forme et de leur situation les talayots étaient utilisés en tant que forteresses militaires ou tours de surveillance. Néanmoins, leur structure comporte une petite chambre dont la fonction reste encore à déterminer : https://fr.wikipedia.org/wiki/Talayot
Feliz cumpleaños a Albert Painaud Guillaume avec ses photos et son commentaire : https://www.facebook.com/albert.painaudguillaume/posts/pfbid032M7Dh9Xg9VPHd9KgyPgAvNDak72m1XTUWHdLY6UgLZamBXuypHiCNphFpATRcTAKl (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
« Pierres à serpents : la stèle de Vishap en Arménie, symbole de l'art rupestre et d'un riche patrimoine
Une stèle vishap (également appelée vishapakar ou pierre vishap) est un type de monument en pierre que l'on trouve en Arménie. Ces stèles sont reconnaissables à leurs gravures, qui représentent généralement des poissons ou des serpents. C'est pourquoi les stèles vishap sont également appelées "pierres à serpents" et "pierres à dragons". Les stèles de vishap sont considérées comme faisant partie de la tradition de l'art rupestre arménien et sont donc précieuses en tant qu'élément du riche patrimoine du pays.
On dit que vishap est le mot arménien pour dragon. Selon les légendes arméniennes, les vishaps étaient des créatures puissantes qui vivaient dans les hautes montagnes, dans les grands lacs ou dans les nuages. Les représentations de ces créatures mythiques ne se limitent pas aux stèles de vishap, mais on pense qu'elles figurent également sur d'autres gravures rupestres découvertes dans le pays.
Bien qu'il soit extrêmement difficile de dater de tels pétroglyphes aujourd'hui, ces images de vishaps pourraient avoir été réalisées dès la préhistoire, peut-être à l'ère néolithique. Selon une source, les vishaps de ces pétroglyphes sont les archétypes des dragons et ont été adoptés par la suite par d'autres civilisations en Arménie occidentale.
Les stèles de vishap semblent être une découverte/redécouverte relativement récente. La première de ces stèles a été découverte lors d'une fouille archéologique en 1909 par N. Marr et J. Smirnov. Depuis leur découverte, ces monuments ont soulevé des questions auxquelles les spécialistes n'ont pas encore trouvé de réponses satisfaisantes. Ainsi, les stèles vishap sont entourées d'un certain mystère. Par exemple, on ne sait pas quand les stèles vishap ont été installées. On ne sait pas non plus si ces stèles ont été érigées en une seule fois ou sur une période plus longue, peut-être des années, des décennies ou même des siècles.
Autres symboles et marques
D'après les inscriptions arméniennes et croisées trouvées sur certaines des stèles vishap, certains de ces monuments de pierre peuvent être datés du 13e siècle après J.-C. Cependant, il est tout à fait possible que les stèles aient été érigées à une époque antérieure et que ces sculptures aient été ajoutées plus tard, peut-être pour convertir ces images païennes en symboles de la foi chrétienne.
Il a également été noté que d'anciennes écritures cunéiformes urartiennes ont été trouvées inscrites sur une stèle vishap mise au jour dans un village arménien appelé Garni. L'Urartu, également connu sous le nom de Royaume de Van, était un royaume de l'âge du fer centré sur le lac de Van (situé dans l'actuelle Turquie) dans les hautes terres arméniennes. Comme ce royaume existait au 1er millénaire av. J.-C., les stèles vishap pourraient appartenir à cette période, voire à une période antérieure.
Comme les stèles vishap ne peuvent pas, à l'heure actuelle, être placées précisément sur une ligne de temps, l'identité de leurs créateurs ne peut pas non plus être établie. Sans savoir quand et par qui ces monuments ont été produits, il est difficile de placer les stèles vishap dans un contexte culturel. La raison d'être des stèles vishap est donc une autre grande énigme à laquelle sont confrontés les chercheurs qui s'intéressent à ce sujet.
Cela n'a toutefois pas empêché les spéculations sur la fonction des stèles. Par exemple, les stèles vishap ont pu servir de gardiens magiques pour éloigner les mauvais esprits ou les bêtes sauvages de la campagne. Certaines stèles vishap ont également été trouvées près de sources d'eau, ce qui pourrait indiquer qu'il existait un lien entre les deux.
Il est indéniable que nous ignorons encore beaucoup de choses sur les stèles vishap et que des recherches plus approfondies pourraient peut-être faire la lumière sur ces monuments énigmatiques. Cependant, il semble que les Arméniens soient conscients de l'importance de ces objets anciens.
Par exemple, il existe un parc dans le quartier de Nor Nork à Erevan qui contient huit stèles vishap. En 2010, ce parc était menacé par un projet de construction et les habitants ont protesté contre ce projet. Selon certaines informations, les habitants ont réussi à suspendre les travaux, mais l'auteur n'a pas trouvé d'autres informations sur le sort du parc et de ses stèles vishap.
Image de couverture : Pierres debout dans les ruines du site de Metsamor »
Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Hier je postais sur mon profil le patrimoine de la musique arabisante (playlist Youtube dans la description de https://www.facebook.com/photo/?fbid=112518644935949&set=a.105626612291819), donc voici pour nos amis de l'autre côté de la Méditerranée un des nombreux dolmens du Maghreb (concentrés en vastes nécropoles de l'Est de l'Algérie à une grande partie du littorale et un peu dans l'arrière-pays tunisien) érigés à l'Âge du Fer (vers -500) par les Numides/Berbères (cf. l'album dédié dans https://www.facebook.com/media/set/?set=a.893449020711011&type=3) <3 Voici donc la photo de Djalil Lahoubi parmi des photos d' Oriana Dal Bosco sur la nécropole de Roknia : cet ensemble compte plus de 3 000 dolmens (on en trouve 4 500 sur tout le territoire français à titre de comparaison), disposés sur une longueur d'environ 2 km sur le bord d'une falaise : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vestiges_de_Roknia et https://www.persee.fr/doc/bmsap_0301-8644_1868_num_3_1_9883
Bien le bonjour en passant au CNRA :-)
عيد ميلاد سعيد ل
Djalil Lahoubi avec un des très nombreux dolmens du secteur I de Bou Nouara, dont la pétition d'Oriana Dal Bosco a permis la sauvegarde face à une carrière qui détruisait tout (https://www.facebook.com/Megalithesdumonde/photos/a.893449020711011/2184019774987256), partiellement fouillés par Camps en 1954 entre Chabet el Ameur et l’Oued Derbala : https://journals.openedition.org/encyclopedieberbere/1793 (y)
عيد ميلاد سعيد ل 
Mahdi Arfa 
avec un des dolmens numides (-IVè siècle / -46 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Numidie) publiés par Souad Miniaoui dans « Une nouvelle nécropole dolménique de tradition libyque dans la région du Musée archéologique de Makthar, Tunisie : Kalaat Sidi Ali Ben Ahmed » : https://www.academia.edu/86968897/Une_nouvelle_n%C3%A9cropole_dolm%C3%A9nique_de_tradition_libyque_dans_la_r%C3%A9gion_de_Makthar_Kalaat_Sidi_Ali_Ben_Ahmed_Colloque_international_1979_2019_L_exposition_DIE_NUMIDER_40_ans_apr%C3%A8s_Bilan_et_perspectives_des_recherches_sur_les_autochtones_de_l_Afrique_du_Nord
Happy birthday to Manjil Hazarika de Cotton University / Cotton University, Guwahati et qui du temps de son PhD à l'Universität Bern avait rédigé avec K.N. DIKSHIT de Archaeological Survey of India « The Earliest Pottery in East Asia: A Review » (cf. https://www.facebook.com/photo.php?fbid=124175187111891&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3) ! Ici sa photo de dolmens japonais de … Where was it please ? :-)
