Big & Old StoneS

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8. Entre -2 000 et -1 000 : Âges du Bronze

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Après la vie avec un nurarghe (https://www.facebook.com/photo/?fbid=114298761432867&set=a.113830431479700), voici la mort avec la très belle photo de Maurizio Cossu de deux tumbas de sos gigantes (https://fr.wikipedia.org/wiki/Tombe_des_g%C3%A9ants : which one / where please ?) enregistrée dans ses photos par une personne qui n'a pas daigné répondre quand je lui ai souhaité un bon anniv' et comme la photo était restreinte à ses amis je lui ai demandé en mp si je pouvais la partager ici ! Oui, j'ai été idiot car elle a juste enregistré une photo d'autrui pour ensuite la cacher au public, déjà quoi :-o, et en plus faut pas s'étonner que les Français aient mauvaise réputation avec ce genre d'attitude, qui plus est venant d'une personne qui bosse en Office de Tourisme (et en prime avec son nom elle ou son mari/parent doit avoir des origines alsacos ou allemandes comme moi, donc ça m'énerve donc encore plus) !!!
« De Dilmun à Tylos - Voyage archéologique au Royaume de Bahreïn » a ouvert le 6 octobre 2022 dans l'Aile Richelieu, niveau 0, salle 230 du Musée du Louvre (y) Grâce au dépôt d’environ 70 œuvres issues des musées du Bahreïn (I guess the Bahrain National Museum and the Bahrain Authority for Culture & Antiquities as well as the Ambassade de France à Bahreïn will be glad to know that the museum did nothing to promote the launching of the exposition neither on its website nor on its fb page, what a shame 😟 !!!), cette nouvelle présentation dresse, pour une durée de cinq ans, un panorama des différentes cultures qui se sont succédé dans cette île du Golfe de l’âge du Bronze jusqu’à l’Islam. L’exposition permet de découvrir des civilisations extrêmement peu représentées jusqu’alors dans les collections du Louvre, et notamment celles qui structurent le passé préislamique de Bahreïn.
Bahreïn a été un centre majeur de la civilisation de Dilmun (entre -2 500 et -600), maintes fois évoquée dans les sources  mésopotamiennes. Dilmun entretenait en effet d’étroites relations d’échanges avec la Mésopotamie, reflétées dans divers récits mythologiques. La position centrale de Bahreïn au cœur du Golfe lui a également permis de jouer un rôle d’intermédiaire sur les routes maritimes reliant l’Arabie, l’Iran, le sous-continent indien jusqu’à la Mésopotamie.
L’île est célèbre pour ses vastes nécropoles composées de centaines de tertres d’où provient la majorité du matériel exposé. Le mobilier funéraire comprend des objets de fabrication locale comme des productions importées, au premier rang desquelles les perles en cornaline de l’Indus, mais également les objets en cuivre et en pierre tendre de la péninsule d’Oman. Les sceaux cachets sont une des réalisations les plus reconnaissables  de cette civilisation et montrent une iconographie riche et spécifique qui reflète les croyances locales : https://www.louvre.fr/recherche-et-conservation/vie-des-projets/de-dilmun-a-tylos-voyage-archeologique-au-royaume-de-bahrein
{Photo de l’un des tumuli « princiers » de Janabiyah (crédit : Bahrain Authority for Culture and Antiquities) dans https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01842056/document}
Buon compleanno a Cecilia Marchese avec un hypogée de Castelluccio di Noto ("U Castiḍḍuzzu" in siciliano) de la cultura di Castelluccio. Comme quoi je suis pas si sectaire avec les Proto ;-) , il s'agit d'un site daté entre le -XIXe et le -XVe siècle et, par conséquent, au début de l'Âge du Bronze sicilien. A la fin des années 1980, les érudits identifient la nécropole et l'étage communal, ce dernier posé sur un éperon rocheux, sorte d'acropole fortifiée. La nécropole se compose de plus de 200 tombes rupestres artificielles, creusées dans les parois abruptes de la carrière voisine de la Dame. Le plus monumental est le soi-disant « Tombeau du Prince » avec une façade composée de quatre faux piliers. De nombreux matériaux céramiques proviennent du site, aujourd'hui exposés au Museo archeologico regionale Paolo Orsi / Aditus Culture, ainsi que des trouvailles en bronze et deux portes funéraires très célèbres avec des symboles en spirale gravés. En outre, des ossements de globules ont été retrouvés exposés au musée de Syracuse, dont d'autres exemplaires ont également été retrouvés à Malte, dans les Pouilles, en Grèce et à Troie : https://it.wikipedia.org/wiki/Castelluccio_di_Noto
Buon compleanno a Beatrice Auguadro avec sa photo très suggestive (hum, pas besoin de faire un dessin … si ??? bah on dirait clairement une cravate de notaire ;-) je ne savais pas non plus ce que c'était avant mon Big&Old StoneS road-trip mégalithique avec pause à Le Coulobre : https://www.facebook.com/photo/?fbid=127752644521122&set=a.124542928175427 ... en France on dit que c'est une spécialité espagnole 🤪) du Menhir Luxia Arrabiosa/Terrazzu, situé près de la Comune di Villaperuccio, Provincia del Sud Sardegna, en RAS - Regione Autonoma della Sardegna / Visit Sardinia. 
Il mesure environ 5 m de hauteur ; son sommet a probablement été brisé par la foudre.
Son nom, Luxia Arrabiosa (« ArcheoLucia la Furieuse » ;-) ), dérive d'une légende selon laquelle Luxia, une géante, aurait apporté le menhir jusqu'à la Comune di Sant'Antioco pour la construction d'un pont mais, ayant trouvé ce pont déjà construit et voyant qu'elle s'était déplacée pour rien, elle se mit très en colère et une fois de retour à Terrazzu, elle jeta violemment la pierre au sol. Comme de nombreuses pierres dressées de Sardaigne, il pourrait s'agir d'une pierre nuragique (https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_nuragique) représentant une divinité. 
Dans les environs se trouvent les Domus de Janas de Montessu, un ensemble de nécropoles préhistoriques creusées dans la roche, cf. https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=6336254 de The Megalithic Portal
{Infos de https://fr.wikipedia.org/wiki/Menhir_Luxia_Arrabiosa}
Happy birthday to Ebor Benson Photography avec sa magnifique photo de Maughanasilly Stone Row <3 « Situé au nord-est de Lough Atooreen, sur les pentes orientales de Knockbreteen, à 2,3 km au nord de Kealkill (qui possède un cromlech non loin du Carriganass Castle Kealkill : https://en.wikipedia.org/wiki/Kealkill_stone_circle) se trouve une rangée de cinq menhirs et une pierre prostrée (la plus haute mesure 1,35 m et pèse environ 8 tonnes), alignés approximativement NE-SO, érigée à l'Âge du Bronze moyen, vers -1 600/-1 500 . Difficile à trouver (essayez avec https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=3380 de The Megalithic Portal) mais qui en vaut la peine, quel cadre ! » : je veux bien le croire, et effectivement le pleasure récompense la pain ;-) Il a été utilisé à des fins archéoastronomiques, pour faire des observations d'arrêts lunaires (avant que la Lune ne décline à l'horizon de plus en plus dans l'autre direction) et d'équinoxes. Des fosses peu profondes ont été trouvées avec des cailloux de quartz éparpillés. Deux grattoirs en silex ont également été trouvés. Un cercle de pierres se trouve à Illane, à 1,1 km au NNE de Maughanasilly dans le Cork County Council / Cork tourism du Pure Cork de Tourism Ireland / Discover Ireland / Tourisme Irlandais : https://en.wikipedia.org/wiki/Maughanasilly_Stone_Row
Buon compleanno a Daniele Fois avec sa magnifique photo de la Iloi Tomba di Giganti 2, dans la Comune di Sedilo, OristanoTurismo / Instagramers Oristano (y) Situé sur un haut plateau de basalte surplombant le lac artificiel Omodeo, c'est l'une des deux tombes liées à la colonie nuragique, aux tombes taillées dans la roche et au nuraghe d'Iloi. La tombe est bien conservée avec une exèdre (parvis) partiellement reconstruite et une chambre construite en utilisant des techniques isodomiques (blocs de taille standard) et en pierre de taille (maçonnerie angulaire et arrondie). Cette technique, associée aux matériaux trouvés lors des fouilles de 1987 et 1990, date le site de la fin de l'Âge du Bronze moyen (vers -1 300), bien que le livre « Guide des sites archéologiques de Sardaigne » (Giulio Concu chez Imago Multimedia) le donne comme Âge du Bronze ancien-moyen, ce qui le ramènerait environ 300 ans en arrière. Ses dimensions y compris l'exèdre sont de 14 mètres de large et 13 mètres de long. La chambre mesure 4,7 mètres de long. Il est construit à partir de roche de basalte locale et a un voisin jumeau à environ 20 mètres. 
{Infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=27766}
Feliz aniversario a Franco Vacca avec la photo de Mauro Aresu de la Stele della Tomba di Giganti "Li Mizzani" dans la Comune di Palau, l'un des nombreux tombeaux de géants à travers la Sardaigne et datant de l'âge nuraghique (-1 600 / -1 200). La chambre funéraire est accessible par l'énorme porte en pierre avec sa petite ouverture à la base. À l'origine, la chambre funéraire aurait été recouverte de dalles de pierre, puis d'un cairn de petites pierres et de terre, mais celles-ci ont été enlevées et utilisées dans la construction des murs en pierres sèches autour de la zone en 1918. Il y a la zone semi-circulaire habituelle devant le site qui ressemble quelque peu aux tombes à cour irlandaise. Le quartz est également évident dans les pierres utilisées pour construire le site, une large veine traversant la pierre de la porte. Contrairement à de nombreux autres sites similaires, il n'y a pas de contours sculptés sur la stèle qui forme l'entrée de la tombe. Les fouilles ici ont livré des tessons de pot datés entre le -XVe et le -XIe siècles. 
{Infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=27741}
Happy birthday to Paul Blockley avec sa photo de la Maen Llia (d'après vous, qui tient l'autre là à la sortie du pub ??? ;-) ), menhir situé près de Ystradfellte Waterfalls Brecon, dans le Powys County Council, Wales. La pierre se trouve dans le Brecon Beacons National Park / Brecon Beacons Tourism, à environ six kilomètres au nord du village d'Ystradfellte ; elle se dresse dans une prairie, à proximité d'une route de campagne qui relie le hameau de Heol Senni à Ystradfellte. 
Daté de l'Âge du Bronze et composé d'un conglomérat de vieux grès rouges, le monolithe a vaguement la forme d'un hachereau ou d'un biface et mesure 3,70 m de hauteur pour 2,80 m de largeur et 60 cm d'épaisseur, ce qui me rappelle les fat-boys stones de Vendée Tourisme ;-) 
En 2013, la pierre est vandalisée : les mots « Ban Blair » ont été peints en grosses lettres sur un côté du monument en peinture verte et « F ** k Blair » de l'autre côté 🤬 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Maen_Llia
Feliz cumpleaños a Mariano Ayarzagüena Sanz, ex de l'Universidad de Castilla-La Mancha avec la photo du Museo Arqueológico Nacional de España (désolé, j'en sais pas plus, c'est la seule photo qui soit pas légendée :-( Where does this stelea come from please ? Which culture ???) ! « La fin de l'Âge du Bronze est une période de changements sociaux marqués, en raison de l'importance des relations extérieures. Les preuves de ces contacts avec la côte atlantique, l'Europe continentale et même avec la Méditerranée, sont présentés dans la vitrine « Time of Contacts ». L'évolution indépendante des différents groupes régionaux (Campos de Urnas dans le nord-est, Cogotas au centre, sud-est péninsulaire et le bronze atlantique à l'ouest) accentue les différences culturelles. Dans « Le temps des changements », les éléments matériels et iconographiques, comme les stèles du Sud-Ouest, témoignent de l'influence grandissante de la Méditerranée dans ces communautés de la péninsule ibérique avant la colonisation phénicienne, dans le passage à la Protohistoire » (euh, parce que les métalleux bronziers c'est pas des Protos ??? :-o ) : http://www.man.es/man/fr/dam/jcr:42d10485-2355-463f-8db3-753f3cbc7f2d/man-guia-breve-prehistoria-es.pdf
Buon compleanno a Fiorenzo Caterini avec la Pascaredda Tomba di Giganti dans la Città di Tempio Pausania Pagina istituzionale :-) Tombe mégalithique de 9 mètres de long avec une façade en dalles de pierre en forme d'arc de 21 mètres de large et une grande stèle de pierre, orientée sud-est et à 437 mètres d'altitude. Cette tombe a un monticule plus grand que d'habitude afin d'amener l'arrière au niveau de l'avant car il fait face vers le haut. 13 des 14 couronnements sont encore intacts. 
{Photo et infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=6336278}
Buon compleanno a Pietro Mele avec sa photo de la dalle d'entrée à « porte de four » / hublot de la Tomba di Giganti de … "Who"/where is it please  in Visit Sardinia ? :-)
C'est la Santu Bainzu Tomba di Giganti dans la Comune di Borore, près de la Città di Nuoro (y) Elle a une grande stèle sculptée de 3,25 m de hauteur et 13,7 m de long restent de la chambre funéraire. L'ouverture de la stèle est très petite (seulement 30 cm de haut), comme dans de nombreux autres Tombeaux de Géants (Imbertighe, Coddu Vecchiu). Les restes des ailes formant des exèdres ne se distinguent plus : infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=6336303
Buon compleanno a Ester Annunziata de la Scuola di Specializzazione in Beni Archeologici Matera avec une des tombes creusées dans la roche de Villaggio Trincerato di Murgia Timone, de la Culture apenninique (Âge du Bronze moyen, -1 700 / -1 200), avec tumulus (un des rares exemples dans les Pouilles) : voir http://www.visitmatera.it/villaggio-neolitico-di-murgia-timone.html de visitmatera
{Photo de WikiMatera dans https://www.wikimatera.it/cosa-vedere-a-matera/il-parco-della-murgia-materana-e-delle-chiese-rupestri/il-villaggio-trincerato-di-murgia-timone ; infos de Ilaria Matarese de l' unina.it dans https://www.researchgate.net/publication/309563617_La_monumentalizzazione_del_paesaggio_funerario_mediante_circoli_nel_Bronzo_Medio_Casi_di_studio_a_confronto_tra_Italia_meridionale_e_area_transadriatica et https://www.persee.fr/doc/mom_2259-4884_2012_act_58_1_3486 de Giulia Recchia de l' unifg.it}
Buon compleanno a Lello Corti avec le Pranu Muttedu domus de janas II, vestiges d'une tombe mégalithique entourée de pierres circulaires et d'un menhir : https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=6336284 de The Megalithic Portal
Buon compleanno a Gigi Rocca avec sa photo (qui serait très bien allée pour mon « Guide des "bonnes" pratiques photographiques mégalithiques » à venir tout bientôt dans https://independent.academia.edu/MathieuAmigalithesPro) montrant la prise en photo de la Tomba dei giganti di Sa Perda 'e S'Altare dans la Comune di Birori, dans la Provincia di Nuoro / Nuoro Turismo, qui donne envie de Sardegna Turistica - Archeologia e Turismo Culturale (y) Voir les résultats de la session photo avec ses potes dans http://www.neroargento.com/page_galle/sapedrasaltare_A_gallery.htm de Paolo Lombardi
Sa Perda 'e S'Altare (la « Pierre de l'Autel ») est une tombe de géants située à 339 m d'altitude. C'est le monument funéraire le plus important et le mieux conservé de toute la Visit Sardinia, particulièrement riche en témoignages archéologiques. Le premier signalement remonte à 1833 et est dû au savant Alberto Della Marmora (qui attribua à tort le site à la commune de Silanus) qui, en 1840, le décrivit intégralement, l'illustrant également de dessins, dans son « Voyage en Sardaigne » (https://books.google.fr/books?id=sh4SZEE1_kMC, https://books.google.fr/books?id=CYouAAAAYAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false et https://www.google.fr/search?hl=fr&tbo=p&tbm=bks&q=inauthor:%22Alberto+Della+Marmora%22). La tombe de Sa Perda 'e S'Altare présente le modèle architectural typique de style dolménique-orthostatique et elle aussi semble rappeler, dans le schéma planimétrique, la reproduction du protomé taurin, symbole de la religion des Sardes préhistoriques depuis le lointain Néolithique. Elle est formés par le corps qui abrite la chambre funéraire rectangulaire - qui a une longueur de 15,50 m - et par l'exèdre, la zone d'apparat, qui mesure 18,50 m à la corde. L'exèdre est délimitée par deux ailes de mur constituées de grandes dalles enfoncées dans le sol (9 dans l'aile droite, 6 dans la gauche) avec au centre la partie résiduelle de la stèle d'origine, un bloc rectangulaire carré de 170 cm de haut et 250 de long, décoré du cadre en relief typique. A la base de la stèle se trouve la porte d'accès au compartiment funéraire. A une vingtaine de mètres de Sa Perda 'e S'Altare en direction NW se trouve un autre sépulcre dont il ne reste que les vestiges. Une partie de la chambre funéraire est à peine reconnaissable, mesurant 4,30 sur 3,20 mètres de long, quelques dalles renversées sur le sol et des fragments de la stèle qui portent encore des traces de l'écoutille. Non loin du site se trouvent plusieurs monuments archéologiques. Dans un rayon de trois kilomètres se trouvent : les nuraghes d'Aladorza, Arbu, Bardalazzu, Cubas, Cuguttu, Forgheddu, Frenugarzu, Mura Elighe, Pontes, Porcarzos, S'Arbarighinu, Serras, Uana ; les dolmens d'Arbu et de Mura Pranosa ; la tombe des géants de Puzzu Iu et la domus de janas de Serbine : https://it.wikipedia.org/wiki/Tomba_dei_giganti_di_Sa_Perda_%27e_S%27Altare avec illustration de Giovanni Seu (y)
Happy birthday to Clive Bonsall de The University of Edinburgh avec le Cock Low / Cattes Low à Leek :-) Le site de ce tumulus préhistorique a complètement disparu, effacé du sol, mais cela vaut la peine d'en avoir une trace ici. On pense qu'il se trouvait là où le terrain de loisirs de Westwood Road est maintenant situé, à côté de Spring Gardens à Leek, dans le Enjoy Staffs, et à proximité de Waterloo Road, au sud-ouest de la ville. Malheureusement, le monticule a été détruit en 1907 par le conseil municipal pour faire place au moulin de Broster : le moulin a également disparu et la zone de loisirs a été construite à sa place. Le tumulus funéraire mesurait 5,5 m de hauteur avant sa destruction - il aurait été plus haut que cela à l'origine et mesurait 36,5 m de circonférence. Il date probablement de l'Âge du bronze. En 1847, un maître d'école local, Samuel Carrington, aidé par la British Archaeological Association, a fouillé le centre du monticule à une profondeur de 1,5 m. Au cours de l'excavation, des couches de cendres et de charbon de bois sur une autre couche de sable blanc ont été trouvées. Quelques artefacts provenaient également de la tranchée, notamment des morceaux d'urne funéraire avec des os calcinés et un instrument en silex à bords arrondis. En 1907, lorsque le monticule / tumulus a été détruit, le révérend W. Berrisford a noté qu'une urne à double lèvre était tombée des fouilles ; l'urne s'est brisée en morceaux, mais à l'intérieur se trouvaient une pierre en forme de cœur très rare, un anneau de fer et un paquet d'os d'animaux hachés ainsi que ce qui était considéré comme des parties du crâne d'un enfant. Au fur et à mesure de la destruction, de grosses pierres ont été retirées du bas du monticule - elles avaient été disposées en quelque chose comme un cercle (l'enterrement lui-même). Certaines des pierres étaient apparemment peintes en rouge et bleu (bleu de la plante de pastel) – peut-être les colorants utilisés par les anciens pour peindre leurs visages ? Il se pourrait qu'il y ait eu plus d'une sépulture à l'intérieur du monticule, mais nous ne le saurons peut-être jamais car seuls ces quelques documents ont survécu. Il est intéressant de noter ici qu'en 1859, un autre tumulus possible à Birchall Meadows (à proximité) a été creusé par des ouvriers qui installaient un nouveau drainage. Les hommes auraient trouvé une urne funéraire, semblable à celle de Cock Low, avec un motif en chevrons et, quelques pierres, peut-être d'un cairn. À l'intérieur de l'urne, des ouvriers ont trouvé ce qu'ils considéraient comme des restes humains brûlés. 
