Big & Old StoneS

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11. Entre l'an 1 000 et aujourd'hui : des Amérindiens au subcontemporain africain/indonésien/polynésien

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መልካም ልደት ለ Fkereselase Sifir du World Monuments Fund :-) Le documentaire « Ethiopia, le mystère des mégalithes », co-produit avec ARTE, Gédéon Programmes et CNRS Images, montre une équipe de scientifiques dirigée par Roger Joussaume, spécialiste français du mégalithisme, menant une importante campagne de fouilles sur les nombreux sites archéologiques de la région. Ils tentent de dater et de comprendre cet exceptionnel patrimoine, abandonné en l’état par une civilisation encore méconnue : cf. https://www.gedeonmediagroup.com/production/ethiopie-le-mystere-des-megalithes (y)
Plusieurs membres de Méganéo. Mégalithes et sociétés néolithiques ont participé à la mission archéologique Abbaya : http://meganeo.fr/mission-abbaya-ethiopie. Dirigée par Vincent Ard et Anne-Lise Goujon, elle portait sur le mégalithisme de la zone Gedeo en Ethiopia Land of Origins. Parmi les nombreuses découvertes, on retiendra la fouille d’un site funéraire exceptionnel à Soditi, non loin du fameux site à stèles phalliques de Chelba Tutiti. D'ici là, Antoine Laurent vous montre ses restitutions 3D via http://www.meganeo.fr/meganeo-dans-le-mystere-des-megalithes-bientot-sur-arte 
Plus d'infos dans https://fr.wikipedia.org/wiki/Soddo_(st%C3%A8le_%C3%A9thiopienne), https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/02/09/ethiopie-le-mystere-des-megalithes-l-enigme-des-steles-phalliques_5421512_3246.html de Le Monde, et surtout dans « Des pierres phalloïdes par milliers en Éthiopie méridionale » sur https://journals.openedition.org/aaa/1795 et IN ENGLISH dans https://cfee.hypotheses.org/2654 du CFEE - Centre français des études éthiopiennes
Happy birthday to Michael Brian Schiffer from The University of Arizona :-) Pour ceux qui rêvent de dormir encore "un peu", pensez à elle/lui ;-) Photo d'une ciste issue de « Cumberland Stone-Box Burials of Middle Tennessee Vacation » (Tennessee's South Cumberland) par John T. Dowd (p 65 de Tennessee Archaeology Magazine V3 Fall 2008 N2) (y) Voyez aussi https://oldtownfranklin.com/explore/landmarks/mississippian-temple-mounds/stone-box-graves de Old Town Farm
Does Tennessee Council for Professional Archaeology have links or documents for further informations about this kind of stone-boxes and their builders ??? :-)
Happy birthday to Randy McGuire de Binghamton University :-) La civilisation du Mississippi (ou culture mississippienne) s'est développée entre les IXe et XVIIe siècles, à l'Est du fleuve Mississippi, et elle peut être rattachée à la culture des Mound Builders car elle a produit de grands tertres funéraires (tumulus). Cette civilisation a commencé à s'épanouir dans la vallée du Mississippi puis il semble qu'elle ait complètement disparu avant l'arrivée des colons européens en Amérique du Nord : https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_du_Mississippi
Cette culture a utilisé des tombes en pierre (« stone-box graves »), des cistes, des coffres ! Lorsqu'une personne décédait, les proches plaçaient le corps dans une sorte de cercueil fait de grosses pierres plates sur tous ou presque tous les côtés. À l'intérieur, il y avait parfois des objets funéraires, tels que des récipients en poterie. C'est peut-être une façon de s'assurer que les morts avaient quelque chose pour stocker de l'eau ou de la nourriture pour l'au-delà, mais ce sont peut-être aussi des biens sacrifiés en l'honneur des morts. L'entrée de Wikipedia pour les tombes en pierre indique que les objets funéraires accompagnaient souvent les morts, mais on lit ailleurs que les objets funéraires n'étaient pas si fréquents. Les tombes étaient souvent placées en des lieux symboliques, comme près de la confluence de la rivière Cumberland avec un cours d'eau saisonnier ou peut-être permanent. 