عيد ميلاد سعيد ل 
Hédi Sillini de l'Institut National du Patrimoine - المعهد الوطني للتراث بتونس et Riadh Werfilli avec la nécropole dolménique en hauteur donnant sur la cité antique de بلاريجيا تاريخنا bulla regia / Association Bulla_regia dans la plaine : lisez « Nécropoles dolméniques et mégalithiques en Tunisie et périmètre urbain antique : réflexions sur l'organisation de l'espace » de Souad Miniaoui de l'Université de Tunis El Manar - جامعة تونس المنار dans https://www.academia.edu/7333302/N%C3%A9cropoles_dolm%C3%A9niques_et_m%C3%A9galithiques_en_Tunisie_et_p%C3%A9rim%C3%A8tre_urbain_antique_r%C3%A9flexions_sur_lorganisation_de_lespace
عيد ميلاد سعيد ل 
Deloum Said du Cnra Archéologie avec une photo de dolmen à Tiddis, cité numide puis romaine qui dépendait de Cirta. Tiddis est un nom berbère qu'on peut relier au mot « idis », qui désigne le « côté » ou le « flanc », par référence à la position de la ville, accrochée aux flancs de la montagne ; iI peut aussi provenir de « tidist, tadist », « ventre », et plus spécialement le ventre de la femme enceinte, par référence aux bazinas (monuments funéraires protohistoriques d'Afrique du Nord construits en pierres sèches durant l'Âge du Bronze et l'Âge du Fer, leur partie supérieure est souvent bombée ou tronconique ; l'accès à la chambre funéraire est invisible ; le mort est inhumé à même le sol et recouvert par une construction funéraire en saillie) qui évoquent le ventre de la femme enceinte.
Tiddis est située sur l'actuel lieu-dit El-Kheneg, entre Constantine et El Milia, sur un versant des gorges du Rhummel (le plus important cours d'eau de Constantine), bâtie sur un site rocheux escarpé, bordé de falaises de 3 côtés ! L'occupation humaine à Tiddis remonte à la Préhistoire comme l'attestent des tumulus, des bazina, des dolmens et un bétyle ainsi que des céramiques modelées (avec la plus ancienne inscription libyque/berbère connue). 
Tiddis, sous tutelle de l'Ogebc, est célèbre pour ses poteries qui comptent parmi les plus belles de l'art berbère. Son style se distingue par un décor géométrique triangulaire, semblable à celui que l'on retrouve dans les poteries kabyles contemporaines. Le style de Tiddis s'accompagne de motifs représentant des oiseaux des végétaux et des humains stylisés, parfois réduits en simples triangles. Ce style a connu une grande extension en Afrique du nord : en Algérie orientale, au nord de l'Aurès et des Nemencha, en Kabylie, au nord de la Tunisie, dans l'Ouarsenis et le Rif oriental : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tiddis
вітаю з днем ​​народження Vitaly  Okatenko de Інститут археології НАН України - Institute of Archaeology of the NASU et comme il habite à Харківська Міська Рада je voulais en profiter pour saluer le Courage et la Force des Ukrainiens et leur souhaiter de gagner cette guerre horrible : Тримайтеся, Ви вже перемогли у серцях всіх Європейців та друзів свободи проти кривавої агресії 👏 👍 💪
Du coup, j'ai cherché une publication pierreuse en rapport et grâce à un post du Харківський історичний музей імені М. Ф. Сумцова montrant une céramique protohistorique annonçant un article sur « Des signes mystérieux sur les pots de la communauté culturelle et historique de la culture des tombes à charpente  » (https://www.facebook.com/photo/?fbid=624018631069307&set=pb.100027880014903.-2207520000.), de fil en aiguille j'ai trouvé une pure pépite <3
La culture Sroubna, également appelée « culture des tombes à charpente » (en ukrainien : Зрубна́ культу́ра), est une culture archéologique de l'Âge du Bronze moyen qui s'est développée en Ukraine et en Russie méridionale du -XVIIe au -XIIe siècle. Cette culture succède à la culture Yamna, à la culture des catacombes et à la culture d'Abachevo et est donc indo-européenne : les analyses archéogénétiques montrent que les populations de la culture Sroubna sont étroitement liées à celles de la culture de la céramique cordée, de la culture de Sintachta, de la culture Potapovka et de la culture d'Andronovo. Elles possèdent une ascendance mixte provenant de la culture Yamna et des peuples du Néolithique moyen d'Europe centrale. Les données génétiques suggèrent que ces cultures seraient issues d'un retour de peuples d'Europe centrale d'ascendance steppique vers la steppe ! La culture Sroubna occupait la région située au nord de la mer Noire, à partir de l'est du Dniepr jusqu'au piémont du Caucase, et la région située au nord de la mer Caspienne, au sud-ouest des monts Oural. Elle était voisine de la culture d'Andronovo, présente sur le territoire de l'actuel Kazakhstan, contemporaine et de même origine indo-européenne ! Après -1 700, les zones de steppe et de piémont du Caucase du Nord semblent avoir été largement dépeuplées jusqu'au -IXe ou -VIIIe siècle. Les cimetières Sroubna comptent cinq à dix kourganes : des crânes et membres antérieurs d'animaux étaient enterrés avec le corps du défunt. On trouve aussi parfois des cistes de pierre <3 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_Sroubna
Les enterrements dans des coffres de pierre sont connus sur le territoire de Gorny Altaï (capitale de la république de l'Altaï, en Russie, remplaçant le petit village d’Oulala :-p , à 4000 km à l'Est de Kharkov, "pas loin" de la Mongolie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gorno-Alta%C3%AFsk#Histoire) durant plusieurs époques, depuis l'Âge du Bronze (fin du -IIIè/-IIè millénaires : culture de Karakol). Durant l'Âge du Fer (début du -Ier millénaire), les enterrements dans des coffres de pierre sont typiques de l'époque des anciens scythes. Dans la seconde moitié du -Ier millénaire, les enterrements dans des coffres de pierre sont présents dans la culture Kara-Koby qui était répandue sur tout le territoire de Gorny Altaï et jusqu'en Crimée. A l'époque des Huns et des Sarmates (fin du -Ier millénaire au Ier millénaire de notre ère), les enterrements dans des coffres de pierre sont considérés comme une caractéristique de la culture de Bulan-Coby : https://www.researchgate.net/publication/320908901_THE_COMPREHENSIVE_INVESTIGATION_OF_THE_KARA-KOBY_CULTURE_STONE_BOXES_FROM_CHULTUKOV_LOG-1_CEMETERY_UPPER_ALTAI de l'Institute of Archaeology, Jagiellonian University (Cracow)
Bon anniversaire à Tristan Moriceau du Service archéologique du Grand Calais Terres & Mers (cf. https://www.lavoixdunord.fr/63910/article/2016-10-23/le-service-archeologique-de-cap-calaisis de La Voix du Nord) avec sa photo très dolménique d'un tombeau punique à Utique :-o 
Utique (arabe : أوتيك) est un site archéologique localisé à l'emplacement d'une ancienne cité portuaire fondée par les Phéniciens dans l'Antiquité. Il est situé dans le nord de l'actuelle Tunisie, à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Carthage, dans le gouvernorat de Bizerte. Utique est réputée comme l'une des plus anciennes villes de la Méditerranée occidentale. Selon Pline l'Ancien, la ville est fondée en -1101 par les Phéniciens. Cette cité-État se forme par nécessité commerciale : elle est l'un des comptoirs commerciaux indispensables dans les voyages entre Tyr et Cadix. Cette ville dont l'antériorité (plus de trois siècles) par rapport à Carthage est admise par plusieurs auteurs, disposait d'une indépendance vis-à-vis de Tyr, se contentant de lui envoyer tous les ans un tribut d'usage. Toutefois, les fouilles archéologiques n'ont pas confirmé cette antériorité, aucun vestige archéologique antérieur au -VIIIe siècle n'a été découvert. Au -Ve siècle, Utique tombe sous la domination carthaginoise.