{Image de Kevin Kilburn ; infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=30806}
Bon anniversaire à Florence Gilliard, ex de l'Université de Neuchâtel :-) En 1876, les travaux de construction de l’ancien restaurant « Le Lacustre » avaient déjà permis d’exhumer une sépulture d’enfant, parée notamment d’une double paire de bracelets datés du Bronze moyen (BzB1), ainsi que les vestiges d’une tombe collective du Néolithique final, un dolmen aujourd’hui reconstitué dans le parc du Laténium (https://www.facebook.com/photo/?fbid=122762393919837&set=a.104725425717248). Tous les éléments architecturaux de ce monument funéraire n’avaient pas été prélevés au 19e siècle ; certains d’entre eux ont en effet été retrouvés, laissés sur place et très fragmentés, à l’exception d’une dalle de gneiss et d’un gros bloc de granite partiellement visible en 1876, contre lequel était adossé le dolmen. A défaut d’apporter des faits nouveaux quant à l’articulation architecturale du monument, cette redécouverte permet en revanche d’en déterminer l’emplacement d’origine.
Bien que partiellement détruits lors des travaux du 19e siècle, les vestiges récemment mis au jour, les plus importants – et les plus spectaculaires – sont ceux d’un tumulus, circulaire à l’origine (7 m de diamètre env.) mais conservé sur près de sa moitié. La seule sépulture observée, installée plus ou moins au centre du monument, a fortement été endommagée par la construction d’un mur, entraînant ainsi la disparition du côté droit du squelette. Le défunt, qui repose en décubitus dorsal – tête à l’est et bras allongés le long du corps - est doté d’une seule épingle en bronze à tête annulaire placée sur la cage thoracique, attribuable à la transition Bronze ancien/Bronze moyen (BzA2-B1). Cette inhumation est entourée d’un amoncellement de pierres, lui-même ceinturé de dalles en roches alpines, taillées et jointives, dont la nature et les dimensions suggèrent qu’elles ont fait l’objet d’une « récupération » de monuments plus anciens. 
Deux autres tombes, aménagées à quelque 2 m au sud du tumulus, ont également été mises au jour. La première est une inhumation comportant un individu en position de décubitus dorsal, tête au nord et bras allongés le long du corps. Le défunt repose sur un lit de galets de petits modules investissant une surface plutôt rectangulaire, plus large que celle initialement occupée par le corps. Une épingle en bronze à tête discoïdale à pointe, qui pourrait être attribuée vers la fin du Bronze moyen (BzB2/C), a été retrouvée à hauteur de la cage thoracique du corps. Une seconde épingle (à tête en massue ?), une perle en ambre, ainsi que des agrafes (?) en bronze ont également été découvertes à l’angle nord-ouest de la tombe, près de la tête de l’inhumé. Séparée de la précédente par une dalle de schiste posée de chant, la seconde sépulture est une incinération dont la datation reste à préciser (Bronze récent ?). Les os, souvent partiellement brûlés, sont disposés en petites concentrations mêlées, voire recouvertes d’un amas de pierres majoritairement altérées sous l’action du feu.
Enfin, deux grands fours à pierres de chauffe quadrangulaires, datés au radiocarbone du Bronze final, ont été mis au jour en limite occidentale de l’emprise de fouille, quelque 12 et 25 m au nord-ouest du tumulus.
La découverte de tumuli de l’Âge du Bronze n’est en soi pas inédite dans les environs de la Ville de Neuchâtel, dans le Jura & Trois-Lacs ; on en dénombre plusieurs localisés sur les flancs boisés du Littoral ou encore dans le Val-de-Ruz (découverts entre le 19e et le début du 20e siècle), ce qui l’est plus c’est d’en explorer un, qui plus est situé non loin des rives de Neuchâtel et selon des méthodes d’investigations modernes. Les premiers résultats soulignent donc l’importance du site comme lieu à vocation funéraire, fréquenté sur plus d’un millénaire, du Néolithique à l’Âge du Bronze, une continuité exceptionnelle pour ces périodes de la Préhistoire neuchâteloise : https://www.ne.ch/autorites/DESC/SCNE/organisation/Documents/rapport_OPAN_2012-13.pdf et https://www.researchgate.net/publication/317859129_Late_Neolithic_to_Middle_Bronze_Age_around_4900-3100_cal_BP_lake-level_fluctuations_at_Lake_Neuchatel_Switzerland_as_reflected_by_the_sediment_sequence_of_the_site_of_ColombierLes_Plantees_de_Rive_Pal de la République et Canton de Neuchâtel
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عيد ميلاد سعيد ل
Youssef Kanjou de l'Universitätsstadt Tübingen :-)
Il y a aussi des dolmens en Syrie (vers Damas, Alep et Homs notamment : voir https://www.megalithic.co.uk/search.php?query=&country=61&category=0&county=&sitetype=&days=0&type=stories de The Megalithic Portal), mais je voulais vous montrer ça, œuvre autrement moins connue de l'Observatoire Patrimoine d'Orient ! Éventuellement occupée dès la période de Samarra ou d’Hassuna (-6 500/-6 000), plus certainement à la suivante, celle d’Halaf (-6 000/-5 000), Tell Brak est l’une des premières villes du monde, qui a atteint l’échelle et la complexité urbaines au début du -IVe millénaire et a conservé son importance politique et son pouvoir économique pendant la majeure partie du -IIIè millénaire. Ce monticule de 30 hectares sur la rivière Khabour au nord-est de la Syrie, a livré des artefacts des périodes Halaf et Ubaid, mais le site est surtout connu pour sa séquence de riches temples de la fin des périodes Uruk et Jemdet Nasr, où il s'agissait clairement d'un centre important.
Cette statue-menhir en basalte date du Bronze Moyen (-2 000 / -1 600) et est conservée au Musée du Louvre. La période amorrite (ou paléo-babylonienne, -2004/-1595) correspond du point de vue archéologique à l’expansion de la « céramique du Khabur » (céramique peinte de bandes ou motifs rouges) dans la région de Tell Brak. La population est alors de plus en plus hourrite. La divinité tutélaire de la ville, la Dame de Nagar (« Bēlet Nagar »), est très importante, et sa statue effectue de nombreux voyages dans la région du Khabur, signe de la dévotion qu’elle y suscite. Son importance est encore attestée dans les archives de Tell Leilan pour la seconde moitié du -XVIIIe siècle. Ce même corpus documentaire indique que la région du Khabur est passée sous la suzeraineté des rois du Yamkhad (Alep) après la chute de Mari en -1762 sous l’offensive de Hammurabi de Babylone.
{Photo de https://collections.louvre.fr/ark:/53355/cl010137912 ; infos de Archaeology in Syria - Tell Brak Project مشروع تل براك dans http://www.tellbrak.mcdonald.cam.ac.uk du McDonald Institute for Archaeological Research de l'University of Cambridge et https://fr.wikipedia.org/wiki/Tell_Brak}
Bon anniversaire à Guillaumet Giovannini (qui devrait apprécier https://www.youtube.com/playlist?list=PLJWGe9XopG3l3cHrOhHSc1fJcqfZh3Miq :-p ) avec sa photo de stèle-menhirs exposées chez les branleurs du Museo de Prehistoria y Arqueología de Cantabria  MUPAC dont la page est en siesta activa depuis 2014 :-o Could l'Asociación de Amigos del Museo de Prehistoria y Arqueología de Cantabria, qui elle est bien active (y) , tell us from which epoch and culture are this pieces and maybe do you have a link with futher informations please ? :-) C'est quand vous voulez les Museos de Cantabria et Cantabria Infinita pour vous bouger à valoriser ces musées et leur tourisme 😔 !!!
