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Astronomie mégalithique

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Vendredi prochain, le 23 septembre, à 01h04 TU, la Terre se trouvera à un point précis de son orbite autour du Soleil : l'équinoxe de septembre. Les équinoxes de septembre et de mars sont les seuls jours de l'année où le Soleil se lève exactement à l'Est et se couche exactement à l'Ouest, sur toute la planète. Concrètement, les journées des équinoxes de printemps et d'automne sont divisées également en journée et en nuit, chacune durant environ 12 heures. En fait, le sens littéral du mot équinoxe est « nuit égale » et vient du mot latin aequinoctium. 
Les dolmens sont des monuments funéraires mégalithiques construits principalement entre -4 000 et -2 500. Le Dolmen de l'Ayuntamiento Magacela, dans la région de La Mancomunidad de Municipios de la Serena, possède une chambre circulaire, semblable à celle du tholos du Cerro de la Barca dans l'Ayuntamiento de Valdecaballeros / Diputación de Badajoz / Turismo Provincia De Badajoz (ici en photo, avec la Voie Lactée à gauche et les Pléiades au centre) d'environ 5 mètres de diamètre, délimitée par 12 orthostates de granit et, bien qu'elle n'est pas conservé à l'heure actuelle, les recherches indiquent l'existence d'un couloir d'entrée, d'environ 9 mètres de long. Grâce aux recherches d'archéoastronomes tels que Michael Hoskin, Juan Antonio Belmonte et A César González García, qui ont étudié l'orientation des tombes mégalithiques en Espagne et au Portugal, on sait que ces dolmens sont orientés de manière assez cohérente. La majorité pointe vers l'Est sur les horizons des différentes zones géographiques analysées. Pour être précis, ils pointent vers le secteur de l'horizon d'où se lèvent le Soleil et la Lune, et certaines des orientations coïncident avec des dates proches des équinoxes, dates qui marquent les changements de saisons, et dans le cas de l'équinoxe d'automne en Estrémadure, marque le début de la saison des pluies. 
La chaîne sky-live.tv offrira une transmission en direct du lever du soleil, travaillant dans le cadre du projet Energy Efficiency Laboratories (Energy Efficiency Laboratories - EELabs), et avec la collaboration du Bureau du directeur général du Extremadura Turismo de la Junta de Extremadura et du projet Extremadura Buenas Noches, du Dolmen de Valdecaballeros (Estrémadure). La date est le vendredi 23 septembre prochain à 06h30 UT (08h30 heure normale d'Europe centrale). Le lever du soleil aura lieu à 08h16 heure locale. 
« Les équinoxes de printemps et d'automne sont les points géométriques de l'orbite de la Terre autour du Soleil lorsqu'une ligne partant du centre du Soleil se trouve dans le plan équatorial de la Terre. Les personnes qui vivent à l'équateur verront le Soleil exactement au-dessus de leur tête au niveau local. midi », commente Miquel Serra Ricart, astronome à l'IAC, qui est en charge de l'émission. 
{Photo et infos de IAC - Instituto de Astrofísica de Canarias dans https://www.iac.es/en/outreach/news/autumnal-equinox-dolmen-magacela}
L'équinoxe d'automne c'est aujourd'hui et en Cornouailles le soleil s'aligne sur les deux menhirs et l'ombre portée passe au centre de la pierre percée à Mên-an-Tol : https://fr.wikipedia.org/wiki/Astronomie_m%C3%A9galithique#Sites_m%C3%A9galithiques_%C3%A0_usage_astronomique 🤓
{Photo de Science Photo Library dans https://www.sciencephoto.com/media/185740/view/men-an-tol-standing-stones}
Feliz cumpleaños a Mandu A-k de l'UCL / UCL Institute of Archaeology :-) Alignés dans le désert d’Atacama, au Chili, d'étranges amoncellements de pierres empilées (les saywas) laissaient les spécialistes perplexes quant aux raisons précises de leur existence. Derrière ce terme quechua se cache une coutume répandue dans de nombreuses autres régions du monde, où elle est désignée notamment sous le nom de cairn ou de montjoie. Ces amas de pierres jouent le rôle de points de repères, tantôt indicateurs de frontières, tantôt de lieux sacrés.
