Big & Old StoneS

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Pétroglyphes (cupules et autres gravures)

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Feliz aniversário para João Fusco Ribeiro du Centro de Investigação em Ciência Política avec cette photo prise dans la Serra du Parque Natural de Montesinho :-) Comme c'est le week-end ça me fait penser que les mégalitheurs devaient aussi savoir être fainéants et utiliser les formes naturelles créées par les éléments pour leurs rituels : quoi de plus spirituel que l'eau de pluie stagnante dans ces bassins fruits de l'érosion de la pierre par l'action de l'eau à la manière des « marmites de géants » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Marmite_du_diable) ???{Photo de The Megalithic Portal dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=37602}
Feliz cumpleaños a Eduardo Castrosan avec sa photo d'un pétroglyphe dans la Município de Espinho (y)
Feliz cumpleaños a Miguelo Pérez Negrete de l'Instituto Nacional de Antropología e Historia avec les pétroglyphes de la Zona Arqueológica Las Labradas. Sinaloa, México : https://www.inah.gob.mx/zonas/zona-arqueologica-de-las-labradas (y) C'est à 80 kilomètres au nord de Mazatlan, dans l'État de Sinaloa, au nord-ouest du Mexique, que se situe une plage connue sous le nom de Las Labradas, où les rochers sont recouverts de plus de 600 pétroglyphes :-o Alors VisitSinaloa et VisitMexico (y). Les chercheurs mexicains du Centro INAH Sinaloa ont découvert des sites archéologiques dans les environs datant de la période archaïque (-2 500 / -1 000), ainsi qu'un autre site plus tardif... Ils pourraient fournir des indices sur les créateurs des pétroglyphes de Las Labradas. A ce jour, il existe 22 sites sur l'éperon rocheux portant des traces d'activité humaine. Joel Santos Ramirez et son équipe ont découvert un site Aztatlán (750/1250) contenant des céramiques et une sépulture multiple de cinq personnes : deux mâles adultes, deux adolescents (un garçon et une fille) et un nourrisson. Tous, sauf l'enfant, ont les dents qui ont été limées en "V" et deux avaient des déformations crâniennes. Ce sont des pratiques culturelles qui étaient communes aux peuples de Sinaloa. Les caractéristiques physiques de la sépulture ont permis à Joel Santos d'attribuer le site à une culture locale se raccordant à la chronologie d'Aztatlán de l'ouest. Parmi les poteries découvertes figurait une pièce ornée de cercles concentriques ; c'est l'un des éléments symboliques présents dans de nombreux pétroglyphes de Las Labradas.Mais il est encore trop tôt pour relier les gravures rupestres aux habitats qui font l'objet de fouilles. On ne sait pas non plus si elles appartiennent aux premiers habitants de Sinaloa, ou plus tard, à la culture Chicayota. Ramirez suggère qu'il pourrait même s'agir de deux cultures: les personnes qui ont créé l'art rupestre peuvent avoir perpétué d'anciennes traditions. Sur le site de Lomas del Mar, il y a avait plus de débris de poteries et de coquillages de la période Aztatlán. De même à Arroyo La Lomita, situé à 3 kilomètres à l'intérieur, sauf que cette fois, de la céramique et des objets ont pu être associés à des pétroglyphes. En plus de ces sites tardifs, Ramirez en a découvert un autre qui va changer la chronologie sur l'ancienneté de l'occupation humaine dans le nord-ouest du pays. Ils étaient sur le site de la Fleur de l'océan, dans ce qui était l'embouchure de la crique, lorsqu'ils ont trouvé 60 pointes de projectile (20 complètes et 40 fragments), ce qui représente la plus ancienne preuve de présence humaine dans la région. Jusqu'à présent, le plus ancien site dans le nord-ouest du Mexique était daté vers -2 000. Tout cela confirme l'existence de camps temporaires et d'un atelier de fabrication lithique où des pointes de projectiles ont été créés.{Photo de México Desconocido dans https://www.mexicodesconocido.com.mx/10-zonas-arqueologicas-cerca-del-mar.html ; infos de Les Découvertes Archéologiques dans https://decouvertes-archeologiques.blogspot.com/2013/01/qui-cree-les-petroglyphes-de-las.html}
Feliz cumpleaños a Susi Martinez Nebril avec sa photo contextualisée des Petróglifos de Tourón / Coto da Siribela / Laxe das Cruces : https://www.facebook.com/susi.martineznebril/posts/pfbid0z2q9eWjAYvUJ3ba4pkyMm81X2pALyv6TWPZbYEVKSbbzmnrxEUxZVpQFjkTmvkYQl (y)La zone archéologique de Tourón est l'un des sites d'art rupestre en plein air les plus remarquables de Galice. Elle est située à Tourón, une paroisse civile de la commune de Ponte Caldelas, dans la province de Pontevedra en Espagne. C'est un immense site de plus de 150 000 mètres carrés, composé de cinq stations de pétroglyphes et de gravures rupestres. Le site fait partie du groupe d'art rupestre de Terras de Pontevedra. Selon les chercheurs, ces vestiges datent de la fin du Néolithique et de l'Âge du Bronze. Ils ont donc été réalisés entre -3 000 et -2 000 !Les pétroglyphes se trouvant à l'intérieur du site se caractérisent par l'originalité des figures représentées. Cassolettes, combinaisons circulaires, zoomorphes, triskèles et svastikas ne sont que quelques-uns des motifs de ces gravures, qui vont de simples panneaux à, dans certains cas, des compositions extraordinairement complexes pour l'époque. Les cinq stations de la zone archéologique de Tourón sont: *** Laxe das Cruces est le plus remarquable de tous les ensembles de la région. Il présente un ensemble nombreux et hétérogène de motifs géométriques et naturalistes. Il y a une forme circulaire remarquable d'où émergent des rayons ou des bras qui dépassent la ligne extérieure et finissent en petits cercles. Un grand cerf, réalisé par la technique de l'abaissement, et d'autres animaux forment une unité de composition avec le reste des figures. *** Outeiro da Forcadela est l'un des ensembles les plus simples, composé de cercles concentriques et de cassolettes intérieures. *** Coto das Sombriñas combine une série de gravures animalières et une autre série de traces difficiles à identifier. L'un de ces pétroglyphes est connu sous le nom de banderillero, en raison de sa ressemblance avec cette profession de torero. Il représente une figure humaine avec les bras levés et les armes à la main devant un quadrupède dépourvu de cornes et avec une ligne transversale sur le dos comme une blessure. *** Coto da Siribela est un ensemble dans lequel se distinguent l'Orante et plusieurs scènes d'équitation. Elle possède également une spirale, plusieurs cassolettes, un ovale ouvert avec un appendice ou des motifs originaux tels qu'une paire de lignes parallèles avec des cercles ou des combinaisons circulaires. **** Nabal de Martiño contient l'une des scènes de chasse les mieux conservées dans la zone d'art rupestre de Terras de Pontevedra, mettant en scène un grand cerf mâle avec un creux intérieur. Un homme armé y fait irruption au milieu d'un troupeau de cerfs qui boivent dans un étang. Ils s'enfuient en courant, effrayés dans toutes les directions, lorsque le chasseur apparaît et plante ses lances à gauche et à droite.Le centre archéologique de Touron, inauguré en 2007 (https://terrasdepontevedra.org/arte-rupestre/area-arqueoloxica-de-touron de Terras de Pontevedra), a été créé dans le but de faire connaître toute cette zone archéologique et de servir d'outil d'interprétation. Il possède une exposition stable qui illustre la vie du village qui, selon les chercheurs, s'est déroulée dans la région. Il analyse également les lieux où les pétroglyphes ont été réalisés et les scènes et motifs qui y ont été représentés : https://fr.wikipedia.org/wiki/Site_arch%C3%A9ologique_de_Tour%C3%B3nVoir aussi https://ponte-caldelas.destino.gal/en/petroglifos-de-touron-ponte-caldelas de Destino Galicia