Les nécropoles datent du -XIIe siècle au -IIe siècle. Plusieurs types de tombeaux ont été retrouvés sur le site : des fosses creusées dans le tuf, des sarcophages monolithes bien visibles sur le site (taillés dans un seul bloc rocheux et fermé par un couvercle de même nature), un sarcophage en briques crues séchées au soleil et comportant encore le squelette d'une jeune fille (conservé sur place et protégé dans une petite pièce). Dans la nécropole la plus récente se trouvent des petits coffres en calcaire avec un couvert en toit à double pente ; ces coffres contenant les cendres du défunt étaient placés au fond de niches creusées dans la terre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Utique
عيد ميلاد سعيد ل
Abdelkader Dahdouh du Centre Universitaire de Tipaza المركز الجامعي لتيبازة et جامعة تيسمسيلت :-) 
Tipasa de Maurétanie est un site archéologique situé sur le territoire de la commune de Tipaza en Algérie, qui conserve les ruines d'une ville romaine. Le site a été classé patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 2002 en décrivant le site comme « l'un des plus extraordinaires complexes archéologiques du Maghreb » reflétant de manière très significative les contacts entre les berbères et les vagues de colonisation punique et romaine entre le -VIe siècle et le VIe siècle de notre ère. Sur un promontoire à l'abri du mont Chenoua les Phéniciens fondent un comptoir vers le -VIe siècle ; c'est de cette origine que la ville tire son nom qui signifie « passage » ou « escale ». Pour d'autres sources, Tipasa serait la déformation du mot berbère Tafsa, qui signifie grès ou pierre calcaire, toujours en usage dans beaucoup de régions du Maghreb. Le nom de ce lieu-dit, dans la langue des premiers habitants de cette région (Imazighens qui s'appellent eux-mêmes "Leqbayel" puisque ce qu'on appelle aujourd'hui la Kabylie s'étendait originellement de la région du Chenwa, à l'ouest d'Alger, jusqu'à Collo à l'est), c'était Tifezza, qui est le pluriel du mot "tafezza" qui signifie « grès désagrégés » (donc sablonneux). Et aujourd'hui, lorsqu'on longe la côte, au niveau de Tipaza (et non Tipasa), on voit ces grès désagrégés. 
Le comptoir a été choisi comme un point de relâche entre Icosium (Alger) et Caesarea (Cherchel) offrant un refuge pour les navigateurs sur leur route vers les Colonnes d'Hercule (Gibraltar); le comptoir se développe et devient vers le -IIe siècle une véritable cité punique inféodée à Carthage. Des stèles représentant des symboles phéniciens tels que le Signe dit de Tanit et des pièces de monnaie typiques de Carthage représentant le cheval et le palmier qui témoignent de l'influence punique sur la ville outre le mobilier funéraire retrouvé dans les différentes nécropoles puniques attestent de l'importance de cette ville, des nécropoles considérées par l'UNESCO comme des plus anciennes et des plus étendues du monde punique ! Étant sur l'axe routier est-ouest de la Maurétanie, la ville ne pouvait échapper aux rivalités berbères sur ces territoires entre les rois numides Syphax, Massinissa, Bocchus 1er, Juba 1er et Bocchus II. Cependant la ville connaît un certain essor sous le roi Juba II et devient avec sa capitale Caesaria (Césarée) situé à une vingtaine de kilomètres à l'ouest, l'un des foyers de la culture gréco-romaine et un centre de transit et de négoce actif. En 40, Ptolémée, fils de Juba II est exécuté par Caligula et la Maurétanie passe définitivement sous administration romaine directe. 
Après avoir franchi le rempart par une poterne située à droite de la tour et suivi un sentier en bordure de la falaise jonché de sarcophages en pierre posés çà et là, on aboutit à la nécropole de l'ouest. C'est un vaste cimetière dont on ne peut dire que toutes les sépultures soient chrétiennes. aractéristique de cette époque est le mausolée circulaire : entre les colonnes des niches en arc servaient d'abri à un ou deux sarcophages et au centre une sépulture particulièrement importante dont l'emplacement est nettement distinct. D'autres sarcophages gisent dans l'enceinte du sanctuaire. Un pan de falaise à proximité est creusé de cavités : des hypogées comparables aux hanout d'origine punique. Deux cents mètres plus loin, au sud-ouest, une basilique dédiée à Alexandre, évêque de la cité, jouxte un cimetière des martyrs. Bâtie sur un terrain rocheux, accidenté, l'église est de forme irrégulière, trapézoïdale et développe une contre-abside à l'ouest. Elle fut explorée en 1892 par l'abbé Saint-Gérand, curé de Tipasa. À son chevet, neuf sarcophages réunis forment une estrade qui était recouverte d'une inscription en mosaïque conservée au Musée national des antiquités et des arts islamiques : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tipasa_de_Maur%C3%A9tanie
Feliz cumpleaños a Jorge Restrepo, ex étudiant de l'Universidad de Antioquia (which may have infos about this nice and huge dolmen ? :-) ) ce qui m'a permis de savoir qu'il était de Colombia.travel (y) Quand je pense qu'en 2015 je m'extasiais car la page du Portail des Mégalithes de la Francophonie avait plus de 500 FANS, en seulement 9 semaines 1/2 … alors que là vous êtes 1 500 en 13 semaines :-o : MERCI (y) :-) <3
-600 à 1500 : Le Parc archéologique de San Agustin est situé dans le massif colombien du sud-ouest des Andes colombiens. Le Parc constitue le cœur de la zone archéologique de San Agustín et présente le plus vaste ensemble de monuments et de statuaire funéraires mégalithiques précolombiens, de tumulus, de terrasses, de structures funéraires, de statues de pierre.