Depuis cinq siècles, situés non-loin du Qhapaq Ñan – un maillage de routes andin étendu du centre du Chili au Sud de la Colombie sur près de 30 000 kilomètres –, les saywas ponctuent le désert chilien et étonnent par leurs parfaits alignements. Cecilia Sanhueza, chercheuse au Museo Chileno de Arte Precolombino, a fait appel à des astronomes de l’ESO Astronomy / ESO France, l’Observatoire Européen Austral, et de l’Atacama Large Millimeter Array, l’ALMA Observatory, un réseau de 66 grandes antennes installées dans le désert chilien, et qui forment l’un des plus puissants radiotélescopes au monde. Leur mission : procéder à des simulations de levers de soleil à des dates bien précises. Grâce à leurs modélisations, les scientifiques ont en effet découvert, qu’à certaines dates, le soleil s’alignait parfaitement avec les rangées de saywas. Une expression, selon Cecilia Sanhueza, de la volonté des Incas de propager leur "pouvoir sacré", bien au-delà de Cuzco, l’ancienne capitale de leur empire. Un peu à l’image du célèbre mégalithe anglais de Stonehenge, ces amas de pierres chiliens auraient eux-aussi revêtu des fonctions à la fois rituelles, politiques et de mesure du temps. Les spécialistes se sont rendus, à l’aube du jour de l’équinoxe d’automne 2017, sur un site connu sous le nom de Vaquillas. Lorsque le soleil a débuté son ascension dans le ciel, ils ont ainsi pu constater, comme prévu par les modèles, le parfait alignement de l’astre avec les saywas. Trois mois plus tard, lors du solstice d’hiver, le même phénomène s’est reproduit au niveau d’un autre site. « En tant qu'astronome, c'est particulièrement gratifiant d'observer ces véritables calendriers solaires parce qu'ils montrent que les communautés pré-colombiennes accordaient autant, si ce n'est plus, d'importance au ciel que nous le faisons aujourd'hui ».
Une troisième série de saywas demeurait toutefois encore empreinte de mystère. Leur alignement avec le soleil ne correspond en effet à aucune date particulière de notre calendrier actuel. Anthropologue et conservatrice au Instituto y Museo Arqueológico G. Le Paige, San Pedro de Atacama de l'Universidad Católica del Norte, Jimena Cruz est issue d’une famille d’autochtones, aux traditions ancestrales très ancrées. Entre autres rituels, la spécialiste a remonté du fond de ses souvenirs celui pratiqué par ses aïeuls le 1er août, en l’honneur de Pachamama, déesse-terre andine. Une date à laquelle l’équipe s’est donc rendue sur place afin de tester cette ultime interprétation encore incertaine. « Se trouver derrière le saywa et voir que le soleil s’est levé exactement au-dessus de lui… ça a été incroyable », se remémore Jimena Cruz. Un spectacle fabuleux, confirmation empirique et définitive de la théorie de la spécialiste.
{Photo et infos de Gentside / Gentside Savoir dans https://www.maxisciences.com/archeologie/des-archeologues-pensent-avoir-resolu-le-mystere-du-stonehenge-chilien_art41176.html}
Je vous avais dit que j'avais été super fier que feu le grand anthropologue Alain Gallay (http://www.archeo-gallay.ch) ait repris cette illustration pour sa conférence lors de l'International Meeting: Megaliths of the World - FanPage au sujet des premiers mégalithes (https://www.facebook.com/MegalithicParc/photos/pb.100085582290808.-2207520000../103165159206608/?type=3), et bien grâce à Internet Archive j'ai pu retrouver l'article de mon blog écrasé (y) :-) <3 Donc, с днем ​​рождения Jaroslav Veryutin et comme il aime l'égyptologie voici les mégalithes de Nabta Playa construit par les ancêtres des Égyptiens habitant le "désert" encore vert (synthèse en français but links to the original documents in english in the bottom of the article) : https://web.archive.org/web/20181018152547/http://atraverslesages.over-blog.com/m%C3%A9galithisme-saharien-%C3%A0-nabta-playa <3
