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Mégalithes dépaganisés

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Bon anniversaire à Jean Graulle, vivant non loin de la Mairie Ax les Thermes, avec le menhir près de la Mairie De Savignac les ormeaux, vers l'Office de tourisme des Pyrénées Ariégeoises :-) Bloc dressé sur une place du village, haut d'environ 1,50 m, il est surmonté d'une croix en fonte : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHSAV0-2
Bon anniversaire à Laetitia Gentili de La Provence avec le Menhir de Villars, monolithe quadrangulaire surmonté au XVIème siècle d'une curieuse croix avec une sculpture du Christ dessus :-o , en granit à gros grains, de 1,90 m de hauteur hors sol, situé près de de l'Amicale Laïque d'Orcines à côté du lavoir municipal de Villars alimenté par le ruisseau "Tiretaine". Il y avait autrefois trois menhirs sur la commune d'Orcines en Clermont Auvergne Tourisme / Clermont Métropole. 
Le nom d’Orcines, vient d’URSINUS ou Terre des Ours. L’ours noir, souvent représenté comme animal psychopompe (passeur des morts), peut aussi faire référence aux autres sens étymologiques d’Orcines : ORCINUS et ORCUS signifiant « les enfers, mortuaire ». Le caducée est l’attribut du dieu Mercure dont le temple était bâti au sommet du Puy de Dôme situé sur la commune dans le Parc des volcans d'Auvergne. Le dieu Mercure avait également en Gaule le surnom d’URSIN : ce dieu , guide des chemins de la terre, était aussi celui qui conduisait aux enfers, ce qui rejoint l’étymologie « ORCINUS » … de quoi engendrer des Orcines Animations ;-) ORCUS sur le plan sémantique est pour les latins l’équivalant exact du grec HADÈS, « l’invisible », PLUTON, DIS PATER, dieu de la terre par excellence, Terre des morts et aussi terre nourricière des vivants, figure à la fois agraire et funéraire. Par la loi druidique, les Gaulois se disaient fils du dieu de la Terre, leur ancêtre. Selon le chanoine Falch’un, l’ours était chez les Celtes un animal sacré, l’un des symboles de la classe guerrière dont le roi celte était issu. C’était un ours noir, accompagné d’un charretier qui venait emporter les morts, et qui disparaissait sans laisser de trace (c'est quel collégien qui a écrit https://www.orcines.fr/spip.php?article5 ??? : je lui mets un 6/20 question orthographe/grammaire, ponctuation, enchaînements et tournures de phrases :-( )
{Photo de Bruno Marc dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=6334368 de The Megalithic Portal ; infos de http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=7622}
[CADEAU : GROUPE DE PARTAGE DE PHOTOS/INFOS] *** A la Saint Nicolas, dans beaucoup de pays on offre des cadeaux plutôt qu'à Noël : là je vous offre un groupe pour Partager vos photos/infos, from all over the world … que vous soyez un profile ou une page (y), avec la Communauté : https://www.facebook.com/groups/492561796300234 (y) :-) <3 ***
La Saint-Nicolas est une fête inspirée de l'évêque Lycien du IIIe siècle Nicolas de Myre, appelé aussi Nicolas de Bari, et d'un évêque actif dans la même région au VIe siècle, Nicolas de Sion, les traditions hagiographiques confondant les deux personnalités à partir du Xe siècle : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Nicolas_(f%C3%AAte)
Du coup cadeau dans la thématique mégalithique et chrétienne avec une croix king-size construite sur des restes de dolmen :-o / :-(