{Alto de las Guacas : http://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=31129 de The Megalithic Portal}
Buon compleanno a Micaela Fiorino avec la nécropole du Crucifix du Tuf (« necropoli del Crocifisso del Tufo » : le nom de la nécropole provient de la découverte d'une incision en forme de croix trouvée dans le tuf d'une chapelle rupestre, creusée par un anonyme du XXe siècle), connue aussi comme la Città dei Morti (« La Ville des Morts »), une nécropole étrusque datée du -VIIIe au -IIIe siècle, située au pied des fortifications dans la Comune di Orvieto, dans le TerniTurismo, en Umbria (Italie). Installée sur un rocher de tuf volcanique brunâtre, à 325 m d'altitude, Orvieto domine la vallée où coulent le Paglia et son affluent Chiani, avant que le Paglia ne se jette dans le Tibre. Cette plateforme énorme, qui s'élève de vingt à cinquante mètres au-dessus de la campagne, a été créée par l'action de quelques volcans qui y ont déposé une quantité énorme de matériaux. L'histoire d'Orvieto remonte à l’époque étrusque, civilisation qui domine en Italie centrale entre le -VIIe et le -Ier siècle. Orvieto, appelée Velzna par les Étrusques, Volsinies par les Romains, est une des douze villes les plus importantes de la dodécapole étrusque. Elle est conquise par Rome en -264. Les habitants rescapés du sac sont ensuite réinstallés sur le site de l’actuelle Bolsena. Ceux-ci, évoquant leur ancienne demeure, l’appellent « la vieille ville », Urbs Vetus en latin, un nom qui, à la suite des évolutions phonétiques, est devenu « Orvieto », autrefois francisé en « Orviete ». Un sanctuaire découvert en 2006 à Orvieto correspondrait au Fanum Voltumnae ou temple de Voltumna décrit par Tite-Live, sanctuaire religieux le plus important du monde étrusque et lieu de rencontre des ambassadeurs des douze grandes villes étrusques lors de prises de décisions politiques importantes, comme après la chute de Fidènes en -420, ou encore le siège de Véies. S'y déroulent aussi chaque année des célébrations religieuses au cours desquelles les douze cités étrusques renouvellent leurs alliances. Orvieto est durant l'Antiquité un centre majeur de production de meules rotatives, façonnées dans une roche volcanique à macro-cristaux et destinées aux moulins. Cet équipement est amplement exporté en Italie puis dans l'Empire romain.
La nécropole comporte des tombes datées du -VIIIe au -IIIe siècle. Son apogée est comprise entre le milieu du -VIe et le -Ve siècle, période à laquelle remonte la disposition des voies selon des axes orthogonaux du plan hippodamien. Les intérieurs des tombes se trouvent à environ 60 à 70 cm sous le sol actuel. Les tombes sont a dado, en blocs de tuf équerrés, posés à sec et surmontés d'un toit en pseudo-voute (a volta). Le couronnement des tombes était constitué par de la terre sur lequel étaient déposées des nippes. Leur nombre est d'environ 70, dont quelques-unes, essentiellement des tombes mono-familiales de petite taille d'environ 3 × 2 m, peuvent être visitées. À l'intérieur, sur le fond et sur l'un des côtés se trouvent les banquettes où étaient déposés les défunts, souvent par deux, aussi bien des inhumés que des incinérés. 
La tombe était fermée par une grosse plaque en tuf à l'intérieur et par un mur de blocs de tuf à l'extérieur, alignés avec les parois de la tombe. Entre la plaque et le mur, le remplissage était de terre battue. Devant la porte étaient déposées des cippes, dont la forme se rapportait au genre du mort : 
*** en forme de cylindre pour les femmes ; 
*** en forme de bouchon ou d'oignon pour les hommes.
Le culte funéraire pratiqué est celui des Étrusques, qui pensaient que le mort restait connecté à son corps terrestre. À cet effet, comme pour les tombes étrusques, des trousseaux funéraires composés de fibules, miroirs, divers objets féminins, lances (pour les hommes), objets en bronze, vases en terre cuite, buccheri de style étrusque, hellénistique et orviétan pseudo-étrusque, étaient déposés dans les tombes. 
Sur le linteau des entrées figurent encore quelques « inscriptions parlantes » avec le nom du mort (« Je suis de... ») ou de sa dynastie, ou encore de sa souche d'origine. Toutes ces inscriptions ont permis de retracer l'évolution de la société locale, ouverte même à des individus non étrusques. 
À partir de 1961, une grande partie des objets ont été récupérés, classés, et sont désormais exposés au Museo Etrusco "Claudio Faina" et au Museo Archeologico Nazionale Orvieto - Pagina Istituzionale : https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9cropole_du_Crucifix_du_Tuf
Voir aussi https://www.orvietoviva.com/necropoli-etrusca-del-crocifisso-del-tufo de Orvieto - Orvietoviva, https://www.musei.umbria.beniculturali.it/musei/necropoli-etrusca-del-crocifisso-del-tufo de Direzione Regionale Musei Umbria, https://fr.visititaly.com/info/989200-necropoli-etrusca-del-crocifisso-del-tufo-orvieto.aspx de Visititaly
{Photo de Umbria tourism dans https://www.umbriatourism.it/en/-/necropoli-di-crocifisso-del-tufo-orvieto}
عيد ميلاد سعيد ل
Jaâfar Ben Nasr et Riadh Chebbi de E-Planet Tunisia avec des hypogées du Jabal Latrash ou Mont "Manvoub" en photo par Abdessattar Benjeddou (y) Which epoch/culture please ? :-)
عيد ميلاد سعيد ل
Mouelhi Chaker
avec sa photo d'un dolmen de Makthar, vestige de l'antique Mactaris à 918 mètres d'altitude, un site archéologique du centre-ouest de la Tunisie, l'un des plus étendus du pays, sur la bordure nord de la dorsale tunisienne. Constitué de grosses dalles, l'ensemble mégalithique numide de 12 x 4,5 mètres à côté de la ville numide-romaine à 6 chambres toutes côte à côte possédait un espace destiné au culte rendu aux défunts lors des cérémonies de dépôt des cendres. Les mégalithes, qui ont commencé au -Vè siècle, ont servi de lieu de sépulture collective, comme si les locaux avaient été influencés par les mastabas égyptiens, les allées couvertes françaises/sardes et les temples maltais. Les fouilles d'une chambre funéraire intacte, effectuées par Mansour Ghaki, ont permis de retrouver un grand nombre de céramiques de diverses origines, locales mais aussi importées. Ce matériel a permis une datation du début du -IIIe siècle à la fin du Ier siècle. Les Numides étaient une civilisation berbère qui vivait au sud et à l'ouest des Carthaginois : https://fr.wikipedia.org/wiki/Makthar. 
Composé de deux groupes situés l’un au Sud-Est et l’autre au Sud-Ouest du site archéologique, les monuments mégalithiques de Maktar sont composées de 25 dolmens. Il s’agit de structures funéraires construites avec de grands blocs servant de parois et de couvertures. Elles se composent chacune de caveaux et des cellules comptant parfois jusqu’à quatre chambres capables de recevoir des dizaines de morts, le passage entre eux se fait par une sorte de puits. Il s’agit de structures historiques remontant au plus tôt au milieu du -Ier millénaire, la céramique qui fut découverte se situe entre le -IVè siècle et le Ier siècle : https://www.inp2020.tn/2020/09/07/makthar de Institut National du Patrimoine - المعهد الوطني للتراث بتونس
Lire aussi https://www.tunisiatourism.info/fr/tunisia-tourism-tv/le-site-archeologique-de-makthar de TunisiaTourism.info, 
{Photo de http://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=18663}
Buon compleanno a Rubens Pitt du Ministero dell'Istruzione avec sa photo du site archéologique près de l'Info-point Turistico Oria avec des tombes messapiennes en hémicycle autour d'un puits, creusées dans la roche et recouvertes de plâtre. Les tombes, qui conservent une partie des objets funéraires anciens, ont été réutilisées et fréquentées au fil des siècles jusqu'au Moyen Âge. 