Happy birthday to Bernie Taylor :-) Après vous avoir montré une partie de Nabta Playa (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=116787594517317&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3), voici la série très intéressante, comme d'hab' avec ARTE  : « Aux origines des civilisations (3/4) – L'apparition des religions » (https://www.dailymotion.com/video/x6t5tnw) qui débute avec le calendrier mégalithique de Nabta Playa, malheureusement trop peu connu : voici la synthèse de moult sources sérieuses, que j'avais faite y a quelques années déjà (original english document at the bottom of the article : http://www.as.utexas.edu/~wheel/africa/nabta.htm from The University of Texas at Austin) : https://web.archive.org/web/20181018152547/http://atraverslesages.over-blog.com/m%C3%A9galithisme-saharien-%C3%A0-nabta-playa
Feliz cumpleaños a Jaime Cenalmor :-) Je ne suis pas très Stonehenge car on en mange trop jusqu'au dégoût dès qu'on s'intéresse et parle du mégalithisme, mais là j'adore son post : « Si je n'étais pas athée, je serais polythéiste idolâtre (ce qui est beaucoup plus amusant) ! Je vous souhaite un joyeux solstice mes païens ! » (y) :-) <3
Feliz aniversário para Filomena Torres de Évora Hotel avec sa photo qui fait du bien : enfin de l'humain et des chiens (Philos & Jofi :-p ) au milieu de … bin j'ai comme rime en [in] pour l'un des Menir dos Almendres [là il est seul hein, mais sinon y a le fameux cromlech (https://www.facebook.com/photo/?fbid=120296164166460&set=a.120296700833073) et un menhir à 1,5 km puis à 4 km des antas/dolmens] :-( mais c'est à Ebora Megalithica :-)
C'est un menhir de forme phallique d'environ 4m de haut avec une isolation en "croc" autour du sommet. Il fait partie d'un groupe plus vaste connu sous le nom de Cromeleque dos Almendres. Bien qu'il soit situé un peu loin du cercle de pierres d'Almendres (à environ 1,3 km au nord-est), son emplacement a révélé un emplacement stratégique : si vous le voyez depuis l'enceinte d'Almendres, il coïncide avec le lever du soleil au solstice d'été (le plus grand/long jour de l'an). 
{Infos de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=13843}
Feliz cumpleaños a Jesus Guerra Galván avec sa photo du dolmen de l'Ayuntamiento Magacela (BRAVO pour leur page très complète : https://magacela.es/plantilla.php?enlace=dolmen (y) ), dans la région de La Mancomunidad de Municipios de la Serena, qui possède une chambre circulaire semblable à celle du tholos du Cerro de la Barca dans l'Ayuntamiento de Valdecaballeros / Diputación de Badajoz / Turismo Provincia De Badajoz (en photo dans https://www.facebook.com/photo/?fbid=113685384821252&set=a.113685604821230, avec la Voie Lactée à gauche et les Pléiades au centre) d'environ 5 mètres de diamètre, délimitée par 12 orthostates de granit et, bien qu'il ne soit pas conservé à l'heure actuelle, les recherches indiquent l'existence d'un couloir d'entrée, d'environ 9 mètres de long. 
Le dolmen de Magacela ou dolmen de la Cerca del Marzo est situé au nord-est de Magacela, près de Don Benito dans la région de La Serena à l'est de la province de Badajoz, en Estrémadure, en Espagne. La région de La Serena est une zone avec de nombreux vestiges archéologiques, tels que des dolmens, des gravures rupestres, des peintures rupestres et des stèles (dont non loin la « Guerrero estela de Magacela » (https://es.wikipedia.org/wiki/Estela_de_Magacela), à gauche en photo au Museo Arqueológico Nacional de España dans https://www.facebook.com/photo.php?fbid=124129727116437&set=pb.100085582290808.-2207520000.&type=3), qui ont été largement étudiés en raison de leurs particularités. Le dolmen de Magacela date de la période chalcolithique, qui a été déduite sur la base de similitudes avec des dolmens tels que Toriñuelo (à Badajoz) et Azután (à l'ouest de la province de Tolède). La forme de la chambre ronde est similaire à celle des dolmens de Cerro de la Barca, Carmonita et La Granja. Les restes du dolmen consistent en 12 orthostates de granit disposés en anneau, qui forment une chambre ronde d'environ 5 mètres de diamètre. La hauteur moyenne des orthostates est de 1,75 m. Il est surmonté des deux blocs d'entrée d'environ 2 m de