Big & Old StoneS

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10. Entre le début de l'ère commune et l'an 1 000 : du temps des Romains à celui des Vikings

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Commençons un petit tour du monde et comme c'est l'été indien … allons à Mallachandiram, Krishnagiri district, dans le Tamil Nadu ! On compte environ 200 dolmens à Moralepara, de quatre types de la période mégalithique des environs de notre ère, de différentes tailles sur la colline à 500 mètres à l'Est du village, sur une superficie de 800 x 800 m. On note des cercles de cairn, des sépultures en ciste avec grande rampe, des tombes de tribus migratrices/pastorales. La majorité des dolmens a été construite en dalles verticales avec des hublots sur le côté Est. Des dalles rectangulaires, semblables à des garde-corps, encerclent ces structures dont les passages sont constitués de petites dalles rectangulaires. À l'intérieur des dolmens se trouvent des peintures représentant des figures humaines, des arcs et des flèches, des animaux et des symboles <3
{Photo et infos de Moti Shem Tov dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=16084 de The Megalithic Portal}
MERCI ARTE qui hier nous amenait à la découverte de nos continents, avec notamment l'Amérique du Nord (https://www.arte.tv/fr/videos/091174-004-A/nos-continents) (y) L'occasion de vous parler d'une chose, parmi tant d'autres, que j'ignorais complètement mais qui pourtant est super intéressante : la civilisation du Mississippi (ou culture mississippienne) s'est développée entre les IXe et XVIIe siècles, à l'Est du fleuve Mississippi, et elle peut être rattachée à la culture des Mound Builders car elle a produit de grands tertres funéraires (tumulus). Cette civilisation a commencé à s'épanouir dans la vallée du Mississippi puis ilsemble qu'elle ait complètement disparu avant l'arrivée des colons européens en Amérique du Nord : https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_du_Mississippi
Cette culture a utilisé des tombes en pierre (« stone-box graves »), des cistes, des coffres ! Lorsqu'une personne décédait, les proches plaçaient le corps dans une sorte de cercueil fait de grosses pierres plates sur tous ou presque tous les côtés. À l'intérieur, il y avait parfois des objets funéraires, tels que des récipients en poterie. C'est peut-être une façon de s'assurer que les morts avaient quelque chose pour stocker de l'eau ou de la nourriture pour l'au-delà, mais ce sont peut-être aussi des biens sacrifiés en l'honneur des morts. L'entrée de Wikipedia pour les tombes en pierre indique que les objets funéraires accompagnaient souvent les morts, mais on lit ailleurs que les objets funéraires n'étaient pas si fréquents. Les tombes étaient souvent placées en des lieux symboliques, comme près de la confluence de la rivière Cumberland avec un cours d'eau saisonnier ou peut-être permanent. 
Parfois, les morts étaient déposés dans le coffre en position fléchie, mais souvent ils étaient allongés. Souvent, ces tombes étaient associées à des tumulus, mais pas toujours. Et tous ceux qui sont morts n'ont pas été enterrés de cette façon. Parfois, les cistes en pierre étaient réutilisées, les os des personnes précédemment enterrées étant désarticulés et mis de côté pour le nouveau défunt.
{Photo de ChromeSun-The Artwork of Herb Roe et infos via Carl Feagans dans https://ahotcupofjoe.net/2016/07/looters-and-stone-box-graves}
Bon anniversaire à Véronique Dez qui m'aura fait galérer pour trouver quelque chose de mégalithique en rapport avec la choucroute, ne comprenant pas son intitulé de poste « Cheffe du pôle des sites étrangers et des réseaux multilatéraux du patrimoine mondial » au Ministère de la Culture :-o En tout cas ça claque sur carte de visite mais là … jusqu'à ce que je me rappelle, avantage d'être multi-réseaux, qu'un indonésien (SR Andi Baso) avait posté dans l'équivalent de l'International MegalithicFriend's Association (le groupe des pros pour « Megalithic Parc : parc thématique mégalithique en Saumurois, au cœur des imposants dolmens angevins » : https://www.linkedin.com/groups/12717791) un lien intéressant sur le parc national de Lore Lindu situé dans l'île de Sulawesi en Indonésie. Le parc, dont l'altitude varie de 200 à 2 610 mètres, est couvert de forêt de plaine et de montagne, et de par sa biodiversité importante il a été classé réserve de biosphère par l'UNESCO en 1977 et zone importante pour la conservation des oiseaux. 
Dans le parc se trouve également la vallée de Bada (https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_de_Bada), où l'on trouve des statues et des jarres de pierre que l'on date de -3 000 à 1300 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_de_Lore_Lindu
Selon l'étude de 2013, 1 466 découvertes mégalithiques provenant de 83 sites avaient été recensées. Ces statues sont considérées comme les meilleurs monuments de pierre parmi les statues similaires en Indonésie. Il existe 5 classifications de statues en fonction de leur forme :
1. Statues de pierre : Ces statues ont généralement des traits humains, mais seulement la tête, les épaules et les organes génitaux ;
2. Kalamba : c'est la forme la plus courante de mégalithe et ressemble à un grand vase. Peut-être s'agit-il d'un moyen d'approvisionnement en eau, ou aussi d'un endroit pour mettre le cadavre lors de la cérémonie d'inhumation ;
3. Tutu'na : ce sont des disques de pierre, très probablement la couverture des Kalamba ; 
4. Pierres Dakon : pierres de forme plate à convexe représentant des canaux, des trous irréguliers et d'autres indentations ;
5. D'autres : mortier de pierre, piliers soutenant des maisons et plusieurs autres formes ont également été trouvés : https://id.wikipedia.org/wiki/Taman_Nasional_Lore_Lindu
Voir aussi https://fr.sacredsites.com/Asie/Indon%C3%A9sie/napu_valley_sulawesi.html de Martin Gray
{Photo issue de TripTrus.Com dans https://www.triptrus.com/destination/1590/napu}
Buon compleanno a Emily Lecca avec sa photo de la Grotta della Vipera de 1854 par Édouard Delessert (y) , un hypogée funéraire romain situé viale Sant'Avendrace, dans la nécropole de Tuvixeddu, dans la Comune di Cagliari Pagina Istituzionale.
Le site est fréquenté depuis le Néolithique comme en témoignent les découvertes d'outils en silex et en obsidienne ainsi que des céramiques et des fonds de huttes de la culture Ozieri. La nécropole de Tuvixeddu est une nécropole punique, l'une des plus importantes de la Méditerranée, situé sur une colline dans la ville du Cagliari Turismo, appelée Tuvixeddu (en langue sarde Tuvixeddu signifie « colline des petits trous »). Entre le -VIe et -IIIe siècle les Carthaginois ont choisi cette colline pour enterrer leurs morts. Les tombes, sont accessibles par un puits creusé dans la roche calcaire de deux à onze mètres de profondeur, une petite ouverture introduit dans chaque chambre funéraire. Les chambres funéraires sont joliment décorées et comportent des trousseaux funéraires dont des amphores et des ampoules pour les essences. Parmi les tombes puniques, certaines comme la « Tombe de Uræus », la « Tombe du combattant», sont ornées de peintures de palmiers et de masques et sont bien conservées. Une autre tombe célèbre est celle de « la roue ». 