Parfois, les morts étaient déposés dans le coffre en position fléchie, mais souvent ils étaient allongés. Souvent, ces tombes étaient associées à des tumulus, mais pas toujours. Et tous ceux qui sont morts n'ont pas été enterrés de cette façon. Parfois, les cistes en pierre étaient réutilisées, les os des personnes précédemment enterrées étant désarticulés et mis de côté pour le nouveau défunt.
{Photo de ChromeSun-The Artwork of Herb Roe et infos via Carl Feagans dans https://ahotcupofjoe.net/2016/07/looters-and-stone-box-graves}
Bon anniversaire à Ladji Dianifaba :-) Les cercles mégalithiques de Sénégambie sont des cercles de pierre construits et disposés entre le Ier et les débuts du IIe millénaire. Ils sont faits de roches volcaniques ou de concrétions latéritiques assez faciles à travailler. Ils se trouvent à la frontière du Sénégal et de la Gambie. L'ensemble se compose de 93 cercles d'un diamètre de 4 à 6 mètres formés chacun de 8 à 14 pierres verticales. Ils se répartissent sur quatre sites : 52 cercles à Sine Ngayène, 21 à Wanar, 11 à Wassu et 9 à Kerbatch. Ils totalisent plus de 1 000 monuments mégalithiques concentrés sur une bande de 100 kilomètres de large longeant le fleuve Gambie sur 350 kilomètres. Les colonnes, à base cylindriques ou polygonales, mesurent environ 2 mètres et pèsent jusqu'à 2 tonnes. Les cercles sélectionnés s'inscrivent dans un contexte archéologique et mégalithique plus large couvrant une aire de 38 000 km2, comprenant également des cercles pierriers non dressés, des tumulus pierriers et des fosses au comblement tumulaire. L'analyse de la céramique trouvée sur les lieux suggère qu'ils ont été édifiés entre le VIIe et le XVe siècle.
Les corps retrouvés sur les sites mégalithiques indiquent la fonction funéraire de ces lieux. Leur étude suggère que les monuments abritaient la sépulture d'un personnage important avec des morts d'accompagnement, d'après les hypothèses récentes, peut-être des personnes sacrifiées, selon les travaux antérieurs de Guy Thilmans et Cyr Descamps. Divers éléments attestent de la construction de maisons des morts constituées en partie de matériaux périssables. Par exemple, la présence de monolithes au fond de la fosse excavée au centre du cercle de pierres de Tiékène Boussara laisse penser qu'il s'agit de vestiges d'un abri isolant le défunt. Néanmoins, les pratiques mortuaires s'avèrent diversifiées, la présence d'un sujet principal n'étant pas toujours établie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cercles_m%C3%A9galithiques_de_S%C3%A9n%C3%A9gambie
Lire aussi https://www.unige.ch/campus/149/extramuros de l'Université de Genève, https://whc.unesco.org/fr/list/1226 de l'UNESCO, https://journals.openedition.org/aaa/1033
{Photo de Au-senegal.com dans https://www.au-senegal.com/les-cercles-megalithiques,2582.html}
Happy birthday to Patricia Paramoure de GEI Consultants, Inc. avec ces deux tombes en pierre pour adultes avec leur couverture encore en grande partie en place (y) Vers 1200, les peuples du Mississippien (https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_du_Mississippi) de Nashville ont créé une forme unique de tombe pour abriter leurs morts honorés - la tombe en pierre ou ciste. Depuis la première colonie historique de Nashville en 1799, littéralement des dizaines de milliers de tombes en pierre ont été découvertes par le labour, la construction et le "creusage" (à la fois amateur et professionnel). En quelques générations, la tombe en pierre est devenue la forme funéraire dominante le long de la rivière Cumberland - et s'est propagée pour devenir une forme funéraire minoritaire dans une grande partie de l'intérieur du sud-est et du bas Midwest. Une tombe en pierre "typique" de Cumberland est créée en