haut. Cinq des pierres (vraisemblablement aussi la pierre d'origine #5, qui a été remplacée) sont gravées à l'intérieur. La pierre n°4 montre la plupart des types de gravure, avec un motif de soleil à onze rayons d'environ 24 cm de diamètre. Le motif à plumes verticales de 41 × 22 cm, avec des fossettes en haut et en bas, est unique parmi les gravures mégalithiques de la péninsule ibérique. En bas, un motif de serpent horizontal d'environ 54 cm de long pointe vers une cupule de 4 cm de diamètre. Il y a plusieurs cupules entre 3 et 8 cm de diamètre au fond de la pierre. L'orthostate #6 a des fossettes jusqu'à 10 cm de diamètre, certaines avec de longues rainures (jusqu'à 55 cm). Les orthostates 7 et 9 ont des motifs plus difficiles à identifier. L'orthostate no. 8 montre une dépression ovale de 31 × 19 cm au sommet, un motif en forme de feuille semblable à celui du no. 4, mais en position horizontale, surmontée d'une fossette de 4 cm et d'une fossette en bas, ainsi que d'un motif en forme de crochet. Il existe plusieurs hypothèses pour l'ancienne couverture, un faux dôme, une grande dalle de pierre ou un plafond en bois : https://es.wikipedia.org/wiki/Dolmen_de_Magacela
Voir aussi https://www.miniontour.es/el-impresionante-dolmen-de-magacela de MiniOnTour :-p et https://senderuelos.blogspot.com/2015/01/dolmen-de-magacela-o-de-la-cerca-del.html de SENDERUELOS -Turismo (y)
Voilà ce que j'écrivais à propos de l'équinoxe d'automne : « La chaîne sky-live.tv offrira une transmission en direct du lever du soleil, travaillant dans le cadre du projet Energy Efficiency Laboratories (Energy Efficiency Laboratories - EELabs), et avec la collaboration du Bureau du directeur général du Extremadura Turismo de la Junta de Extremadura et du projet Extremadura Buenas Noches, du Dolmen de Valdecaballeros (Estrémadure). La date est le vendredi 23 septembre prochain à 06h30 UT (08h30 heure normale d'Europe centrale). Le lever du soleil aura lieu à 08h16 heure locale. 
« Les équinoxes de printemps et d'automne sont les points géométriques de l'orbite de la Terre autour du Soleil lorsqu'une ligne partant du centre du Soleil se trouve dans le plan équatorial de la Terre. Les personnes qui vivent à l'équateur verront le Soleil exactement au-dessus de leur tête au niveau local. midi », commente Miquel Serra Ricart, astronome à l'IAC, qui est en charge de l'émission ». 
{Infos de IAC - Instituto de Astrofísica de Canarias dans https://www.iac.es/en/outreach/news/autumnal-equinox-dolmen-magacela}
عيد ميلاد سعيد ل
Yassine Yassine
avec la nécropole de Sidi Mohamed Latrech, dans le Djebel Mangoub avec vue sur le lac. On ne sait pas pourquoi les Numides ont préféré construire des dolmens dans l'intérieur de leur pays alors que dans les régions côtières ils ont creusé des grottes artificielles, normées en termes de typologie et de taille. On parle de plusieurs douzaines d'hypogées, haouanet/hawanat (hanute signifie « tente » / « boutique »), à la frontière (et même à l'intérieur) des dominions puniques centrés sur Carthage (première moitié du -Ier millénaire). Les hypogées étaient fréquents dans la partie centrale de la Méditerranée, spécialement en Sardaigne (les Domus de Janas ont été creusées depuis le Néolithique moyen) et en Sicile (les grandes nécropoles de Pantallica ou Thapsos existent depuis l'Âge du Bronze). On peut penser que ce sont plutôt ces hypogées qui ont influencé ceux des Phéniciens plutôt que ce soit une coutume importées par eux.
De forme à peu près cubique, de 1,25 à 2,50 mètres de côté, avec une entrée de dimension presque constante de 1,80 mètre sur soixante centimètres. Ces sépultures à une ou plusieurs chambres funéraires possédaient parfois des aménagements intérieurs (banquette ou fosse). Ils sont souvent décorés, comme le sont les hypogées des nouveaux colons (fréquents autour de Carthage, du Cap Bon et plus au Sud dans le Sahel), les Phéniciens. Les hawanat sont fréquents dans une vaste région au Nord-Ouest de Carthage et dans la région du Cap Bon.