Sur les pentes de la colline Tuvixeddu il y a une nécropole romaine, qui donnait sur la route à la sortie de la ville. La nécropole romaine consiste principalement en des tombes arcosolium et columbariums : https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9cropole_de_Tuvixeddu
La grotta della Vipera a été construite par le romain Lucio Cassio Filippo en l'honneur de sa femme, la matrone Atilia Pomptilla, au IIe siècle. Le tombeau, orné extérieurement d'une façade à deux colonnes (un chapiteau a survécu) et d'un fronton, est composé d'un pronaos et de deux chambres funéraires : https://it.wikipedia.org/wiki/Grotta_della_Vipera
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Purushotam Kumar Npk de Ranchi Municipal Corporation au Jharkhand Tourism avec The Chokahatu Megaliths (if you have photos/videos, do not hesitate to Share with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths) (y) Subhashis Das (lire son https://www.academia.edu/16495256/A_BRIEF_STUDY_OF_THE_MEGALITHS_OF_CHOKAHATU <3) écrit « Le nom signifie « la terre de deuil » dans la langue austrique mundarique, qui était l'une des langues les plus abondamment parlées dans l'Inde tribale et actuellement la langue maternelle de centaines de milliers de personnes dans l'est et le centre de l'Inde. Le site est situé à environ 80 km au sud-est de la capitale de Ranchi et est principalement un cimetière mégalithique des Mundas. Ces lieux de sépulture sont connus sous le nom de sasandiri, harsali, haragarhi, etc. dans les langues mondariques locales et peuvent être trouvés dans presque tous les villages tribaux de Ranchi et des environs. Chokahatu n'a que deux menhirs et le reste est des dalles funéraires et des dolmens. Les dolmens sont également connus sous le nom de sasandiri pour les Oraons, Hos, Mundas et les Asurs. Le site a été découvert par un T.F.Pepe à la fin du 19e siècle (M.Pepe comme M. Babington a la distinction la plus rare de découvrir de nombreux mégalithes dans l'Inde au XIXe siècle). Pepe a signalé le site au colonel Dalton qui s'y est rendu en 1871. Dalton était abasourdi par l'énormité du site. Il a écrit dans le "Journal of Asiatic Society of Bengal" Vol.42 en 1872 que ses assistants comptaient les dalles sépulcrales à environ 8 000 et que la zone faisait plus de 7 acres. Il pensait qu'il devait y avoir une sous-couche de ces tombes et que ce site devait avoir environ deux mille ans. Les villageois n'étaient cependant pas d'accord, ils ont affirmé que le site faisait environ 14 acres et devait avoir plus de deux mille ans : https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=33786 de The Megalithic Portal 
Lire aussi https://www.dailypioneer.com/2013/state-editions/chokahatu-megaliths-campaign-gaining-ground.html de The Pioneer, https://chitrolekha.com/megaliths-of-jharkhand de The Chitrolekha Journal on Art and Design, https://www.outlookindia.com/outlooktraveller/explore/story/70558/top-megalith-sites-in-jharkhand de Outlook Traveller, https://tourism.jharkhand.gov.in/how-to-reach/213/5 de Jharkhand Tourism, https://lagatar24.com/the-land-of-mourning-for-mundas-near-ranchi/91062 de Lagatar News, https://www.thehindu.com/life-and-style/travel/the-forgotten-megaliths-of-chota-nagpur-plateau/article27068252.ece de The Hindu, https://www.tripoto.com/jharkhand/trips/stonehenge-and-megaliths-tell-the-story-of-the-existence-in-jharkhand-5c9dd99606769 de Tripoto / Tripoto हिंदी, https://www.linkedin.com/pulse/what-megaliths-jharkhand-reveal-tribal-india-ria-gupta de Amusing Planet, https://pulitzercenter.org/fr/node/23514 de Pulitzer Center on Crisis Reporting, https://www.telegraphindia.com/jharkhand/online-push-for-megalith-riches/cid/1312000 de The Telegraph, https://www.wionews.com/south-asia/why-indian-stone-henges-are-not-unesco-heritage-sites-21158 de WION, https://www.inextlive.com/jharkhand/ranchi/chokahatu-megalith-sight-in-ranchi-sonahaty-area-173408 de Inextlive, https://theheritagetrust.wordpress.com/2012/05/25/megaliths-of-india-part-iii-the-enormous-megalithic-site-of-chokahatu-the-land-of-mourning
Tillykke med fødselsdagen til Kristian Pedersen avec sa photo de Anundshög (le tumulus d'Anund), un tumulus mais aussi l'ensemble du site protohistorique associé, situé dans la commune de Västerås, dans le Västmanland en Suède. Le tumulus est le plus grand de Suède, mesurant entre 64 et 68 m de diamètre et plus de 9 m de haut. La couche à la base du tumulus est daté par carbone 14 à l'an 210 à 540, ce qui laisse supposer que le tumulus lui-même est daté d'entre la période des grandes migrations (https://fr.wikipedia.org/wiki/Invasions_barbares) et l'âge des Vikings (https://fr.wikipedia.org/wiki/Âge_des_Vikings). Le tumulus est constitué d'une base en argile sur laquelle les corps des défunts ont été brûlés, et le tout fut recouvert d'un cairn funéraire puis de terre. Le sommet aplati est du à un pillage du site en 1788. Il y a désormais des escaliers pour accéder au sommet. 
Autour du tumulus se trouve un grand nombre de vestiges protohistoriques : 11 tumulus, 10 groupes de pierres en cercle, 5 bateaux de pierre, 14 menhirs et une pierre runique. Les deux plus grands bateaux de pierre sont alignés, et mesurent respectivement 54 et 51 m de long. Ils ont été restaurées en 1932, les pierres ayant été renversées, probablement au début du Moyen Âge afin de détruire le site païen après la christianisation de la région. Plusieurs des pierres dressées sont alignées et marquent l'ancienne route Eriksgata que devait prendre le roi de Suède après son élection. Anundshög était en effet un thing (assemblée) important de la région. La pierre runique est plus récente, datant probablement du début du XIe siècle ; l'image au cœur de la pierre est unique et est interprétée comme un homme et une femme enlacés. Le texte en rune peut être traduit approximativement : « Folkvid a dressé toutes ces pierres en l'honneur de son fils Heden, le frère d'Anund. Vred a gravé les runes. ». Si le Anund de cette inscription est probablement celui qui a donné son nom au site, il est très peu probable qu'il soit la personne enterré dans le tumulus, qui est vraisemblablement plus ancien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anundsh%C3%B6g 
Voir aussi https://www.anundshog.se de Anundshög - Västerås Museer, https://www.thebloggingviking.com/anundshog, http://www.runesnruins.com/ruins/anundshog.htm et https://www.spottinghistory.com/view/1369/anundshog de SpottingHistory.com
Feliz cumpleaños a Lorena Incarbone de I.E.S. Nº1 Dra. Alicia M. de Justo et Museonautas :-) Un chullpa est une ancienne tour funéraire aymara construite à l'origine pour une personne noble ou une famille noble. Les Aymaras, peuple appelé également Qolla/Kolla, arrivent sur les pourtours du lac Titicaca (au croisement de la Bolivie, du Pérou, de l'Argentine et du Chili) deux siècles avant notre ère, où il concurrence alors les peuplades Uros qu'ils repoussent vers les rives moins fertiles du lac et les remplacent peu à peu dans la région. C'est en passant à un stade impérial (contrairement à ce qui est parfois dit, Tiwanaku, dont le déclin se situe vers l'an 700, est antérieur à la domination aymara) que la culture commence à se répandre dans la Cordillère des Andes : on la retrouve sur tout l'altiplano, sur la côte, depuis Arica, au Chili, jusqu'à Lima, au Pérou et au sud-est, jusqu'en Argentine. Atteignant son apogée vers l'an 900 de notre ère, la domination impériale aymara va décliner pour laisser place à plusieurs royaumes et chefferies de langue et culture aymara. Ce sont ces chefferies prospères mais rivales que rencontrent les Incas lors de leur expansion vers le sud : https://fr.wikipedia.org/wiki/Aymaras
Les Chullpas se trouvent de l'autre côté de l'Altiplano au Pérou et en Bolivie. Les plus hautes font environ 12 mètres de haut, et celles de Sillustani sont les plus célèbres. Des recherches récentes se sont concentrées sur le lien entre les chullpas et les chemins rituels gravés dans le paysage autour du Nevado Sajama, ainsi que sur les modèles possibles au sein des sites de chullpa.
Les cadavres dans chaque tombe étaient généralement placés dans une position fœtale avec certains de leurs biens, y compris des vêtements et du matériel commun. Dans presque tous les cas, la seule ouverture de la tombe fait face au soleil levant à l'est. La construction du chullpa variait selon le groupe ethnique : en général, ceux de l'Altiplano Nord sont circulaires et construits en pierre, tandis que ceux du Sud sont rectangulaires et construits en pisé. Certains sont sans fioriture, tandis que d'autres ont des sculptures complexes. À Sillustani, beaucoup de chullpas ont des lézards, qui étaient considérés comme un symbole de la vie car ils pouvaient régénérer leur queue, gravés dans la pierre. Il est possible que les Chullpas aient également été utilisés par les Incas après leur conquête des Aymaras. On soupçonne parfois que des constructions en pierre très similaires sur l'île de Pâques, appelées tupa, soient étroitement apparentées aux chullpas 😮
{Photo et infos de https://en.wikipedia.org/wiki/Chullpa}
Feliz cumpleaños a Alejandro A Mendoza, ex de la Reserva Patrimonial y Archivo del Museo de Antropología UNC, avec sa photo et ses infos intéressantes (y) Une équipe d'archéologues polonais, péruviens et colombiens a découvert 150 momies appartenant à une culture inconnue au Pérou. Les découvertes, datées du 4e au 7e siècle de notre ère, suggèrent que la région septentrionale du désert d'Atacama était habitée par une communauté agricole précédant d'au moins 500 ans la civilisation Tiwanaku.