creusant une fosse rectangulaire peu profonde en forme de cercueil - adaptée à la taille de l'individu à inhumer. De minces dalles de calcaire ont été récoltées presque sur mesure dans les lits des cours d'eau avoisinants. Celles-ci ont été utilisés pour tapisser les côtés et les extrémités de la tombe pour former une boîte bien ajustée. Fréquemment, le fond était également tapissé de dalles de calcaire ou de gros éclats de poterie brisée. L'individu (ou les individus) était alors placé dans la crypte, et le dessus recouvert de grandes dalles de calcaire. Dans la plus soigneusement construite de ces tombes, peu ou pas de saleté a filtré dans ces cercueils même huit siècles plus tard. Généralement, il semble que les tombes n'étaient recouvertes que de quelques centimètres de terre et pourvues en surface d'une sorte de pierre tombale périssable. Parfois, les tombes étaient rouvertes à une date ultérieure et utilisées pour une ou plusieurs inhumations supplémentaires, peut-être des proches. Après 1300, les tombes en pierre étaient le mode d'inhumation omniprésent pour tout le monde - riches et pauvres, enfants et adultes, hommes et femmes. Elles étaient utilisées par les résidents de toutes sortes de colonies - fermes, hameaux, villages et villes plus importants et centres de monticules. Dans les petites colonies, il pouvait n'y avoir qu'une ou quelques tombes, tandis que les cimetières des grandes villes variaient de 200 à plus de 3000 tombes. Dans les centres de monticules, les cimetières devenaient parfois des "monticules de cimetière" - pour des raisons encore inconnues, parfois un petit cimetière était construit à une hauteur de quelques pieds pour accueillir un deuxième ou même un troisième niveau d'inhumations. Alors que l'efficacité de ces cercueils peu profonds bordés de pierre pour protéger les morts des charognards est assez claire, il semble également clair que plus était à l'œuvre dans l'esprit de leurs créateurs - une puissante croyance religieuse à propos de ces boîtes en pierre qui nous reste presque insaisissable un millénaire plus tard : https://oldtownfranklin.com/explore/landmarks/mississippian-temple-mounds/stone-box-graves de Old Town Farm
Bon anniversaire à Madicke Gueye de Aix-Marseille Université avec sa photo de cercles mégalithiques sénégambiens (c'est qui / où ? :-) ) similaires à ceux de Wanar, cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cercles_de_pierres_de_Wanar, https://journals.openedition.org/aaa/827 de Université de Rennes et CNRS, et https://www.facebook.com/media/set/?set=a.751325654963900.1073741829.736193626477103&type=3 de la Direction du Patrimoine Culturel Sénégal - Officiel (y) :-) <3 Les Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths sont preneurs de toutes photos de ce genre :-)
Les cercles mégalithiques de Sénégambie sont des cercles de pierre construits et disposés entre le Ier et les débuts du IIe millénaire. Ils sont faits de roches volcaniques ou de concrétions latéritiques assez faciles à travailler. Ils se trouvent à la frontière du Sénégal et de la Gambie. 
Le site a été inscrit en 2006 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO / Unesco en français à l'occasion de la 30e session du comité du patrimoine mondial : https://whc.unesco.org/fr/list/1226
L'ensemble se compose de 93 cercles d'un diamètre de 4 à 6 mètres formés chacun de 8 à 14 pierres verticales. Ils se répartissenent sur quatre sites : 52 cercles à Sine Ngayène, 21 à Wanar, 11 à Wassu et 9 à Kerbatch. Ils totalisent plus de 1 000 monuments mégalitihiques concentrés sur une bande de 100 kilomètres de large longeant le fleuve Gambie sur 350 kilomètres. Les colonnes, à base cylindriques ou polygonales, mesurent environ 2 mètres et pèsent jusqu'à 2 tonnes. 