Bon anniversaire donc à Bud Haine avec le Calvaire des Serres, non loin du Comité des fêtes d’Escou dans la Haut-Béarn Communauté de Communes des Pyrénées Béarnaises ! Le village est dominé par une ligne de crêtes sur laquelle pointe une croix en béton, la croix d'Escou, érigée au XXe siècle par un apprécié curé de la paroisse, l'abbé Joseph Camblong : https://fr.wikipedia.org/wiki/Escou#Culture_locale_et_patrimoine
Les collines situées au nord-est d'Oloron Sainte-Marie et plus précisément entre les villages de Prècilhon et Escou ont été utilisées par les hommes du néolithique pour y implanter leurs monuments funéraires. Sur les points hauts se trouvent, alignés selon une direction sud-est/nord-ouest, quatre dolmens : https://www.lieux-insolites.fr/pyreatlan/peyrecor/peyrecor.htm
Faite de bric et de broc, la croix d’Escou érigée en 1939 par l’abbé Camblong, pour remercier la Vierge Marie d’avoir guéri sa domestique, mérite d’être découverte. La promenade sur les hauteurs d’Escou mérite le détour, notamment de par son point de vue magnifique sur les vallées environnantes et son site archéologique de Peyrecor. Mais si le curieux poursuit un peu la balade sur les crêtes, il se retrouve bientôt nez à nez face à une gigantesque croix, faite d’un assemblage étrange de béton et de ferraille, affublée d’un antique bénitier et gravée d’inscriptions... : https://www.larepubliquedespyrenees.fr/faits-divers/insolite/a-escou-l-histoire-rocambolesque-de-l-abbe-camblong-et-de-son-etrange-croix-5007952.php de La République des Pyrénées
En 1971, le terrain qui accueille l’œuvre maîtresse de l’abbé passe entre les mains d’un propriétaire privé qui n’a cure du monument. La dynamite menace l’ouvrage en béton armé. L’idée est insupportable à l’abbé Camblong. En 1976, l’abbé s’apprêtait à fêter son jubilé. Il souhaita alors déplacer la croix. La cause de l’abbé va mobiliser plusieurs bonnes volontés parmi les jeunes du village jusqu’à celle d’un diable, un outil de levage et de transport adapté aux dimensions du monument. La manœuvre fera un blessé léger. 
Ce que ne dit pas Wikipédia, c'est qu'il récupéra trois dalles en grès qu'il érigea en dolmen au pied de la croix. Ces dalles furent mise à jour par un engin de terrassement entre 1970 et 1975 à une cinquantaine de mètres de l'emplacement de la croix. Elles proviennent certainement, comme le pensait le curé Camplong, d'un autre dolmen détruit par les travaux agricoles. Les différentes dalles en grès, constituant ces dolmens, sont issus des affleurements du flysch campanien, situé 200 m en contrebas dans la plaine : https://www.geocaching.com/geocache/GC73E4F_la-croix-d-escou?guid=73ba681e-5379-4515-86ae-5effa1e242e1
Déplacée, la croix est scellée à l’emplacement d’un ancien dolmen. L’abbé Camblong voulait y voir la victoire du christianisme sur le paganisme. Pour marquer l’événement, le prêtre va orner la croix de l’ancien font baptismal de l’église. Il y rajoute la roue d’un ancien moulin, puis une charrue sur chaque côté et les inscriptions suivantes : Mourir = Maxi Preuve de l’Amour et les 4 V de Victoire, Voie, Vie, Vérité. À la fin des travaux, le curé émit le souhait d’installer une caravane pour vivre quelques temps au pied de la croix. Cette ultime facétie ne se réalisera finalement pas. « Toute cette histoire s’est produite alors que je venais tout juste de prendre mes fonctions. 