Feliz cumpleaños a Amparo Aldecoa Quintana avec l'Ídolo de Hernán Pérez VI exposée au Museo Arqueológico Nacional de España et présentée dans http://www.man.es/dam/jcr:68c35b40-5add-426b-8296-108e11955c74/man-pieza-mes-1999-03-estela-hernanperez.pdf :-) C'est une stèle-galet diadémé réalisée sur un bloc de granit allongé en forme de parallélogramme, datée de l'Âge du Bronze ancien, première moitié du -IIe millénaire et découverte non loin de l'Ayuntamiento de Cáceres en Extremadura Turismo. Elle représente le visage et les bras repliés sur le ventre d'un personnage anthropomorphe avec un bandeau en maille réticulée. De la ligne horizontale qui délimite le visage dans sa partie inférieure, émergent deux demi-cercles parallèles qui symbolisent un collier et, en-dessous, une ceinture gravée au moyen de deux lignes parallèles qui enserrent une rangée de douze points bien marqués. En représentant ces simples dessins, il semble que le graveur ait toujours été clair sur les éléments symboliques qu'il devait véhiculer : diadème, collier et ceinture. Les figures anthropomorphes présentes sur les stèles de galets du sud-ouest de la péninsule ibérique semblent correspondre à des représentations de femmes d'un niveau social présumé élevé, à en juger par les colliers, ceintures et diadèmes qui les ornent. Le rôle joué par les femmes à cette époque devait être extraordinaire si l'on tient compte du nombre de représentations. Le fait que les seins du personnage ne soient pas indiqués sur les stèles de galets peut mettre en évidence l'exclusivité de ces représentations, il ne serait donc pas nécessaire de mettre en avant les aspects sexuels pour démontrer la condition féminine des gravures. Le renforcement du pouvoir guerrier des hommes ne semble pas diminuer les acquis sociaux des femmes, qui maintiennent le diadème comme son attribut principal, symbole d'une importance marquée au sein de la communauté. Les stèles à diadème ne semblent répondre à aucune idéologie religieuse dominante en Europe occidentale à cette époque, mais plutôt à une expression très nette de l'indigénisme. L'arrivée d'éléments de prestige ou de parure personnelle en provenance du monde atlantique n'a fait que renforcer la valeur sociale des personnages représentés sur ces stèles par la possession de biens très limités au reste de la société ; ces objets, soumis au goût indigène, deviendraient l'attribut social d'une classe féminine éminente, peut-être assimilée au caractère masculin du guerrier. L'importante découverte d'Hernán Pérez, dont les stèles à diadème semblaient associées à des cistes et à une stèle de base d'un guerrier, est une preuve à l'appui de l'hypothèse de la coétanéité des stèles de galets et des stèles de base d'un guerrier, qui n'ont pas encore été influencé par le contact par la Méditerranée, avant la colonisation orientale. Ainsi, malgré les sérieuses difficultés rencontrées pour identifier les objets gravés, il est plus possible de penser à l'origine atlantique de certains des ornements personnels représentés sur les stèles de galets et sur celles des guerriers : http://ceres.mcu.es/pages/ResultSearch?Museo=MAN&txtSimpleSearch=%CDdolo%20de%20Hern%E1n%20P%E9rez%20VI&simpleSearch=0&hipertextSearch=1&search=advancedUnion&MuseumsSearch=MAN%7C&MuseumsRolSearch=9&listaMuseos=[Museo%20Arqueol%F3gico%20Nacional]
Bon anniversaire à Mireille Turquois avec sa photo de Pierres à Cerfs / Stèles gravées de Haute Asie de la mission du Musée d'Anthropologie Préhistorique Monaco à Tsatsiin Ereg, chippée à http://archeo-steppe.com :-) Voir aussi http://xn--mission-archologique-franaise-en-mongolie-ltd6e.fr/ et http://aprab.org/arcab/breuil.html de l'APRAB - Association pour la promotion des recherches sur l'âge du Bronze alors Visit Mongolia <3
Aux alentours de -1 000, Tsatsiin Ereg était une nécropole avec quatre grandes tombes aristocratiques. Le site de Tsatsiin Ereg, qui est situé au centre de la Mongolie, regroupe plus de 60 pierres à cerfs et plusieurs centaines de pétroglyphes. Ces iconographies sont associées à un contexte rituel et funéraire, près de sépultures des premières tribus nomades. La civilisation des pierres à cerfs était capable de mobiliser un grand nombre de personnes pour accomplir le travail titanesque d'acheminement de pierres : http://polepatrimoine.org/membres/44:sitearcheotsatingereg du Pôle international francophone des sites patrimoniaux
Bon anniversaire à Patrice Bonnel avec la Statue-menhir de Nuvallela : retrouvée en 1995 à la suite de travaux agricoles, cette statue en schiste de 1;98 m est la seule connue dans la dépression de Corté, au centre de la Corse. Elle fut découverte isolée, dans une plaine, en bordure de la rivière Tavignanu et du ruisseau affluent de Santa Lucia. Elle comporte un long nez en relief et des oreilles nettement dégagées : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHNUVA%204
Elle provient de Santa-Lucia-di-Mercurio, dans le Centru di Corsica du Parc naturel régional de Corse - Parcu di Corsica et de la Communauté de Communes Pasquale-Paoli Francardu, en majeure partie dans la dépression centrale de la Corse, axée sur un réseau de fractures et s’étendant de L'Île-Rousse à Solenzara en passant par Corte, à l'est de la Corse alpine (ou orientale) limitée au tiers NE de l'île. Son territoire, entre deux fronts de chevauchement, est ceint à l'est et à l'ouest par des lignes de crête qui délimitent la commune en se rejoignant au nord, à la Punta di l'Ernella (1 473 m), sommet « à cheval » sur Rusio, Tralonca et Santa-Lucia-di-Mercurio. C'est au nord-nord-est que se situent, sur un chaînon secondaire s'articulant à la Punta di Caldane (1 724 m) sur la dorsale du massif du Monte San Petrone, les plus hauts sommets de la ceinture avec, à l'est de l'Ernella, la Punta Puzzola (1 543 m), le Monte Piano Maggiore (1 581 m) culmen communal, et la Cima di Santa Lucia (1 550 m environ). C'est sur un éperon rocheux de la ligne de crête occidentale qu'est construit le village, à une altitude moyenne de 800 m. 
Ce relief montagneux inclut le bassin versant entier du ruisseau de Santa Lucia auquel il faut ajouter la partie haute du bassin versant du ruisseau de Campettine, affluent du ruisseau de Zincajo. Ces ruisseaux alimentés par de nombreux cours d'eau coulent dans autant de petits vallons encaissés. Le principal cours d'eau est le Tavignano, second fleuve de Corse après le Golo. Il longe sur près de 1,8 km les limites méridionales de la commune, à la hauteur de l'aérodrome de Corte sur l'autre rive, là où la statue-menhir a été trouvée. Sur ce parcours, il reçoit les eaux du ruisseau de Santa Lucia long de 8 km qui naît sous le nom de ruisseau de Lore3, sur la commune à 1 210 m d'altitude, sur le flanc méridional de la Punta di Milleli (1 327 m), sommet « à cheval » sur Tralonca et Santa-Lucia. La majeure partie du territoire communal est représentée par le bassin versant du ruisseau de Santa Lucia dont le cours est orienté dans un axe nord-sud et qui a pour principaux affluents les ruisseaux de Felce (rg), de San Martino (rg), de Pedimaio (rd), de Piniforci (rg) et de Vinchinacce (rd). Le reste du territoire, soit la partie sud-est, est le haut bassin versant du ruisseau de Campettine qui conflue sur Poggio-di-Venaco avec le ruisseau de Zincajo autre affluent du Tavignano. Tous ces cours d'eau, au faible débit estival, sont de véritables torrents en certaines périodes de l'année : fortes précipitations, fonte des neiges, etc. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Santa-Lucia-di-Mercurio
{Photo de Diego Meozzi dans https://www.stonepages.com/corsica/nuvallela.html}
Bon anniversaire à Jean-Luc Ottenio avec sa photo d'une des stèles-menhirs de Filitosa - Le site préhistorique de la Corse, rare site mégalithique français (avec les Alignements de Carnac) à être membre des Megalithic Routes - European Route of Megalithic Culture (y) Est-ce que je me coucherai moins bête ce soir ??? : « Filitosa, vient de "Fileta" qui en Corse veut dire "fougère", plante employée dans certaines expressions corses pour évoquer les racines des Hommes » 🧐
Buon compleanno a Paolo Campidori de la Gallerie degli Uffizi avec sa photo de stèles de Corse de … ??? MERCI Chalcophore (y) : c'est l'alignement de statues-menhirs de Cauria près de la Ville de Sartène - Cità di Sartè, La Corse des Origines, cf. https://www.isula.corsica/patrimoine/Les-sites-archeologiques-du-pianu-de-Cauria_a11.html de Cullettività di Corsica - Collectivité de Corse :-)
Il écrit : « Des stèles avec des représentations en relief d'armes ont jusqu'à présent été trouvées dans le sud de l'Espagne et en Algarve. Celles-ci rappellent les stèles corses, datant du -IIe millénaire et seraient attribuables à l'un des "Peuples de la mer" de sources égyptiennes, peut-être aux Shardana (selon Grosjean) ou peut-être aux T'r'sh/Turranoi qui avait déjà occupé une partie de la Sardaigne et passeront ensuite en Italie. Curieusement, les casques sont cornus comme dans les représentations corses et chez les égyptiens de Médinet Habou, et aussi les boucliers sont toujours ronds (comme dans la stèle de Kaminia). Dans les stèles postérieures, cependant, apparaissent des cavaliers qui rappellent les Étrusques de la vallée du Pô, à cheval et les guerriers celtes à pied. Les stèles écrites sont datées du -VIè siècle comme la stèle en bois. Les signes sont largement dérivés de l'alphabet phénicien et tous sauf quelques-uns sont gauchers. Les Phéniciens ont atteint les côtes ibériques dès le -IXe siècle »
Feliz aniversário para João Ribeiro de Archeo3D - Serviços de Arqueologia et ISCE DOURO avec ces deux statues-menhirs de l'Âge du Bronze exposées au Museu da Região Flaviense (y) Does anybody, maybe the Município de Chaves, have infos about them please ? :-)
{Photo et infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=51586}
Feliz aniversário para Nina Aggy avec sa photo d'une stèle gravée exposée au Museu Nacional Soares dos Reis, via Vitor Manuel Oliveira Jorge du Ministério da Educação - MEC et de l'Universidade do Porto (y) Does anybody have infos about it please ? , epoch/culture ??? :-)
Herzlichen Glückwunsch zum Geburtstag Siegrun Maas avec une de ses très belles photos de mégalithes, ici des Stèles gravées de Haute Asie, en Mongolie (y) Do you please have more infos about this site ?:-) Comme traveleuse mégalithique elle est welcome pour Partager ses pépites avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-p
Bon anniversaire à Albane Burens du CNRS avec sa photo de statue-menhirs corses de … ??? Qui qui sait où c'est ? :-)
Bon anniversaire à Sylvie Artôt avec sa photo des statues-menhirs corses de … ??? Qui qui sait qui c'est ? :-) Je crois savoir mais j'ai un affreux doute donc à vous de confirmer/infirmer mes pensées ;-)
Boldog szülinapot Horváth Veronika avec sa photo (do not hesitate to Share with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) ) d'une stèle Okuniev (y) :-) <3 Le Centre Culturel Russe et le Musée d'Anthropologie Préhistorique Monaco ont été très heureux d’accueillir leurs membres pour l’inauguration de l’exposition « Mystérieuse Civilisation Okuniev, Art de Sibérie au IIIè millénaire avant notre ère »
Dans le cadre de l’Année de la Russie à Monaco, le musée et l’Institut de Recherche sur les Langues, l’Histoire et la Littérature de la République de Khakassie (https://www.facebook.com/search/top/?q=Institut%20de%20Recherche%20sur%20les%20Langues%2C%20l%E2%80%99Histoire%20et%20la%20Litt%C3%A9rature%20de%20la%20R%C3%A9publique%20de%20Khakassie du CNRS avec Yury  Esin) ont réalisé cette exposition sur la civilisation Okuniev qui occupait les steppes de Sibérie il y a plus de 4000 ans.