Comme les Tombe di Giganti de Sardaigne, les monuments de la Péninsule Ibérique ou du Sahara, on note la tradition d'orienter les dolmens et les hypogées vers le lever du soleil au solstice d'été (ou le lever le plus au Nord de la lune) et vers le Sud. Très peu de monuments sont orientés vers le coucher : http://encyclopedieberbere.revues.org/1697 et https://adsabs.harvard.edu/full/2003JHA....34..305B
{Photo issue d'une très intéressante balade présentée dans http://ba-idane.over-blog.com/2014/07/sidi-mohamed-latrech.html}
Feliz cumpleaños a Carles Aguilar de Terra Incognita Explorers et ex de la Federació Catalana d'Activitats Subaquàtiques avec cette plongée dans le temps, dans tous les sens du terme ;-) Atlit Yam est un site archéologique sous-marin, situé au large de la côte d'Israël, près de la ville de עתלית et de la forteresse de Château Pèlerin, au sud de l'אוניברסיטת חיפה - University of Haifa. Le complexe mégalithique incluait un étroit couloir bordé de murets en pierre et une structure circulaire composée de pierres dressées entourant un bassin d'eau douce. Le couloir a été identifié comme un calendrier solaire et la structure circulaire pourrait correspondre à un sanctuaire (plusieurs pierres comportent de grandes cupules). Ce village englouti est le plus ancien site d'archéologie sous-marine connu à ce jour, étant daté de -6 900 à -6 300, à qui le docu « Le mystère Atlit Yam - Un village englouti en Méditerranée » est consacré : https://www.youtube.com/watch?v=IMt4DgcQnhk
En parallèle à ça, lisez ma synthèse de sources sérieuses relatives à ce site passionnant, même si elle date et mériterait d'être actualisée avec les nouvelles données et analyses : https://web.archive.org/web/20200616085131/http://atraverslesages.over-blog.com/2014/09/atlit-yam-une-allee-solsticiale-et-un-cromlech-de-10-000-ans-sous-la-mer.html
Read also https://www.antiquities.org.il/article_eng.aspx?sec_id=14&subj_id=139 from Israel Antiquities Authority
Feliz cumpleaños a Andrea Bringas avec une photo de la ville sacrée de Caral-Supe ou Caral-Chupacigarro,  un site archéologique antique situé dans le désert à 23 km de la côte du Turismo en el Perú, dans la vallée de Supe, région de Lima, Turismo Barranca, à 140 km au nord-nord-ouest de Lima, le vestige de la plus ancienne cité d'Amérique connue à ce jour :-o La Zona Arqueológica Caral aurait environ 5 000 ans, alors que dans le reste de l'Amérique le développement urbain commence 1 500 ans plus tard (par exemple, Monte Alban, en Mésoamérique). La découverte de Caral a changé les schémas que l'on avait jusque-là sur l'émergence des civilisations anciennes au Pérou et dans les Amériques en général. Auparavant, Chavín de Huántar était considéré comme le plus ancien centre culturel du Visit Peru, avec un maximum de 3 200 ans ! La culture de Caral est contemporaine d'autres civilisations antiques comme celles d'Égypte, de la vallée de l'Indus, de Sumer ou de Chine, mais contrairement à elles - qui échangeaient leurs réalisations - elle s'est développée dans un isolement total. 
Des preuves ont été trouvées que les hommes de Caral avaient des connaissances en astronomie, qu'ils ont appliquée dans l'élaboration d'un calendrier, lié à la célébration des festivités et autres activités économiques, religieuses et civiques. Ces connaissances ont également été appliquées à l'orientation des bâtiments publics. 
On a trouvé, par exemple, des géoglyphes et des lignes éparpillés dans les plaines désertiques, à côté de pierres sculptées dispersées, ainsi qu'une enceinte souterraine couverte à l'origine, qui semble être un observatoire. Il convient également de mentionner un monolithe (ou huanca) planté dans le sol d'une place publique, qui aurait été un instrument d'observation astronomique. 
{Photo de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=15583 ; infos de https://fr.wikipedia.org/wiki/Caral}
को जन्मदिन की शुभकामनाएं Navin Kishor Mahto avec sa photo (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=3245510662364028&set=pb.100007153778896.-2207520000.&type=3) du site astronomique de Nabta Playa (y) Voir mes précédents posts pour plus d'infos : https://www.facebook.com/photo/?fbid=116787594517317&set=a.113685604821230 et https://www.facebook.com/photo/?fbid=120312170831526&set=a.113685604821230
Happy birthday to Davy Ellis qui nous rappelle que le solstice et donc Noël est dans une dizaine de jours, avec "sa" photo du triskell de Newgrange, le plus grand des monuments de la Brú na Bóinne (https://fr.wikipedia.org/wiki/Br%C3%BA_na_B%C3%B3inne), construit autour de -3 200, soit près de 1 000 ans avant Stonehenge ! Le site consiste en un gros tumulus circulaire au centre duquel se trouve une chambre mortuaire à laquelle on accède par un très long couloir couvert. Cette structure circulaire de 12 mètres de haut, est composée de plus de 200 000 tonnes de terre et de pierre. Le mur extérieur du tumulus est flanqué de pierres monumentales sur lesquelles il est possible d'observer des dessins en spirale et quelques triskell. 