Buon compleanno a Andrea Arcà, ex de l'Università di Pisa, avec sa photo de la Grande Roche de Naquane (VIDÉO dans https://www.youtube.com/watch?v=GumlldAOl9E) à Valcamonica dans le Parco Nazionale delle Incisioni Rupestri - Naquane (http://www.parcoincisioni.capodiponte.beniculturali.it/index.php?en/23/capolavori) et son « Digital Practices for the Study of the Great Rock in the Naquane National Park, Valcamonica, Italy: from Graphic Rendering to Figure Cataloguing » : https://www.academia.edu/24883327/Arc%C3%A0_Andrea_2016_Digital_Practices_for_the_Study_of_the_Great_Rock_in_the_Naquane_National_Park_Valcamonica_Italy_from_Graphic_Rendering_to_Figure_Cataloguing (y) Le nom de Contrada Aquane apparaît sur une carte cadastrale du XIXe siècle, faisant probablement référence aux légendes de la tradition alpine. Les gravures trouvées ici vont des images schématiques de la période néolithique aux compositions symboliques plus détaillées des âges du cuivre et du bronze, jusqu'aux scènes narratives de l'âge du fer caractérisées par un style dynamique et descriptif : https://museilombardia.cultura.gov.it/en/museums/parco-nazionale-delle-incisioni-rupestri de la Direzione regionale Musei LombardiaVoir aussi https://zenodo.org/record/7296259#.Y7q_6hWZPrc, http://www.rupestre.net/tracce/?p=13868 de Tracce Online Rock Art Bulletin, https://www.rockartscandinavia.com/images/articles/a8anati.pdf de Emmanuel Anati, http://www.archeocamuni.it/naquane_02_en.html de Archeocamuni Valcamonica et https://www.wanderingitaly.com/blog/article/1110/naquane de Wandering Italy
Feliz cumpleaños a Xaime Cortizo, et que Xaime Cortizo Fotografía Comunicación Visual n'hésite pas à Partager ses photos de Big & Old StoneS avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths (y) A Peneda Negra est l'un des panneaux rocheux les plus uniques du territoire de Compostela Rupestre du Colectivo A Rula, tant pour les grandes dimensions de la roche que pour la quantité et la dispersion des motifs. C'est aussi l'une des premières stations découvertes dans la région. Plus précisément, c'était Oscar Lojo-Batalla Sampedro au début du XXe siècle. Cette figure éminente est devenue maire du Concello de Ames du Turismo de A Coruña pendant la Seconde République et était le neveu du plus important antiquaire de l'époque, Casto Sampedro, également fondateur et président de la Société archéologique de visit-pontevedra.com. En 1909, Oscar Lojo conduisit Enrique Mayer, un noir de jais de Santiago, et le dessinateur Enrique Campo Sobrino, membre de la société de Pontevedra, jusqu'au pétroglyphe voisin de Monte Castelo, qui produisit des dessins sur les panneaux à exposer à l'importante exposition régionale organisée à Compostelle la même année. Peneda sera visitée et étudiée à nouveau au cours des années successives par différents archéologues tels que Ramón Sobrino Buhigas, en compagnie de ses étudiants en 1934, ou en 1948 par son fils Ramón Sobrino Lorenzo-Ruza, avec Luis Monteagudo. Le rocher sur lequel se trouvent les gravures mesure environ 80 m. de longueur et 20 de largeur. Dans sa partie supérieure, plus plate et plus horizontale, se trouve la plupart des gravures. Au contraire, la zone inférieure présente une forte pente et ici les figures sont minoritaires. La grande majorité des représentations appartiennent au groupe dit géométrique et sont essentiellement des cupules, des cercles simples, des cercles avec des cupules à l'intérieur et des combinaisons circulaires. Vous pouvez également apprécier plusieurs figures complexes formées par la combinaison de cercles concentriques reliés à des motifs quadrangulaires aux coins arrondis, similaires à ceux qui apparaissent dans d'autres gravures de la région telles que le Pétroglyphe de Monte Castelo ou Devesa da Rula II. Ces types de figures sont interprétés par certains auteurs comme des représentations anthropomorphiques schématiques, peut-être une divinité féminine ou une sorte d'idole. Dans le même pétroglyphe, mais très érodé, on peut aussi voir 2 figures animalières gravées. Le mieux conservé apparaît côté nord et représente un cerf mâle aux grands bois. L'érosion et la couleur sombre de la roche rendent difficile la vision des motifs, il est donc recommandé de visiter le complexe au coucher du soleil pour profiter de la lumière rasante du soleil, comme nous le montre Pablen Compostela Teo via Colectivo A Rula, Asociación Cultural dans https://www.facebook.com/pablen.compostelateo/posts/pfbid02LPj41FdcmJ2zrqpsftyxV9Eaox9frhiSLVD8Z3m4ghWbuEscijEdUxZc2RSxKTghl <3. A cette époque, Peneda Negra se révèle comme l'un des panneaux les plus spectaculaires du territoire du Parc Compostela Rupestre : https://compostelarupestre.gal/es/_petroglifo-a-peneda-negra-es (y) :-) <3Voir aussi https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=47381 de The Megalithic Portal et http://megaliticia.blogspot.com/2015/10/petroglifos-da-peneda-negra.html
Bon anniversaire à Pierre Felettig avec une de ses nombreuses photos d'abris ornés dans la Forêt de Fontainebleau (y)L'ensemble rupestre du massif de Fontainebleau est un regroupement de gravures rupestres essentiellement situé au sein d'abris formés par les chaos rocheux gréseux du massif géologique de Fontainebleau. Cet ensemble rupestre compte plus de 2 000 abris gravés, ce qui en fait, pour le territoire français, le second ensemble rupestre en importance, après celui de la vallée des Merveilles. Découvert et étudié progressivement à partir du XIXe siècle, l'ensemble rupestre du massif de Fontainebleau reste relativement peu connu du grand public. Une partie des œuvres sont supposées dater du Mésolithique. Toutefois les plus anciennes sont datées – selon des critères stylistiques – du Paléolithique. Le reste renvoie au Néolithique, à l'âge du Bronze ou au Moyen Âge. Un certain nombre sont également contemporaines, du XIXe au XXe siècle.L'ensemble va, selon un axe nord-ouest/sud-est, de la forêt de Rambouillet, jusqu'au cours du Loing, et au-delà pour quelques uns. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, seule une modeste partie des abris gravés se trouve au sein même de la forêt de Fontainebleau. De ce fait, la répartition des pétroglyphes couvre principalement trois départements : la frange Sud-est des Escapades dans les Yvelines, le nord de l'Essonne Tourisme et l'ouest de la Seine-et-Marne, Vivre en Grand : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ensemble_rupestre_du_massif_de_FontainebleauHormis les ajouts sous abris mentionnés ci-dessus, les gravures pouvant être rattachées à la période du Néolithique se trouvent en plein air, sur des surfaces naturelles de rochers ou sur des mégalithes. Un motif particulier se détache, celui des anthropomorphes « emplumés ». Ces représentations humaines très stylisées et dotés d'un couvre-chef vraisemblablement orné de plumes sont fréquemment accompagnées d'autres motifs et notamment de représentations de haches qui permettent de dater ces pétroglyphes du début de la période néolithique locale, soit environ -5 000. Les motifs néolithiques sont, dans l'état actuel des recherches, très concentrés autour de la vallée de l'Essonne. Ils peuvent être reliés à la culture archéologique appelée groupe de Cerny (https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_de_Cerny) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ensemble_rupestre_du_massif_de_Fontainebleau#N%C3%A9olithique
Feliz cumpleaños a Valeria Antezana de l'Agencia Nacional de Investigación y Desarrollo, ANID avec les géoglyphes de personnages à Chiza, de formes géométriques provisoirement datées de 1000 ans : en photo dans https://www.megalithic.co.uk/article.php?sid=24107 de The Megalithic Portal et ici en GoogleView dans https://www.google.com/maps/place/19%C2%B012'17.6%22S+70%C2%B000'31.0%22W/@-19.2036994,-70.0082996,163m/data=!3m1!1e3!4m5!3m4!1s0x0:0xf8284754e467f5ae!8m2!3d-19.2049!4d-70.0086Les géoglyphes de Chiza, également connus sous le nom de géoglyphes de confluence Chiza-Suca, sont une série de géoglyphes préhispaniques avec des figures anthropomorphes, géométriques et zoomorphes, situés au confluent du ravin de Chiza et du ravin de Suca, Comuna de Huara, Région de Tarapaca, Chili du Sernatur. Le toponyme « Chiza » est d'origine aymara. Il dérive du mot ch'isi ou ch'isa, qui se traduit par "froid hivernal". Le nom vient de la pénétration du froid en hiver, les géoglyphes étant situés au milieu du désert d'Atacama !Le panneau principal est composé de figures anthropomorphes avec un rectangle à double ligne, un dessin observé dans les géoglyphes de Cerro Mono et Alto Ariquilda Norte. De plus, des figures géométriques (cercles, croix, entre autres) et zoomorphes (camélidés et autres quadrupèdes) sont observées. Sur le côté opposé du panneau principal, la figure est un chakra. Les géoglyphes de Chiza sont liés à un important carrefour de routes ou de sentiers caravaniers, à destination de divers sites stratégiques : au nord, aux secteurs Conanoxa et Taltape du ravin des Camarones ; vers le sud, à Corza dans le ravin de Camiña et Tiliviche; à l'est, à Liga et Suca dans le ravin Suca; et à l'ouest, à l'embouchure du ravin des Camarones. De plus, ils indiqueraient également l'existence d'une gouache. Par conséquent, le secteur a probablement été un lieu de repos et de ravitaillement en eau et en pâturage. Ils ont été réalisés selon la technique de l'addition, consistant à ajouter ou accumuler des pierres de couleur foncée pour définir la figure du géoglyphe, afin de contraster sur un fond plus clair, caractéristique des collines désertiques et de la pampa : https://es.wikipedia.org/wiki/Geoglifos_de_ChizaVoir aussi https://www.chile-excepcion.com/videos-photos/geoglyphes-chiza-photos
Feliz cumpleaños a José Manuel Vilaboa Bernárdez avec une des ses photos (https://www.facebook.com/JmVilaboa/posts/pfbid02o6si1DJcEypSFy31zB7HtXcWfKhNBg8PrExTuMtwXL1PKwLtcreXto9AjH62Fs4Pl) de Petroglifo en Monte Castelo (Ames, A Coruña) : https://turismo.dacoruna.gal/es/descubre/paisaxe-arqueoloxico-e-xeoloxico/petroglifo-de-monte-castelo de Turismo da Deputación da CoruñaVoir aussi https://colectivoarula.com/2019/02/04/monte-castelo-4-un-novo-petroglifo-na-contorna-do-castro-de-monte-castelo-ames de Colectivo A Rula, Asociación Cultural (lire à leur sujet https://www.lavozdegalicia.es/noticia/santiago/ames/2015/08/15/localizan-ames-joya-arte-rupestre-daba-perdida/0003_201508S15C7991.htm de La Voz de Galicia) concernant un nouveau pétroglyphe :-oEntre l'été et l'automne 2016, les travaux de nettoyage et de documentation ont été réalisés pour la mise en valeur du pétroglyphe Monte Castelo 2 et le contrôle de l'enlèvement de la végétation effectué autour du pétroglyphe Peneda Negra (Ames, La Corogne). Les travaux ont été promus et supervisés par le service d'archéologie de la sous-direction générale de la conservation et de la restauration des biens culturels de la direction générale du patrimoine culturel en collaboration avec le Concello de Ames (https://www.concellodeames.gal/es/ames/patrimonio-popular-e-artistico/patrimonio-arqueoloxico), qui a fourni les moyens auxiliaires de défrichement et de nettoyage de la végétation : http://hnorte.com/traballos-nos-petroglifos-de-monte-castelo-e-a-peneda-negra-ames-a-coruna
Bon anniversaire à Fabien Maret - pro de Vendée Expansion avec la Pierre des Farfadets (http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MNFARF+4) à Le Poiré-sur-Vie, la page officielle dans la Communauté de communes Vie et Boulogne, pierre de granite gris de 2,50m sur 2,40m sur 1,90m recouverte de signes gravés (petites cupules ?), qui sont à rapprocher de ceux décrit pour les Pierres du Meniscoul (http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=30710) à Piriac-sur-Mer ! Je veux bien svp l'Office de Tourisme Vie et Boulogne et La Baule-Presqu’île de Guérande Tourisme (qui RECRUTE, cf. https://www.facebook.com/photo/?fbid=144936081702468&set=a.120480857481324) des PHOTOS à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, par avance MERCI (y)Ce monument reste très énigmatique, et quelques légendes l’entourent :*** la première est celle de la « Dame Blanche, condamnée à errer dans le Val de Vie du fief », qui circule dans la Vallée de la Vie voisine, sur le bord du rivage ;*** la deuxième implique Gargantua. Le bloc se trouvait de l’autre côté de la rivière, aux « Filets de Barrot », Gargantua s’est emparé de la pierre afin de la déposer au sommet du Coteau sur la rive opposée. Puis il l’a abandonnée en y laissant son pesant fardeau. Les gravures sont nées des empreintes des doigts de Gargantua lors du transport de la pierre.*** la troisième légende est celle des farfadets, petits êtres plus ou moins maléfiques, qui montaient une garde vigilante autour du trésor, enfoui en-dessous. Les farfadets jouaient parfois aux « caquenettes », petites boules marrons issues d’une maladie du chêne, qu’ils faisaient rouler dans les trous qu’ils avaient creusés dans leur pierre.