Jamais présentée au public européen, la culture Okuniev est étonnante par la singularité de ses productions antiques. De grandes stèles sculptées de visages mystérieux, des parois gravées d’animaux étranges, tels sont les vestiges parvenus jusqu’à aujourd’hui.
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عيد ميلاد سعيد ل
د.عبد الحكيم شايف,ex de الهيئة العامة للأثار والمتاحف - الجمهورية اليمنية :-) (do you have further infos about this very interesting site for Yemen Tourism Promotion Board please ?)
La plaine de Tihamah serpente tout le long de la côte ouest du Yémen, en passant par l'ancien port de café de Mocha et jusqu'à Aden. Entourée par la mer Rouge d'un côté et une chaîne de montagnes de l'autre, cette longue et étroite bande de terre semi-désertique a la capacité impressionnante d'être à la fois diablement chaude et insupportablement humide. En 1982, Ed Keall a été le premier archéologue à y travailler. Il était là, en tant que directeur de la mission canadienne au Yémen, pour fouiller la ville médiévale Tihami autrefois prospère de Zabid et explorer son paysage environnant. Les travaux d'Ed dans cette terra incognita archéologique ont rapidement révélé les riches profondeurs de la Tihamah, comme il l'a découvert lorsqu'il s'est retrouvé face à face avec un site étonnant au milieu du désert : des monolithes de granit géants. Voici son récit : « C'était en mars 1997. Nous étions en train de fouiller Fazah, un site censé être le premier port d'entrée de Zabid pour les navires de l'océan Indien. Cependant, les vents de mousson commençaient à prendre une force énorme. Nous avions établi un camp de fortune composé de huttes de roseaux et certains membres de l'équipe canadienne ont commencé à montrer des signes de traumatisme dû au vent, un phénomène bien connu des personnes vivant dans des conditions terriblement sans abri. Nos yeux étaient rongés par le sable soufflant sans relâche du désert. Après trois nuits, j'ai décidé que je n'étais pas tout à fait prêt à devenir aveugle pour la cause de l'archéologie… J'ai choisi d'abandonner la mission et de retourner à notre camp de base à Zabid. En ramenant l'équipe et l'équipement de Fazah à notre base, j'ai décidé de modifier l'itinéraire du retour. Le sable soufflé avait obscurci certaines des pistes, et la morosité répétitive de grandes étendues de cette zone semi-désertique est telle qu'il a fallu un certain temps avant que je remarque que je me dirigeais dans la mauvaise direction. Cependant, comme les instruments GPS étaient devenus de rigueur pour les archéologues au Yémen (les relevés satellites nécessaires n'étaient plus brouillés par l'armée américaine), je me suis dûment garé sur le côté d'une plantation de dattiers pour essayer mon nouveau gadget. En regardant autour de moi, j'ai soudain réalisé que j'étais déjà venu ici, environ 15 ans plus tôt, pour enregistrer la poterie. Nous étions juste à côté du village d'al-Midamman. À ce moment-là, un fermier local a émergé des palmiers et nous avons commencé à parler. [je coupe]
« Alors, dit-il, tu veux voir les pierres ? Lorsque Salem Hassan m'a conduit à travers les dunes de sable et a souligné "les pierres" au loin, scintillant dans la brume du désert, je me souviens avoir pensé "Mon Dieu, c'est un Stonehenge yéménite". Devant nous se tenaient trois mégalithes de granit géants, chacun autour 3 m de haut et pesant environ quatre tonnes chacun. Deux autres de proportions similaires étaient tombés. Un autre mégalithe plus monstrueux, mesurant environ 8 m de haut, gisait toujours incliné par rapport au sol. A distance, de nombreux autres mégalithes plus élancés, ressemblant davantage à des piliers, jonchaient la surface du sol. De telles caractéristiques sont tout à fait inattendues dans cette région.[...] Je ne dis jamais que je les ai découverts car, pour certains locaux, ces pierres ont toujours fait partie de leur vie. Ils les appelaient « al-Manasib », littéralement « droits ». Ils croyaient que les pierres y étaient transportées par les djinns - ces entités folkloriques traditionnelles rusées imprégnées de propriétés magiques. J'ai préféré voir leur origine dans un site à environ 300 m des pierres, où, en plus d'autres montants tombés, il y avait une zone notable de pierre écaillée, connue localement sous le nom de 'al-Minjarah', ou la zone de 'coupe' . J'ai évalué qu'il s'agissait du site de taille de pierre ou de la carrière. En fait, j'ai depuis découvert que rien sur la Tihamah n'est si simple. Les éclats de pierre étaient en fait le résultat d'un "écaillage" - la désintégration d'anciens montants dans les dures conditions salines du désert. Comment expliquer ce Stonehenge yéménite ? Depuis, nous avons découvert qu'il y avait autrefois des dizaines, voire des centaines, de colonnes dressées à travers le paysage d'al-Midamman. C'était une culture ancienne qui se livrait à la pose de menhirs géants. En effet, une fois familiarisé avec la culture, on commence même à en reconnaître des traces dans les cimetières musulmans - y compris l'utilisation de piliers recyclés provenant de sites mégalithiques de l'Âge du Bronze pour marquer les tombes d'hommes saints. Leur utilisation abondante est d'autant plus frappante que (malgré mes pensées initiales selon lesquelles les pierres pourraient provenir d'al-Minjarah à proximité), nous savons maintenant qu'il n'y a pas de source immédiate et cohérente de pierre dans cette zone côtière. Les rochers du cours d'inondation existent, mais les mégalithes angulaires ne le font certainement pas, et il n'y a aucun signe que les mégalithes aient été taillés dans des rochers locaux. Alors d'où viennent-ils ? »
{Photo et infos de Current World Archaeology dans https://www.world-archaeology.com/features/yemen-arabias-stonehenge-3}
Buon compleanno a Luigi Pellini avec sa photo du Piloton au soleil levant (y) parfaitement raccord avec ma photo de l'Hermes Kriophoros du -Vè siècle exposé au Museo Barracco : https://www.facebook.com/photo/?fbid=130682619786218&set=a.122029783984835 <3 
Avis aux symbolistes et mythologues sérieux // Notice to serious symbolists and mythologists !!! Dans la région de www.montorioveronese.it, il y avait de nombreux menhirs, comme sur le mont Biron à San Giovanni Ilarione où il y avait 3 menhirs enlevés par le propriétaire du domaine en 1975. Également dans un petit lac près du mont Baldo, il y avait un grand bétyle qui émergeait de l'eau : il a été retiré à moitié émietté puis cuit pour faire de la chaux. Même dans la région de l'Alliance Française Vicenza et précisément à Sovizzo (Alte Ceccato) il y avait un site mégalithique : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=126434646885945&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3. 
Pierres enfoncées dans le sol qui, pour les anciens Vénitiens, représentaient les dieux et leurs forces liées au rayonnement solaire. Antoine Meillet, linguiste français et érudit grec démontre que le sanskrit devah, le lituanien devas, le vieux prussien deiwis, le latin deus, l'irlandais dia, le gaulois devon sont des mots qui dérivent de la racine indo-européenne, de/o, qui signifie lumière. Ainsi chez les Indo-Européens, l'être divin est conçu comme un être lumineux, à assimiler à la même lumière du soleil levant qui surgit des ténèbres. Ici la pierre au-dessus de Montorio est liée à la première lumière qui apparaît le jour du rayonnement solaire maximal (le solstice), pour les Anciens manifestation tangible de dieu. Festugière dans son « La religion grecque » écrit : « Remonter aux origines de la pensée grecque et dans le sillage de Pausanias, on constate la présence, dans la Grèce antique, de nombreuses pierres sacrées : hieroi-lithoi. Ces pierres sont dépositaires d'une force extraordinaire. Appelées Ergatoi, « Effectives », elles seront plus tard assimilées à des divinités bienfaisantes qui, fichées dans la terre, font le lien entre les énergies du ciel et des enfers, dites cosmotelluriques. A l'Âge d'Or, l'Homme adorait dans chaque étoile, dans chaque fleur, dans chaque frère, à chaque aube, un dieu propice dont le Soleil semblait le symbole le plus parfait. Frans Hemsterhuis, écrit dans sa lettre sur l'Homme : « Le soleil n'est plus, même pour Rome, une idole locale, mais un grand dieu avec les statues d'Hélio et de Ba'al, le premier étant le nom donné en Occident et le second au dieu Soleil de l'Est. Elagabalus a construit un grand temple du Soleil sur le mont Palatin pour abriter la pierre noire apportée de Syrie en 219. Ce Betylus représente le dieu et ainsi cette pierre sacrée était ointe dans l'antiquité comme la pierre de Delphes était ointe (Pausanias, x, 24, 6) tous les jours. À l'époque classique, la ganosis était l'onction des statues avec un mélange de cire et d'huile. Les statues sont couvertes afin que la force qui y est présente ne s'éloigne pas ! https://luigi-pellini.blogspot.com/2013/06/aspettando-il-sole-nascente-al-piloton.html 
Lire aussi https://www.heraldo.it/2021/01/31/il-piloton-e-il-grande-anello-della-storia-di-montorio de Heraldo
Bon anniversaire à Morgane Le Saint et c'est marrant car y a quelques jours à peine je souhaitais un bon anniv' à Thony Bourdeil avec sa superbe illustration sous le feu de la rampe de la comète de la si bien nommée C/2020 F3 Neowise (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=132106632985413&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3), une des comètes les plus visibles à l’œil nu depuis quelques années … qui début juillet 2020 est passée au plus près du Soleil (cf. https://www.meteo-centre.fr/blog/une-comete-visible-a-loeil-nu-pour-ce-mois-de-juillet de Météo Centre - Région Centre - Val de Loire) du menhir de … eh bien voilà la solution sachant qu'il n'est pas tout seul et est en altitude près d'un lac pas loin de la frontière entre les Hautes Pyrénées et la Haute-Garonne Tourisme) :-) Il s'agit donc du Cromlech du Port de Pierrefite à Bourg d'Oueil Officiel, au col du même nom à 1 855 m dans le massif pyrénéen de la Barousse et reliant ici Bourg-d'Oueil (Communauté de Communes Pyrénées Haut Garonnaises / Pyrénées 31 Tourisme du Conseil départemental de la Haute-Garonne) et Bareilles (Pyrenees2vallees dans le Département des Hautes-Pyrénées) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_cols_des_Hautes-Pyr%C3%A9n%C3%A9es
A la fin du XIXème siècle, Sacaze signale « à l'intérieur d'un cromlech de 4 mètres de diamètre est circonscrit un second de 2 m de diamètre entourant le menhir ». On ne voit aujourd'hui qu'un seul cromlech entourant le menhir. Le menhir, blanc, est un bloc de calcaire marbreux saccharoïde qui, si on en juge sa nature géologique, provient des environs de Saint-Béat. Ceux qui l'ont édifié l'ont donc transporté sur une distance de 20 km. Sa silhouette se distingue depuis la vallée. Vaguement anthropomorphique, il a pu évoquer une femme revêtue de la capuche traditionnelle, une bergère (ou un berger) pétrifié avec son chien et ses moutons. Les fées (les hadas) et leurs enfants (les hadeths) venaient la nuit, dit-on, depuis leur grotte proche danser autour de lui.