Il est aligné de manière à ce que le soleil levant au solstice d'hiver brille à travers un "coffre de toit" (une lucarne rectangulaire faite d'un vide dans l'agencement de pierres) au-dessus de l'entrée et inonde la chambre intérieure. Cette pièce était conçue pour une capture rituelle des rayons du soleil le jour le plus court de l'année, le solstice d'hiver, alors que la pièce était inondée de soleil, ce qui aurait pu signaler que les jours recommenceraient à s'allonger. Ce point de vue est renforcé par la découverte d'alignements à Knowth, Dowth et les cairns de Lough Crew conduisant à l'interprétation de ces monuments comme des dispositifs calendaires ou astronomiques. 
Le soleil levant brille directement le long du long passage, illuminant la chambre intérieure et révélant les sculptures à l'intérieur, notamment la triple spirale sur la paroi avant de la chambre. Cette illumination dure environ 17 minutes. Michael J. O'Kelly a été la première personne des temps modernes à observer cet événement le 21 décembre 1967. La lumière du soleil pénètre dans le passage par une ouverture spécialement conçue, connue sous le nom de "coffre de toit", directement au-dessus de l'entrée principale. Bien que les alignements solaires ne soient pas rares parmi les tombes à couloir, Newgrange est l'un des rares à contenir la fonction de "coffre de toit" supplémentaire. Plusieurs autres tombes à couloir en Irlande sont alignées sur les solstices et les équinoxes, et le Cairn G à Carrowkeel a un "coffre de toit" similaire (il a été suggéré d'en trouver un à Bryn Celli Ddu au Pays de Galles) L'alignement est tel que bien que le "coffre de toit" soit au-dessus de l'entrée du passage, la lumière frappe le sol de la chambre intérieure. Aujourd'hui, la première lumière entre environ quatre minutes après le lever du soleil et frappe le milieu de la chambre, mais des calculs basés sur la précession de la Terre montrent qu'il y a 5 000 ans, la première lumière serait entrée exactement au lever du soleil et aurait brillé sur le mur arrière de la chambre. L'alignement solaire à Newgrange est très précis par rapport à des phénomènes similaires dans d'autres tombes à couloir de la Monumental Ireland telles que Dowth ou Maes Howe avec sa grande chambre en encorbellement, dans les îles Orcades, au large des côtes écossaises. Newgrange partage des similitudes avec certains autres monuments néolithiques d'Europe occidentale, en particulier Gavrinis en Bretagne, qui a un parement préservé similaire et de grandes pierres sculptées. 
Dans la mythologie irlandaise, Newgrange est souvent appelé Síd in Broga (moderne Sídhe an Brugha ou Sí an Bhrú). Comme d'autres tombes à couloir, elle est décrite comme un portail vers l'Autre Monde et une demeure du divin Tuatha Dé Danann. Dans un conte, le Dagda, le dieu principal, désire Boann, la déesse de la rivière Boyne. Elle vit à Brú na Bóinne avec son mari Elcmar. Le Dagda l'imprègne après avoir renvoyé Elcmar pour une course d'une journée. Pour cacher la grossesse d'Elcmar, le Dagda lui jette un sort, faisant "le soleil s'arrêter" pour qu'il ne remarque pas le temps qui passe. Pendant ce temps, Boann donne naissance à Aengus, également connu sous le nom de Maccán Óg (« le jeune fils »). Finalement, Aengus apprend que le Dagda est son vrai père et lui demande une portion de terre. Dans certaines versions du conte, le Dagda aide Aengus à s'approprier le Brú d'Elcmar. Aengus demande à avoir le Brú pour "un jour et une nuit", mais le revendique ensuite pour toujours, car tout le temps est composé de "jour et nuit". D'autres versions ont Aengus prenant le contrôle du Brú du Dagda lui-même en utilisant la même astuce. Le Brú est alors nommé Brug maic ind Óig après lui. Dans « La Poursuite de Diarmuid et Gráinne », Aengus emmène le corps de Diarmuid au Brú. 