Feliz aniversário para Claudia Ines Parellada (et à Arqueologia Branchelli / Branchelli Arqueologia en même temps ;-) ) avec sa photo de pétroglyphes du site archéologique d'Ouro Verde, documenté par l'équipe du Museu Paranaense, dans un projet en partenariat avec Coppel, entre 1996 et 1998, dans le sud-ouest du Paraná. Datant d'il y a entre 10 000 et 300 ans, pour en savoir plus visitez le Museu Paranaense et le Museu Regional do Iguaçu / Iguassu Regional Museum, ainsi que dans diverses publications sur l'art rupestre du Paraná que vous trouverez sur leurs sites :-)
Bon anniversaire à Francis Raux avec les blocs cupulaires de Billième, qui forment un ensemble de six sites (Follioules, Santourin, Lachat, Le Rocher, La Guettaz et La Roche) de pierres à cupules répartis autour du village ; les sites de Follioules et de La Roche comptent deux pierres chacun, les autres en ont une seule (si la Mairie de Billieme et/ou l'Office de Tourisme Bugey Sud Grand Colombier peut Partager des photos avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths c'est top (y) ). Les sites prennent place sur un cercle de 1 825 mètres de diamètre (à plus ou moins 25 mètres près), centré sur le village de Billième, entre le bourg et le lieu-dit La Croix des Fourches. Ces pierres sont creusées de plusieurs cupules, des petites dépressions concaves, de forme circulaire ou ovale, de quelques centimètres de diamètre, creusées par des êtres humains. Leur nombre est variable selon les pierres : il y en a 14 sur un bloc des Follioules (l'autre est gravé de signes cruciformes), 37 à Santourin, 6 à Lachat, 71 à La Guettaz et 22 et 9 à La Roche. Ces blocs datent de l'Âge du Bronze. Des datations faites sur des charbons de bois de deux couches situées à la base de la pierre de Santourin donnent environ -2917 et -1884 ans : https://fr.wikipedia.org/wiki/Blocs_cupulaires_de_Billi%C3%A8meDans cette région du Jura méridional, on peut dénombrer une vingtaine de blocs à cupules répartis dans un rectangle de 8 km x 5 km, sur le territoire de cinq communes au nord de Yenne, soit les communes de Parves et Nattages, dans le département de l'Ain, Billième, Jongieux, Lucey en Savoie. Toutes ces pierres ont été choisies parmi les très nombreux blocs erratiques laissés par les anciens glaciers réunis du Rhône, de la Savoie et de l'Isère. En 1880, A. FUAN et F. CHANTRE ne signalaient aucune pierre gravée parmi les très nombreux blocs erratiques recensés dans leur important catalogue. Ils n'avaient pas remarqué de blocs à cupules parmi les blocs de grès houiller de la commune de Parves. Peu après cette publication, A. FALSAN faisait la découverte de la « boule de Gargantua » à Thoys, commune d'Arbignieu à 15 km à l'ouest de Yenne, la première pierre à cupule recensée dans la région du Sud-Est. En 1913, F. HUTINEL faisait état du premier catalogue des pierres à écuelles des environs de Belley dressé par l'Abbé J. TOURNIER. Enfin en 1921, l'Abbé J. TOURNIER complétait son catalogue par son importante étude sur le « Culte des Pierres dans la Région de Belley ».Un tableau comprend aussi quelques blocs erratiques curieux, situés dans le voisinage ou à proximité des blocs à cupules. Soit : trois pierres qui ne semblent pas avoir un rapport quelconque avec les blocs taillés, savoir notamment la pierre des Fées (sur Lucey no 01, est une pierre branlante de 15 m3 et de 2 m de hauteur), deux blocs erratiques qui pourraient se rattacher aux deux pierres à cupules très voisines à savoir la pierre du Taureau (sur Lucey no 04, située à une vingtaine de mètres de la pierre tabulaire de Montagnin : on remarquera sur la paroi sud un motif sculpté, bien poli, rappelant une petite tête de taureau avec de grandes cornes), et la pierre des Follioules II [sur Jongieux no 03, elle se trouve à une trentaine de mètres au nord du bloc à cupules des Follioules 1 ; il y a quatre croix gravées dans chaque angle, mais une d'elles serait plus récente (J. Tournier écrivait que cette pierre indiquait l'intention de christianiser le bloc à cupules voisin)].Toutes les pierres recensées sont situées, de part et d'autre du Rhône, au Nord d'une ligne Est-Ouest, Col du Chat - Yenne - Cluse de Pierre-Châtel, soit sur les flancs ouest du Mont de la Charvaz, soit sur le flanc Est de la Montagne de Parves, c'est-à-dire dans une zone où les blocs erratiques ou "pierres bises" foisonnent. On constate que ces blocs gisent groupés, par étages de part et d'autre du Rhône : entre les cotes 325/350 m, on compte 5 blocs à cupules ; entre les cotes 370/420 m, on compte 6 blocs ; entre les cotes 450/480 m, on compte 5 pierres à cupules ; entre les cotes 500/520 m, on compte 3 pierres à cupules ; entre les cotes 550/570 m, on compte 4 pierres.Parmi les nombreuses « pierres bises » ou morceaux débités que l'on peut voir au-dessous de la cote 320, notamment sur le plateau de Nattages, on n'a pas reconnu de pierres sculptées. On a remarqué que les blocs les plus hauts en altitude, tels que ceux de Santourin, isolé à 670 m sur Billième, de «Sous Rosset » et de « Sur la Forêt » sur Parves, sont d'une gravure assez médiocre, alors que les très nombreux blocs des deux étages inférieurs, cotes de 325 à 420 m, sont pourvus de très belles cupules, très bien sculptées qui témoignent d'une technique évoluée. En général, les blocs à cupules de la région de Yenne, sont éloignés des sources et ruisseaux actuels. Seule la pierre de Montagnin se trouve placée à 80 m de l'important ruisseau du Jamenoi, commune de Lucey.Le bloc de La Gaitaz est un bloc erratique ovoïde comportant 54 cupules simples, perché sur la crête d'un plateau de landes, de vues bien dégagées. Sous le bloc, on a trouvé un marteau-burin poli de quartzite. A gauche, sur la Pierre des Teppes III, il y a 8 cupules teintées, terminées, ayant sans doute été sculptées avec des galets de pierre polie, semblables à ceux trouvés sous la pierre de la Gaitaz, et 7 cupules claires paraissant inachevées ayant peut-être été sculptées, plus tard par des imitateurs et avec d'autres outils, peut-être de métal. Les cupules teintées évoquent un fragment de carte du ciel. A droite, la Pierre de La Roche compte 10 cupules teintées terminées et 7 cupules claires paraissant être inachevées : là aussi, les cupules teintées évoquent un fragment de carte du ciel ! Voir aussi l'illustration dans https://www.facebook.com/Megalithesdumonde/photos/le-tour-de-france-passe-non-loin-des-blocs-cupulaires-de-billi%C3%A8me-qui-forment-un/1363127993743109, et lisez http://www.billieme.fr/fr/information/47826/decouvrez-commune {Photo de https://www.sentier-nature.com/montagne/post/2017/03/18/lacs-chevelu-blocs-capulaires-billieme ; infos de http://www.linneenne-lyon.org/depot/4953.pdf, d'autres infos dans http://aimebocquet.com/alp5f.htm}