Encore vers 1950, les filles en quête d'un amoureux ou les femmes en mal d'enfant allaient l'embrasser et chantaient une chanson que rapporte Isaure Gratacos : « Peira Hita, bailha me 'ra pica hita » (« Pierre dressée, donne-moi une ... dressée ») ou de manière moins crue « Peira hita, peira bendita, balha me un peiro aireter » (« Pierre dressée, pierre bénie, donne-moi un bel héritier »).
Ce menhir a été victime d'une pelleteuse de la DDE en 1982 pendant l'aménagement d'une plateforme pour garer les voitures. Il est resté couché sur la pente herbeuse jusqu'à ce que les villageois de Bourg d'Oueil, désolés de ne plus l'apercevoir en haut du col, décident de le remettre en place. 
{Infos de http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=11435}
Happy birthday to Geo Ali de GIA Education et Learning Geology avec le cercle d'Asota (Kalula), un très beau cromlech avec 16 pierres encore debout, d'environ 3 m de haut, à Kalula, près du village d'Asoda Sharif, district de Swabi, Khyber Pashtunkwa, nord du Pakistan Tourism / Pakistan tour & tourism / Tourism Pakistan / Pakistan Tourism / Pakistan Tourism / Pakistan Tourism (if you have pictures about megaliths of your beautiful country, please feel free to share them here with the Community :-) ). Apparemment, il y en a d'autres dans la région de Peshawar (y) 16 pierres sont encore debout, plus une à moitié enterrée et une n'a qu'une base, donc au total 18 peuvent être tracées. De plus, deux autres petites pierres jouxtent deux des plus grandes encore debout, peut-être comme support. Les pierres forment un cercle presque parfait, à l'exception d'une qui se trouve légèrement à l'extérieur de celui-ci. Cependant, comme la plupart des pierres (13) se tiennent d'un côté, formant un demi-cercle, seule une fouille archéologique pourrait confirmer le cercle en tant que tel. Les pierres en demi-cercle sont à peu près orientées vers le sud-ouest, celle hors ligne se trouve de l'autre côté, où deux autres pierres debout et une pierre couchée peuvent être trouvées sur la ligne du cercle imaginaire. Les pierres ne sont généralement pas taillées, bien que certaines semblent avoir été façonnées en forme rectangulaire avec des coins définis. Elles sont en granit, que l'on peut trouver dans les montagnes voisines bien qu'un guide ait soutenu que ce type de granit vient d'environ 20 km. Les pierres les plus hautes mesurent environ 3 m de haut. Selon l'archéologue-directeur du musée de Peshawar, il y a au moins deux autres cercles dans les environs de Peshawar. Selon les habitants, les pierres étaient autrefois 30 et érigées par Ashoka (Bouddha) pour pouvoir méditer à chacune, un jour du mois. Cependant, il semble tout à fait probable que le cercle de pierre soit d'une date beaucoup plus ancienne, Néolithique / Âge du bronze ancien, en lien avec des cercles similaires ailleurs : photo et infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=30824
Bon anniversaire à Joël Castéran de AE Médias et ACUMPANYAT, Bureau Montagne à Cauterets avec le Cromlech de Pe Det Malh (A : à priori restes d'un harrespil, nom basque pouvant être traduit par « cercle de pierres », donné aux petits cromlechs qui abondent sur les reliefs pyrénéens, notamment au Pays basque ; on les appelle également baratz, mot signifiant "jardin" et traditionnellement appliqué aux nécropoles préhistoriques : https://fr.wikipedia.org/wiki/Harrespil), non loin du Lac d'Estaing, situé dans le Val d'Azun (vallée d'Estaing) à 1163 m d'altitude des Pyrénées Béarnaises ! Les Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths veulent bien aussi des photos du Menhir du Soulor, à Arrens-Marsous également dans la Communauté de Communes Pyrénées Vallées des Gaves où aura lieu le Pyrénées Vallées des Gaves Trail : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHSOUL%204
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le gave de Cauterets, le gave d'Estaing, Gave de Cambasque et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (les « gaves de Pau et de Cauterets (et gorge de Cauterets) », le « moun Né de Cauterets, pic de Cabaliros » et « Péguère, Barbat, Cambalès ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=LHPEDE+4
շնորհավոր ծնունդդ Անահիտ Խուդավերդյան de ՀՀ ԳԱԱ ՀԱԻ / Institute of Archaeology & Ethnography :-) J'aurai pu poster Zorats Karer (en arménien Զորաց Քարեր), aussi appelé Karahunj (Քարահունջ, « voix des pierres ») mais comme il a déjà sa page https://fr.wikipedia.org/wiki/Zorats_Karer, autant vous faire découvrir K'anaker, une ancienne forteresse de l'âge du bronze et village avec cercle de pierres sur la côte du lac Sevan (y) Do you have maybe please infos or a link to know more (other infos pros welcome in the International MegalithicFriend's Association ;-) ), and photos to share with the Community of Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths ? :-)
{Photos et infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=25209}
L'autre jour je mettais en avant la Route des Statues-Menhirs d'Occitanie (https://www.facebook.com/photo/?fbid=145872128275530&set=pb.100085582290808.-2207520000.), aujourd'hui et à venir je promeus un des autres coups de <3 mis à l'honneur du SIT Rennes à savoir le Voyage Occitanie du Comité Régional du Tourisme et des Loisirs d'Occitanie : https://www.sit-rennes.com/pays-a-l-honneur (y)
En altitude près d'un lac pas loin de la frontière entre les Hautes Pyrénées et la Haute-Garonne Tourisme se trouve le Cromlech du Port de Pierrefite à Bourg d'Oueil Officiel, au col du même nom à 1 855 m dans le massif pyrénéen de la Barousse et reliant ici Bourg-d'Oueil (Communauté de Communes Pyrénées Haut Garonnaises / Pyrénées 31 Tourisme du Conseil départemental de la Haute-Garonne) et Bareilles (Pyrenees2vallees dans le Département des Hautes-Pyrénées) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_cols_des_Hautes-Pyr%C3%A9n%C3%A9es
A la fin du XIXème siècle, Sacaze signale « à l'intérieur d'un cromlech de 4 mètres de diamètre est circonscrit un second de 2 m de diamètre entourant le menhir ». On ne voit aujourd'hui qu'un seul cromlech entourant le menhir. Le menhir, blanc, est un bloc de calcaire marbreux saccharoïde qui, si on en juge sa nature géologique, provient des environs de Saint-Béat. Ceux qui l'ont édifié l'ont donc transporté sur une distance de 20 km. Sa silhouette se distingue depuis la vallée. Vaguement anthropomorphique, il a pu évoquer une femme revêtue de la capuche traditionnelle, une bergère (ou un berger) pétrifié avec son chien et ses moutons. Les fées (les hadas) et leurs enfants (les hadeths) venaient la nuit, dit-on, depuis leur grotte proche danser autour de lui.
Encore vers 1950, les filles en quête d'un amoureux ou les femmes en mal d'enfant allaient l'embrasser et chantaient une chanson que rapporte Isaure Gratacos : « Peira Hita, bailha me 'ra pica hita » (« Pierre dressée, donne-moi une ... dressée ») ou de manière moins crue « Peira hita, peira bendita, balha me un peiro aireter » (« Pierre dressée, pierre bénie, donne-moi un bel héritier »).
Ce menhir a été victime d'une pelleteuse de la DDE en 1982 pendant l'aménagement d'une plateforme pour garer les voitures. Il est resté couché sur la pente herbeuse jusqu'à ce que les villageois de Bourg d'Oueil, désolés de ne plus l'apercevoir en haut du col, décident de le remettre en place. 