L'équipe, dirigée par le professeur Jozef Szykulski de l'Uniwersytet Wrocławski, effectue des fouilles dans le delta de la rivière Tambo, dans la région nord du désert d'Atacama, depuis 2008. Les tombes ont été creusées directement dans le sable, beaucoup sans structure en pierre (mais ici si !). Certains corps étaient enveloppés dans des linceuls en coton, d'autres dans des nattes et d'autres encore dans des filets, ce qui suggère que la culture était peut-être aussi une communauté de pêcheurs.
Avec les corps, les archéologues ont trouvé de nombreux objets funéraires, notamment des arcs, des carquois munis de têtes de flèches en obsidienne et des masses avec des embouts en pierre ou en cuivre. « C'est très intéressant car les arcs sont une rareté au Pérou », a déclaré Szykulski au Bureau de presse polonais.
Il y avait également des outils de tissage richement décorés, des bijoux en tumbaga (un alliage d'or et de cuivre) et en cuivre, et de magnifiques poteries intactes. Dans certaines tombes, on trouve également des roseaux attachés aux oreilles des défunts, qui dépassent de la surface des tombes.
Dans une tombe, les archéologues ont trouvé un squelette de lama, ce qui indique que l'animal avait été amené dans la région bien plus tôt qu'on ne le pensait.
L'équipe a également découvert dans la région les tombes de la civilisation Tiwanaku, contenant des récipients en céramique, des outils et des armes datant du 7e au 10e siècle de notre ère.
L'un des corps présentait un crâne allongé - un effet produit par le fait de lier étroitement la tête avec une planche de bois pendant la croissance - et est un indicateur typique d'un individu de statut élitaire parmi les sépultures Tiwanaku.
La civilisation Tiwanaku a existé entre le 5e et le 10e siècle de notre ère., couvrant une grande partie de ce qui est aujourd'hui le Pérou et le Chili, mais on ne savait pas auparavant qu'elle avait atteint le delta du fleuve Tambo : https://digventures.com/2014/07/150-mummies-of-unknown-civilisation-discovered-in-peruvian-desert de DigVentures
Feliz cumpleaños a Nano Del Flo avec ses photos (https://www.facebook.com/nanoman39999/posts/pfbid02Hzj6N8bTV8BoMcKP3R6VBBfBD4ndX5z8zCiYqLPKQWbU3c5yRBD1nzB4gXBKfEDil), seulement pour ses amis :-o / :-( , du tertre funéraire Ueyama-kofun : la première impératrice du Japon, Suiko (https://www.persee.fr/doc/dhjap_0000-0000_1992_dic_18_1_943_t1_0154_0000_2 et https://histoireparlesfemmes.com/2018/02/08/suiko-premiere-imperatrice-du-japon de l'Histoire par les femmes) et son fils, le prince Takeda, qu’elle chérissait auraient été enterrés ici dans un premier temps. Il s’agit d’un tertre funéraire comportant deux chambres funéraires en pierre à entrées latérales dans lequel l’impératrice Suiko aurait été enterrée au côté de son fils le prince Takeda prématurément disparu, avant que leurs dépouilles ne soient déplacées au tombeau Shinaga no Yamada no misasagi à Taishi-chô (Osaka) : https://asuka-japan-heritage.jp/global/fr/suiko/detail/ueyamakofun_s.html de 日本国創成のとき ~飛鳥を翔(かけ)た女性たち~日本遺産「飛鳥」魅力発信事業推進協議会
700 AD, Japon. Période Kofun. 
Asuka-Fujiwara : sites archéologiques des anciennes capitales du Japon et biens associés est un ensemble de sites archéologiques situés à l'intérieur et autour des capitales de la fin du VIe siècle au début du VIIIe siècle d'Asuka et de Fujiwara-kyō, dans la préfecture de Nara, au Japon. En 2007, vingt-huit sites ont été soumis conjointement pour une future inscription sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO selon les critères ii, iii, iv, v et vi. Actuellement, la soumission figure sur la liste indicative.
Le tumulus d'Ueyama contient deux chambres horizontales en pierre situées côte à côte. On pense que c'est là que l'impératrice Suiko a été enterrée pour la première fois, aux côtés de son fils bien-aimé, le prince Takeda, décédé à un jeune âge. Leurs restes ont ensuite été déplacés vers le tumulus Shinagano Yamadano-misazaki dans la ville de Taishi, Minami-kawachi, dans la préfecture d'Osaka.
★ Salle de pierre : Salle de pierre de type trou horizontal à double manchon (13 m de longueur totale) 6,5 m de long, 3,1 m de large et 3,1 m de haut. 6,5 m de long, 1,9 m de large, 2,2 m de haut. Il possède un fossé de drainage en pierre sur le sol. 
★ Sarcophage : Il y a des projections de corde à 6 endroits dans le cercueil en forme de maison de style Tsukuki.
(Pierre rose d'Aso) ★ Artéfacts excavés : Non de l'intérieur du cercueil, (Or cuivre bronze balancement ferrures, selle, tricycle de cristal etc.) ★ Âge de construction : fin du 6ème siècle ★ Burder : Théorie du prince Takeda ●
 Date de construction : 7e siècle Première moitié. Enterrement : Empereur Suiko ★ Étude des fouilles : Le tumulus d'Ueyama a été localisé dans un projet de réajustement de terrain parce que le Conseil de l'éducation de la ville de Kashihara a fouillé à la fois les installations funéraires et les monticules en 2000 et 2001, 2009 En 1980, une étude de la colline a été réalisée en association avec la construction de parcs historiques. En 2012, le front du monticule a été sondé. ☆
Bon anniversaire à Coline Hilde avec sa photo de la tombe naviforme viking de ... ??? Qui qui sait qui c'est, quelque part en Scandinavie ? :-) N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y)
Feliz aniversário para RM Arqueologia de RM Arqueologia e Educação Patrimonial avec un bloc de granite et un grand dépôt céramique qui ont recouvert et bordé la fosse 1 : português in https://www.researchgate.net/publication/31515225_Paisagens_megaliticas_na_costa_norte_do_Amapa :-) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)
Au cours des fouilles, deux fosses funéraires ont été découvertes. La première, nommée par la suite « fosse 1 », a été trouvée à 20 cm sous la surface, à la limite nord de la fouille. Elle était associée à un grand dépôt de tessons et à un bloc granitique grossièrement circulaire. Bien que le bloc n’ait pas été exactement au-dessus de la fosse, nous l’avons tout de même interprété comme un couvercle, retiré par les occupants du site lors d’une nouvelle visite. 
Le bloc et les tessons été enlevés, une fosse circulaire taillée dans le niveau de la latérite et mesurant 160 cm de diamètre a été révélée. Une grande densité de tessons est encore apparue dans la continuité du dépôt autour du bloc de granite. La fosse est devenue encore plus évidente dans les niveaux inférieurs : elle est de forme circulaire et a été remplie de grands tessons et de récipients complets, écrasés les uns sur les autres, ce qui suggère qu’ils ont été déposés dans la fosse avec peu de soin. À 40 cm de profondeur, il a été possible de distinguer de petites concentrations d’ossements brûlés dans certains récipients, indiquant leur fonction funéraire. L’ensemble des récipients presque entiers a continué jusqu’à 60 cm sous la surface.