Les cercles sélectionnés s'inscrivent dans un contexte archéologique et mégalithique plus large couvrant une aire de 38 000 km2, comprenant également des cercles pierriers non dressés, des tumulus pierriers et des fosses au comblement tumulaire. Les corps retrouvés sur les sites mégalithiques indiquent la fonction funéraire de ces lieux. Leur étude suggère que les monuments abritaient la sépulture d'un personnage important avec des morts d'accompagnement, d'après les hypothèses récentes, peut-être des personnes sacrifiées, selon les travaux antérieurs de Guy Thilmans et Cyr Descamps. Divers éléments attestent de la construction de maisons des morts constituées en partie de matériaux périssables. Par exemple, la présence de monolithes au fond de la fosse excavée au centre du cercle de pierres de Tiékène Boussara laisse penser qu'il s'agit de vestiges d'un abri isolant le défunt. Néanmoins, les pratiques mortuaires s'avèrent diversifiées, la présence d'un sujet principal n'étant pas toujours établie. L'analyse de la céramique trouvée sur les lieux suggère qu'ils ont été édifiés entre le VIIe et le XVe siècle : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cercles_m%C3%A9galithiques_de_S%C3%A9n%C3%A9gambie
Feliz aniversário para Nuno Ribeiro :-) L'APIA - Associação Portuguesa de Investigação Arqueológica mène depuis six ans une étude sur les structures pyramidales (les maroiços) de l'île de Rádio Pico, qui donnent envie de Visit Azores. Les études archéologiques indiquent qu'environ 80 structures existaient déjà entre 1450 et 1500, avant l'arrivée des Portugais aux Açores.
D'après la typologie architecturale, il s'agit probablement de structures funéraires, selon cet archéologue portugais, ici dans la Câmara Municipal da Madalena. Do you please have further infos, maybe a link to know more ? :-)
Lors de ses prospections, autorisées par le Governo dos Açores, les chercheurs ont trouvé, par exemple, des pointes de métal, des os, des coquillages et du charbon de bois, ce qui les amène à penser qu'il s'agissait d'un lieu de culte : https://www.caisdopico.pt/2019/10/arqueologos-querem-resolver-misterio.html de Blog 'Cais do Pico'
Grattis på födelsedagen Linda Wåhlander d'Historiska museet avec "presque" sa photo de la Runstenen Vs 13 de Anundshög, voir https://www.anundshog.se/spraksidor/english.4.333c72c91636eee92b81187.html de Anundshög - Västerås Museer (y) Do not hesitate to Share your pictures with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Anundshög (le tumulus d'Anund) désigne un tumulus mais aussi l'ensemble du site protohistorique associé, situé dans la commune de Västerås, dans le Västmanland en VisitSweden : https://visitvastmanland.com/anundshog de Visit Västmanland. Le tumulus est le plus grand de Suède, mesurant entre 64 et 68 m de diamètre et plus de 9 m de haut. La couche à la base du tumulus est datée à l'an 210 à 540, ce qui laisse supposer que le tumulus lui-même est daté d'entre la période des grandes migrations et l'âge des Vikings. Le tumulus est constitué d'une base en argile sur laquelle les corps des défunts ont été brûlés, et le tout fut recouvert d'un cairn funéraire puis de terre. Le sommet aplati est dû à un pillage du site en 1788. Il y a désormais des escaliers pour accéder au sommet. 
Autour du tumulus se trouve un grand nombre de vestiges protohistoriques : 11 tumulus, 10 groupes de pierres en cercle, 5 bateaux de pierre, 14 menhirs et une pierre runique. Les deux plus grands bateaux de pierre sont alignés, et mesurent respectivement 54 et 51 m de long. Ils ont été restaurées en 1932, les pierres ayant été renversées, probablement au début du Moyen Âge afin de détruire le site païen après la christianisation de la région. Plusieurs des pierres dressées sont alignées et marquent l'ancienne route Eriksgata que devait prendre le roi de Suède après son élection. Anundshög était en effet un thing (assemblée) important de la région. 