C’était difficile de refuser quelque chose à cet homme qui avait tant fait pour nous quand nous étions gamins. Et puis il avait son caractère » conclut Jean Casabonne : http://levoyageauxpyrenees.com/croix-sauvee-diable de Le voyage aux pyrénées (y)
Bon anniversaire à Lisida Hammer avec le Lec'h de la Chapelle Notre-Dame-du-Loc, croix du XIVe ou XVe siècle ayant christianisé une stèle sphérique protohistorique d'1,60 cm. L'ensemble posé sur soubassement a été remonté sur le mur d'enclos peut-être en 1913, date de restauration de la chapelle : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chapelle_Saint-Av%C3%A9-d'en-Bas
Bon anniversaire à Patrimoine Midi-Quercy de Pays Midi Quercy avec le Dolmen de Saillac à Caylus au lieu-dit Saint-Amans (http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=11454) en Causses & Gorges de l'Aveyron. Ce petit dolmen, dont la chambre mesure 2 m x 1,50 m maximum, présente un des plus beaux exemples de dolmen christianisé que l'on puisse voir : une colonne, servant de piédestal à une croix, a été bâtie au siècle dernier sur la table même du monument, qui n'est plus connu dans la région que sous le nom de « La Croix de la Mission ». See, in english, http://www.beyond-the-pale.org.uk/fzSaillac.htm
L'état du dolmen, en conséquence peut-être de cette transformation, est assez médiocre : le support gauche manque ; la table, à la surface de laquelle se trouvent de profondes cupules naturelles est soutenue du côté gauche par des pierres amoncelées ; elle ne couvre que les deux tiers de la chambre, qui est fermée au nord par une dalle de fond encore en place. Ce monument, orienté presque exactement plein nord, a été construit sur une légère pente, sur le calcaire du Bathonien inférieur (JII-III), avec des matériaux vraisemblablement pris sur place. On n'a remarqué aucune trace de tumulus, peut-être parce que les dalles paraissent avoir été profondément enterrées. 
Le remplissage avait été entièrement bouleversé avant la fouille. Le mobilier recueilli comprend : 
*** 2 pointes de flèches à crans : la première, en chaille grise, à crans peu marqués, a le pédoncule cassé. La seconde, en silex bleuté cacholonné, possède des crans bien marqués qui pourraient presque être qualifiés d'ailerons, l'un d'eux étant d'ailleurs nettement plus dégagé que l'autre. Elle est retouchée sur les deux faces, comme la plupart des pièces présentées, mais l'une des faces a conservé une large plage non retouchée ; la pointe est cassée ; le pédoncule, long, est arrondi à la base. Une autre flèche, en silex, à pédoncule et ailerons, a été égarée depuis la découverte. 
*** 1 plaquette de schiste polie, de forme ovalaire, ébréchée à une extrémité, non perforée (9,3 cm x 0,9 cm d'épaisseur x 4,8 cm de largeur maximum). 
*** 2 petites perles annulaires en cuivre, faites au moyen de lamelles enroulées. 4 perles annulaires en test, de taille relativement grande (1,1 cm). 
Ce dolmen se situe dans la partie sud de la longue traînée des dolmens du Quercy qui, du nord au sud, va de Saint-Cernin-de-Larche en Corrèze jusqu'à Bruniquel dans le Tarn-et-Garonne, couvrant les régions méridionales de la Corrèze, la majeure partie du département du Lot, l'ouest de l'Aveyron (région de Villefranche-de-Rouergue, Martiel), l'est du Tarn-et-Garonne et l'extrême ouest du Tarn. Il fait partie des dolmens simples, de toutes dimensions. 
Les plaquettes de schiste ont une longue utilisation : connues dès le Néolithique dans l'Aude (sépulture en caisson de Rouvenac), elles n'apparaissent sur les Causses qu'au Chalcolithique dans la couche III de la Grotte des Treilles, en association avec les pastilles au repoussé et les triangles hachurés, mais elles durent jusqu'au Bronze ancien inclus. Dans la couche II de Marsa (Beauregard, Lot), A. Galan a signalé une plaquette de schiste, ainsi datée du Bronze ancien ; il peut toutefois s'agir d'une pièce différente des plaquettes trouvées dans les dolmens, car celle de Marsa portait une rainure centrale et l'auteur envisage son utilisation comme polissoir pour les poinçons en os. Les plaquettes de schiste se trouvent indifféremment dans des dolmens ou des grottes-ossuaires et paraissent avoir une destination funéraire. Dans le Quercy, on ne connaissait jusqu'à présent que celles des dolmens de Peïrofîc et des Grèzes (Martiel, Aveyron), cette dernière n'étant d'ailleurs pas attestée de façon indiscutable, outre les deux plaquettes de Rivet (Marnaves, Tarn). Les trois plaquettes supplémentaires présentées ici doublent donc le nombre total de ce type d'objet dans cette région. Comme celles connues précédemment, elles sont exclusivement localisées dans le quart sud-est du Quercy, et sont donc à rapprocher des exemplaires caussenards ou encore de celles trouvées en grand nombre, surtout en milieu campaniforme, des deux côtés des Pyrénées. 