Feliz cumpleaños a Yoli Terroso avec "sa" photo des pétroglyphes de Laxe das Rodas, station d'art rupestre au pied de l'Outeiro de Eiroa, près du site des Taxes, dans la paroisse de Louro, dans le Muros Turismo (qui devrait mettre le lien vers sa page fb sur le logo dans son site !!!), en Turismo de Galicia. Ils datent, comme beaucoup d'autres dans la même région, de l'âge du bronze. Les gravures sont réalisées sur un rocher de granit qui émerge du sol et l'ensemble se compose de neuf figures, dont deux spirales et sept cercles concentriques avec de grandes cupules au centre. La figure principale consiste en une spirale qui tourne vers la droite et une plus petite qui tourne vers la gauche ; les deux ont une rainure radiale. L'ensemble des deux spirales est entouré de 65 petits trous, connus en Galice sous le nom de coviñas. Un autre groupe se compose de trois cercles concentriques autour d'un bol et entourés de 40 coviñas, des bols beaucoup plus petits, avec six autres à l'extérieur. Du centre, une ligne s'étend à travers les trois cercles, atteignant l'extérieur. Laxe das Rodas a été interprété comme un calendrier (les deux spirales principales), un autel d'offrandes pour favoriser de bonnes récoltes, un ensemble de signes solaires ou de mort ou de fertilité aquatique et lunaire : https://es.wikipedia.org/wiki/Laxe_das_RodasCet article présente les résultats obtenus dans le travail de terrain et l'étude ultérieure des pétroglyphes de Laxe das Rodas et Cova da Bruxa (Muros, Turismo de A Coruña), après la développement des projets de recherche « Domumentación e rexistro da estación rupestre da Laxe das Rodas », et « Proxecto de domumentación, de rexistro e de acondiciona autour de la station rupestre de Laxe das Rodas (Muros, La Corogne) », du Grupo de Estudo para a Prehistoria do NW Ibérico, de l'Universidade de Santiago de Compostela, le Concello de Muros, et la Xunta de Galicia, avec la collaboration de l'Universidad de Murcia. Ces projets ont été parrainés par l'IPCE. Instituto del Patrimonio Cultural de España :  https://digitum.um.es/digitum/bitstream/10201/35880/1/178181-650131-1-SM.pdf de Pepa Rey Castiñeira et Jorge J. Eiroa García La gravure des affleurements rocheux dans le nord-ouest portugais est une réalité depuis au moins la fin du -Vè / début du -IVè millénaire et a persisté jusqu'aux époques historiques. Les premiers motifs font partie de l'Art Atlantique et se caractérisent par une abstraction grammaticale avec de nombreuses compositions circulaires reliées par des sillons, probablement associées assorties d'une cosmogonie où elles importent les propriétés de plusieurs orographies, sources, cours d'eau et cycles solaires et lunaires. Cette structure symbolique dure environ deux mille ans, étant remplacé, durant la fin du -IIIè et le début- fin du -IIè millénaire, par un univers symbolique distinct qui se matérialise par de nouvelles iconographies. Cet article se réfère à un Art Figuratif qui commence par la représentation d'armes, mais qui se poursuivra durant le -IIè et le début du -Ier millénaires avec l'enregistrement d'armes, de bateaux, d'empreintes de pas et de chaussures, de symboles solaires et les équidés sous-naturalistes. Certains de ces équidés, soit parce qu'ils sont associés avec des représentations solaires ou parce qu'ils sont orientés vers la détermination de moments des cycles solaires, ont été interprétés comme des représentations matérialisant des mythes liés au cheval solaire. Au cours du -Ier millénaire les représentations d'équidés sont stylisées. Cependant, les compositions gagnent en mouvement et produisent des scènes narratives représentatives d'un nouvel univers idéologique : https://repositorium.sdum.uminho.pt/bitstream/1822/66465/1/BETTENCOURT_A_M_S_2019_Equideos_nos_Montes.pdf d'Ana Bettencourt de l'Universidade do MinhoVoir aussi http://patrimoniogalego.net/index.php/2837/2011/07/petroglifo-de-laxe-das-rodas du patrimoniogalego.net, https://vilademuros.es/2019/09/30/laxe-das-rodas de ViladeMuros
Gelukkige verjaardag voor Barbara Oosterwijk de Durham University avec sa photo (where was it please ? :-) ) qui clôt la partie sur les cupules, puisque je vous ai montré comment on les creusait dans https://www.facebook.com/photo/?fbid=148838644645545&set=pb.100085582290808.-2207520000. (y) :-) <3
Bon anniversaire à Archéo Pascontent alors Destination Maurienne avec les gravures rupestres des Lozes, gravures (sans cupule) anthropomorphes, animalières et symboliques à Aussois, en Savoie Mont Blanc : https://www.aussois.com/equipement/gravures-rupestres-parc-archeologique-des-lozes-aussoisLa montagne ça vous gagne mais vous croyez qu'un seul de ces institutionnels aurait eu la bonne idée de présenter ces gravures ??? Beh non, tout le monde repompe le même texte sans infos avec les mêmes deux pauvres photos (pas celle-ci, qui vient de https://fr.wikipedia.org/wiki/Aussois#/media/Fichier:ParcArcheologiqueDesLozes1.jpg), prises avec les pieds  par JLR du Patrimoine Savoie puisque les gravures sont amputées :-o / :-( Heureusement Françoise Ballet est là en VIDÉO de 8 Mont-Blanc pour nous montrer et expliquer : https://www.dailymotion.com/video/x12oldb (y)Du coup je veux bien tantôt svp des photos à Partager avec la Communauté des Amis des Mégalithes // Mates of Megaliths, et savoir aussi si le Monolithe des Sardières est un bloc erratique comme je pense ou bien ... si ça joue ;-) : http://t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?Projet=France&IDSite=MNSARD-0Les roches polies par l’ancien glacier de l’Arc révèlent un ensemble original de gravures rupestres laissées par les premiers montagnards. Apprenez à déchiffrer ces signes mystérieux, datés pour la plupart de -1 000 jusqu’au Moyen Age. Début juillet 2023, s'ouvre un espace de médiation culturelle sur le thème des gravures rupestres dans le bâtiment du Commandement (situé sur la Place d'Armes) au Fort Victor-Emmanuel. Les roches étant très érodées, l’observation des gravures est soumise à certaines conditions d’éclairage. Aussi, il est recommandé d’aller sur site au lever ou au coucher du soleil, la lumière rasante accentuant reliefs et contours des gravures.