{Photo de https://lagrolenpyrenees.blogspot.com/2012/11/mont-ne-pic-du-lion-sommet-du-tech.html ; infos de http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=11435}
Bon anniversaire à Candice Leroy qui a fouillé dans la Ville de Maubeuge et aussi à HistoKeo HistoKeo qui a étudié à l'Université de Lille :-) Comme j'avais pas plus d'infos et rien de mégalithique dans leurs photos, voici le Menhir dit la Pierre de Dessus-Bise (dont je veux bien svp une photo à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y) ) à Sars-Poteries, non loin du MusVerre - un musée du Département du Nord, dans la Communauté de communes du Coeur de l'Avesnois ! Bien qu'il se situe sur la place publique, qu'il ait des gravures rupestres et soit classé MH depuis 1862, le site communal n'en parle même pas dans sa rubrique « Patrimoine » alors qu'il est sa propriété :-o / :-( Ça ferait pourtant un attrait intéressant pour l'Avesnois Tourisme et le Parc naturel Régional de l'Avesnois car rares sont les mégalithes dans le Département du Nord [qui a une comm' num' catastrophique concernant Nord Tourisme ou La Tangente, agence d'innovation touristique du Nord … bref on sait pas qui taguer pour le Tourisme dans le Nord, faut galérer à trouver des pages en sommeil, donc on repassera (ou pas) pour l'OT du futur car avec des logos de réseaux sociaux chez https://evasion.lenord.fr c'est bien, mais avec des liens actifs c'est mieux !!!] Viendez dans les Hauts-de-France Tourisme qu'ils disaient … mouais, je vais rester à Groland :-p
{Photo du Ministère de la Culture dans https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00107808}
Happy birthday to Angie Fogarty Wickenden avec ses photos de Scorhill Stone Circle / Gidleigh Stone Circle / Steep Hill Stone Circle et Shovel Down : https://www.facebook.com/angie.wickenden/posts/pfbid0eeysQG5vprPM16HWbtW95kPGBrqKYwva91RsjR9BqVU56iFy1kfob2Va5AoeZ5axl (y) :-) <3
Scorhill Stone Circle est l'un des cercles de pierres les plus grands et les plus intacts du Devon, près du Gidleigh Park, au nord-est du Dartmoor National Park du National Trust Dartmoor, au Royaume-Uni. C'est un monument classé par l'English Heritage et il a été décrit comme le plus beau cercle de pierres du Devon. Le cercle a été construit à l'âge du bronze. Il a un diamètre d'environ 27 mètres et la hauteur des pierres varie de 0,85 mètre à une hauteur impressionnante de 2,25 mètres au-dessus du sol. Les espaces entre les pierres varient en largeur de 0,6 à 0,9 mètre. Il y a actuellement 23 pierres debout et 11 pierres couchées. Caractéristique des autres pierres du cercle, la plus grande a une pointe dentelée distinctive. Il a été noté que, vu du centre du cercle, le soleil se couche sur la pointe de la pierre la veille de la Saint-Jean, ce qui indique une certaine utilité en archéoastronomie. Les estimations du nombre original de pierres ont varié entre 51 et environ 70, ce qui en fait l'un des cercles de pierres les plus larges du Devon avec le plus haut monolithe restant. Des objets en silex provenant des environs du site de Gidleigh Moor remontent à -8 500, pendant la période mésolithique, et sont maintenant conservés au Torquay Museum.
Scorhill est situé dans un paysage de monuments mégalithiques et figure dans les histoires locales de chevaux qui ne veulent pas passer par le cercle. Certains folklores le relient au Tolmen, une pierre percée d'un grand trou en forme de beignet, surplombant un ruisseau voisin. Une histoire des "épouses infidèles et des jeunes filles volages" raconte que les femmes infidèles étaient obligées de se laver dans un bassin voisin, de faire trois fois le tour de Scorhill, puis de passer par le Tolmen et de prier devant les pierres pour obtenir l'absolution. Les femmes infidèles étaient écrasées par une pierre, ce qui donne une idée étrange de la raison pour laquelle tant de pierres sont tombées : https://en.wikipedia.org/wiki/Scorhill 
Voir aussi https://visitdartmoor.co.uk/get-active/the-best-dartmoor-walks/scorhill-and-teignhead-walk de Visit Dartmoor, https://holidayindartmoor.co.uk/chagford/scorhill-stone-circle-35872.html, http://www.stone-circles.org.uk/stone/scorhill.htm, https://www.britainexpress.com/counties/devon/ancient/scorhill-stone-circle.htm de Britain Express, https://www.alltrails.com/fr/randonnee/england/devon/kestor-rocks-scorhill-stone-circle-and-gidleigh de AllTrails, https://www.devonperspectives.co.uk/scorhill_stone_circle.html 
Shovel Down est une zone de Dartmoor, dans le discoverdevon, couverte de mégalithes, dont les vestiges de plusieurs rangées de pierres, le Fourfold Stone Circle et plusieurs pierres debout.
Le complexe de rangées de pierres de Shovel Down occupe les pentes nord et sud d'une large crête est-ouest de lande non fermée. Il date probablement de l'âge du bronze. On peut voir environ cinq rangées de pierres doubles et une rangée de pierres simples. D'autres monuments probables de l'âge du bronze se trouvent dans les environs immédiats, notamment le Fourfold Circle, la Long Stone, la Three Boy's Stone et plusieurs cairns.
Le Fourfold Circle (référence de grille SX65958601) est une configuration de quatre cercles de pierres concentriques. Le cercle extérieur a un diamètre de 9 m, les autres ont des diamètres de 6,4 m, 4,7 m et 2,4 m respectivement. Le Fourfold Circle est l'emplacement d'un cairn couvert de gazon avec une ciste centrale qui a été pillée.
La pierre longue (référence de quadrillage SX66028567) se dresse au milieu de deux rangées de pierres. Elle est appelée " Langstone " dans une source documentaire de 1240. Elle marque aujourd'hui la limite de trois paroisses.
La Three Boys standing stone (référence SX66028549) est une pierre marquant l'extrémité sud de l'une des rangées de pierres. C'est la seule survivante des trois pierres de ce type connues sous le nom de Three Boys : https://en.wikipedia.org/wiki/Shovel_Down 
Voir aussi http://www.stone-circles.org.uk/stone/shoveldown.htm, https://www.britainexpress.com/counties/devon/ancient/shovel-down.htm, http://www.dartmoorwalks.org.uk/site/shovel.php, https://www.isleofalbion.co.uk/sites/39/shovel_down.php de The Isle of Albion, https://southwestcoastphotos.com/photo_16409910.html, https://holidayindartmoor.co.uk/chagford/shovel-down-stone-rows-35863.html, http://www.saintsandstones.net/stones-shoveldown-journey.htm, https://www.chagfordlocalhistorysociety.org.uk/shovel-down, https://www.mediastorehouse.com/heritage-images/stone-alignment-shovel-down-3rd-2nd-millenium-bc-14860066.html de Media Storehouse, https://www.heritagegateway.org.uk/gateway/Results_Single.aspx?uid=MDV29944&resourceID=104, http://prehistoricmonumentsofdartmoor.weebly.com/shovel-down.html, https://www.waymarking.com/waymarks/WM3P59_Shovel_Down_Stone_Row_2_Dartmoor_Devon_UK
Happy birthday to Mike King, ex de Newry, Mourne and Down District Council, avec ses photos (pour ceux qui ont la chance d'être son ami ;-) : https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid0Arby7JpSDWnrekSkLuuvKvTU2nDdFo6s4nRoJMiDLUb14FWfbqPfRa826bgnRLoNl&id=100006442144392) du Beltany Stone Circle (y) :-) <3
Beltany est un cercle de pierres de l'âge du bronze situé juste au sud de la ville de Raphoe Town dans le County Donegal, en Tourism Ireland/Discover Ireland. Il date d'environ -2 100 à -700. Il existe des preuves qu'il a pu également être le site sacré de monuments néolithiques, peut-être des tombes à couloir. Il surplombe le complexe de tombes à couloir de Kilmonaster, aujourd'hui détruit, et Beltany est dominé par Croghan Hill à l'est, au sommet de laquelle se trouve un monticule néolithique, probablement une tombe à couloir (bien qu'elle n'ait jamais été fouillée).
Aujourd'hui, Beltany compte 64 pierres de hauteur et de largeur variables entourant une plate-forme en terre. Le centre est très perturbé et a probablement été creusé par les habitants dans les années 1700 à la recherche de pierres détachées pour construire les fermes et les limites des champs. Cette preuve a été donnée oralement aux agents de terrain de l'Ordnance Survey dans les années 1830 et est inscrite dans les archives de l'OS. Il indique que les habitants se souviennent de l'enlèvement de vastes tas de pierres et de tombes de type sépulcral avec des ossements. Le mur de pierres près du cercle peut confirmer cette preuve et la mention sur les premières cartes de l'OS du "Tops Village" au pied de la colline. L'énigmatique cercle de pierres est situé au sommet de Tops Hill, mot gaélique anglicisé qui signifie « l'allumage d'une torche cérémoniale ». Plusieurs pierres sont marquées de cupules. L'une d'elles en particulier, la pierre triangulaire sur NE, est décorée d'incisions circulaires ou de marques de coupe visibles à l'œil nu. D'autres pierres ont ce qui semble être des constellations d'étoiles reproduites. Les lourdes pierres du nord-ouest penchent vers l'extérieur, peut-être sous la pression des débris et des rochers enlevés dans les années 1700 ou en raison de l'épuisement du banc de terre.
Il s'agissait d'un site rituel associé au marquage de l'année agricole celtique - les solstices et équinoxes d'été et d'hiver. L'année rituelle celtique était divisée en 4 parties - Beltaine (mai), Samhain (novembre) les parties principales et Imbolg (février) et Lughnasa (août). La Beltaine peut être liée au marquage du lever et du coucher du soleil lors de ces événements rituels et cérémoniels importants de l'année. Elle peut aussi avoir une orientation lunaire, qui reste à calculer.