Les perles annulaires métalliques sont presque toujours en cuivre pur. Ces perles, fréquemment de petite taille, sont faites le plus souvent d'une lamelle de cuivre enroulée ; elles peuvent apparaître en milieu pré-campaniforme sur les Causses (Grotte du Pas-de-Joulié, Trêves, Gard), mais on les trouve encore au début du Bronze ancien (niveau II de Marsa). Elles sont très communes dans les dolmens du Quercy : on en connaît 111, réparties dans 22 dolmens. Les perles annulaires, enfin, qu'elles soient en test, en calcite en jayet ou en stéatite, n'ont pas de spécificité bien marquée. Elles apparaissent dès le Néolithique ancien (Châteauneuf-lez-Martigues, couche F6 ; Grotte de Riaux, n° l). Présentes mais peu fréquentes dans les couches chalcolithiques les plus anciennes des Grands Causses, elles deviennent extrêmement abondantes à la phase récente de cette période et jusqu'au Bronze ancien. Elles constituent le mobilier de base des dolmens quercynois. 
Du Chalcolithique ancien, faiblement représenté, au plein Bronze ancien, le Quercy a reçu, et dans une moindre mesure diffusé, les influences venues de l'Ouest, de l'Est et même des Pyrénées, mais, faute de nombreuses stratigraphies d'habitats, les sépultures ne laissent pas pressentir, comme c'était le cas par exemple sur les Grands Causses, l'existence d'une civilisation pleinement originale en Quercy : https://www.persee.fr/doc/galip_0016-4127_1972_num_15_1_1411
{Photo de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=13372}
Bon anniversaire à Yann Riou (et aussi à Gwilhou Yann de la Société de Géographie ;-) ) avec ses photos du menhir de Saint Uzec, dans la Ville de Pleumeur-Bodou, qui a été christianisé lors de la seconde moitié du XVIIème siècle. Surmonté d’une croix, ses sculptures (autrefois peintes : https://www.facebook.com/MegalithicParc/photos/a.111734871682970/110978091758648) représentent la Passion du Christ. La masse du menhir, sa taille (5m90 au dessus du sol), son dos sillonné de traits verticaux rappelant une mante de deuil, la croix sommitale et les sculptures lui confèrent sa silhouette singulière.
Lors de votre séjour sur la Côte de Granit Rose Tourisme, ne manquez pas de visiter ce monument unique, particulièrement impressionnant, et qui illustre les efforts considérables réalisés par le clergé au XVIIe s. pour répandre et renforcer la foi auprès de populations paysannes.
Le menhir est situé près du lieu-dit "Penvern" à Pleumeur-Bodou. Il est appelé menhir "de Saint-Uzec" en raison de sa proximité avec la chapelle dédiée à ce saint breton, située sur le versant d’en face.