Feliz cumpleaños a Carlos Mario Duque Orozco avec ses photos (sorry, only for his friends : https://www.facebook.com/CarlosMarioDuqueOrozco/posts/pfbid02dKzvgJWLSqVnoJ6dLMB8H3TFTdwwNwuAtKdC7ad1ZH8rZnaQWWqvYE5Efuknt9z5l) des Petroglifos de Támesis à Antioquia, en VIDÉO dans https://www.youtube.com/watch?v=mh73NVZP65k&list=PLMT5eegD7CvFlUiHHj6lNw5hGEq4DGcfb&index=21 de Caracol Radio (https://caracol.com.co/emisora/2019/06/20/medellin/1561039386_198897.html) et https://www.facebook.com/watch/?v=2988119017931108 de Canal Teleantioquia (y)La municipalité de Támesis est située au sud-ouest d'Antioquia, à 111 km de la ville de Medellín. La topographie de la commune est accidentée, ce qui favorise la diversité des climats et, par conséquent, la diversité de l'activité agricole : http://www.rupestreweb.info/tamesis.html de Rupestreweb / Arte rupestre de América LatinaDans la région du sud-ouest d'Antioquia, plusieurs pétroglyphes ont été répertoriés ou mentionnés par des chroniqueurs ou des passionnés de la question : Hermann Trimborn, qui réalise un travail précieux dans lequel il compile les chroniqueurs qui étaient dans les armées conquérantes, dans la région géographique de la vallée de la rivière Cauca comme l'étaient ceux de Robledo et Belarcazar ; la région géographique comprend le massif colombien jusqu'aux montagnes d'Antioquia et s'éteint dans les basses terres de la côte atlantique et se jette dans la rivière Magdalena. Le sud-ouest d'Antioquia est compris dans les montagnes de la région d'Antioquia, où se trouvait la route commerciale de Cenufana, qui communiquait avec le territoire de Quimbaya, cette route se déroulait le long de la rive gauche de la rivière Cauca, qui possédait des indicateurs de direction pour les étrangers, constitués de dessins rupestres (pétroglyphes).En 1885, la présence de pétroglyphes dans le sud-ouest d'Antioquia a été signalée par le docteur Manuel Uribe Angel qui, dans son texte "Geografía General y Compendio Histórico del Estado de Antioquia en Colombia", décrit et dessine les pétroglyphes de l'Alto de los Micos dans le Corregimiento de Venecia. Il fait référence aux pétroglyphes de Támesis de la manière suivante : "On dit qu'il y a dans le district de Támesis de grandes roches avec des gravures représentant des figures humaines, œuvres attribuées aux habitants primitifs, mais elles sont déjà si confuses qu'on les perçoit difficilement".En 1922, Juan Bautista Montoya y Florez écrit un ouvrage dans lequel il présente les pétroglyphes de l'Hacienda Los Micos située dans la municipalité de Titiribí, où il enregistre un rocher qu'il appelle "La Piedra del Indio", présentant des figures géométriques juxtaposées qu'il interprète comme faisant partie d'un plan topographique de temples souterrains ou de grottes de culte, une interprétation similaire a été donnée aux pétroglyphes enregistrés dans le Corregimiento de Bolombolo.En 1923, Emilio Robledo a publié un texte intitulé "Estudio de piedras grabadas" (Étude de pierres gravées), dans lequel il présente les pétroglyphes situés à La Hacienda La Amalia, municipalité de Venecia (sud-ouest d'Antioquia), dans lesquels prédominent les motifs géométriques, qu'il a utilisés pour présenter des objets, qui pourraient être en céramique, en or ou en tumbaga. À La Hacienda La Arabia, dans la même municipalité, le pétroglyphe cité par le Dr Manuel Uribe Angel à Alto de los Micos est également mentionné ; il fait également référence aux pierres de La Pintada, situées sur les rives du fleuve Cauca, où prédominent des motifs anthropozoomorphes tels que des iguanes, des grenouilles et des lézards, auxquels on attribue la signification de demi-dieux associés à l'humidité ou à la sécheresse. Une démarche importante et quelque peu risquée d'Emilio Robledo, par rapport à l'étude des pétroglyphes, a été de présenter deux dates possibles pour ces gravures : la pierre taillée ou écaillée appartient au Paléolithique et la pierre polie appartient au Néolithique.Alfredo Cook, en 1936, fait référence aux pétroglyphes de Vénétie, qu'il relie aux différentes formes géologiques du Cerro de Tusa, comme la Silla del cacique, le Coloso del Cerro de Tusa, l'ara ou l'autel des sacrifices ; L'un de ces pétroglyphes est situé dans la Quebrada La Arabia où se trouve une figure en forme de grenouille, qui est liée à un demi-dieu associé à l'eau, et en ce qui concerne son élaboration, il note qu'elle a été faite avec des outils en silex trouvés dans le bassin de la rivière Cauca.C'est Gracialiano Arcila qui, en 1956, a réalisé la première étude sur l'art rupestre dans la municipalité de Támesis, enregistrant 40 roches gravées au total, qu'il présente dans son texte : "Estudio preliminar de la cultura rupestre en Antioquia - Támesis", 12 roches qu'il localise géographiquement et dont il décrit les motifs de manière interprétative ; pensant à l'intégration de cette étude aux autres communes du Sud-Ouest, et reprenant celles déjà mentionnées par les auteurs précédents, il réalise plusieurs travaux archéologiques et enregistrements de pétroglyphes dans les communes de Valparaiso, Titiribí, Caramanta, Jericó, Pueblo Rico et Venecia. L'analyse iconographique de ces œuvres permet d'émettre l'hypothèse que les motifs géométriques et les figures stylisées apparaissent au fur et à mesure que l'on s'éloigne du fleuve vers les montagnes, tandis que les figures qui expriment la réalité du motif anthropomorphe ou zoomorphe se trouvent à proximité du fleuve Cauca" ; il conclut également que les zones géographiques des municipalités de Támesis et de Venecia, séparées par le fleuve Cauca, appartenaient à la même influence culturelle et représentent peut-être, par leurs gravures, des divinités aquatiques protectrices des cultures et gestionnaires de la fertilité".En 1965, Luis Fernando Vélez a réalisé une étude sur la culture rupestre des Titiribies, où il a enregistré des pétroglyphes dans l'Altiplano del Socolado, dans l'Hacienda Los Micos et dans le domaine Las Peñitas. Il conclut dans ce travail que les pétroglyphes sont des descriptions de routes menant à des trésors cachés ou à des sanctuaires, la contribution la plus importante de cette étude étant la note qu'il fait sur les instruments utilisés pour l'élaboration des pétroglyphes, qui étaient des pierres dures, du quartz et des silex, trouvés à côté des rochers et qui sont étrangers à la formation géologique de la région.En 1998, les anthropologues Isabel Cristina Zapata et Alejandrino Tobón ont présenté un travail de diplôme en anthropologie intitulé "Los Petroglifos de Támesis", dans lequel 34 roches gravées avec 304 motifs au total ont été enregistrées ; ces pétroglyphes sont contextualisés et localisés géographiquement et une description des éléments graphiques qui les composent est effectuée afin d'identifier les plus récurrents et de pouvoir définir les éléments de base pour l'élaboration des figures. L'analyse stylistique