Une seule pierre "aberrante" d'environ 2 mètres de haut se dresse au sud-est du cercle. Elle avait probablement une fonction liée aux rituels ou aux cérémonies du cercle. Il peut aussi s'agir de l'une des nombreuses pierres dressées en ligne trouvées dans les champs autour des pentes de la colline et de la vallée de Tops.
Une tête en pierre sculptée (plate vers l'arrière) proviendrait des terres autour de Beltany et aurait servi de masque ou de moule à partir duquel les masques cérémoniels étaient façonnés en bronze ou même en or. Il se trouve sous les voûtes du National Museum of Ireland de Dublin (do you have a picture of it please ? No result in https://www.museum.ie/en-ie/search/searchindex?searchtext=Beltany :-o / :-( ) . Ces mégalithes indiquent que ce paysage a été délimité et utilisé comme un site sacré et rituel pendant plusieurs millénaires.
Il a été suggéré que le nom du site est lié à la fête celtique de la fertilité connue sous le nom de "Beltane", le nom anglicisé de la fête gaélique du May Day, qui se tient généralement le 1er mai et qui, historiquement, est largement observée en Irlande, en Écosse et sur l'île de Man. En irlandais, le nom du jour de la fête est Lá Bealtaine, en gaélique écossais Là Bealltainn et en gaélique manx Laa Boaltinn/Boaldyn : https://en.wikipedia.org/wiki/Beltany_stone_circle 
Voir aussi https://www.askaboutireland.ie/reading-room/history-heritage/heritage-towns/the-heritage-towns-of-don/raphoe/beltony-stone-circle du Department of the Environment, Climate and Communications, https://www.guide-irlande.com/sites-touristiques/beltany-stone-circle de Guide Irlande.com, https://voicesfromthedawn.com/beltany-stone-circle de Voices from the Dawn, http://www.ancientireland.org/beltany, https://www.tuatha.ie/beltany-stone-circle de Tuatha, https://www.ancient-origins.net/ancient-places-europe/beltany-stone-circle-0010809 de Ancient Origins, https://www.inishview.com/activity/beltany-stone-circle de Inish View, http://www.carrowkeel.com/sites/donegal/beltany.html de Cliffoney remembers Fr Michael O'Flanagan, https://www.facebook.com/879413398741200/posts/ring-of-fire-beltany-stone-circle-co-donegal-irelandthank-you-monumental-ireland/1812376978778166 de Silent Earth, https://garethwray.com/product/beltany-stone-circle-donegal de Gareth Wray Photography, https://wanderyourway.com/my-15-favorite-amazing-historical-sites-in-ireland/beltany-stone-circle-county-donegal-ireland-6 de Wander Your Way
Feliz cumpleaños a David Barreiro, ex de l'Instituto de Ciencias del Patrimonio - Incipit, avec sa photo du Castlerigg Stone Circle, déjà posté donc voyez les infos dans https://www.facebook.com/profile/100085582290808/search/?q=Castlerigg (y) :-) <3
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Feliz cumpleaños a Miguel Mendez-Cabeza avec ses photos (https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid02zuLNwmDRTQQfBGArLSjMuEWgc2AswPnzMYdp3WtLEhnD87NauhbKpn6xvJ9dJktbl&id=100010806519333) du Menhir de la Laguna del Conejo à Velada dans Ayuntamiento Talavera de la Reina du Turismo Castilla-La Mancha, qu'il décrit en détail dans http://lamejortierradecastilla.com/patrimonio-comarcal-en-peligro-1-el-menhir-de-la-laguna-del-conejo (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Ce menhir, qui fait partie de ce que l'on appelle le mégalithisme d'Extremadure, comme un autre qui a disparu près du barrage de Guadyerbas, le menhir dit de Parrillas, est également situé près des anciennes pistes de transhumance.
Il s'agit d'un bloc de granit à la forme pointue typique des menhirs, avec de nombreux creux hémisphériques sur sa face sud, les "cazoletas", dont la signification rituelle pour le peuple qui l'a érigé il y a quatre mille cinq cents ans est inconnue. Certaines de ces cazoletas sont reliées par de petits canaux dont le symbolisme est également inconnu et que l'on peut voir sur l'image marquée d'une flèche.
Dans les environs, il a trouvé des éclats de silex travaillés dans les tons blancs.
Depuis la Préhistoire, la vallée du Tage a favorisé l'installation continue de diverses cultures. Des vestiges paléolithiques, néolithiques et chalcolithiques ont été conservés dans différentes parties de la région - dolmen de Navalcán, dolmen d'Azután, dolmen de La Estrella. Le versant nord de la vallée du Tage, connu sous le nom de Tajonar, avec son relief caractéristique en gradins de terrasses alluviales quaternaires sur des matériaux granitiques paléozoïques, a probablement abrité les premières populations préhistoriques : https://es.wikipedia.org/wiki/Talavera_de_la_Reina#Prehistoria_y_protohistoria
Voir aussi https://terraeantiqvae.com/group/petroglifos/forum/topics/abundantes-cazoletas-en-el-menhir-de-la-laguna-del-conejo-cerca
Feliz cumpleaños a Jesus Argudo avec une de ses photos d'un harrespil (https://fr.wikipedia.org/wiki/Harrespil), cercle de pierres pyrénéen de l'Âge du bronze tardif (à partir de -1 200 environ)  (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)
Voici ce qu'il écrit dans https://www.facebook.com/jesus.argudo.779/posts/pfbid02VCscnXB744QV6XREbcFQbfnKtmPhJJxZJaucjkzbjyHv9b7tsjXzrDAKBUXru5QWl (réservé à ses amis) : « En 2005, l'Instituto de Estudios Altoaragoneses a publié le numéro 22 de sa revue Bolskan, un numéro spécial consacré aux cercles de pierre pyrénéens ou cromlechs pyrénéens. 
Cette étude décrit plus d'un millier de cercles dans les Pyrénées et seuls deux d'entre eux sont situés dans la vallée de Chistau / Gistain du Turismo de Sobrarbe, au nord de la province du Turismo Huesca : voyez https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_de_Chistau, https://www.lacsdespyrenees.com/vallee-Gistain.html des Lacs des Pyrénées, https://www.pyrenees2vallees.com/bal-de-chistau-et-parc-naturel-posets-maladeta de Pyrenees2vallees, http://www.pyrenees-passion.info/les-lacs-des-pyrenees/lacs-pyrenees-espagnoles/ibon-del-sen 
Ce fait m'a fait penser qu'il devait y en avoir beaucoup plus à découvrir et j'ai commencé une étude en commençant par le col de Sahún (https://www.casasordesa.com/fr/contenidos/rutas/de-san-juan-de-plan-au-col-de-sahun-port-de-sahun de Casas Rurales Ordesa), où se trouvaient les deux cromlechs attribués à cette Valle de Benasque.
Actuellement, il y a plus de 30 cercles de pierres pyrénéens dans la vallée et seulement dans le col de Sahún il y en a entre sept et neuf, car certains d'entre eux, avec les vicissitudes de la guerre civile et la construction et l'asphaltage d'un tronçon de piste ont été détruits, par exemple la table en bois existante, à côté du petit parking du col, se trouve dans ce qui reste de l'un d'entre eux.
Tous sont orientés vers l'est, vers le lever du soleil. Le cercle lui-même est un symbole du soleil.
Il existe deux types fondamentaux de cercles de pierres : le type pyrénéen, fait de petites pierres, et dans la zone du col de Sahún, nous avons des cercles d'un mètre et demi de diamètre, jusqu'à un cercle d'environ 10 mètres de diamètre, il y en a sept bien conservés et deux possibles ; et il y a un deuxième type, appelé type breton, qui se caractérise par le fait d'être fait de pierres beaucoup plus grandes, très rares dans les Pyrénées aragonaises, et ici nous en avons peut-être un, dans la zone de La Turmosa.
Tous ces cercles, éventuellement et en l'absence de datation (lorsqu'une subvention est accordée à cette fin) auraient une origine néolithique et auraient été réalisés par un ou plusieurs clans qui, comme cela a été démontré dans la grotte des Trocs dans la Valle De Benasque, montaient pour garder le bétail au printemps et en été dans ces pâturages, contribuant ainsi à créer ce merveilleux paysage humanisé....
Si un groupe de personnes est intéressé à les voir ou s'il veut les voir avec moi, nous pouvons nous rencontrer un des jours où je monte au refuge de Marradetas et faire une petite excursion de quelques heures pour les voir ».
Bon anniversaire à Tregan Jean-François avec sa photo du Menhir dit Pla del Bac / Del Bosc / Bassouse / Del Port vers la Mairie Eyne en Pyrénées Catalanes du Tourisme en Pyrénées Catalanes (y) N'hésite pas à Partager tes clichés avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Pierre dressée pointue en granite de 2m80 environ, de section carrée, à côté d'un village d'été de la fin de l'âge du bronze à 1 565 m d'altitude, elle a été extraite à proximité. Relevée par les archéologues à l'occasion de l'étude du site, on note son érection très phallique quand elle est vue avec la vallée d'Eyne en arrière-plan : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=11322
L'histoire du village d'Eyne remonte au Néolithique. Des traces d'un premier foyer aménagé au Pla Del Bach vers -3 300 ont été trouvées à proximité du village. Les dolmens et menhirs encore présents sur le territoires sont vieux d'environ 4000 ans. Depuis cette époque, les cultures de blé, de seigle, d'avoine se développent autour du village, ainsi que l'élevage bovin et ovin jusque dans la vallée, avec la pratique de l'estivage : https://fr.wikipedia.org/wiki/Eyne#Histoire 
Voir aussi https://www.tourisme-pyreneesorientales.com/balade-archeologique-deyne et https://cdt66.media.tourinsoft.eu/upload/balade-archeologique.pdf de Pyrénées-Orientales Tourisme, https://www.les-pyrenees-orientales.com/Patrimoine/MenhirDuPlaDelBosc.php de Les Pyrénées Catalanes
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