Il a été suggéré que ce conte représente l'illumination du solstice d'hiver de Newgrange, au cours de laquelle le rayon de soleil (le Dagda) pénètre dans la chambre intérieure (le ventre de Boann) lorsque la trajectoire du soleil s'arrête. Le mot solstice (« grianstad » irlandais) signifie l'arrêt du soleil. La conception d'Aengus peut représenter la "renaissance" du soleil au solstice d'hiver, lui reprenant le Brú d'un dieu plus ancien représentant le soleil grandissant prenant le relais du soleil décroissant. Cela pourrait signifier que la connaissance de l'événement a survécu pendant des milliers d'années avant d'être enregistrée comme un mythe au Moyen Âge. John Carey, un expert de la mythologie irlandaise, affirme que les contes de Brú na Bóinne sont les seules légendes irlandaises où un site sacré est lié au contrôle du temps. Il existe une histoire similaire à propos de Dowth (Dubhadh), l'une des autres tombes de la vallée de la Boyne. Elle raconte comment le roi Bresal oblige les hommes d'Irlande à construire une tour vers le ciel en un jour. Sa sœur jette un sort, immobilisant le soleil pour qu'un jour dure indéfiniment. Cependant, Bresal commet un inceste avec sa sœur, ce qui rompt le charme. Le soleil se couche et les bâtisseurs partent, d'où le nom Dubhadh (« assombrissement »).Cette histoire a également été liée à une analyse ADN récente, qui a révélé qu'un homme enterré à Newgrange avait des parents qui étaient très probablement des frères et sœurs. D'autres mythes révèlent l'acceptation, la prévalence et le prestige d'unions consanguines étroites au sein de la royauté divine des Tuatha Dé Danann, les constructeurs et utilisateurs mythologiquement nommés de Newgrange : https://fr.wikipedia.org/wiki/Newgrange
Maintenant, cela ne décrit en rien la relation formelle entre le site, le calcul de la position des astres et une pratique calendaire. Laurent Lescop a fait un état de l’art de la question et le débat fait rage … à suivre donc : http://www.keris-studio.fr/blog/?p=6763 (y)
Lire aussi https://neolithiqueblog.wordpress.com/2016/03/23/neolithique-megalithisme-et-astronomie
Voilà un beau lever de soleil au solstice d'hiver à Newgrange par le "coffre de toit" (roofbox) posté par OPW - Office of Public Works (y) En archéologie, un coffre de toit est un terme désignant une ouverture spécialement conçue au-dessus d'une porte, qui est construite de telle manière qu'à des moments particuliers de l'année, par exemple les solstices d'hiver ou d'été, le soleil serait directement visible depuis la chambre ou le passage à l'intérieur. Le terme a été inventé par le professeur Michael O'Kelly lors de ses fouilles du cairn du passage de Newgrange, à Brú Na Bóinne, en Irlande. Le coffre de toit a été construit directement au-dessus de la porte d'entrée du couloir. Le passage et la chambre étaient spécifiquement alignés avec le soleil levant des matins autour du solstice d'hiver en décembre. Le passage de 17 mètres monte en altitude à mesure qu'il mène à la chambre. Le sol de la chambre, le coffre de toit et l'horizon local sont sur un seul plan et ainsi, lorsque les rayons du soleil du matin pénètrent dans le coffre de toit, ils éclairent le sol de la chambre pendant un maximum de 17 minutes (selon le temps). Un coffre de toit se trouve également dans le cairn G du cimetière mégalithique de Carrowkeel : https://en.wikipedia.org/wiki/Roofbox
Voir également http://www.carrowkeel.com/sites/boyne/newgrange2.html de The Fr. O'Flanagan Heritage Centre 
Voyez aussi le post de Monumental Ireland qui détaille ce phénomène pour différents monuments du Tourism Ireland : https://www.facebook.com/monumentalireland/posts/pfbid024WXXJQAvJLZNvMwhVp3XH6tCfRNJyV8EvHQH1tpE4c5SbHQHSAocXbsAWXiwiLfsl <3
[ENGLISH in https://www.english-heritage.org.uk/visit/places/stonehenge/things-to-do/solstice of the English Heritage <3 ]
Écoutez « Stonehenge, temple du soleil ? » de Carbone 14, le magazine de l'archéologie sur France Culture de Radio France, en partenariat avec Archéologia des Éditions Faton : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/carbone-14-le-magazine-de-l-archeologie/stonehenge-temple-du-soleil-4017286
Ce que le visiteur voit de Stonehenge, c’est bien entendu un grand cercle de pierres, le cromlech, des dalles verticales sur lesquelles reposent encore des linteaux. Pour autant, bien d’autres structures enserrent ce monument : des fossés, des talus, d’autres cercles sans aucune pierre, des tumuli, une allée monumentale menant à une rivière (l’Avon), tous témoins d’aménagements successifs et couvrant une longue période entre Néolithique et Âge du Bronze : https://fr.wikipedia.org/wiki/Stonehenge#Stonehenge_I_:_N%C3%A9olithique,_vers_-2800/-2100
Comme l'indique Cyril Marcigny du CNRS : « Nombre de monuments mégalithiques sont orientés sur différents facteurs cosmiques, les solstices par exemple, que l'on peut viser entre les pierres. A Stonehenge, c'est encore plus simple de viser les solstices, car on a des espèces de pierres qui se mettent dans l'axe des visées. Pour les autres ("Stonehenge"), on peut juste assister lors des solstices, à l'entrée du soleil, entre des dalles qui ont généralement une configuration un peu différente ». A Stonehenge, le système semble basé sur le soleil et ses solstices. L'axe de Stonehenge est orienté du nord-est vers le sud-ouest. Cette ligne relie le lever du soleil durant le solstice d'été (au nord-est) et le coucher de celui-ci lors du solstice d'hiver (au sud-ouest). Stonehenge serait donc un calendrier solaire perpétuel. A Seahenge, l’étroite entrée de l’édifice est alignée sur le soleil levant de la mi-été.