a permis de déterminer l'existence de trois représentations de base dans cet art : géométrique, figurative et schématique, qui, en raison de leur distribution géographique, présentent des comportements différents, en particulier dans la zone inférieure (El Rayo) où l'importance de l'expression figurative est évidente.L'enregistrement des pétroglyphes a d'abord été abordé par une reconnaissance visuelle de la zone d'étude considérée sur la carte topographique à l'échelle 1:2000, en plus d'être localisée sur la photographie aérienne faja 3A photo 08, prise en janvier 1990. Avec la reconnaissance visuelle et pour une meilleure systématisation de l'information, deux secteurs ont été déterminés : le premier situé dans la capitale municipale et les contreforts de la chaîne de montagnes, entre l'altitude inférieure de 1500 m et l'altitude supérieure de 1685 m, et le deuxième situé entre l'altitude inférieure de 870 m et l'altitude supérieure de 1100 m. Lorsque la zone de recherche a été divisée en secteurs, un travail de terrain a été effectué pour détecter les roches gravées. Lorsqu'une roche avec des pétroglyphes a été trouvée, elle a été localisée à la fois sur la carte topographique et sur la photographie aérienne afin de visualiser sa distribution (voir le graphique de distribution des roches).Pour le relevé des pétroglyphes, la technique du "frottage" a été utilisée, une méthode qui consiste à tapisser la zone décorée de la roche avec un entoilage et à la frotter ensuite avec un tissu imprégné de bitume, obtenant ainsi un tracé négatif du pétroglyphe ; ensuite, les pétroglyphes ont été relevés à l'échelle en les plaçant sur du papier millimétré à l'aide d'une grille de 1 m sur 1 m avec des subdivisions tous les 20 cm, qui a été placée sur les gravures pour en faciliter le dessin.Après avoir détecté les pétroglyphes et les avoir relevés, ils ont été inscrits sur des fiches où ont été notées les généralités du milieu naturel et leur localisation, ainsi que les particularités des rochers et des dessins qui s'y trouvent ; ensuite, un enregistrement photographique a été réalisé sur papier et sur diapositives, en essayant de montrer la vue du paysage, l'environnement du rocher et les détails des figures.Pour une meilleure reconnaissance de chacune des roches enregistrées, un nom leur a été attribué, qui dans certains cas a été repris de travaux antérieurs, ou le nom par lequel elles étaient connues dans la région a été utilisé ; elles ont également été nommées en fonction de caractéristiques particulières telles que les icônes qu'elles contenaient ou les caractéristiques de l'environnement.Le nombre total de roches recensées est de 42, contenant 341 motifs. Les représentations géométriques représentent 73% et les 27% restants se répartissent entre les représentations figuratives, la plus fréquente étant zoomorphe avec 12,6%. Sur l'ensemble de l'échantillon, dans 25 roches les motifs ont été réalisés sur des supports plats, ce qui indique que la roche a été présélectionnée, ces roches étant associées à des nivellements naturels et à des sources d'eau, ainsi qu'à une orientation paysagère ; cependant, si l'on visite la région, on peut voir le nombre de roches avec des supports plats qui ne sont pas gravées mais qui ne remplissent pas les autres conditions.Dans la partie supérieure, le centre urbain, 85 motifs ont été récupérés sur les treize roches recensées : 60 géométriques, 2 anthropomorphes, 3 anthropozoomorphes, 9 phytomorphes et 1 zoomorphe. Au total, 158 éléments ont été utilisés pour créer ces motifs, la spirale prédominant avec 29 répétitions, le diabolo avec 20, et le cercle avec la spirale composée apparaissant 16 fois. Ces lignes courbes confèrent aux motifs un dynamisme et une impression de mouvement. Le motif géométrique est prédominant dans cette région.Le carré, le losange, le rectangle et le triangle, qui montrent l'abstraction de ce qui est représenté, sont les éléments les moins utilisés pour l'élaboration des motifs iconographiques. C'est l'inverse pour les motifs anthropozoomorphes, où 26 éléments ont été nécessaires pour produire trois représentations, avec un niveau d'élaboration plus élevé dans ce type de représentation. Dans la partie inférieure, 29 roches ont été enregistrées et 273 motifs ont été dénombrés ; bien qu'il y ait une bonne utilisation des motifs géométriques, les figures anthropozoomorphes, zoomorphes et anthropomorphes ont une fréquence significative. Les lignes courbes et les points sont les principaux éléments d'élaboration.L'analyse de la distribution des figures montre que l'art figuratif est plus présent dans la partie inférieure de la zone étudiée et que les représentations géométriques, qui dans ce cas font référence à l'art abstrait, sont présentes dans toute la région et prédominent dans la partie supérieure. Dans ce cas, il s'agit du diabolo, dont on peut dire qu'il a peut-être été l'une des premières manifestations ou représentations trouvées dans la région ; on peut le conclure à partir de sa localisation, dans presque tous les cas il apparaît sur des rochers difficiles d'accès car situés sur des pentes abruptes, des ravins ou au bord de ravines et surtout sur des rochers de grande taille aux surfaces ondulées ; en outre, ce motif apparaît dans plusieurs cas avec une superposition, un palimpseste, d'autres motifs figuratifs ; par exemple, le rocher El Indio dans la partie inférieure, dans le quartier de San Isidro.Le palimpseste qui apparaît entre les motifs abstraits et figuratifs permet de déduire au moins deux périodes différentes au cours desquelles les gravures ont été réalisées, d'abord sous forme d'art géométrique abstrait, puis sous forme de représentation figurative au fur et à mesure que la technique se perfectionnait. En ce qui concerne le contexte géographique et l'association archéologique des sites où se trouvent les pétroglyphes, il a été constaté que sur le nombre total de roches recensées, seules cinq sont situées dans des endroits difficiles d'accès, toutes les autres se trouvant dans des zones plates ou à proximité de plaines naturelles propices aux habitations ; trente-six roches sont également associées à des sources d'eau et quinze à un chemin de pierre préhispanique, une ancienne route qui menait de la municipalité de Valparaiso à Jardín.Par conséquent, comme hypothèse, on peut dire que les pétroglyphes ont été travaillés délibérément, car leur emplacement montre qu'ils avaient une influence importante au sein de la communauté, peut-être de type magico-religieux. Cette hypothèse est corroborée par ce qu'écrit le chroniqueur Cieza de León : "parmi ces roseaux, ils ont placé quelques planches où ils sculptent la figure du diable, très féroce, sous forme humaine, et d'autres idoles et figures de chats, qu'ils vénèrent. Lorsqu'ils ont besoin d'eau ou de soleil pour cultiver leurs terres, ils demandent (selon les Indiens naturels eux-mêmes) l'aide