Durant l'Antiquité, les Messapiens ou Messapes (en grec Μεσσάπιοι, en latin classique : Messapii, -orum) étaient les habitants de la péninsule du Salento et du flanc méridional du massif des Murges. Leur territoire constituait l'arrière-pays d'une des principales colonies de Grande Grèce, Tarente, port de la mer Ionienne qui a été le centre du pythagorisme. Leur capitale était Bréntion, littéralement « tête de cerf » en illyrien, latinisée en Brundǐsǐum, l'actuelle Brindes / Comune di Brindisi, port de l'Adriatique de WeAreinPuglia. Ils se distinguaient par une langue aujourd'hui disparue, le messapien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Messapiens
Peut-être apparenté aux langues parlées par les Illyriens, le messapien n'est connu que par un corpus de cinq cent quarante-sept inscriptions, un peu plus aujourd'hui, relevées par les épigraphes dans la région du Salente, à quoi s'ajoute une trentaine de monnaies. La plus ancienne est datée des alentours de -550, la dernière de la fin du -IIe siècle et la romanisation consécutive à la fin des guerres puniques. De rares inscription tardives, postérieures au -IVe siècle, ont été relevées plus au nord au pied des monts Gargan, en Daunie, et ne laissent pas d'interroger la survivance d'un substrat en dehors de la Messapie elle-même : https://fr.wikipedia.org/wiki/Messapien
عيد ميلاد سعيد ل 
Hlila Walid de أفريكا للآثار و التراث avec un des dolmens numides (-IVè siècle / -46 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Numidie) publiés par Souad Miniaoui dans « Une nouvelle nécropole dolménique de tradition libyque dans la région du Musée archéologique de Makthar, Tunisie : Kalaat Sidi Ali Ben Ahmed » : https://www.academia.edu/86968897/Une_nouvelle_n%C3%A9cropole_dolm%C3%A9nique_de_tradition_libyque_dans_la_r%C3%A9gion_de_Makthar_Kalaat_Sidi_Ali_Ben_Ahmed_Colloque_international_1979_2019_L_exposition_DIE_NUMIDER_40_ans_apr%C3%A8s_Bilan_et_perspectives_des_recherches_sur_les_autochtones_de_l_Afrique_du_Nord
Bon anniversaire à Lionel Pernet, mon ancien tuteur docteur en archéologie de l'Université de Lausanne et Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur du Musée cantonal d'archéologie et d'histoire/Lausanne, président du Groupe permanent d'exploitation du Palais de Rumine et Espace Arlaud dans la Ville de Lausanne de l'Etat de Vaud / MyVaud : https://mcah.academia.edu/LionelPernet :-o / (y) :-) <3
Entre 1993 et 2008, il a participé à de nombreuses fouilles archéologiques préventive et programmée en Suisse, en France, en Italie et en Irlande et publié plusieurs monographies sur des collections d'objets du Musée national suisse (où il est collaborateur scientifique), du Musée d'archéologie de Sion (qui n'a pas de page fb mais je me porte volontaire pour en créer une super pro car Visitsion, Sionmaville mégalithique de <3 – https://www.facebook.com/profile/100085582290808/search/?q=Sion – vaut plus que https://www.musees-valais.ch/musee-histoire/presentation.html des Musées cantonaux du Valais / Walliser Kantonsmuseen) et du canton de Saint-Gall / Textilland Ostschweiz.
En 2008, il intègre la formation de l'Institut national du patrimoine en spécialité archéologie. Dans ce cadre il réalise des missions au bureau de l’archéologie du Conseil général de Seine-Saint-Denis / Seine-Saint-Denis Tourisme, à la Soprintendenza Speciale Roma et au Musée du Louvre. 
Ancien directeur du Site archéologique Lattara - Musée Henri Prades (où vient de s'achever l'exposition « Statues-menhirs. Miroirs de pierre du Néolithique », avec quelques pièces des Patrimoines Occitanie du Village Préhistorique de Cambous - Société Languedocienne de Préhistoire en Grand Pic Saint-Loup Tourisme, de la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie à faire durant Vos vacances dans le Tarn, du Musée Fenaille du Tourisme Aveyron et du Musée de Préhistoire Régionale des Plaisirs d'Hérault de La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée / Voyage Occitanie / Comité Régional du Tourisme et des Loisirs d'Occitanie : https://www.facebook.com/photo/?fbid=115882684607808&set=a.105318368991287 et https://www.facebook.com/profile/100085582290808/search/?q=Lattara (y) :-) <3 ), fraichement nommé en juillet 2014 Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres par le Ministère de la Culture, j'ai eu la chance d’œuvrer sous sa gouverne (en totale autonomie) à la valorisation numérique de la passionnante exposition sur « Jean Arnal et le Néolithique en Languedoc » (création d'un site satellite dédié pour en garder une trace pérenne au-delà du catalogue d'expo https://tautem.fr/produit/jean-arnal-et-le-neolithique-en-languedoc chez Tautem <3 ), réorganisation de la page fb et du site du musée), en relation avec le Musée de Lodève, le tout au sein d'une équipe plus que sympathique, over the top : https://www.facebook.com/MegalithicParc/photos/a.105318368991287/107622278760896 et https://www.facebook.com/profile/100085582290808/search/?q=Arnal (y) :-) <3
Sa dernière exposition, « Les Étrusques en toutes lettres. Écriture et société en Italie antique » est une co-production avec le MAEC Cortona (Visit Tuscany) et la participation exceptionnelle du musée du Louvre : https://fr.silvanaeditoriale.it/libro/9788836631605 de Silvana Editoriale
Tout ça pour dire qu'il a aussi travaillé sur la publication de « La necropoli di Giubiasco (TI) » (https://www.landesmuseum.ch/nationalmuseum/publikationen/pdfs/giubiasco_i.pdf et https://www.landesmuseum.ch/nationalmuseum/publikationen/pdfs/giubiasco_ii.pdf chez le Landesmuseum Zürich), avec Luca Tori, Eva Carlevaro d'Archäologie Schweiz - Archéologie Suisse, Philippe Della Casa de l'Universität Zürich, Biljana Schmid-Sikimi´c et Gianluca Vietti.
Les fouilles de Giubiasco, en Bellinzona e Valli Turismo du Ticino Turismo en Suisse., concernent une vaste zone aujourd'hui occupée par un vignoble. La campagne de fouilles a commencé au début du XXe siècle. Les vestiges d'une nécropole célèbre pour sa taille y sont apparus à plusieurs reprises. Les fouilles ont mis au jour de nombreuses sépultures datant de la première partie de l'âge du fer, c'est-à-dire entre le -VIè et le -Vè siècle.