La pierre runique est plus récente, datant probablement du début du XIe siècle ; l'image au cœur de la pierre est unique et est interprétée comme un homme et une femme enlacés. Le texte en rune peut être traduit approximativement : « Folkvid a dressé toutes ces pierres en l'honneur de son fils Heden, le frère d'Anund. Vred a gravé les runes. ». Si le Anund de cette inscription est probablement celui qui a donné son nom au site, il est très peu probable qu'il soit la personne enterré dans le tumulus, qui est vraisemblablement plus ancien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anundsh%C3%B6g
Bon anniversaire à Yann Graber de l'Université de Neuchâtel avec son combo de photos issu de « Étude d'une tombe collective de l'époque Manteño (Salango, Équateur) dans son contexte, culturel et funéraire, régional », avec Nicole Jastremski de Western Carolina University : https://www.academia.edu/5197476/%C3%89tude_dune_tombe_collective_de_l%C3%A9poque_Mante%C3%B1o_Salango_%C3%89quateur_dans_son_contexte_culturel_et_fun%C3%A9raire_r%C3%A9gional
Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, and pros infos with the International MegalithicFriend's Association :-)
Visit Ecuador and its Galapagos Islands : La découverte de la tombe collective du site de Salango, d’une structure originale dans cette région d’étude, que le Ministerio Turismo Ecuador va pouvoir promouvoir, met en évidence la diversité des rituels funéraires remontant à la période préhispanique dite Manteño (7-8ème / 16ème siècles). L’étude des vestiges osseux de 14 individus, placés dans de grandes jarres, a permis la distinction d’une série de pathologies en lien avec un mode de vie partagé,avant tout, entre l’agriculture, la pêche et la collecte de coquillages marins. On voit ici la chambre funéraire A et le conduit d’accès B, avec reconstitution schématique de la tombe Manteño du site N4C3-035, (infographie: J. Roethlisberger du Laténium)
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Feliz aniversário para Gonçalo Cruz de Sociedade Martins Sarmento avec sa photo de … pas sûr que ce soit un vrai menhir car il n'est pas indiqué (ni d'autres très proches) dans la bible de The Megalithic Portal vers Lamegal, Município de Pinhel 🤨
Bon anniversaire à Fabrice Riceputi avec « Le mégalithisme au Grassland (République Du Cameroun, occidental) : État des connaissances, nouvelles découvertes et perspectives » (https://journals.openedition.org/aaa/843) par Jean-Paul Notué [comme j'avais fait pour les Mégalithes de Djohong (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=127850380077705&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3), ce post me servira de multimédiathèque pour pas oublier des liens intéressant] !  Cet article présente les premiers résultats de travaux menés au Grassland (Visiter le Cameroun avec moi) dans le cadre d’un projet de recherche sur le mégalithisme, en partenariat entre l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et l’Université de Yaoundé I. Les résultats montrent que le mégalithisme de vastes secteurs du Grassland, du Cameroun, bien que mal connu, est encore vivant, que les pierres dressées sont partie prenante d’une intense vie sociale, spirituelle, religieuse et politique dans les royaumes, depuis des siècles. L’article met en lumière le contexte de réalisation et d’utilisation, les techniques de construction, les formes, l’histoire, les significations et les fonctions des mégalithes, montrant l’importance première des enquêtes de terrain dans une approche nouvelle du mégalithisme (y) :-) <3
Les recherches de terrain au Grassland camerounais ont permis de découvrir des centaines de nouveaux mégalithes (essentiellement des pierres dressées ou menhirs). Ils sont les éléments d’une intense vie culturelle, religieuse et politique depuis des siècles et sont de diverses formes et dimensions, sans doute aussi de tout âge. Ils proviennent de plus de 200 sites (jusque-là mal connus sinon totalement ignorés) localisés, au plateau bamiléké, au sud de Bamenda, en pays bamoum, sur les versants sud-ouest des massifs Bambouto, jusqu’aux confins de la Cross River, etc. Ces monuments et ouvrages font partie de structures architecturales complexes aux significations et fonctions variées et parfois multiples que ce texte a mis en évidence à partir de l’analyse de spécimens précis. Ils sont associés à un riche symbolisme dont cette étude a contribué à en déceler le sens. 