de ces dieux".On peut donc affirmer qu'il existait une relation directe entre les pétroglyphes et la vie quotidienne des groupes qui occupaient la région ; bien que nous ne sachions pas quand ils ont été réalisés, des auteurs comme Arcila (1956), Tavera (1956) et Reichel-Dolmatoff (1986) suggèrent qu'ils correspondent à des sociétés présentant un certain degré de complexité sociale, telles que les sociétés dites d'agro-poterie.La fonction magico-religieuse des pétroglyphes peut être confirmée par l'analyse iconographique proposée par Ronald Duncan pour l'iconographie précolombienne, où il affirme que "l'abstrait et le géométrique font partie du conceptuel et du non-narratif" et dans le texte de Reichel-Dolmatoff (1988), basé sur des découvertes ethnoarchéologiques, il affirme que de nombreux accessoires en or ou en tumbaga du Musée de l'or du Banco de la República sont liés au vol du chaman, et les résume dans l'icône "A", qui est décrite comme "un objet à la silhouette approximativement rectangulaire, symétrique latéralement, mais dont les quatre coins sont déformés pour former des points, ainsi schématisés, constituant les extrémités des ailes de l'oiseau et les extrémités des plumes caudales étalées latéralement en éventail", qui représente le vol du chaman.Cette icône est réitérée dans l'orfèvrerie précolombienne et prédomine également dans les dessins iconographiques des pétroglyphes de Támesis, ce qui lui confère la valeur de catégories cognitives. Parmi les roches enregistrées, 36 contiennent des motifs similaires à celui-ci, qui est lié à l'icône "A" ou vol du chaman de Reichel-Dolmatoff, ce qui ratifierait la fonctionnalité magico-religieuse de ces derniers. Selon Ronald Duncan (1981), "le figuratif est le narratif ou le descriptif, dans lequel l'être rituel, mythique et réaliste est montré", ce qui peut être mis en relation avec l'analyse de l'orfèvrerie de Reichel-Dolmatoff, et son icône "A", homme-oiseau, qui "a un caractère rituel, montrant des hommes et des femmes dans une position hiératique, debout, et parfois assis sur des tabourets ou des duhos". Cette icône figurative "A" continue de maintenir la relation entre l'homme et le cosmos par l'intermédiaire du chaman, et apparaît également dans l'iconographie des pétroglyphes et continue de soutenir l'hypothèse de la fonctionnalité magico-religieuse des pétroglyphes.De même, une autre icône réitérée dans l'iconographie préhispanique est la spirale, dont Reichel-Dolmatoff affirme que "les spirales divergentes ont un caractère rituel et sont liées à la croissance et au renouvellement des plantes" (1988 : 141) ; de même, cette icône est réitérée dans les pétroglyphes, apparaissant indépendamment ou dans des compositions, comme c'est le cas de la roche El Cementerio où elle apparaît dans des motifs phytomorphes, représentant peut-être des buissons de maïs et la roche San Antonio 1 représentant peut-être des courants d'eau ou des vents croisés, parmi beaucoup d'autres, donnant ainsi un caractère rituel à ces gravures.L'iconographie préhispanique est également riche en représentations d'animaux, comme le montrent les travaux d'Edgar Emilio Rodríguez (1992) et d'Anne Legast (1993), qui mettent en évidence la connaissance de l'environnement faunistique à l'époque préhispanique par les groupes culturels et leur relation avec la cosmogonie ou la mythologie. Ronald Duncan donne à ces icônes la valeur de "concepts totémiques d'identification et d'appropriation des capacités d'autres espèces" (1988 : 229). (1988 : 229), tandis que Reichel-Dolmatoff affirme que : "la plupart des animaux représentés sont des oiseaux, avec la représentation prédominante d'ailes ou d'objets ailés faisant allusion au vol chamanique ; et aussi des animaux d'importance économique préhispanique tels que les tapirs, les cerfs, les rongeurs, les iguanes. Chez les oiseaux et les batraciens, la relation d'opposition dans la nature est présente, air - eau, lumière - obscurité, sécheresse - humidité, ces éléments acquérant un caractère féminin qui peut être compris comme la fertilité et la croissance". Les animaux ayant une signification rituelle, ils font partie de la vie quotidienne et de la cosmogonie de leurs auteurs, ce qui leur confère un caractère fonctionnel magico-religieux ; dans l'art rupestre, ces représentations sont également riches en expression et en forme, avec des motifs zoomorphes et anthropozoomorphes ; Parmi les représentations animales, on trouve des grenouilles, des lézards, des serpents, des singes, ainsi que des oiseaux aux ailes ouvertes, courant, en position frontale ou latérale, entre autres ; un exemple de ces représentations est illustré par un seul rocher, le rocher El Pirú.Tout ce qui précède fait partie d'une enquête qui a inclus l'enregistrement des roches dans une zone relativement restreinte du territoire de la municipalité de Támesis, laissant la zone de surveillance et d'enregistrement du territoire restant à étendre, ainsi que l'extension de cette enquête aux autres municipalités qui composent le sud-ouest d'Antioquia et qui font partie de la région du Moyen Cauca ; Afin de corroborer les hypothèses de Jorge Robledo (1919), qui affirme que cette région faisait partie d'un même groupe culturel partageant des idées et des croyances, et de Graciliano Arcila, qui déclare : "Les zones géographiques de Támesis et de Venecia, séparées par le fleuve Cauca, appartenaient à la même influence culturelle et, dans les pétroglyphes, elles représentent peut-être des divinités aquatiques protectrices des cultures et responsables de la fertilité".Lire aussi https://www.elcolombiano.com/tendencias/petroglifos-de-tamesis-hablan-de-un-pasado-remoto-KG4866297 de El Colombiano, https://www.antioquiacritica.com/danaron-petroglifos-de-tamesis de Antioquia Crítica, https://www.udea.edu.co/wps/portal/udea/web/inicio/udea-noticias/udea-noticia/!ut/p/z0/fYw_D4IwFMS_igsjaa0IOBIHE-PgYAx0Mc_S4MO2jz_F-PEtOhgXl8vd5XfHJCuZdPDABjySAxNyJdNLvtmKZZHwA0-TlBfpMVlnYrc6nTnbM_kfCA_Y9r0smFTkvH56VnY0eDBTrSHiMP6mG1n98bMuHHlUCGPE32uHNc3Ut-70gFSjIjAWLHg9RHxEeyVDTQBiBeHdQtyBzZZ53E5GcCFYd5fVC4G0Z6Y! et https://bibliotecadigital.udea.edu.co/handle/10495/10861 de l'Universidad de Antioquia, https://www.elmundo.com/portal/opinion/columnistas/petroglifos_en_tamesis-antioquia.php#.ZBb51_aZPrc de El Mundo, https://www.elespectador.com/ambiente/los-grabados-ancestrales-que-revivieron-el-debate-de-la-mineria-en-antioquia de El Espectador, https://www.viajesdestinoantioquia.com/admin/vp5836/sp/viajes-y-planes-tamesis-antioquia de Viajes Destino Antioquia, https://repositorio.itm.edu.co/bitstream/handle/20.500.12622/4550/Estefania_EscobarMontoya_2021.pdf?sequence=6&isAllhttps://repositorio.itm.edu.co/bitstream/handle/20.500.12622/4550/Estefania_EscobarMontoya_2021.pdf?sequence=6&isAllowed=y de ITM - Departamento de Biblioteca y Extensión Cultural
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