Rossana Cardani Vergani (responsable du Service archéologique cantonal à l'Osservatorio culturale del Cantone Ticino) a expliqué le contexte général des découvertes à Giubiasco. La parole a ensuite été donnée à Luisa Mosetti, responsable des fouilles archéologiques pour le Bureau des Biens Culturels, qui a illustré ce qui est apparu dans les deux tombes, insérées dans le tumulus central, et visibles de jour : une sépulture féminine avec inhumation et des objets funéraires en bronze composés de boucles d'oreilles en forme d'écheveau et d'une série de fibules de sangsue, qui fermaient le linceul de la défunte. Une crémation masculine où, à côté de l'urne cinéraire, se trouvaient un verre, deux fibules de chartreux et un poignard, ce qui indique clairement le rang élevé du défunt : voir https://www.laregione.ch/cantone/bellinzonese/1626126/cantiere-luce-giubiasco-ricchezze-ritrovati de laRegione, https://www.rsi.ch/news/ticino-e-grigioni-e-insubria/Giubiasco-tornano-alla-luce-tombe-di-2500-anni-fa-15811894.html de RSInews, https://www.cdt.ch/news/ticino/quattro-tumuli-delleta-del-ferro-rinvenuti-a-giubiasco-una-prima-cantonale-300458 du Corriere del Ticino Online, https://www.bluewin.ch/it/attualita/regionali/a-giubiasco-tornano-alla-luce-tombe-di-2500-anni-fa-1491134.html et https://www.bluewin.ch/it/attualita/regionali/giubiasco-i-tesori-dell-et-del-ferro-1497346.html de Swisscom, https://www.tio.ch/ticino/attualita/1626004/tomba-tumuli-eta-ticino-vigne de Ticinonline, https://www.moneymag.ch/startup-pills-6-domande de Moneymag.ch
À l'époque romaine, à Giubiasco, comme dans le reste du Sopraceneri, l’inhumation est le rite funéraire le plus courant. Les tombes (sachant que les tombes à armes y sont particulièrement nombreuses) sont constituées de fosses rectangulaires, parfois entourées d’une couronne de pierres. Quand elles ne sont pas privées de revêtement, les parois de la fosse sont revêtues d’un muret en pierres sèches ou de dalles posées verticalement. Les tombes étaient fermées avec une couverture de dalles en pierre. Voir aussi https://archeologiagalliacisalpina.wordpress.com/2022/11/26/leponti-nuove-scoperte-in-ticino-a-giubiasco d'Archeologia Gallia Cisalpina
Load more
Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons
Ja, schoeni Geburstag tu Jean-marie Misslen (onoch an Elsasser, Sie sind uberall ;-) ) avec la « Pierre aux quatre dieux » de Kervadol / Kernuz, une des stèles du Musée Départemental Breton, non loin de l'Office de Tourisme de Quimper Cornouaille : https://musee-breton.finistere.fr/fr/search-notice/detail/d-1951-1-pierre-3c2c4
La stèle de la Ville de Plobannalec-Lesconil dans le Pays Bigouden Sud / Destination Pays Bigouden (Tout commence en Finistère) a été trouvée en 1878 à 100 mètres au sud du lieu-dit éponyme : il s'agit d'une stèle osisme du second Âge du Fer (La Tène, -Vè siècle à -52). Elle est de forme tronconique, haute de 2,85m et a été sculptée dans le granite local. Sa particularité est d'avoir fait l'objet d'une gallo-romanisation sous le Haut-Empire. On y a sculpté 4 panneaux en bas-relief accueillant les niches de six divinités représentées selon des canons classiques romains. La stèle gauloise a ainsi été transformée en piédestal à '4 dieux' . Ce type de monument était consacré au culte jovien et était habituellement surmonté d'une colonne accueillant à son sommet une statue de Jupiter. Une cavité sur la partie sommitale de la stèle pourrait être l'indice d'un élément de fixation pour une statue. On a pensé à un groupe de Jupiter cavalier triomphant d'un géant anguipède, d'autres exemplaires se rencontrant en Armorique (Immerzeel 1988; Eveillard et Malicorne 1996; Eveillard 2000). Peu probable d'après l'exiguïté du socle l'accueillant. Il a pu s'agir d'un Jupiter debout ou trônant qui peuvent être placés sur ce type d'édifice.
Les figures divines sont particulièrement érodées en plus de la frustrerie de leur exécution, ce qui rend leur identification difficile pour certaines. Les personnages masculins sont représentés nus.
*** Panneau 1 : Mercure avec caducée et bourse. Un enfant à sa gauche le tien par le bras. On a pensé à un amour ou un défunt suivant Mercure psychopompe. Les socles à 4 dieux l'accueillant que des dieux, on oubliera l'hypothèse du mort. Le plus plausible est qu'il s'agisse d'un Bacchus enfant, le couple d'Hermès et de Dionysos étant classique et diffusé en Gaule.
*** Panneau 2 : Hercule combattant avec massue levée dans sa main droite et peau de lion tombant le long de son bras gauche.
*** Panneau 3 : Mars avec casque à cimier, appuyé sur son bouclier et tenant sa lance.
*** Panneau 4 : un couple divin. À droite un dieu habituellement identifié à Apollon avec un carquois derrière l'épaule droite avec un animal à sa gauche pris pour un griffon. Le dieu me semble plutôt un Jupiter levant son foudre dans une position de fulgurator. Auquel cas l'animal pourrait être un aigle, boire un petit être anguipède placé contre la jambe du dieu, comme on en connaît une statue à Burdigalia et une statuette en terre cuite blanche. À gauche une déesse avec un manteau couvrant sa tête et dont le plissé est bien visible sur le corps. On a envisagé Vénus, Minerve, Hygie ou Junon. Le gros bâton avec un serpent enroulé à sa droite vu par certains est en fait un bandeau décoratif en dents de scie que l'on retrouve aussi pour séparer les autres panneaux lorsqu'il n'est pas totalement effacé. Ce qui exclut Hygie/Sirona. Junon semble le plus plausible, la tête recouverte du manteau apparaissant régulièrement dans son iconographie, et elle serait la compagne idéale aux côtés d'un Jupiter.