Dans cette région du Cameroun, on dresse encore des mégalithes à côté de spécimens du passé. C’est parce que, en dépit du progrès du christianisme et de l’islam, les traditions religieuses et la vie socioculturelle autochtones du Grassland restent encore dynamiques et vivantes, que le mégalithisme perdure et se renouvelle, mais, cependant, avec moins de vigueur de nos jours. Ceci offre une occasion inestimable pour des études comparatives (avec toutefois des précautions d’usage) entre les œuvres anciennes et celles du présent (ou d’un passé récent) des différentes régions. Cette étude montre que l’aire d’extension des mégalithes au Grassland et dans le pays est beaucoup plus large qu’on ne le pensait. Cette construction de mégalithes du Grassland s’appuie sans doute sur un fonds fort ancien, de date inconnue (mais antérieure au XIVe siècle), n’excluant pas la période préhistorique. La pratique du mégalithisme, associée à la religion locale, a sans doute été continue jusqu’à nos jours ; les fonctions, les significations, les usages des pierres et les techniques employées, ayant subi de multiples influences et ayant connu des variantes dans le temps et selon les différents secteurs de cette partie de l’Afrique.
Bon anniversaire à Romain Guédé et comme il a bossé pour Africaide (y), voici un cliché et dessin du monolithe rituel figurant Tagny, le père des jumeaux, associé à un poteau fourchu mega à décors circulaires, expression du pouvoir du conseil de sept notables, Mbatu (plateau de Bamenda) <3 trouvé via Semantic Scholar de The Allen Institutete for Artificial Intelligence dans « Le mégalithisme au Grassland (République Du Cameroun) : État des connaissances, nouvelles découvertes et perspectives » (https://journals.openedition.org/aaa/843) par Jean-Paul Notué (y) Cet article présente les premiers résultats de travaux menés au Grassland (Visiter le Cameroun avec moi) dans le cadre d’un projet de recherche sur le mégalithisme, en partenariat entre l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et l’Université de Yaoundé I. Les résultats montrent que le mégalithisme de vastes secteurs du Grassland, du Cameroun, bien que mal connu, est encore vivant, que les pierres dressées sont partie prenante d’une intense vie sociale, spirituelle, religieuse et politique dans les royaumes, depuis des siècles. L’article met en lumière le contexte de réalisation et d’utilisation, les techniques de construction, les formes, l’histoire, les significations et les fonctions des mégalithes, montrant l’importance première des enquêtes de terrain dans une approche nouvelle du mégalithisme (y)
Bon anniversaire à Claude Le Caignec :-) Comme il s'est "exilé" au soleil de Madagascar Tourisme, voici un exemple de pierre dressée en pays Bara en la mémoire de Retisitototra, militaire, date de naissance et décès illisibles (d’après un document de Jean Poirier, mais je veux bien svp des photos à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y) ) ! Les monuments mégalithiques existent dans bon nombre de régions de Madagascar. Les plus connus sont représentés essentiellement par les pierres dressées dont les appellations connaissent des variantes en fonction des aires géographiques. Dans la présente contribution, Barthélemy Manjakahery retient la place et la signification des mégalithes chez les populations Bara, et ce, dans une perspective ethnoarchéologique. Il étudiera principalement le cas des pierres érigées dites orimbato et des sépultures mégalithiques traditionnelles ou valavato, à travers des données ethnographiques sinon tirées de la tradition orale.
Les pierres dressées orimbato dans le pays Bara apparaissent comme étant des monuments funéraires à part entière, érigés en tant que mémoriaux pour différentes raisons. Il est une première signification que l’on retrouve pour ce type de mégalithes érigé pour une personne morte sans descendance. Les mémoriaux peuvent également être dressés pour des personnes décédées au loin et dont les corps n’ont pu être ramenés au tombeau familial. Cependant, dans l’évolution de ces monuments funéraires, la notion de fortune entre en ligne de compte, au point que, à l’heure actuelle, il en est en béton.