Buon compleanno a Marco Melilli, qui tombe bien car j'ai posté concernant un EMPLOI (à 50 km du Menhir dit Pierre Saint-Julien [car j'Aime comme Mayenne (cf. https://flickr.com/photos/mathieu-amigalithes/albums/72177720305516882) et le Musée de Préhistoire - Vallée des grottes de Saulges en Sainte Suzanne - Les Coëvrons, destination tourisme en Mayenne : https://www.facebook.com/mathieu.amigalithes/posts/pfbid034VnxMAKnVmix7kdGs43inheDocoh4hAVf4qoRM3PhEAEhWCWZdqusxsaMEB4fff3l (y) ], non de l'Office de Tourisme Le Mans Métropole dans la Ville du Mans, que je n'avais malheureusement/honteusement pas pris le temps de photographier lors de mon passage pour InterNéo (https://interneo.hypotheses.org/274) en 2017 en Sarthe Tourisme lors de ma session dans les Pays de la Loire Tourisme : https://flickr.com/photos/mathieu-amigalithes/albums/72177720305841266 (y) :-) <3
Voici ce que j'ai comme info, à compléter car ça intéressera aussi les Musées du Mans, dans ma nouvelle carte GoogleMaps des mégalithes du monde organisés par époques (https://www.google.com/maps/d/edit?mid=1vSqBZpqJysb5u87cDt3Cer6lsmLdqUs) : « Au portail principal, on voit un bloc de grès de 4,55 m un peu aplati, arrondi vers le sommet et chargé d'aspérités ondulées naturelles : https://books.google.fr/books?id=uTVYAAAAcAAJ&pg=PA55
Ce menhir a été christianisé (trace de croix à son sommet), et figurait sur les monnaies mérovingiennes frappées par la cathédrale. Cette pierre de grès rose montre un remarquable drapé, qui évoque le côté féminin de certains menhirs : http://www.t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=5837 »
Comme souvent les chrétiens ont dépaganisé d'anciens mégalithes païens, même si leur culte est longtemps resté ancré, il y a fort à parier que le menhir n'a pas du trop bouger (il existe tout proche le toponyme du Pilier Rouge mais peut aussi venir de la Rue du Pavé) et donc que la cathédrale se serait construite autour de lui … mais là c'est plus le boulot des archivistes que des archéos (sauf si on trouve sa fosse de calage au pied de la cathédrale) :-p
Bon anniversaire à Dominique Biron de la très bonne asso Paléo Néo et Nous (qui organise avec la Société d'Histoire de Chinon Vienne & Loire en partenariat avec la Communauté de communes Chinon Vienne et Loire l’exposition « Mégalithes, dolmens et menhirs de notre territoire », cf. le programme dans https://www.facebook.com/photo/?fbid=704636468122519&set=a.595122212407279 du Tourisme Loudunais (y) :-) <3 ), avec, car Tout commence en Finistère ;-) , sa photo du Dolmen de la Chapelle de Kerinec / Lesaff, constitué d'une table sur quatre supports : voir http://www.t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=7026 et https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=9033 de The Megalithic Portal (y)
N'hésitez pas à Partager vos photos/infos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Les menhirs étaient nombreux sur le territoire de Poullan. Le menhir de Lesaff mesure 4,50 mètres et date du Néolithique. Un peu plus loin, à l’angle d’un taillis, se dessine un petit dolmen, quatre pierres avec une table en pierre : BRAVO et MERCI à Poullan sur mer de Douarnenez Communauté / Douarnenez Tourisme pour https://poullansurmer.bzh/les-megalithes (y) :-) <3
La chapelle Notre-Dame-de-Kérinec est un lieu de culte catholique. Elle est construite vers 1280. Son architecture intérieure est caractéristique du style dit École de Pont-Croix. L'extérieur est remanié à la fin du XIVe siècle ou au XVe. La chapelle Notre-Dame-de-Kérinec a été construite sur une source (devenue une fontaine sacrée) qui, antérieurement, semble avoir été un lieu de culte païen. Un menhir et un dolmen se trouvent non loin de là, à 500 mètres à l'Est : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chapelle_Notre-Dame-de-K%C3%A9rinec
Buon compleanno a Riccardo Bugiani de la Regione Emilia-Romagna avec ses photos de la Necropoli di Su Musellos (y) Do not hesitate to Share your photos with the Community of the Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-)
Les domus de janas de Musellos sont excavées sur le flanc ouest d'une butte calcaire. Le noyau principal de la nécropole, résultat de diverses transformations liées aux différentes phases d'utilisation au cours des siècles, est constitué de trois grandes cellules interconnectées, disposées successivement du nord au sud. La tombe qui a subi le plus de transformations, probablement au début du Moyen Âge, est celle qui est située le plus au nord. Elle présente un plan quadrangulaire irrégulier avec des niches creusées dans les murs et une fosse rectangulaire creusée dans le sol. Le sol de droite est surélevé par rapport au reste de la pièce. La présence d'une croix gravée sur le linteau de la porte de la deuxième cellule indique que les hypogées étaient fréquentés à l'époque paléochrétienne : http://www.visitittiri.com/it/offerta-culturale/da-vedere/luogo-culturale/Necropoli-di-Musellos et https://www.comune.ittiri.ss.it/pg/eta-prenuragica/4 de la Comune di Ittiri (y) :-) <3
Le complexe archéologique de Musellos est situé près de la périphérie sud du centre urbain d'Ittiri, dans la région de Giundali, sur un petit relief situé à environ 390 m au-dessus du niveau de la mer, à environ 700 m du Nuraghe Majore, et à une courte distance des nuraghi Giundali, Ena Ortu et Cunedda : https://it.wikipedia.org/wiki/Complesso_archeologico_di_Sa_Figu
La nécropole se compose de sept hypogées connus. Le noyau principal est constitué des hypogées I, II (ou Sos Coroneddos di Musellos) et VII. Les hypogées III-IV et V-VI sont situés sur d'autres cartographies, à des distances comprises entre 150 et 200 m du noyau principal.