De 60 à 120 cm, la fosse était remplie de sédiment et de tessons de céramique. En dépit de la présence de quelques grands tessons, aucun autre récipient entier n’a pu être observé. En revanche, vers 130 cm de profondeur, des vases entiers ou presque, associés à de grandes quantités de charbon de bois, ont été à nouveau découverts. À 150 cm, une chambre latérale a été repérée, orientée vers le nord et l’est. Trois récipients entièrement peints en rouge y avaient été délicatement déposés. La différence claire dans l’arrangement de ces vases par rapport à ce qui avait été vu plus haut suggère qu’à ce niveau profond un rituel plus complexe qu’un simple remplissage de fosse a eu lieu. Très peu de matériel a été trouvé dans les niveaux du fond du puits (de 180 à 190 cm). À 190 cm, la couche latéritique originale dans laquelle la fosse a été creusée a été atteinte. Le fait que trois vases complets aient été soigneusement placés à 20 cm au-dessus de la base de la fosse paraît indiquer qu’ils n’ont pas été déposés juste après le creusement de celle-ci. L'hypothèse est qu’il y aurait eu une réutilisation du puits.
La seconde fosse funéraire a été trouvée dans la partie est de l’aire de fouille. Elle était localisée sous un large bloc de granite, mesurant 3,4 m par 2,6 m, disposé horizontalement. En fait, c’est le plus grand bloc du site. Le dépôt était ici complètement différent de celui observé aux alentours de la fosse 1 : au lieu de grandes quantités de tessons et de vases brisés, seuls quelques rares petits tessons étaient présents. Sous le couvercle, on a pu observer un arrangement grossièrement circulaire, constitué de petits blocs de granite. Ceux-ci étaient localisés exactement au sommet de l’ouverture de la fosse. Après avoir enlevé ces blocs atteignant jusqu’à 50 cm sous la surface, il a été possible de délimiter l’ouverture circulaire de la fosse. De 50 à 80 cm, onze vases entiers ont été découverts, soigneusement disposés dans la fosse. Aucune chambre latérale, en revanche, n’a été détectée. 
Il est évident que les fosses 1 et 2 sont bien différentes. Dans la 2, les récipients étaient tous soigneusement déposés, selon un arrangement complexe incluant treize vases (onze complets et deux brisés). Parmi ces derniers, deux au moins sont funéraires (les plus grands du sommet de la fosse) : l’un contenait des ossements brûlés et l’autre des os non brûlés. Au regard de ces données, il est clair que la fosse 2 n’a jamais été ré-ouverte par ses constructeurs ou leurs descendants. Bien que les deux aient eu une fonction funéraire, les activités pratiquées autour de l’une et de l’autre paraissent avoir été distinctes. Ce qui a été découvert dans la fosse 2 laisse penser qu’elle est le résultat d’un seul événement funéraire ; la fosse 1 en revanche semble avoir été ré-ouverte et réutilisée de manière fort différente. Les poteries n’y ont pas été délicatement déposées et les vases utilisés n’étaient pas entiers. À l’époque de la (ou des) réouverture(s) de la fosse 1, d’autres types d’activités ont dû être réalisés. Les distinctions observées laissent supposer par ailleurs une certaines variabilité des pratiques mortuaires. 
Sur l’aire fouillée, il a été possible de délimiter plusieurs concentrations de tessons de céramique, indices de dépôts à ces endroits. Certaines étaient très importantes, s’étalant sur plus de 2 m de largeur et 30 cm d’épaisseur. D’autres étaient très petites et restreintes. Les observations de terrain permettent d’affirmer que ces dépôts étaient constitués de nombreux tessons de céramiques diverses, et non de récipients entiers brisés. On pense que des contenants organiques auraient été remplis de tessons apportés d’ailleurs pour être déposés là, peut-être comme offrandes. Un autre type de trouvaille concerne des dépôts de vases entiers. Pendant la fouille, on a pu constater que certains récipients avaient été placés dans des petits puits très étroits creusés dans le niveau latéritique. Les parois de ces fosses avaient été tapissées de tessons avant qu’y soient déposés les vases. Aucune évidence macroscopique n’a été constatée sur ces vases ; ils paraissent avoir été une sorte d’offrande.
Sur l’ensemble de l’aire de fouille, nous avons localisé deux endroits où des vases avaient été brisés in situ. Dans les deux cas, ces céramiques étaient directement associées avec des pierres dressées. Dans l’un des deux, une grande concentration de tessons remplissait trois vases brisés juste à la base d’un monolithe. Les tessons en question étaient fortement érodés, ce qui contrastait avec ceux des alentours et suggérait une exposition prolongée à l’air libre ; on pense que les céramiques-contenants ont été déposées entières et se sont brisées avec le temps. Dans le second cas, les vases étaient placés au milieu d’une enceinte de pierres dressées. Mais, ici, les vases ont été cassés au moment de leur dépôt, ce qui représente probablement un rituel de « mise à mort » des céramiques. Dans les deux cas, le caractère votif semble clair.
Un des principaux problèmes posé par le site est celui du pourquoi de l’érection éventuelle des blocs en position verticale et/ou oblique. La fouille a montré un système très élaboré de mise en place de chaque monolithe. Un puits elliptique a d’abord été creusé dans le niveau latéritique, légèrement plus grand que le bloc. L’insertion du bloc dans le puits est toujours soigneuse ; les plus grands espaces entre les parois du puits et le bloc ne dépassent pas 15 cm de largeur. Dans ces espaces, de petits blocs de granite et de latérite, de véritables coins de calage ont été intégrés, et l’ajustement de l’orientation du bloc a alors été fait. Il faut remarquer que les coins sur les côtés inclinés sont parfaitement collés au monolithe, ne laissant aucun champ pour bouger. De l’autre côté, d’autres coins scellaient les espaces vides et du sédiment servait également à les compacter. Ces arrangements soigneux des bases des monolithes confirment l’importance de leur positionnement. 
Des observations concernant le principal ensemble mégalithique d’AP-CA-18 ont été faites lors des solstices d’hiver durant trois ans. D’autres observations ont également été réalisées à l’équinoxe et au solstice d’été, mais aucune corrélation avec les blocs n’a pu être observée alors. Les données recueillies suggèrent des interprétations possibles sur l’utilisation du site comme marqueur temporel ou observatoire astronomique. Deux corrélations au moins ont pu être supposées entre la disposition des pierres et le solstice de décembre. La position d’un bloc, légèrement incliné vers le sud, est telle que, durant l’après-midi du solstice (de 14h au crépuscule), les faces nord et sud du monolithe sont illuminées en même temps et ne montrent pas d’ombre. Les observations ont également permis une perception plus précise de l’inclinaison du bloc en relation (peut-être) avec la trajectoire du soleil. Cet alignement entre le soleil et le bloc paraît confirmer l’idée que les pierres étaient soigneusement dressées selon une observation astronomique et non de façon fortuite. Des observations empiriques effectuées permettent de penser qu’un autre bloc (avec un trou) pourrait avoir été disposé face au lever du soleil. Cependant, à l’aurore, un autre bloc situé à l’arrière de celui observé, bloquait la vue. Mais lorsque le soleil apparut enfin, il se situait juste à l’endroit où les plus hautes parties des deux blocs étaient alignées. 
Il est probable que des savoirs astronomiques existaient chez de nombreux groupes amérindiens. Les anciennes populations qui avaient ces connaissances auraient très bien pu avoir matérialisé ces savoirs à travers quelque chose de concret et durable. Ce constat ouvre de nouvelles perspectives pour l’étude de l’astronomie chez les anciennes populations locales, pour lesquelles le ciel servait, sans doute, non seulement comme un marqueur temporel, mais aussi comme un marqueur spatial (à titre comparatif, on peut s’appuyer sur les groupes palikur actuels qui vivent un peu plus au nord. Le paysage construit par les monolithes aurait ainsi une relation avec l’espace stellaire. 