{Photos et infos de Valéry Raydon}
Všechno nejlepší k narozeninám Tres Plus de Ostravská univerzita avec la Králův Stůl / The King's Table :-o , probablement le monument mégalithique le plus célèbre de la Zlínský kraj - oficiální stránka, ici dans Modrá, près de Staré Město pod Sněžníkem de Šumperk. Immense bloc de grès dur dont la partie inférieure se transforme en mélange de roches, la formation rocheuse est d'origine locale. Cet objet en pierre est bien connu depuis le début du Moyen Âge. Le premier enregistrement date de 1228, lorsque la pierre a été nommée pour la première fois sous le nom de Králův Stůl (simplement la table du roi) dans le document royal. Un autre enregistrement de 1694 décrit l'objet en détail et parle de symboles énigmatiques à la surface. Le site a fait l'objet d'enquêtes archéologiques à plusieurs reprises, la première en 1903 et la dernière en 1997. Ce qui est sûr, c'est que la pierre a été travaillée par la main de l'Homme à l'époque préhistorique, mais il est impossible d'en déterminer l'âge ou le but avec certitude. Il existe plusieurs légendes locales associées à la table du roi, principalement sur les élections des anciens rois. Dans le plan au sol, la pierre a été travaillée dans la forme de la tête de l'animal sacré, le taureau très probablement. La pierre était autrefois entourée d'un cercle de pierres plus petites et de gravier avec des pierres brutes orientées vers les côtés du monde. On suppose que la plupart des symboles proviennent du -IVème siècle : https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=50079 de The Megalithic Portal
вітаю з днем ​​народження Pavel Goldin de Gram Lergrav - Palæontologi, Museum Sønderjylland et Institute of Zoology NAS of Ukraine avec ces dessins de stèles scythes venant d'en haut à gauche à en bas à droite de : 1. Stanshino (? Russie), 2. Mederovo (Kirovohrad Oblast, Ukraine), 3. Pervomaysk (? Ukraine), 4. Erdelevka (? Ukraine), 5. Dnipropetrovsk (Ukraine), 6. Kiev (Ukraine), 7. Ternovka (? Ternivka, Dnipropetrovsk Oblast, Ukraine), 8. Kalinovka (? Kalinivka, Ukraine), 9. Grushevka (? Dnipropetrovsk Oblast, Ukraine), 10. Yasinovatoye (Zaporozhsk or Kharkovsk oblast ?, Ukraine), 11. Stupino (? Russie), 12. Sibioara (Constanța, Roumanie), 13. Dobruja (Bulgarie/Roumanie) <3
Les sculptures scythes (tribus indo-européennes iranophones apparues dans les steppes ukrainiennes au milieu du -Ier millénaire) remontent aux -VIe/-IIIe siècles. L'étendue de leur distribution est assez importante — de la Roumanie au Caucase . La plupart des images de Scythes montrent des hommes barbus. En termes de composition et d'art, ils sont exécutés de manière primitive. C'est assez surprenant pour le peuple, porteur du "style animalier" scythe hautement artistique, élevé au contact de l'art classique grec ancien. Sur les corps en forme de stèle des statues scythes, trois ou quatre objets sont généralement représentés : une corne, un carquois, un poignard et une épée. La corne est placée dans la main droite au niveau de la poitrine, le carquois est du côté gauche, le poignard ou l'épée est dans la main gauche au niveau de la ceinture. Les attributs sont généralement observés dans les analogies turques de la Sibérie, où les statues de pierre tiennent une coupe dans leur main droite et un poignard dans leur gauche. L'absence de barbe et, au contraire, l'image d'une moustache révèlent également la similitude des statues scythes avec les anciennes statues turques. Dans l'art de la sculpture sur pierre de la région du nord de la mer Noire, les Scythes ont conservé les éléments communs des statues du sud de la Sibérie. Cependant, on ne sait pas pourquoi les Scythes qui ont migré vers la région nord de la mer Noire via la Transcaucasie, l'Asie de l'Est, où la technique du traitement de la pierre est connue depuis l'Antiquité, n'a pas apporté avec elle de nouvelles tendances artistiques tangibles, comme cela s'est produit avec le "style animal".
Un autre problème lié à la sculpture scythe n'a pas été résolu : jusqu'à présent, des milliers de sépultures scythes ont été découvertes et pour la plupart bien étudiées. Cependant, étant donné la nature commémorative-culte des statues, il est encore impossible d'expliquer pourquoi il n'y a pas de traces convaincantes de leur installation au-dessus des sépultures scythes : https://uk.wikipedia.org/wiki/%D0%9A%D0%B0%D0%BC%27%D1%8F%D0%BD%D1%96_%D0%B1%D0%B0%D0%B1%D0%B8
Feliz cumpleaños a Virginia de la Cruz de Juan Villa / Prometeo Escultura, qui œuvrait à la Catedral de Santa María, siège de l'Archidiócesis de Toledo ... avec des "Vieilles" Grosses Pierres païennes/celtes :-p de la Necropolis de Las Ruedas (VIDÉO dans https://www.youtube.com/watch?v=z6FOCrnU3Vo du Centro de Estudios Vacceos Federico Wattenberg) à Pintia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Pintia), cité antique vaccéenne (https://fr.wikipedia.org/wiki/Vacc%C3%A9ens) du -IVè siècle localisée dans le village de Padilla de Duero situé dans l'Ayuntamiento de Peñafiel, emblème de la Cultura y Turismo Valladolid :: Agenda e información et CASTILLA Y LEÓN ES VIDA … euh non, là c'est la muerte ;-) Voir le site dédié https://pintiavaccea.es/seccion/the-necropolis-of-las-ruedas, avec le soutien de TEMPOS Vega Sicilia, Diputación Provincial de Valladolid, Junta de Castilla y León, Ribera del Duero, Asociación Cultural Pintia (y)
Les Vacceos ont été les premiers colons à s'installer au centre de la vallée du Duero et dans le cours inférieur de la Pisuerga, dans une zone qui comprendrait l'actuelle province de Valladolid et des parties de celles de León, Palencia, Burgos  Segovia, Ávila, Salamanque et Zamora. Les Vacceos étaient un peuple celtique du nord de l'Europe qui est arrivé en plusieurs vagues dans cette région. Ils ont fondé plusieurs villes (Pallantia, Pintia) qui avaient un gouvernement autonome jusqu'à ce qu'elles soient presque des cités-États, mais sans perdre les relations avec les villes sœurs environnantes. Le jumelage des villes a été tel que les Vacceos ont aidé les Arevaci de Numancia pendant le siège auquel ils ont été soumis par les Romains. Précisément à cause de cette aide, les envahisseurs romains ont attaqué les villes de Vaccean après avoir soumis Numancia. Au fil des ans, Pintia finira par être romanisée. 
La zone archéologique se compose de trois parties différenciées : la ville dans le domaine "Las Quintanas", le lieu de sépulture / la nécropole de "Las Ruedas" et le quartier de la poterie de "Carralaceña". Le Gabinete de Comunicación de la Universidad de Valladolid est actuellement en charge de la restauration de la ville et de son étude.
*** Dans "Las Quintanas", on a découvert que la ville avait été détruite par un incendie. Par la suite, les Wisigoths de la région installèrent leur nécropole sur l'ancienne cité vaccéo-romaine. 
*** Dans la nécropole de "Las Ruedas" de riches trousseaux de guerriers, femmes, enfants... ont été retrouvés. 
*** D'autre part, déjà dans le terme de la ville voisine de Pesquera de Duero se trouve le quartier artisanal de "Carralaceña", situé de l'autre côté de la rivière Duero, pour éviter un incendie en raison d'un accident survenu lors du processus de cuisson de la céramique car le feu pourrait se propager au principal centre de population. Ce quartier de la poterie, relié à Pintia par un gué sur le fleuve Duero, possédait également sa propre nécropole. Les fours trouvés ici sont uniques en Europe, en raison de leurs dimensions et de leur chronologie. 
Alors qu'elle travaillait sur sa thèse de recherche dans le centre de l'Espagne, Sandra Gammon, spécialiste des études anciennes et de l'anthropologie culturelle de l'UMBC, a mis au jour une ancienne nécropole. Gammon travaillait au sein d'une équipe d'archéologues espagnols et d'étudiants internationaux par le biais d'ARCHAEOSPAIN, une organisation à but non lucratif basée dans le Connecticut et à Madrid. ArchaeoSpain a été fondée en 2000 dans le but d'amener des personnes du monde entier à travailler aux côtés de spécialistes qualifiés. 