Découvert en Allemagne, le disque de bronze et d’or de Nébra est un disque céleste de 32 cm de diamètre, daté d’environ -1 600. Pour nombre de chercheurs, il s’agit de la plus ancienne représentation de la voûte céleste, avec les figurations de la lune, du soleil et de sept étoiles : celles des Pléiades, un char soleil voire la voie lactée. Cyril Marcigny pense que « dès le Néolithique, on sait observer les astres, les comprendre en tout cas, et savoir que ça revient régulièrement à un certain moment de l'année. Les outils que sont Stonehenge, Nebra, ce sont des outils d'enseignement, qui permettent d'aller un peu plus loin que ce qui s'est peut-être passé au Néolithique ».
Marquer le passage du temps était important pour de nombreuses cultures anciennes. Pour les habitants de Stonehenge qui étaient agriculteurs et s'occupaient de troupeaux d'animaux, il était important de savoir quand les saisons changeaient. L'hiver aurait pu être une période de peur car les jours devenaient plus courts et plus froids. Les gens ont dû aspirer au retour de la lumière et de la chaleur. Le fait de marquer ce cycle annuel a peut-être été l'une des raisons pour lesquelles les néolithiques ont construit Stonehenge - un monument aligné sur les mouvements du soleil. Au solstice, l'axe de la terre est incliné à son point le plus éloigné du soleil. Cela signifie que, pour nous dans l'hémisphère nord, le soleil est à son point le plus bas dans le ciel. C'est aussi le jour le plus court de l'année et la nuit la plus longue.
Les pierres ont été façonnées et mises en place pour encadrer au moins deux événements importants du cycle solaire annuel : le coucher du soleil au milieu de l'hiver au solstice d'hiver et le lever du soleil au milieu de l'été au solstice d'été. Au solstice d'été, vers le 21 juin, le soleil se lève derrière la Heel Stone et ses premiers rayons brillent au cœur de Stonehenge. Bien que le trilithe le plus haut du monument ne soit plus debout, le soleil se serait couché entre l'étroit espace de ces montants pendant le solstice d'hiver. Et vous verriez le lever du soleil dans la direction opposée vers le milieu de l'été : cf. https://www.facebook.com/StonehengeEH/photos/p.5950973948260714/5950973948260714
Le solstice d'hiver a peut-être été plus important que le solstice d'été pour les personnes qui ont construit et utilisé Stonehenge. Les fouilles à Durrington Walls suggèrent que les gens organisaient d'énormes fêtes à cette époque de l'année. Durrington Walls est une colonie néolithique située à environ trois kilomètres du monument. Les archéologues pensent que les gens qui ont construit et utilisé Stonehenge ont vécu ici. Des fouilles récentes ont révélé d'énormes quantités d'os de porc et de bétail abandonnés.
Happy birthday to Lar Dooley … and also Luna :-p and HAPPY LAST EVENING TO BOTH OF THEM AND YOU ;-) avec sa photo du Cairn V au coucher du soleil du solstice d'été, surplombant le Cairn T à Loughcrew. Le Cairn T, qui est probablement la structure la plus ancienne de la vallée de la Boyne, est aligné avec les levers de soleil de l'équinoxe de printemps et de l'équinoxe d'automne. Le Cairn T a également une "cheminée" existant au sommet du cairn, d'où les huit alignements solaires de l'année agricole néolithique ont été déclarés à travers le pays. À droite, avec une figure humaine debout dessus, se trouve la ruine du Cairn U, qui est probablement à l'origine de Samhain et d'Imbolg. Derrière le Cairn T se trouve le Cairn S, probablement les origines de Bealtine et Lughnasadh. Juste en aval du Cairn V, se trouve le Cairn W, avec un alignement du lever du soleil au solstice d'hiver.
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