Les fouilles ont démontré que le site mégalithique AP-CA-18, tel que l’on peut le voir aujourd’hui, est en fait un palimpseste de différents types de dépôts à l’intérieur d’un ensemble mégalithique : épisodes d’ouverture de fosses pour arranger et fixer les monolithes selon des inclinaisons et des alignements précis ; différentes sortes d’offrandes céramiques autour des blocs, rituellement tuées et dépôt de tessons à l’intérieur de récipients non conservés, placement de poteries entières à la base des blocs ; ouverture de puits étroits pour déposer des vases entiers ; creusement de fosses de différentes tailles pour des dépôts funéraires et fermeture avec un couvercle de pierre horizontal ; réouverture de certaines d’entre elles et déplacement du matériel contenu avec ajout de nouveau matériel : https://journals.openedition.org/jsa/10803
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Bon anniversaire à Akognon Dolo du Muséum national d'Histoire naturelle avec un mégalithe sculpté provenant du site de Tondidarou, exposé au Musée du quai Branly - Jacques Chirac (y) Tondidarou est situé dans le cercle de Niafunké, région de Tombouctou, à environ 150 km au sud-ouest de Tombouctou et à une quinzaine de km au nord-ouest de Niafunké, sur les bords du lac Takidji. La région de Tondidarou abrite un site mégalithique. Ce site comprend trois groupes de mégalithes phalliformes. La plupart des pierres sont couchées sur le sol, certaines sont gravées. Le site est daté d'entre 670 et 790 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tondidarou
Voyez aussi https://www.etudesheraultaises.fr/wp-content/uploads/ael-art-1998-22-03-megalithes-graves-tondidarou-mali.pdf
Bon anniversaire à Michel Boubis avec sa photo d'un tiki d'un marae de Tahiti Tourisme (qui a peut-être des infos pour nous ?! :-) ) (y) Un marae (en maori de Nouvelle-Zélande, des îles Cook et en tahitien), malaʻe (en tongien), malae (en samoan et en hawaïen), est un lieu sacré qui servait aux activités sociales, religieuses et politiques dans les cultures polynésiennes précédant la colonisation. Voir https://www.facebook.com/FanPageIMMW2019/photos/pb.100072679320717.-2207520000./326682064953936/?type=3
Dans toutes les langues polynésiennes, le mot désigne également un espace nu et dégagé. Dans son acception sociale, il désigne spécifiquement un espace dégagé consacré aux réunions, à l'intronisation des chefs, aux repas cérémoniels, aux rituels religieux, etc. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marae
вітаю з днем ​​народження Alex Nikosh mais comme y a rien de mégalithique à l'Ouest de l'Ukraine, voilà des balbals, dont j'ai un inventaire envoyable sur demande (illustration de droite) :-) On appelle balbal, orthographié aussi bal-bal, une pierre tombale d'Asie centrale et de Mongolie érigée en mémoire de membres importants de la communauté. Le terme de Balbal vient du mot turc "baba" signifiant "ancêtre". La plupart des stèles représentent un homme au visage stylisé (yeux et sourcils prononcés, nez et moustache..) avec dans la main droite un glaive (homme de guerre ou de pouvoir, devant être armé dans l'eau delà pour se défendre) et dans la main gauche un bol ( pour s'assurer que le défunt ne souffrira pas de la faim dans son voyage céleste, ou encore selon une autre hypothèse ,coupe contenant un breuvage sacré que le défunt offrira a Tengri, dieu du ciel, une fois arrivé dans l'eau delà...On connaît le rituel des mongols Gengiskhanides qui jetaient vers le ciel le reste de leur breuvage (le plus souvent du koumiss ou le lait de jument fermenté) pour honorer le dieu Tengri.
La plupart de ces stèles datent de l'époque turque du VI au IXème siècle. Les familles pensaient que l'esprit du défunt continuait à vivre dans le balbal pendant la première année (on gardait la pierre dans la yourte) avant qu'elle ne soit déposée sur la tombe (contenant la dépouille ou les cendres du mort). Les balbals doivent être orienté vers l'est selon les croyances chamanique ( renaissance et jour nouveau rythmé par le lever du soleil).
Ces stèles anthropomorphes sont très semblables à celles érigées antérieurement pendant plusieurs millénaires dans les steppes d'Asie centrale par différents peuples indo-européens, jusqu'à l'époque des Scythes, avant qu'ils ne soient remplacés par des peuples turcs et mongols plus tardifs qui ont partiellement repris cette tradition : https://fr.wikipedia.org/wiki/Balbal
Les statues en pierre d'ancêtres sont un trait caractéristique de la culture des Polovets. Les statues étaient en grès gris, leur hauteur atteignait 4 mètres. Les sculptures étaient également appelées stèles de Kurgan ou stèles de Polovets. Les Polovets (cumans) sont un peuple turc nomade qui avait son propre état Desht-i Qipchaq (Cumania) (un autre nom est la steppe des Polovets). Il était situé entre le Danube et l'Irtych. Dans la culture des Polovets, les statues symbolisaient les ancêtres - elles étaient placées sur les parties les plus élevées de la steppe, les bassins versants, ainsi que sur les tumulus. Pour les personnages, des sanctuaires carrés ou rectangulaires ont été spécialement construits. Ils étaient clôturés avec des pierres et leur taille dépendait du nombre d'ancêtres qui y étaient vénérés. Les statues étaient placées au centre du temple, le visage devait regarder vers l'Est. Le plus souvent, une ou plusieurs statues étaient placées dans le sanctuaire, moins souvent - 12-15. Dans de tels endroits, le culte funéraire des ancêtres était pratiqué, ce qui n'était pas directement associé aux enterrements. Au fil du temps, ce rite s'est transformé en culte des chefs-patrons de la horde. Selon les canons, l'ancêtre était représenté en position debout ou assise. Dans les mains de la statue, il y avait toujours des bols pour sacrifier ou "traiter". Les visages masculins se distinguaient par des moustaches et des barbes. Les figures féminines étaient dodues et arrondies, généralement avec de petites lèvres lâches. On leur a présenté les seins nus pour mettre l'accent sur le but principal de cet organe : nourrir les enfants. Les statues féminines étaient appelées « stèles » - le mot vient du turc « balbal », qui signifie « ancêtre », « grand-père-père ». Ils symbolisaient l'invincibilité et l'immortalité des guerriers. Les mécènes sous la forme d'une femme donnaient de la force, nourrissaient et protégeaient les nomades. Pour cela, ils leur ont apporté des sacrifices - au pied des statues, les chercheurs ont trouvé des os de béliers. Le 12ème siècle est l'âge d'or de la sculpture de Polovets. À cette époque, des milliers de statues étaient fabriquées dans les ateliers Polovets. En raison du grand nombre de commandes, de la croissance de la production, le nombre de tailleurs de pierre et de sculpteurs dans l'État a augmenté. Étant donné que les statues ont survécu jusqu'à ce jour, les chercheurs ont décrit avec précision les costumes, les bijoux, les armes, le matériel et même la vie spirituelle des Polovets : https://ar.culture.ru/en/subject/statuya-poloveckaya
Le nom officiel du parc est Parc-musée des statues d'anthropomorphes et des statues de pierre de Polovets, sur le territoire de ЛНУ імені Тараса Шевченка. La collection se compose des statues anthropomorphiques de la culture des catacombes du -XXV/-XX siècle et les monuments de l'art sacré des Polovets du XI-ХІІІ siècle. « Nous y passions assez souvent du temps avec les membres du STAN, écoutions de la poésie, buvions quelque chose », se souvient l'artiste Anastasiya Medyanyk. «L'histoire de ce parc est assez triste. Ces monuments ont dû rester sur les collines de la steppe, sur des tumulus […] Malheureusement, dans les années 70 du XXe siècle, l'administration de l'université a décidé de déplacer les statues ici. Compte tenu du fait que ces statues sont des constructions funéraires, il n'est pas bon que toutes ces idoles de pierre soient rassemblées près de l'université […] Mieux vaut que ces statues restent dans les steppes», - raconte l'archéologue et militant civique Oleksiy Brytiuk dans une vidéo pour le projet « Ukraine Speaking » : https://www.artluhansk.com/en/polovets-stone-statues-park de Luhansk's Аrt & Facts
Feliz cumpleaños a Darío Oscar García Pérez avec sa photo d'un panneau de la CONAF montrant le Hoa Hakananai'a (l'« ami dérobé » en rapanui, maori de l'île de Pâques), un moaï (statue de l'île de Pâques) de 2,42 mètres de hauteur, conservé au British Museum de Londres. C'est un moaï particulier : son dos est sculpté de pétroglyphes représentant le Tangata manu (« homme-oiseau »), et surtout, alors que le culte des ancêtres avait cessé et qu'un tapu avait été jeté sur les plateformes cérémonielles (ahus) et les autres moaïs, celui-ci était encore vénéré au XIXe siècle au lieu de cérémonie d'Orongo, près du volcan Rano Kau, sur la côte sud de Rapa Nui ! Peut-être a-t-il fait pour cette raison et sur la suggestion du missionnaire catholique Eugène Eyraud partie des quatre moaïs emmenés hors de l'île de Pâques :-( .