Bien que les travaux d'excavation soient souvent lents et fastidieux, Gammon a trouvé de l'or lorsqu'elle a mis au jour une nécropole de l'âge du fer/celtique du -Ve siècle à Pintia, dans le centre de l'Espagne. Gammon a découvert trois tombes. Une partie du matériel exhumé peut être vue au Museo De Valladolid : https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=24424 de The Megalithic Portal
Voir aussi https://www.premios.hispanianostra.org/premio-hispania/la-necropolis-de-las-ruedas-de-pintia de Hispania Nostra, https://comunicacion.uva.es/es_ES/detalle/La-necropolis-de-Las-Ruedas-del-proyecto-arqueologico-Pintia-de-la-UVa-galardonada-en-los-Premios-Hispania-Nostra du Gabinete de Comunicación de la Universidad de Valladolid, https://www.researchgate.net/publication/328538618_LA_TUMBA_144_DE_LA_NECROPOLIS_DE_LAS_RUEDAS de Universidad de Granada, https://dialnet.unirioja.es/servlet/articulo?codigo=6582970 de Universidad de La Rioja, https://www.elrincondesele.com/una-visita-a-la-necropolis-vaccea-de-pintia de El Rincón de Sele, https://www.dicyt.com/noticias/la-campana-de-excavaciones-en-la-ciudad-vacceo-romana-de-pintia-se-iniciara-en-julio-en-la-necropolis-de-las-ruedas de Agencia Dicyt, https://www.elmundo.es/elmundo/2009/01/12/castillayleon/1231763810.html de El Mundo, https://www.revistaadios.es/noticia/2781/Hispania-Nostra-premia-la-intervencion-en-la-necropolis-de-Las-Ruedas-de-Pintia-de-Valladolid.html de Funespaña, https://latunicadeneso.wordpress.com/tag/necropolis-de-las-ruedas de Domingo Vallejo, https://www.verkami.com/projects/16807-pintia-2017-excavacion-en-la-necropolis-de-las-ruedas, http://mimundo-amaia.com/necropolis-de-las-ruedas 
{Photo de Cadena SER dans https://cadenaser.com/castillayleon/2022/12/09/avanza-valladolid-nueva-imagen-de-sodeva-radio-penafiel}
Buon compleanno a Luigi Giovanelli de Nausicaa Spa avec sa photo de pierres funéraires exposées au Chiostro di Sant'Agostino dans la Comune Di Pietrasanta en Visit Tuscany It : décidément, avec les menhirs déifiés en Terminus/Terme (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=136403122555764&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3), les Romains ont tout repompé sur les Néos/Protos : https://www.facebook.com/photo/?fbid=5613339672083611&set=pcb.5613340362083542
À l'époque romaine, la Versilia était connue comme faisant partie de la Fosse Papiriane qui constituait un grand marécage entre Pise et Massa et entre la mer méditerranée et les Alpes Apuanes, desservie par la Via Emilia Scauri et ensuite traversée par la Via Aurelia : https://it.wikipedia.org/wiki/Versilia
Bon anniversaire à Iwan Le Clec'h :-) Ils me feront toujours rire ces Breizhois qui se proclament haut et fort différents (je suis Alsaco donc pas français non plus ;-) ), pas pareils car pétris de culture celtique (en mettant en avant des mégalithes néolithiques voire du Bronze mais rarement protohistoriques des indo-européens arrivés des dizaines de siècles plus tard :-o / :-p ) jusque dans leur nom/prénom et … beh rien en fait, à part manger des crêpes et picoler du chouchen ça s'arrête là quoi !!! 
N'hésite pas pour autant à Partager tes photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y)
Donc, comme il vient de Tous à Plouha, je rappelle à la mairie que pour Plouha Infos il faut revoir sa page http://www.plouha.fr/chapelle-de-la-trinite : pour le côté catho prout-prout y a du monde (cf. https://www.facebook.com/photo?fbid=176704995192243&set=a.126663670196376), par contre pour le patrimoine protohistorique y a plus personne !!! « Située au point le plus haut de Plouha, la chapelle de la Trinité est mentionnée dans une charte de 1354. Elle est ornée de statues du XVIe siècle, le tableau de la Sainte-Trinité de 1678 et la table de communion en bois ciré du XVIIIe siècle. Sur le placître s’élève un calvaire érigé par Guillaume de Trogoff en 1460 et 1496, taillé en pierre de Kersanton » ! Certes, mais aussi, n'est-il pas Les amis de la Trinité de Plouha ?!, on note une stèle de l'âge de Fer (vers -500), devant la chapelle de la Trinité, comportant une cupule à son sommet (http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=28256) et la découverte de haches à douille (datant de -750) : http://www.infobretagne.com/plouha.htm
De la pointe du Bec de Vir en Treveneuc jusqu'à la Pointe de la Tour enfermant l'anse de Brehec par l'Est vous découvrirez une succession de petites plages enserrées par de hautes Falaises D'Armor. 14 kilomètres de côtes dont la falaise la plus haute culmine à 104 mètres font de Plouha l'une des communes les plus attachantes du nord de la Bretagne ! C'est à partir du Vème siècle que ce village construit dans les terres a vu l'établissement d'une nouvelle population qui construira quelques hameaux le long d'une côte faite de falaises abruptes, mais aussi de vallons aboutissant à la mer, où pêche et agriculture faisaient bon ménage.
Plouha serait, selon la tradition, la première terre d'accueil des immigrés venus des îles d'Outre-Manche. L'un de ceux-ci, Aza ou Adda serait un moine à l'origine de son nom, remontant au VIème ou VIIème siècle de l'ère dite chrétienne. Cette contrée fut toutefois occupée 1000 à 1500 ans plus tôt par quelques-uns de leurs lointains ancêtres. Ils ont laissé derrière eux de rares traces de leur passage telle une stèle datant de l'âge du fer et des haches à douilles : http://docarmor.free.fr/valarmor/valouest/plouha1.htm
{Photo de https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/presentation-de-la-commune-de-plouha/77bf313f-0b7d-455f-a357-4a7ddd4382b8}
Happy birthday to Caroline Vile de Withlocals avec mon combo de ses photos du fogou/fougou ou vau de 17 m de long, avec un passage latéral de 7,3 m, de Lower Boscaswell près de Pendeen (Penn Din signifiant « fort du promontoire », anciennement connu sous le nom de Boskaswal Wartha, signifiant « la haute demeure de Caswal ») en Cornwall AONB. Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Un fogou ou fougou (prononcé "foo-goo") est une structure souterraine en pierres sèches que l'on trouve sur les sites de l'âge du fer ou des colonies romano-britanniques défendues en Cornouailles. La fonction initiale d'un fogou est aujourd'hui incertaine. Appelés familièrement vugs, vows, foggos, giant holts ou fuggy holes dans divers dialectes, les fogous présentent des similitudes avec les souterrains ou maisons de terre d'Europe du Nord et en particulier d'Écosse, y compris des Orcades : https://en.wikipedia.org/wiki/Fogou
fr_FRFR