Les domus de janas de Musellos sont excavées sur le flanc ouest d'une butte calcaire. Le noyau principal de la nécropole, résultat de diverses transformations liées aux différentes phases d'utilisation au cours des siècles, est constitué par l'hypogée connu sous le nom de "Sos Coroneddos de Musellos", qui présente trois grandes cellules interconnectées et disposées en succession du nord au sud. La cellule qui a subi le plus de modifications, probablement au début du Moyen Âge, est celle située plus au nord. Elle présente un plan quadrangulaire irrégulier avec des niches creusées dans les murs et une fosse rectangulaire creusée dans le sol. Le niveau du sol à droite est surélevé par rapport au reste de la pièce. La présence d'une croix gravée sur le linteau de la porte d'accès à la deuxième cellule suggère que l'hypogée a été fréquenté au début de la période chrétienne : https://www.sardegna.beniculturali.it/getFile.php?id=13780 de RAS - Regione Autonoma della Sardegna
Voir aussi https://www.sardegnaturismo.it/it/esplora/necropoli-di-sa-figu de Visit Sardinia, https://www.facebook.com/hashtag/musellos, https://nuragando.altervista.org/necropoli-di-musellos-ittiri de Nuragando Sardegna
Bon anniversaire à Camille Vasseur de Lembas Ltd avec le Menhir dit la Pierre Plantée à Faugères (rien à voir avec les Vins AOC Faugères ;-) ) dans la Communauté de Communes du Pays Beaume-Drobie des Cévennes d'Ardèche :-) J'en veux bien svp des photos à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y)
Il est constitué d'un bloc de grès vertical d'une hauteur de 2,70 m au-dessus du sol. Une croix en grès, taillée à angles vifs, est érigée sur le sommet. Sur sa face nord sont gravées : une croix latine, fine, légèrement pattée, grande de 0,25 m. En haut, on lit encore deux lettres N et R séparées par un point, en bas, la date de 1821 : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MHPL03-3
Voir aussi http://villagededeaux.free.fr/GEOCACHING/Ard%C3%A8che/Faug%C3%A8res/Menhir%20de%20Faug%C3%A8res.pdf
Bon anniversaire à Lionel Le Priol :-) Sa mission, divine … enfin païenne aussi ici ;-) , s'il l'accepte : se rendre dans l'abbaye Saint-Michel de Kergonan dans la Commune de Plouharnel de la Paroisse de Carnac - La Trinité - Plouharnel et y photographier "ses" mégalithes puis Partager avec la Communauté … des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths :-) En effet, il resterait un menhir couché, un tertre et un dolmen dans l'abbaye, ce qui est difficilement vérifiable pour nous le commun des mortels :-o / :-( : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=29444
P.S. : je veux bien goûter au passage leurs biscuits Epeaucalm’ : https://www.saintmicheldekergonan.org/boutique/religieux-2 :-p
{Photo de la "modeste" demeure des abbesses/nonnes dans https://www.morbihan.com/plouharnel/abbaye-saint-michel-de-kergonan/tabid/12562/offreid/d8d7ef56-bcd0-4e8e-bcf6-0e434f74af72 de Morbihan Tourisme}
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