Les orimbato sont en général placés sur des endroits bien visibles des passants, hormis ceux qui se trouvent à proximité des tombeaux. Quant à la technique d’extraction, l’on se sert de dalles brutes qui sont débitées sans utilisation de feu. Outre les pierres commémoratives, les tombes traditionnelles des Bara antevondro, pour ne retenir que cet exemple, constituent des constructions funéraires que l’on pourrait assimiler à du dolménisme, eu égard à la taille des matériaux lithiques utilisés. Par ailleurs, son séjour sur le terrain nous a permis de nous rendre compte que l’architecture funéraire traditionnelle est en train de disparaître progressivement dans la région : https://books.openedition.org/pupvd/4201
Lire aussi https://www.persee.fr/doc/bmsap_0301-8644_1893_num_4_1_5462 et https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1985_hos_82_10_8652 chez Persée
को जन्मदिवस की शुभकामना Avijit Pramanik avec les photos de Subhashis Das des mégalithes commémoratifs de la tribu Ho de Chaibasa, qui ne sont cependant pas anciens mais sont énormes (y)
जन्मदिन की शुभकामनाएँ Drpradhumn Bhatt avec la photo de Vidarbha Darshan d'anciens Virgali à Mahagao dans la forêt dense de Tadoba : https://www.facebook.com/VidarbhaDarshan/posts/pfbid02bE8Ax1Lf6pTHV9ivvM76jkmTRkVhL2FWrp7bX8B6W5YyC5fQqYWnvcDChyM36n1Pl (y) :-) <3 Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) 
Il en existe plus de 200 différents, des petits et des grands allant de 30 cm à 1,80 m de hauteur. Il y a de très belles sculptures sur ces pierres Virgali : cheval, éléphant, armée y sont sculptés. Virgal signifie qu'après la mort d'un brave guerrier dans une guerre, cette sculpture a été érigée à sa mémoire.
Happy birthday to David E Bybee avec "sa" photo de balbal ukrainien :-) Il commente sur l'invasion de l'ours d'ex URSS : « Illustration of two lovely, weathered memorial markers to the Ancestors. How old are they? No one really knows. But they are protected, loved, and cherished <3 »
What a redneck :-p : une simple recherche inversée indique « Statues of man and woman. Polovtsians. 11–13 century. Storage: Дніпропетровський національний історичний музей ім. Яворницького named after D.i. Yavornytsky ; Photo: Oleksandr Dirdovsky » : https://artukraine.com.ua/eng/a/kamennye-baby-aktualnyy-vzglyad/#.ZCAxL_bP3rc de ART Ukraine (y)
Je réponds grâce à Wiki : On appelle balbal une pierre tombale d'Asie centrale et de Mongolie érigée en mémoire de membres importants de la communauté. 
Le terme de Balbal vient du mot turc « baba » signifiant « ancêtre ». La plupart des stèles représentent un homme au visage stylisé (yeux et sourcils prononcés, nez et moustache..) avec dans la main droite un glaive (homme de guerre ou de pouvoir, devant être armé dans l'eau delà pour se défendre) et dans la main gauche un bol ( pour s'assurer que le défunt ne souffrira pas de la faim dans son voyage céleste, ou encore selon une autre hypothèse, coupe contenant un breuvage sacré que le défunt offrira à Tengri, dieu du ciel, une fois arrivé dans l'eau delà...On connaît le rituel des mongols Gengiskhanides qui jetaient vers le ciel le reste de leur breuvage -le plus souvent du koumiss ou le lait de jument fermenté - pour honorer le dieu Tengri).
En Mongolie on retrouve de nombreux balbals dans la vallée de l'Orkhon et au Kirghizistan on les retrouve près de la tour kharakanide de Burana et aussi au musée a ciel ouvert (Balbals & pétroglyphes) de Tcholpon Alta au nord du lac Issyk Koul. La plupart de ces stèles datent de l'époque turque du VI au IXème siècle. Les familles pensaient que l'esprit du défunt continuait à vivre dans le balbal pendant la première année (on gardait la pierre dans la yourte) avant qu'elle ne soit déposée sur la tombe (contenant la dépouille ou les cendres du mort). Les balbals doivent être orienté vers l'Est selon les croyances chamanique ( renaissance et jour nouveau rythmé par le lever du soleil).
Ces stèles anthropomorphes sont très semblables à celles érigées antérieurement pendant plusieurs millénaires dans les steppes d'Asie centrale par différents peuples indo-européens, jusqu'à l'époque des Scythes, avant qu'ils ne soient remplacés par des peuples turcs et mongols plus tardifs qui ont partiellement repris cette tradition : https://fr.wikipedia.org/wiki/Balbal
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