Hoa Hakananai'a fut enlevé le 7 novembre 1868 par l'équipage britannique du navire HMS Topaze et amené à Portsmouth le 25 août 1869. Les habitants de l'île de Pâques, considérant que la statue leur a été volée, demandent sa restitution. Après la restitution du moaï Tau qui avait été emporté en 1870 pour être exposé au Museo Nacional de Historia Natural de Chile de Santiago et accordé par l'état chilien en février 2022, les habitants de l'Île de Pâques (Rapa nui) ont de nouveau réclamé au British Museum de Londres la restitution de ce moaï, leurs demandes précédentes étant restées sans succès. En 2018, le ministre chilien du Patrimoine national, Felipe Ward, accompagnée par une délégation de Rapa Nui avait déjà rencontré des responsables du musée londonien. À l'occasion de ce déplacement en Angleterre, la gouverneure provinciale de l'île de Pâques, Tarita Alarcón Rapu avait déclaré à la presse : « Je pense que mes enfants et leurs enfants méritent d'avoir la chance de le ressentir, de le voir [...] Nous sommes venus jusqu'ici mais nous ne sommes qu'un corps. Vous les Anglais, vous avez notre âme ».
Cette statue se présente sous la forme d'un monolithe sculpté d'une hauteur de 2,42 mètres et d'un poids estimé à 4 tonnes. Sur la partie arrière (dos de la statue), des inscriptions gravées décrivent le culte de l'homme-oiseau et d'autres aspects rituels liés aux passé et aux pratiques religieuses des habitants de l'Île. La façade est assez commune et évoque les autres œuvres statuaires locales mais son dos présente des particularités originale. Celui-ci est rainuré et grêlé de multiples représentations d'hommes-oiseaux correspondant à la période où les autochtones avaient abandonné le culte des statues pour se tourner vers le culte de l'homme-oiseau. la scène du dos représente un poussin mâle quittant le nid et observé par ses parents mi-oiseaux, mi-humains. Un des personnages est représenté par la femelle Komari sur l'oreille droite de la statue, tandis que l'autre situé sur la gauche est représenté par une pagaie, un symbole de l'autorité masculine. Selon le chercheur Mike Pitts, la statue devait, à l'origine reposer sans un trou creusé dans la roche afin de la faire tenir debout, ce qui expliquerai sa position légèrement incliné sur la gauche sur son site d'exposition au British Museum : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hoa_Hakananai%27a
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Suhas Varale avec sa photo d'une stèle très menhiresque dans la forme :-o Where and when/which culture is it come from please ? :-)
Buon compleanno a Daniele Petrella de l'International Research Institute for Archaeology and Ethnology (Italiano) avec sa photo d'une Stèle à épée de Tiya dans le Soddo, site classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO / Unesco en français <3
Sur quelque 160 sites archéologiques découverts jusqu'à présent dans la région du Soddo, au sud d'Addis-Abeba, celui de Tiya est l'un des plus importants et le plus méridional de ce type. Les stèles présentant une figuration sculptée faite d'épées et de symboles demeurés énigmatiques témoignent d'une culture proto-historique d'Éthiopie, le site ayant été occupé depuis fort longtemps car il correspond à une zone de plateau constituant un lieu de passage obligatoire entre les rivières encaissées Aleltu et Dedeba : https://whc.unesco.org/fr/list/12
Le site archéologique de Tiya est un site mégalithique constitué d'un groupe de 46 stèles et de tombes associées, situé près de la ville de Tiya, dans la région des nations, nationalités et peuples du Sud, en Éthiopie. Il est daté du XIIe ou du XIIIe siècle. 
Le site comporte 46 stèles dont 38 avec un décor sculpté. Les stèles sont réparties en trois groupes distincts. Le premier groupe comprend une quarantaine de stèles formant un alignement sur près de 50 m de longueur selon un axe sud-est / nord-ouest. La plupart des stèles ont leur face décorée orientée vers l'est. Le second groupe est situé à environ 25 m au nord-est du premier groupe. Il comprend quatre stèles dont la plus la haute de tout le site (5 m de hauteur) ornée de 19 épées réparties sur deux registres superposés. La partie sommitale de cette stèle est manquante ; elle a été déplacée et dressée dans le parc de l'Institut des Études Éthiopiennes, à Addis-Abeba. Le troisième groupe est situé à environ 25 m à l'ouest du premier groupe. Il comprend quatre stèles, dont la plus grande mesure 2,80 m de hauteur. 
Les stèles sont constituées de dalles en pierre régularisées avec des outils métalliques du type herminette. Elles comportent à la base une à trois perforations d'environ 15 cm de diamètre qui sont enterrées sous le niveau du sol lorsque la dalle est redressée. Les stèles comportent un décor sculpté en relief, sur une seule face, sur un à deux niveaux. Au niveau inférieur, figure un décor dit de la « triade symbolique » comprenant un signe non identifié de type ramifié, lui-même surmonté d'un motif en « X » ou en « W » renversé, parfois double, et de deux cercles. Le niveau supérieur, quand il existe, est celui où sont représentées des épées, disposées pointe vers le haut s'il s'agit d'un unique exemplaire, ou tête-bêche s'il existe plusieurs rangées d'épées. Selon Roger Joussaume, les perforations situées à la base des stèles pourraient correspondre à la symbolisation du point de passage entre le monde des morts et celui des vivants. Le symbole ramifié est commun à toutes les stèles de la région. Il rappelle les motifs de scarifications pratiquées au-dessus du nombril par les Dinka. Le motif en « X » ou en « W » demeure énigmatique. Certaines stèles comportent des restes de peinture. 
Chaque stèle est disposée près d'une sépulture, aménagée du côté de sa face non décorée. Les tombes sont constituées de fosses circulaires creusées dans le sol, parfois sur plus de 2 m de profondeur, elles comportent éventuellement un coffrage en bois et sont recouvertes d'une dalle de pierre ou de branchages. En surface, les tombes sont délimitées par des dalles dressées sur chant formant un espace polygonal, dont l'un des côtés peut comporter une dalle décorée. A partir d'une première tombe, l'accrétion de nouvelles tombes peut conduire à former un ensemble alvéolaire. Les tombes sont individuelles ou collectives (jusqu'à trois inhumations distinctes), les différentes dépouilles étant superposées avec éventuellement une séparation constituée par un plancher. 
Les 45 tombes fouillées correspondent à l'inhumation de 54 individus, dont sept tombes doubles et une triple. Les squelettes ont été découverts en très mauvais état. Dans les tombes doubles où le sexe des défunts a pu être établi, il y avait une homme et une femme. La tombe triple renfermait les dépouilles d'un homme et d'une femme d'une trentaine d'années et celle d'un adolescent de 12 à 15 ans. D'une manière générale, aucun squelette d'enfant n'a été trouvé. La plupart des défunts étaient âgés de 20 à 30 ans et mesuraient en moyenne 1,70 m pour les hommes et 1,62 m pour les femmes. 
Le mobilier funéraire associé aux défunts comprend quelques éléments de parure (perles en verre multicolores, bracelet et épingle à cheveux en fer). Les nombreux tessons de poterie et éclats d'obsidienne trouvés l'ont été au-dessus des tombes et doivent correspondre à des offrandes. Une fosse, mesurant 5,80 m de long sur 4,20 m de large et 1,10 m de profondeur, a été découverte à l'extrémité nord du premier groupe de stèles. Elle renfermait au centre un ensemble de blocs de pierre mélangés avec de nombreux tessons de poterie, des ossements d'animaux (bovins principalement), quelques perles en verre multicolores, des éclats d'obsidienne parfois retouchés en grattoir et une tige en fer. Les tessons de poterie, du même type que ceux trouvés sur les tombes, correspondent à une céramique noire, bien lissée, avec un décor varié (cannelures, petits boutons, divers estampages, cordons, frises géométriques à traits incisés). Cette fosse pourrait correspondre à un site d'habitat contemporain du cimetière : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tiya_(site_arch%C3%A9ologique)
Les stèles à épées sont faites d’une dalle de ryolite allongée peu épaisse, aplanie sur chaque face à l’herminette métallique. La plus haute, à Tiya, mesure 5 m de longueur. À Tiya, les stèles aux épées sont dressées en bordure d’une surface polygonale limitée par des pierres sur chant qui marquent l’emplacement de la tombe en puits au fond duquel se trouve le squelette replié en position fléchie sur le côté. Aucun objet ne l’accompagne dans la tombe.
*** Les stèles à orant sont constituées de dalles de pierre supportant un personnage aux bras dressés, à tête cloisonnée et seins pendants. 
*** Les stèles à bandeau peuvent être morphologiquement très proches des précédentes et souvent confondues. Cependant, l’arceau qui part d’une épaule pour rejoindre l’autre est à courbure unique et porte une incision en son milieu qui le partage en deux parties. Il n’y a pas de mains. 
Toutes les stèles à orant associé à des épées portent le signe ramifié et seraient donc masculines, alors que toutes les stèles à orant simple et celles à bandeau, présentant des seins tombants, seraient des stèles féminines.
*** Les pierres hémisphériques et pierres coniques sont dites stèles tambours. La partie pointue ou hémisphérique était fichée dans le sol, alors que la surface plane ou légèrement bombée était tournée vers le ciel. Ces pierres hémisphériques marquent généralement l’emplacement d’un tumulus qu’elles entourent en partie. Il arrive que des pierres coniques portent le signe ramifié. 
*** Les stèles historiées sont de larges dalles plates à bords parallèles. Ces stèles anthropomorphes, parmi les plus belles stèles du mégalithisme éthiopien, possèdent des épaules pointues et une tête dégagée. Généralement, la face antérieure, sur laquelle apparaissent les bras, les seins et les pieds, est couverte de dessins (arcs, lances, flacons, chevaux montés, personnages aux bras levés…) alors qu’une draperie géométrique se développe à l’arrière associée à un épais bourrelet qui évoque un carquois.
Ces stèles, peu nombreuses sur l’ensemble du territoire, devaient probablement marquer la tombe d’un personnage important. 
*** Les stèles à « collier » sont des stèles anthropomorphes qui présentent une sorte de grand peigne sur la poitrine, d’où des courroies de suspension, passant sur les épaules, retiendraient ce qui pourrait être une épée accrochée dans le dos du personnage. Sur la face antérieure se distinguent aussi deux disques à l’emplacement des seins, qu’accompagnent parfois un W versé et un signe ramifié, placé bas sur la stèle : https://books.openedition.org/irdeditions/1784
Lire aussi https://www.persee.fr/doc/ethio_0066-2127_1985_num_13_1_921 et https://www.persee.fr/doc/ethio_0066-2127_2000_num_16_1_958
Voir les restitutions de Tiya (groupe A) dans https://sketchfab.com/3d-models/tiya-a-ethiopia-a63e1616496746b39fb1dced40623597 et Tiya (groupe B) dans https://sketchfab.com/3d-models/tiya-b-ethiopia-fc02471a16104062b5488aaaaacff0e5 de Antoine Laurent
Bon anniversaire à Marc Tanzi avec sa photo très … de stèles phalliques de … :-o ??? Qui qui sait qui c'est et d'où c'est :-) ?? Ça sent l'Arménie ou le Caucase non ? 🤔
Buon compleanno a Massimo D'Alessandro de l'ASSO - Archeologia Subacquea Speleologia Organizzazione avec sa photo des tikis de … ??? Who/where is it please ? :-) On dirait bien le Tiki représentant le chef Taka'i'i, sur le site archéologique du Mea'e Te I'Ipona, près du village de Puama'u, ile de Hiva Oa, îles Marquises : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tiki
Grattis på födelsedagen Patrik Gustafsson Gillbrand de Sörmlands Arkeologi AB avec sa photo d'une stèle runique de … ??? Do you have more infos please (also its epoch/culture ?) because I don't see it in the bible of The Megalithic Portal by searching with « Blacksta » or « Södermanland » :-o
Alles Gute zum Geburtstag Mikael Ansger d'ABC News avec sa photo de la Skardesten / Pierre runique de Skarthi Stone / Hedeby 3 ou DR 3, qui a été trouvée en 1857 dans le Danevirke (système de fortification danois situé dans le Schleswig-Holstein-Urlaub, cette importante ligne défensive d'une trentaine de kilomètres de long, construite pendant l'âge des Vikings danois, barre la péninsule du Jutland à sa base : https://fr.wikipedia.org/wiki/Danevirke) et a été élevée vers 982. Cette pierre runique de granit est actuellement exposée au Wikinger Museum Haithabu. On pense que l'inscription du roi Sveinn fait référence à Sweyn Forkbeard (vieux norrois Sveinn Tjúguskegg) et "l'ouest" à une campagne en Angleterre. Le roi a commandé la pierre en l'honneur de Skarði, qui avait le titre heimþega ou heimþegi (signifiant « récepteur de maison », c'est-à-dire celui à qui un autre donne une maison). Au total, six pierres runiques au Danemark font référence à une personne portant ce titre, les autres étant DR 1, DR 154, DR 155, DR 296 et DR 297. L'utilisation du terme dans les inscriptions suggère une forte similitude entre heimþegar et le vieux terme norrois húskarl (littéralement, "homme de maison"), ou housecarl. Comme les housecarls, les heimþegar sont au service d'un roi ou d'un seigneur, dont ils reçoivent des cadeaux (ici, des maisons) pour leur service. Certains, comme Johannes Brøndsted, ont interprété heimþegi comme n'étant rien de plus qu'une variante danoise locale de húskarl. 
Traduction en français : « Le roi Sveinn a placé la pierre à la mémoire de Skarði, son serviteur, qui a voyagé vers l'ouest, mais qui a ensuite est mort à Hedeby » : https://en.wikipedia.org/wiki/Hedeby_stones
Des fouilles archéologiques à Busdorf, dans le Kreis Schleswig-Flensburg, ont montré une habitation au Néolithique et à l'âge du bronze. On a trouvé aussi les restes d'un Hedeby et la pierre de Skarthi, une pierre runique datant du XIe siècle. Entre le IXe et le XIe siècle, la colonie d'Haddeby est l'un des plus importants centres économiques, politiques et sociales en Scandinavie. Après la destruction de la colonie en 1066, les habitants fondent Schleswig. Il reste une grande partie de l'enceinte du Danevirke. La pierre de Skarthi, découverte en 1857, fait référence au roi Sven à la Barbe fourchue et aux Jomsvikings. Skarthi est un combattant à la bataille du détroit de Hjörung. Il pourrait avoir sauvé son roi prisonnier et été libéré en même temps que lui après la grâce de Håkon Sigurdsson : https://fr.wikipedia.org/wiki/Busdorf#Histoire 
Voir aussi https://graenseforeningen.dk/om-graenselandet/leksikon/skardestenen de Grænseforeningen - for en åben danskhed, https://www.busdorf.de/verzeichnis/visitenkarte.php?mandat=139590 et http://www.suehnekreuz.de/holstein/busdorf.htm
Bon anniversaire à Leonor Hammer avec ses photos de San Agustin (désolé en accès restreint) : https://www.facebook.com/leonor.hammer.5/posts/pfbid02Lb8aYzdDYpMocTwDV4iWHbNuTWftRJDf6djrjeFGN2rYRfRzfZs8ds9n58ohZ1jal (y) :-) <3
N'hésitez pas à Partager vos photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Colombia.travel : https://colombia.travel/en/search?keys=agustin 
Le parc archéologique de San Agustín (en VIDEO dans https://www.youtube.com/watch?v=4Fp-Avhsvzw&list=PLMT5eegD7CvFlUiHHj6lNw5hGEq4DGcfb&index=45 de Faut Pas Rêver) est un ensemble de monuments religieux et de sculptures mégalithiques au cœur des Andes, à San Agustín dans le département de Huila en Colombie. 300 sculptures monumentales stylisées parsèment ce parc, témoignant de l’art d’une civilisation, la culture San Agustín, qui atteignit son apogée durant les huit premiers siècles de notre ère. Le parc est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1995 et constitue la plus grande nécropole au monde en termes de surface : https://whc.unesco.org/fr/list/744
La première description de ce site archéologique a été faite par le frère capucin Juan de Santa Gertrudis dans son ouvrage en quatre volumes Maravillas de la naturaleza (Merveilles de la nature)1, après qu'il a visité la région en 1756.
L'étude scientifique des vestiges débuta en 1914 avec le professeur allemand Konrad Theodor Preuss. D'autres missions suivirent avec José Pérez de Barradas et Gregorio Hernández de Alba (1936-1937), Luis Duque Gómez (1943, 1944, 1960) ou encore Gerardo Reichel-Dolmatoff (1966).
Les études archéologiques les plus récentes les datent de la période située entre le Ier et le Ve siècle, et donc bien avant la conquête espagnole. L'origine des sculpteurs demeure mystérieuse car la plus grande partie du site n'a toujours pas été fouillée et aucune trace d'écriture n'a été trouvée à ce jour. Ces statues représentent en majorité des personnages sexués, on trouve aussi des représentations d'animaux, et des formes abstraites. Les statues ont des hauteurs différentes, la plus grande faisant 7 m de haut, située à 4 km du parc, dans un site appelé Alto de los Ídolos. Elles ont été sculptées dans le tuf et l’andésite volcanique. On suppose qu'elles avaient une fonction funéraire et votive.
Le parc s'étend sur 35 km, et est divisé en trois parties (mesitas), plus trois sites complémentaires et un jardin de statues. Deux autres sites sont à l'extérieur du parc, Alto de los Ídolos et Alto de las Piedras. L'entrée principale se fait via un pont-portique en bambou qui enjambe un torrent. Le visiteur débouche face à une falaise dans laquelle est sculpté un mélange de tête humaine, de serpents et de lézards, appelé Fuente de Lavapatas, surplombant trois piscines creusées dans le sol, étagées et remplies par l'eau de la source et on suppose qu'elles servaient à des bains rituels.
Certaines statues retrouvées dans les champs environnants par des paysans ont été regroupées sur diverses esplanades à l'intérieur du parc pour des raisons de conservation et de sécurité. 35 statues servirent à aménager le Bosque de la Estatuas grâce au concours de Reichel-Dolmatoff, qui a de son côté inventorié plus de 500 statues : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_arch%C3%A9ologique_de_San_Agust%C3%ADn 
Voir aussi https://www.maisonsduvoyage.com/amerique/colombie/san-agustin de Les Maisons du Voyage, https://magelia-colombie.fr/san-agustin-en-colombie-site-archeologique de Magelia Colombie, https://www.voyage-colombie.com/blog/terrain/san-augustin de Terra Group - Voyages sur mesure, https://monvoyageencolombie.com/visiter-parc-acheologiques-san-agustin de Mon Voyage en Colombie, https://faimdevoyages.com/nos-voyages/amerique-du-sud/colombie/san-agustin-archeologie-statues de Faim de Voyages, https://inspiracolombia-travel.com/san-agustin de Inspira Colombia
Feliz cumpleaños a José Miguel Noguera Celdrán de l'Universidad de Murcia et de la Cultura de Murcia, ex de l'Università degli Studi di Urbino Carlo Bo, avec une de ses photos de l'exposition « Gladiateurs. Héros du Colisée et Le Guerrier Atlantique » au MARQ. Museo Arqueológico de Alicante (https://www.facebook.com/josemiguel.nogueraceldran/posts/pfbid0rnkrJgqRpMvBWHNDJH2reY82Qom4B4BYoqsB4muYmMqQuJxTufDaWqm2toP6J6Zwl) (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Le Guerreiro do castro de Lesenho, statue de granit pesant 700 kilos, pièce la plus emblématique de la culture galicienne de l'âge du fer, est considérée comme l'une des œuvres de référence du Museu Nacional de Arqueologia de Portugal. Avec sa position hiératique, le guerrier tient le caetra, un petit bouclier circulaire caractéristique du peuple gaulois qui deviendra le premier symbole reconnaissable de ce peuple, atteignant le cœur de l'Empire romain après la conquête du territoire gaulois. La valeur archéologique de cette pièce, datée du premier siècle bien que d'origine pré-romaine, réside également dans son lien esthétique et fonctionnel avec la tradition sculpturale de l'âge du fer d'Europe centrale. Un autre aspect remarquable de la statue est qu'elle conserve le dessin de ses vêtements gravés dans la pierre : https://www.facebook.com/watch/?v=2501396426622187 de Cidade da Cultura de Galicia (y)
Le castro d'Outeiro Lesenho (Município de Boticas, : Turismo do Porto e Norte de Portugal, http://www.portoenorte.pt/pt/o-que-fazer/guerreiro-calaico-castro-do-outeiro-do-lesenho) est le seul établissement fortifié de l'âge du fer au nord-ouest de la péninsule où sont apparues quatre statues de guerriers galiciens en Terra Callaeci. Des doutes subsistent quant à leur provenance, car elles n'ont pas été trouvées dans un contexte archéologique et aussi parce que leur découverte s'est produite à des époques différentes. Voyez une approche biographique et une revue historiographique de ces statues, cherchant à clarifier certains des doutes existants, comme la confusion entre les guerriers de Lesenho et celui de São Paio de Meixedo (Câmara Municipal de Viana do Castelo, nord du Portugal), avec quelques considérations sur les contextes d'utilisation et de réutilisation de ce type de statuaire anthropomorphe dans les oppida du Nord-Ouest ibérique : https://nailos.org/index.php/nailos/article/view/9/9 de João Fonte de Instituto de Ciencias del Patrimonio - Incipit, CSIC et Archaeology, University of Exeter pour Nailos
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Gratulerer med dagen til Sigmund Oehrl de l'Arkeologisk museum de Universitetet i Stavanger (which lost its fb page https://www.facebook.com/pages/Arkeologisk-museum-UiS/288922110140 but not its link in https://www.uis.no/nb/arkeologisk-museum :-o ) avec sa photo de … ??? What is it ?, from where ??, which culture/epoch please ??? :-)
Tillykke med fødselsdagen Kristoffer Buck Pedersen du Museum Sydøstdanmark - Museum Southeast Denmark avec sa photo des pierres de Jelling, deux pierres runiques situées à Jelling, au Danemark. Elles se composent de la petite pierre de Jelling et de la grosse pierre de Jelling. Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)
La petite et la grosse pierre de Jelling furent érigées au Xe siècle, respectivement par le roi Gorm l'Ancien et Harald à la dent bleue, son fils qui a donné son nom au Bluetooth :-o. Servant principalement à honorer les défunts, des pierres runiques furent érigées partout sur le territoire scandinave. La petite pierre de Jelling honore Thyra du Danemark, la femme du roi Gorm, alors que la grosse pierre, érigée beaucoup plus tard, souligne la vie des parents d’Harald à la dent bleue, sa conquête du Danemark et de la Norvège, ainsi que la conversion des Danois au christianisme. Ces monuments à caractère commémoratif se placent dans une période de changements sociaux et culturels, avec l’arrivée de la foi chrétienne et la conversion à cette nouvelle religion. 
Les pierres de Jelling sont des sources importantes dans l’étude de la Scandinavie médiévale, par leur style artistique, l’écriture utilisée, leur contenu, le contexte dans lesquels elles furent érigées, ainsi que leurs commanditaires respectifs : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierres_de_Jelling
تولدت مبارک بهm
Mansour Amini avec ses photos du Parque arqueológico de San Agustín, Colombia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_arch%C3%A9ologique_de_San_Agust%C3%ADn) : https://www.facebook.com/mansour.amini.54/posts/pfbid02bSN56B2L2iKa2hmQtGFA6jnAtL5w9Qtk5vyxxtxsMvbze3M9Fw81JvHyXsufDae7l (y) :-) <3 Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Re Tillykke med fødselsdagen til Jeppe Boel Jepsen du Museum Nordsjælland avec sa photo et son commentaire, Destination Bornholm : « Avant la construction du DanFeriecenteret, il y avait ici un hôtel balnéaire, construit en 1887. Et avant cela, l'endroit était le lieu d'exécution des condamnés à mort du tribunal de Hammershus (https://fr.wikipedia.org/wiki/Hammershus), dans la Bornholms Regionskommune. Oui, nous vivons sur les jambes des damnés ! » :-o . Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association (y)
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